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  • Sur mon autre blog

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2025/03/28/cette-etudiante-a-cree-un-antivol-6541455.html

  • des mères d’ex-prostituées mineures menacées par la DZ Mafia.

    Aucune demande de relogement n’a abouti

    Jennifer Pailhé, fondatrice de l’association “Nos Ados Oubliés”, alerte sur les menaces que subissent des mères d’ex-prostituées mineures ciblées par la DZ Mafia . Toutes les mamans que l’association suit ont effectué des demandes de relogement. Aucune n’a abouti.

    Parmi les familles que vous accompagnez en région toulousaine, vous affirmez que plusieurs mères d’ex-prostituées mineures sont ouvertement menacées par des groupes criminels. Lesquels?

    En effet, plusieurs d’entre elles sont menacées par la DZ Mafia ou par des individus se réclamant de ce groupe. Elles reçoivent énormément de messages via les réseaux sociaux. De faux comptes les ajoutent sur Snapchat ou Instagram. Cela suppose que ces auteurs connaissent leurs adresses et leur identité. Les agresseurs profèrent des menaces explicites, allant jusqu’à évoquer des violences physiques ou une mise en prostitution. Certains envoient des points GPS pour prouver qu’ils savent où se trouvent leurs filles; d’autres vont jusqu’à envoyer des photos de leurs parties intimes. C’est ignoble.

    Comment assurez-vous la sécurité des mères que vous accompagnez?

    Nous sommes sans solution concrète. Heureusement, les forces de l’ordre de leurs secteurs respectifs sont informées. Certaines mères souhaitent poser des systèmes d’alarme à leur domicile, mais ces dispositifs sont coûteux et aucune aide n’est prévue pour les financer. […]

    La Dépêche

     

    Je connais deux personnes, mère et fille -avec la carte handi à 80%- qui ont attendu 21 ans pour avoir un rez-de-chaussée HLM (on leur donnait des appartements dans les cités "maudites" et en étage, refusés parce que les ascenseurs sont toujours en panne… elles ont dû habiter dans des maisons individuelles aux loyers hyper élevés et ont beaucoup souffert de ces montants qui grévaient leur budget de plus de 70%!

  • Covid-19: comment l’hypothèse d’une fuite de laboratoire

    est passée de “théorie du complot” à “théorie probable”

    Longtemps dénigrée dans les médias, le scénario d'une fuite accidentelle du Covid-19 d'un laboratoire chinois est désormais considéré comme l'hypothèse la plus probable par les services de renseignements.

    Par Thomas Morel – Valeurs Actuelles

    8 février 2021. Un peu plus d’un an après qu’un virus découvert en Chine s’est transformé en une pandémie mondiale, Facebook annonce que tous les messages évoquant l’hypothèse d’une fuite de laboratoire comme origine du COVID-19 seront désormais interdits, et que leurs auteurs s’exposent à un bannissement du réseau social, au nom de la lutte contre les théories du complot. À l’époque — du moins à en croire la pensée unique relayée par nombre de médias autant que par les sources institutionnelles —, l’affaire semble entendue: d’origine naturelle, le covid aurait été transmis à l’homme par un animal (c’est d’ailleurs, encore aujourd’hui, l’hypothèse défendue sur Wikipédia).

    "Aucun scénario basé sur une origine de laboratoire n’est crédible", affirmait Nature Medicine en 2020

    L’idée d’une fuite accidentelle n’était pourtant pas incongrue: Wuhan, ville d’origine du Covid, hébergeait un laboratoire de recherche médicale de pointe sur les coronavirus, développé en collaboration avec la France mais depuis lequel très peu d’informations sortaient. Dès les premiers mois de la pandémie, en revanche, les défenseurs de la théorie d’une transmission animale s’étaient montrés nombreux et bruyants.

    Début février 2020, une lettre ouverte signée de 27 chercheurs publiée dans la revue médicale The Lancet affirme "condamner fermement les théories complotistes suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle". Un mois plus tard, un autre article, publié cette fois dans Nature Medicine, assure qu’"aucun scénario basé sur une origine de laboratoire n’est crédible".

    Début 2021, une équipe de l’OMS dépêchée en Chine arrive à la même conclusion. Et en août de la même année, un rapport du conseil américain du renseignement, remis au président Joe Biden, privilégie une infection d’origine naturelle.

    Quatre ans plus tard, pourtant, l’hypothèse est de moins en moins considérée comme probable. En janvier dernier, la CIA a ainsi revu sa position, privilégiant désormais la possibilité d’une origine de laboratoire, avec un niveau de confiance jugé faible tout de même. Elle n’est pas la seule : le FBI, le département américain de l’Énergie, les services de renseignements allemands sont également parvenus à la même conclusion.

    LES CURIEUSES CONFIDENCES DES CHERCHEURS

    Il faut dire que, entre-temps, les textes visant à défendre la théorie de l’origine naturelle ont montré leurs faiblesses. La lettre ouverte parue dans The Lancet, par exemple, avait été pilotée par Peter Daszak, le président de l’ONG EcoHealth Alliance. Or EcoHealth entretenait des liens étroits avec le laboratoire de recherche virologique de Wuhan et avait, deux ans avant le début de la pandémie, demandé au département américain de la Défense un financement pour… modifier le code génétique de coronavirus.

    L’an dernier, l’ONG a été interdite de tout financement public jusqu’en 2029 par le gouvernement Biden. Le deuxième article, publié dans Nature Medicine, s’est avéré tout aussi fragile: alors que ses cinq auteurs y affirment leur opposition à l’hypothèse de la fuite de laboratoire, leurs conversations privées, obtenues par la commission d’enquête du Sénat américain, font ressortir l’exact contraire:

    "Le principal problème, c’est que la fuite accidentelle est en fait très probable, ce n’est pas une théorie marginale", écrit par exemple l’un d’entre eux; "Je n’arrive pas à imaginer un scénario naturel plausible", écrit un autre; "60-40 que ça vient du laboratoire", ajoute un troisième. Quant au rapport initial des renseignements américains, une longue enquête du Wall Street Journal a montré que les défenseurs de la théorie de la fuite de laboratoire avaient été mis sur la touche au point qu’au moment de la présentation du document au président Biden, aucun d’entre eux ne se trouvait dans la salle.

    LES DIZAINES DE MILLIONS DE DOLLARS EN JEU

    Qu’est-ce qui a pu pousser des scientifiques à masquer ainsi la vérité? Pour certains, il s’agissait d’une inquiétude à propos de l’impact de ces révélations: alimenter les débats autour d’une fuite accidentelle "causerait un préjudice inutile à la science en général et à la science en Chine en particulier", peut-on lire dans un échange entre les auteurs de l’article de Nature Medicine.

    Pour d’autres chercheurs, en revanche, c’était aussi une question d’argent : au moment de la publication de ce même article, l’un des auteurs attendait la validation d’une subvention d’un montant de 8,9 millions de dollars de la part de l’institut américain de la santé. Pour EcoHealth, l’enjeu était encore plus évident : entre 2008 et 2024, les subventions versées par Washington dépassaient les 90 millions de dollars.

    Entendons-nous bien: rien de tout cela ne permet d’affirmer avec certitude que l’une ou l’autre des théories sur l’origine du coronavirus est “la bonne”. Cela nécessiterait l’accès à des données soit cachées, soit carrément détruites par les autorités chinoises. En revanche, la dissimulation d’une hypothèse que, malgré tout, nombreux considéraient comme crédible aura durablement affecté la confiance du public dans les institutions médicales.

    C’est tout le paradoxe: en voulant éviter de décrédibiliser la sciences, les scientifiques ont obtenu l’effet exactement contraire.

     

  • A69 : les juges doivent-ils être responsables devant le peuple?

    Contre toute logique et contre tout bon sens, le Tribunal Administratif de Toulouse a décidé de suspendre la construction de l'autoroute A69 Castres-Toulouse. Le Tribunal va ainsi à l'encontre des 14 recours précédents tous rejetés, et du Conseil d'État qui avait validé la déclaration d'utilité publique. Il va à l'encontre de la volonté de la majorité des élus et des entreprises de cette zone enclavée.

    Mille personnes se retrouvent au chômage, soixante-dix pour cent des ouvrages d'art sont déjà finis (va-t-on les détruire?), trois-cents millions d’euros ont été engagés sur quatre-cent-cinquante, pour rien si le tribunal persistait...

    Ainsi les juges ont littéralement décidé que le prix du péage faisait perdre à l’autoroute son utilité publique ! Qui sont ces juges qui veulent faire la Loi ? Cette triste histoire rappelle d'autres chantiers, déjà interdits par la justice (les toulousains se souviennent sûrement de ce pont qui n'a jamais pu voir le jour à cause de 22 tritons dorés...). Doit-on en conclure que la France est condamnée par les juges à se momifier, ne plus évoluer, et qu'aucune infrastructure n'est désormais plus envisageable? Ce n'est pas notre vision de l'intérêt général.

    Arthur COTTREL déclare: "On savait déjà la Justice judiciaire gangrénée par l’idéologie d’extrême-gauche, voilà maintenant qu’elle s’étend à la Justice administrative. Si les juges veulent prendre le pouvoir et faire la Loi à la place des élus, ne devraient-ils pas eux-mêmes se soumettre d’une façon ou d’une autre à une véritable forme de responsabilité devant le Peuple, en encourant sa sanction?".

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • TRADITION FRANCAISE

    MARDI 4 MARS 2025: MARDI-GRAS

    En 2025, Mardi gras est fixé au mardi 4 mars, une situation moins fréquente car Mardi gras a davantage lieu en février qu'en mars. Les prochaines dates de Mardi gras tombent au choix en février ou en mars, mais, comme le nom de la célébration l'indique, toujours un mardi.

    Pour la petite histoire, Mardi Gras, cette fête aux origines chrétiennes et païennes, désigne en réalité la fin de la "semaine des sept jours gras". Autrement dit la journée qui précède les 40 jours de jeûne du Carême. Le Mardi gras "sous-entendait la prospérité, la fertilité, le retour de la lactation dans les étables et les bergeries, le renouveau de la nature".

    Le Mardi gras est la journée festive qui précède le mercredi des Cendres. C'est donc un jour de fête dont la date est fixée 47 jours avant la Pâques. La date de la fête de Mardi gras est mobile dans le calendrier, bien qu'elle survienne toujours un mardi, comme l'indique son nom. En d'autres termes, sa position dans l'année évolue tous les ans. La date de Pâques évolue elle-même chaque année en fonction de critères astronomiques établis par le "comput ecclésiastique", c'est à dire l'ensemble des opérations permettant de calculer les dates des fêtes religieuses mobiles. Les règles ont été établies au IVe siècle.

    Depuis le concile de Nicée, réuni en 325, "Pâques est célébré le dimanche qui suit le quatorzième jour de la lune qui atteint cet âge au 21 mars ou immédiatement après". En termes plus simples : Pâques a lieu le premier dimanche suivant la pleine lune ayant lieu après le 21 mars, c'est à dire l'équinoxe de Printemps. Il s'agit donc d'une date importante, mais peu de gens savent pourquoi cette fête a pris ce nom plutôt incongru.

    Le Mardi gras ne donne pas lieu à un événement liturgique spécifique, mais consiste plutôt en des réjouissances avant le carême, qui était une période excessivement contraignante pour la population au moyen-âge: privation de fête, de danse, de plaisir et de sexe, au-delà de la nourriture très frugale. Et si cette expression est restée, transformée avec les siècles, c'est qu'elle fait référence à une tradition séculaire: celle consistant à prendre un bon repas avant les privations du Carême, cette période de jeûne et d'abstinence instituée par le christianisme.

    Ainsi, l'expression "faire gras" signifie manger de la viande, par opposition à "faire maigre", soit jeûner. Le Mardi gras donne lieu à des festivités, le carnaval. Le mot carnaval vient du latin "carne levarer" (enlever/ôter la chair), du fait qu'il s'agit un jour où le fidèle peut faire bombance avant de commencer le jeûne qui durera jusqu'à Pâques.

    QUELLE EST LA TRADITION DU MARDI GRAS EN FRANCE?

    Chaque année, des mets sucrés sont distribués dans les écoles, pour satisfaire les papilles des enfants gourmands. Ces derniers étaient d'ailleurs les premiers à mettre la main à la pâte: à l'époque, les enfants se déguisaient pour sonner aux portes, afin de rassembler tous les ingrédients nécessaires à la préparation des crêpes, comme à la Chandeleur.

    Une recette qui a d'ailleurs tout d'un jeu d'enfant : un puits de farine, quelques œufs entiers, du beurre et (un peu) de sucre, le tout doucement incorporé au fouet avec du lait. Les grands-mères bretonnes recommandent d'y ajouter du rhum et de la bière... avec modération!

    Pourquoi se régale-t-on de merveilles, bugnes et autres beignets (mais aussi gaufres, crêpes et churros) à Mardi gras? manger en abondance est traditionnellement d'usage à la veille du jeûne du Carême, mais aussi du retour du printemps, avec un "festin qui comprenait viandes et bouillons gras et se terminait par des pâtisseries simples à faire : des crêpes ou des beignets, des bugnes lyonnaises, des merveilles d'Aquitaine ou des gaufres". Chez moi, à Toulouse, c'étaient les crêpes et les oreillettes.

    Si cette pratique n'est pas la reprise exacte d'une fête romaine, elle semble fortement s'inspirer de fêtes de l'Empire romain.

    Notamment la fête des Saturnales, laquelle se traduisait par un renversement provisoire de l'ordre établi. Concrètement, les esclaves jouissaient temporairement d'une grande liberté et pouvaient ainsi se livrer à des comportements interdits le reste de l'année. Mais aussi les calendes de Mars qui célébraient la venue prochaine du printemps, rite païen par excellence, lequel autorisait le déguisement et la transgression des interdits. On notera que les Bacchanales ou les Lupercales2 ont pu aussi servir de ferment au Carnaval sous sa forme actuelle.

    Le carnaval a donc synthétisé une partie de ces traditions pour se traduire, à partir du 11esiècle3, par un défilé populaire où chacun était libre de se déguiser et de parader dans les rues. Cette fête avait par ailleurs une importance particulière au Moyen-Age où elle donnait lieu à l'élection d'un "pape des fous", signalant ainsi que c'était non seulement l'ordre social qui était inversé, mais aussi l'ordre du monde tout entier. Le chapitre V de Notre-Dame de Paris donne un aperçu particulièrement vivant de cette tradition à l'époque médiévale.

    À Dunkerque, c'est derrière un tambour-major que défilent les festivaliers déguisés. Organisés par groupe, ils avancent au rythme de la musique dans les rues de la ville et font un arrêt devant l’hôtel de ville, où un lancer de harengs fûmés est effectué par le maire et son conseil municipal. Nice!

    Oreillettes à la fleur d'oranger

    500 g de farine, 1 zeste de citron

    1 c. à café de sel; 50 g de sucre, 4 œufs

    50 g de beurre; 2 c. à soupe de fleur d'oranger

    Huile de friture; 250 g de Sucre en poudre

    Mélangez la farine, les zestes de citron, le sel, le sucre (50 g), les œufs et le beurre fondu du bout des doigts. Versez l'eau de fleur d'oranger puis bien malaxer pour obtenir une boule de pâte homogène.

    Laisser reposez la pâte pendant 2 heures avec un torchon propre par-dessus.

    Prendre un peu de pâte qui doit être très souple dans les mains, propres, et l'étirer le plus finement possible et jeter dans un bain d'huile de friture à 170°C;

    Retournez avec l'écumoire afin que l'oreillette dorée de partout, et roulez tout de suite dans le sucre. Les déposer ensuite sur du papier absorbant.

    Conservez dans un plat creux avec un torchon propre sur le dessus,

    A consommer avant: les autres!

    Si vous n'avez aucun enfant, vous pouvez rajouter un peu d'Armagnac dans la pâte sans mettre la fleur d'oranger

     

    Image générée par I.A. par moi

  • Savoir

    Dans le Gers (32), un éleveur se fait voler 180 brebis et agneaux en une nuit.

    Les exploitants agricoles du département s’interrogent: serait-ce l’œuvre d’un réseau organisé?

    Les bêtes ont disparu dans la nuit du 5 au 6 février. Ce n’est pas la première fois qu’Alain Gesta, éleveur ovin dans le Gers, est victime d’un vol de brebis ou d’agneaux. Mais cette fois-ci, le préjudice est inédit. Près de deux cents animaux manquent à l’appel: 117 mères et 63 petits. Et surtout, des agneaux nés il y a moins de deux semaines. Pour Alain Gesta, le coup est rude.

    Alain Gesta et les exploitants agricoles du Gers disent n’avoir jamais vu ça dans le département. Les vols de brebis, il y en a quasiment tous les ans. “Ce sont des vols qui se répètent souvent aux mêmes dates, témoigne Enzo Papa, fraîchement élu à la Chambre d’agriculture. Des vols d’agneaux, “prêts à la consommation“, liés à certaines fêtes.  Mais ce qui a changé cette année, c’est que l’on a des vols d’agneaux qui viennent de naître.“

    Plusieurs vols du même genre ont eu lieu en France en ce début d’année 2025. En Côte-d’Or, un jeune éleveur a ainsi perdu 300 bêtes.

    france3-regions.francetvinfo.fr