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Cuisine Toulousaine et Occitane - Page 6

  • Quel est le carburant du cerveau?

    Pour mieux se concentrer et rester attentif, le cerveau a besoin d'une source d’énergie constante.

    Le cerveau utilise du glucose, mais il peut aussi tirer son énergie des graisses ou plus exactement de composés dérivés des graisses : les corps cétoniques, ou cétones, qui sont produites en période de jeûne ou dans les régimes très pauvres en glucides (keto).

    Les vitamines importantes pour le cerveau

    La plupart des vitamines sont importantes pour le cerveau :

        les vitamines B, en particulier les folates (vitamine B9) et la vitamine B12, indispensable au fonctionnement normal du système nerveux ;

        la vitamine C, parce qu'elle est antioxydante et aide à la production de neurotransmetteurs ;

        la vitamine D, car elle permet de lutter contre les effets du vieillissement ;

        la vitamine E, liposoluble et antioxydante, qui protège les membranes synaptiques de l’oxydation et favorise de ce fait la neuroplasticité (1) ;

        la vitamine K2, associée à une meilleure santé cérébrale...

    LA BONNE ALIMENTATION POUR LE CERVEAU

    D’après les études, le régime méditerranéen est l’une des meilleures alimentations pour maintenir un cerveau en bonne santé.

    Les aliments à index glycémique (IG) bas, comme la plupart des fruits et légumes, les légumineuses, certaines céréales complètes permettent une libération progressive du glucose dans le sang permettant au cerveau de bien fonctionner toute la journée.

    Sélection

    1. La sardine. une source d'oméga-3 bons pour la mémoire

    La sardine est un poisson gras riche en oméga-3, plus précisément en DHA (acide docosahexaénoïque). Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés qui se trouvent en grandes quantités dans certains poissons gras et quelques produits végétaux. Ils font partie des acides gras essentiels, car l'organisme humain en a absolument besoin. L’alimentation est la seule et unique source d’oméga-3, le corps ne peut les produire. Les oméga-3 joueraient un rôle important dans la santé du cerveau en augmentant le flux de sang vers des zones spécifiques, notamment celles qui contrôlent la mémoire et l’apprentissage. Parmi les oméga-3, le DHA est le plus important pour le cerveau et la cognition. C'est un élément structurel et fonctionnel de toutes les membranes cellulaires et des neurones.

    1. Un fruit: les myrtilles

    Les nombreux antioxydants des petits fruits rouges, les fraises et les myrtilles en particulier, pourraient protéger le cerveau du vieillissement et donc aider à maintenir ses fonctions cognitives.

    1. L’œuf

    Abondants et bon marché, les œufs sont un aliment de base consommé dans le monde entier, avec des atouts nutritionnels indéniables: ils apportent des protéines, des graisses saines et des nutriments intéressants pour le cerveau, comme la choline et les caroténoïdes. La choline, présente dans le jaune, est essentielle pour la synthèse d’acétylcholine, un neurotransmetteur associé à la mémoire. Mais à cause de la présence de cholestérol, les œufs ont parfois une mauvaise image dans la population.

    Récemment, une étude de l’Université de Californie à San Diego a analysé l’association entre la consommation d’œufs et les facultés cognitives dans différents domaines (2). Pour cela, les chercheurs ont recueilli les données d’une cohorte d’habitants de la banlieue de Rancho Bernardo à San Diego, comprenant 890 hommes et femmes de 55 ans et plus.

    Globalement, les hommes mangeaient plus d’œufs que les femmes. D’après cette étude, la consommation d’œufs n’altère pas les fonctions cognitives, tant chez les hommes que chez les femmes. Les résultats suggèrent même un léger effet bénéfique de la consommation d’œufs sur la mémoire sémantique chez les femmes. "Nous avons constaté que la consommation d'œufs à l'âge moyen était associée à une fonction cognitive légèrement meilleure à un âge plus avancé, dit la Pre Donna Kritz-Silverstein, auteure de cette étude. Il s'agit d'une nouvelle découverte qui suggère un impact potentiel à long terme de la consommation d'œufs sur la santé cognitive".

    1. L’épinard

    Les épinards sont riches en de nombreux composés bénéfiques comme les vitamines A, B9 (acide folique), C et K mais aussi en pigments antioxydants comme la lutéine et la zéaxanthine. Des études ont montré que ce légume pouvait limiter le déclin cognitif.

    Vous n’aimez par les épinards? Avez-vous essayé avec de la crème fraîche?

    Non? Pas de problème, ce sont tous les légumes verts à feuilles comme les salades, les choux ou encore les blettes qui ont cette propriété.

    Dans une étude de cohorte portant sur 3700 personnes de plus de 65 ans, les chercheurs ont trouvé que par rapport aux personnes mangeant le moins de légumes (médiane de 0,9 portion/jour), celles qui en mangeaient environ 2,8 portions/jour diminuaient de 40 % leur risque de déclin cognitif, Quand les chercheurs ont étudié le déclin cognitif en fonction de la consommation de certains types de légumes, ils ont trouvé que tous les types de légumes, à l'exception des légumineuses, étaient inversement associés au déclin cognitif et que les légumes à feuilles vertes présentaient l'association linéaire la plus forte.

    1. Le chocolat noir, un super aliment pour le cerveau

    Les propriétés santé du chocolat sont dues à des substances antioxydantes, nommées flavonoïdes, présentes en quantité importante dans les fèves de cacao. Consommés en quantité importante, les flavanols du cacao boosteraient les performances visuelles et cognitives d'après une étude sur des jeunes adultes. Seul le chocolat noir très concentré en cacao contient suffisamment de flavanols pour avoir un effet sur le cerveau. Les autres n'en renferment pas assez et sont aussi trop sucrés pour être profitables.

    conseil : consommer 1 à 2 carrés de chocolat à plus de 90% de cacao chaque jour.

    1. Les noix

    La noix de Grenoble a la forme d'un cerveau... et cela tombe bien, elle serait bénéfique pour lui. Outre ses oméga-3, ce serait grâce à sa vitamine E et ses antioxydants.

    La vitamine E contenue dans les noix, amandes et noisettes (mais aussi l’avocat, les épinards, les cacahuètes, l'asperge et les huiles d’olive et de colza) permettrait en effet de prévenir le déclin cognitif. La consommation de noix (toutes formes confondues) est ainsi associée à de meilleures fonctions cognitives chez les personnes âgées).

    Plus elles mangent de noix et plus le cerveau fonctionne bien. Chez les plus jeunes la consommation de noix de Grenoble n'a pas d'effet sur la mémoire mais en aurait un sur certaines formes de raisonnement logique.

    1. L’ail

    L’ail est parfois considéré comme un "super-aliment"» à cause des composés organo-sulfurés qu’il contient, comme l’allicine, qui ont des effets antioxydants et anti-inflammatoires. L'ail est traditionnellement utilisé pour ses effets sur le système cardio-vasculaire mais il pourrait aussi être bénéfique au cerveau.

    Des expériences in vivo et in vitro ont montré que l'ail possède des propriétés neuroprotectrices significatives et qu'il agit principalement sur l'hippocampe. Il a été démontré que les composés organiques soufrés jouent un rôle majeur dans la neuroprotection.

    1. Le brocoli

    Le brocoli, comme d’autres crucifères (choux de Bruxelles, chou rouge, chou frisé, radis, chou kale...) contiennent du sulforaphane, un composé qui se forme pendant la mastication et offre de nombreux bienfaits pour la santé. Récemment, les effets protecteurs du sulforaphane sur la santé du cerveau ont fait l'objet d'études dans plusieurs maladies neurologiques, dont la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, les troubles du spectre autistique et la schizophrénie.

    1. Le thé vert

    Le thé vert contient des catéchines, dont la principale est l’EGCG. L’épigallocatéchine gallate est un polyphénol antioxydant très puissant, capable de neutraliser les radicaux libres impliqués dans le vieillissement et la diminution des capacités cognitives. En plus de protéger le cerveau des lésions neuronales, il améliore le flux sanguin cérébral.

    1. Le café

    Le café contient des polyphénols, mais surtout de la caféine. Les effets stimulants de la caféine tiennent à sa capacité à augmenter la production de glutamate tout en réduisant celle du GABA, qui est un calmant du cerveau. Toutefois, il ne faut pas en abuser, comme l'explique Max Lugavere: "Bien que le café contienne de nombreux composés qui protègent le cerveau et que les études récentes lui soient plutôt favorables, il n’en reste pas moins un stimulant du système nerveux central et peut à ce titre perturber l’équilibre naturel entre le système nerveux sympathique (celui qui va intervenir dans les réactions de lutte ou fuite) et parasympathique (celui qui intervient dans les phases de repos et de digestion)".

    Évitez de boire de café après 14 heures pour ne pas nuire à votre sommeil.

    LES PIRES ALIMENTS POUR LE CERVEAU

    Le sucre est à éviter, comme l'explique Max Lugavere : "Le sucre interagit avec les gènes dans le cerveau, ce qui a pour effet de diminuer la neuroplasticité et de nuire aux fonctions cognitives".Manger moins de sucre, en particulier les sucres cachés (présents dans les aliments transformés), est également une mesure à prendre pour protéger son cerveau.

    Dans l'organisme, les sucres favorisent la glycation des protéines. Ce mécanisme "survient lorsqu’une molécule de glucose s’associe à une protéine proche ou à la surface d’une cellule et provoque des dégâts, explique Max Lugavere. Toute nourriture qui provoque une augmentation de la glycémie peut potentiellement accroître la glycation, et les protéines exposées au glucose sont vulnérables." Pour ces raisons, il vaut mieux éviter les aliments à IG (index glycémique) élevé.

    La glycation conduit à la formation de produits de glycation avancée (AGE, pour advanced glycation end-products). Les AGE sont associés à l’inflammation et au stress oxydatif dans l’organisme. "La formation des AGE étant plus ou moins proportionnelle au taux de glucose sanguin, le processus est d’autant plus rapide chez les diabétiques de type 2 et joue un rôle majeur dans leur tendance au développement ou à l’aggravation de maladies dégénératives comme l’athérosclérose et la maladie d’Alzheimer, dit Max Lugavere. Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, un cerveau atteint est littéralement envahi de cette toxine du vieillissement et contient trois fois plus d’AGE qu’un cerveau sain".

    Méfiance aussi avec le fructose, présent notamment dans les sodas. Dans une étude menée à l’université de Californie à Los Angeles, on a donné à des rongeurs la quantité de fructose équivalente à la consommation d’une bouteille d’un litre de soda par jour. Après 6 semaines, ils ont commencé à présenter des troubles classiques: taux croissants de sucre dans le sang, de triglycérides et d’insuline, et dégradation de la cognition. Ils mettaient aussi deux fois plus de temps à trouver la sortie d’un labyrinthe que des rongeurs qui ne consommaient que de l’eau.

    En conclusion, l'alimentation bénéfique à la santé cérébrale est riche en vitamines, minéraux, antioxydants, fruits, légumes, bonnes graisses (oméga-3 des poissons gras et des noix), choline des œufs... Elle évite les sucres, les aliments ultra-transformés et à IG haut.

  • Collagène?

    Augmenter sa production de collagène en consommant les bons aliments

    Avec l’âge, la production de collagène diminue et les signes de vieillissement de la peau s’accentuent. Un processus naturel qu’il est toutefois possible de ralentir en consommant des aliments riches en collagène ou favorisant sa production. Lesquels ?

    Dès l’âge de 30 ans environ, notre peau perd en moyenne 1% de collagène chaque année. L’épiderme devient alors plus fragile, cicatrise moins bien et perd en fermeté. Ridules et rides apparaissent et s’accentuent. En causes, de nombreux facteurs endogènes tels que la génétique à l’origine d’une carence précoce en collagène, mais aussi exogènes, à l’instar d’une exposition prolongée au soleil, dont les UV produisant des radicaux libres favorisent la diminution de cette protéine.

    Au-delà de ces facteurs tels que l’âge, la génétique ou encore les habitudes de vie, la diminution de la production de collagène est également due à des mécanismes cellulaires et moléculaires, notamment la diminution de l’activité des cellules produisant cette protéine et celle des enzymes protégeant le collagène. S’il ne s’agit pas de contrer ce processus naturel, il est possible de l’accompagner en fournissant à l’organisme les nutriments nécessaires à la régénération des cellules et la protection de l’épiderme contre les radicaux libres.

    OU TROUVER DU COLLAGENE DANS L’ALIMENTATION ?

    Pour augmenter naturellement le collagène dans l’organisme, l’alimentation joue ainsi un rôle clé. Certains aliments sont à privilégier pour leur richesse en zinc, vitamine A, C et E, lesquels participent à la régénération de la peau tout en la protégeant de l’oxydation. Légumes, viandes, agrumes et huiles contiennent des propriétés permettant à l’épiderme de conserver sa souplesse et son élasticité. Lesquels ?

    QUEL FRUIT CONTIENT DU COLLAGENE ?

    En ce qui concerne les fruits, le kiwi est l’aliment booster de collagène par excellence. Riche en vitamine C aux propriétés anti-âge, n’hésitez pas à en consommer quotidiennement, de même que les agrumes (orange, clémentine, citron, mandarine, pamplemousse, kumquat,etc.)

    Les fruits tropicaux sont également à inscrire au menu, à l’instar de la mangue et du litchi, ou encore de la goyave. Outre la vitamine C, leur teneur en vitamines A et E participent à booster la production de collagène dans l’organisme.

    Les fruits rouges (fraises, framboises, myrtilles, mûres…) sont également à consommer sans modération pour préserver l’élasticité de la peau, en raison de leur teneur en lycopène, qui augmente les capacités du corps à produire du collagène.

    LES LEGUMES ANTI-VIEILLISSEMENT

    Communément employé comme légume dans nos assiettes, l’avocat, qui au sens botanique du terme est bien un fruit, est aussi à privilégier pour ralentir le vieillissement de la peau. Riche en vitamine E, ce puissant anti-oxydant ralentit la perte de collagène intervenant à un certain âge.

    L’ail, légume faisant partie de la famille des alliacées, est également un excellent aliment favorisant la production de collagène dans l’organisme. Sa teneur en soufre, moins connue que ses vertus anti-inflammatoires, permet en effet à l’ail de participer grandement à la production de cette protéine anti-vieillissement dans le corps.

    Autres aliments à inscrire au menu pour lutter contre la perte de collagène: les graines germées, dont la teneur en vitamine C stimule les fibres collagéniques.

    OU TROUVER DU COLLAGENE DANS L'ALIMENTATION ?

    D’autres aliments anti-vieillissement permettent de favoriser la production de collagène, comme les produits laitiers, dont les acides animés accentuent la régénération de cette protéine dans l’organisme. Idem pour les œufs, riches en acides animés.

    Autres aliments à privilégier: les oléagineux (amandes, noix, soja, colza, graines de lin…), qui permettent de combattre plus efficacement les radicaux libres contribuant au vieillissement de la peau.

     

    Du côté des poissons, le saumon, qui contient du zinc en grande quantité, permet d’activer la production de collagène. Sa forte teneur en acides gras permet aussi de ralentir le vieillissement de la peau en l’hydratant en profondeur.

    Enfin, sans doute l’aliment le plus riche en collagène : l’os à moelle, constitué en grande partie de cette protéine. Consommer un bouillon d’os à moelle, riche en glycine et proline, acides animés présents dans le collagène, contribue pleinement à la préservation de la fermeté de la peau.

    EST-IL BON DE PRENDRE DU COLLAGENE MARIN ?

    Le collagène marin, actif naturel, connaît un grand succès pour pallier à la baisse de collagène dans l’organisme qui outre le relâchement de la peau entraîne aussi des problèmes de souplesse au niveau des articulations. Relativement récent sur le marché des compléments alimentaires, le collagène marin est directement extrait des arêtes, de la peau et des écailles des poissons, pour être présenté sous forme de poudre la plupart du temps. Son intérêt: sa similarité avec le collagène synthétisé par l’organisme humain.

    De nombreuses études ont confirmé les bienfaits engendrés par une supplémentation en collagène marin pour ralentir le vieillissement de la peau. Ce type de complément alimentaire, allié à une alimentation équilibrée, permet ainsi de préserver l’élasticité et l’hydratation de la peau, tout en participant à sa protection. En d’autres termes, le collagène marin peut être considéré comme un actif anti-âge, anti-rides ou encore photo-protecteur naturel.

    Veillez toutefois à toujours choisir scrupuleusement vos compléments alimentaires.

     

  • Crêpes fourrées au reblochon

    Pour 4 personnes

    2 œufs; 1 pincée de sel, 125 g de farine

    une demi-cuiller à café de levure chimique, 20 cl de lait, 1 filet d'huile

    Pour la garniture :

    un demi-reblochon, 50 g d'emmental râpé; 50 g de beurre

    Dans un grand saladier, battre ensemble les œufs et le sel. Incorporez progressivement la farine en fouettant pour former une pâte, puis petit à petit le lait. Bien mélanger.

    Laissez la pâte à crêpes reposer 1 heure.

    Chauffez une poêle antiadhésive à feu moyen élevé. Badigeonnez d'un filet d'huile puis versez une petite louche de pâte dans la poêle. Faire tourner la poêle pour bien enrober le fond.

    Cuire jusqu’à ce que le premier côté soit doré puis retournez et faire cuire 30 secondes supplémentaires. Retirez et reproduire jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de pâte.

    Enlevez la croûte du reblochon, le couper en petites lamelles d'un demi-centimètre d'épaisseur. Garnir les crêpes, et les rouler. Les disposer dans un plat à four beurré, saupoudrez d'emmental râpé, parsemez de noisettes de beurre et mettre 7 à 10 minutes à four préchauffé à 200°.

    Servir chaud.

    P.S. D'autres fromages que le reblochon peuvent être utilisés

  • Crème chocolat blanc

    pour enfant??

    Pour 4

    200 g de noisettes décortiquées, 200 g de chocolat blanc

    Déposez les noisettes émondées (sans la peau) sur une plaque recouverte de papier cuisson et les torréfier 10 minutes à 180°C.

    Pendant ce temps, faire fondre le chocolat blanc au bain-marie en remuant régulièrement pour qu'il soit lisse.

    Mixez les noisettes dans un mixeur en plusieurs fois pour ne pas casser votre mixeur.

    Ajoutez le chocolat blanc fondu, mixer de nouveau afin d'obtenir une pâte lisse et crémeuse.

    Conservez dans un petit pot.

    IDEE

    Pour une texture moins liquide, réduisez la quantité de chocolat blanc (150 g ou 100 g selon la texture que vous voulez).

  • 1 Recette de beignet

     250 g de yaourt à la vanille, 300 g de farine s

    ; 1 C A S de levure sèche (8 g)

    Sel pour ajuster le goût; Huile de friture

    Sucre pour enrober les beignets

    Faire tiédir le yaourt au micro-ondes ou à la casserole. Versez la levure et mélangez puis couvrir 10 minutes pour activer la levure.

    Incorporez la farine et du sel et remuer avec un fouet avant de pétrir à la main. Laisserz lever pendant 1 heure.

    Pétrir à nouveau la pâte et formez un boudin. Le diviser en 8 morceaux égaux et les rouler pour obtenir des boules. Couvrir 5 minutes.

    Aplatir légèrement les boudins à l'aide d'un rouleau à pâtisserie et découpez un trou au milieu. Laissez lever sous un torchon pendant 30 minutes.

    Plongez les beignets dans de l'huile de friture chaude. Quand ils deviennent dorés, les déposer sur du papier absorbant pour retirer l'excédent d'huile.

    Les tremper dans du sucre

  • Pain express 4 ingrédients

    Pour 4

    300 g de fromage blanc 0% MG (ou Skyr)

    200 g de farine, 1 sachet de levure, 1 jaune d'œuf

    Mélangez le fromage blanc, la farine et la levure jusqu'à l'obtention d'une pâte légèrement collante.

    Formez 4 boules de taille égale et les déposer sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé.

    Badigeonnez de jaune d'œuf et enfourner 20 minutes à 180°C. Laissez refroidir quelques minutes avant de déguster les pains

    ASTUCE

    N'hésitez pas à saupoudrer vos pains (avant cuisson) de graines de sésame, de graines de courges ou de tournesol pour un résultat encore plus gourmand

  • Suivez le coq

    Quand vous allez chez votre boucher, vous lui demandez de vous fournir le code de l’abattoir où il se fournit, vous rentrez ce code dans votre application SUIVEZ le COQ et vous pourrez lire immédiatement si votre viande est halal ou pas. Téléchargez sur votre smartphone, appelée SUIVEZ le COQ et dont la mise en œuvre est facile.

    Quand vous achetez un produit halal, vous devez savoir que l’animal a été égorgé vivant, alors que dans la méthode traditionnelle (et légale), l’animal est d’abord rendu inconscient, donc il n’est pas stressé. (SAUVEZ le bien-être animal, ce sont des êtres sensibles comme nous).

    1°) Le stress pré-abattage rend la viande dure.

    2°) Avec l’abattage rituel, il y a des risques sanitaires à cause de la bactérie Escherichia COLI présente dans tous les estomacs et cette bactérie est très dangereuse, notamment pour les enfants (maladie du HAMBURGER). Voir le replay de l’émission : Envoyé Spécial de Élise LUCET d’Antenne 2 (La VIANDE dans TOUS ses ÉTATS).

    3°) Vous financez sans le savoir la propagation de l’islam et de la CHARIA en France.

    Pourquoi la viande halal n’est pas étiquetée, afin de savoir si elle est halal ou pas? Grâce à Monsieur Bruno Le MAIRE qui, quand il était ministres de l’Agriculture, a refusé l’étiquetage des viandes.

    L'association participe aux côtés de Monsieur Alain de PERETTI au développement de l’usage de l’application SUIVEZ le COQ pour ainsi débusquer les abattoirs ne respectant pas l’abattage traditionnel.

    Alain Guillon

    Association Detracipa