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Opinions

  • des mères d’ex-prostituées mineures menacées par la DZ Mafia.

    Aucune demande de relogement n’a abouti

    Jennifer Pailhé, fondatrice de l’association “Nos Ados Oubliés”, alerte sur les menaces que subissent des mères d’ex-prostituées mineures ciblées par la DZ Mafia . Toutes les mamans que l’association suit ont effectué des demandes de relogement. Aucune n’a abouti.

    Parmi les familles que vous accompagnez en région toulousaine, vous affirmez que plusieurs mères d’ex-prostituées mineures sont ouvertement menacées par des groupes criminels. Lesquels?

    En effet, plusieurs d’entre elles sont menacées par la DZ Mafia ou par des individus se réclamant de ce groupe. Elles reçoivent énormément de messages via les réseaux sociaux. De faux comptes les ajoutent sur Snapchat ou Instagram. Cela suppose que ces auteurs connaissent leurs adresses et leur identité. Les agresseurs profèrent des menaces explicites, allant jusqu’à évoquer des violences physiques ou une mise en prostitution. Certains envoient des points GPS pour prouver qu’ils savent où se trouvent leurs filles; d’autres vont jusqu’à envoyer des photos de leurs parties intimes. C’est ignoble.

    Comment assurez-vous la sécurité des mères que vous accompagnez?

    Nous sommes sans solution concrète. Heureusement, les forces de l’ordre de leurs secteurs respectifs sont informées. Certaines mères souhaitent poser des systèmes d’alarme à leur domicile, mais ces dispositifs sont coûteux et aucune aide n’est prévue pour les financer. […]

    La Dépêche

     

    Je connais deux personnes, mère et fille -avec la carte handi à 80%- qui ont attendu 21 ans pour avoir un rez-de-chaussée HLM (on leur donnait des appartements dans les cités "maudites" et en étage, refusés parce que les ascenseurs sont toujours en panne… elles ont dû habiter dans des maisons individuelles aux loyers hyper élevés et ont beaucoup souffert de ces montants qui grévaient leur budget de plus de 70%!

  • Covid-19: comment l’hypothèse d’une fuite de laboratoire

    est passée de “théorie du complot” à “théorie probable”

    Longtemps dénigrée dans les médias, le scénario d'une fuite accidentelle du Covid-19 d'un laboratoire chinois est désormais considéré comme l'hypothèse la plus probable par les services de renseignements.

    Par Thomas Morel – Valeurs Actuelles

    8 février 2021. Un peu plus d’un an après qu’un virus découvert en Chine s’est transformé en une pandémie mondiale, Facebook annonce que tous les messages évoquant l’hypothèse d’une fuite de laboratoire comme origine du COVID-19 seront désormais interdits, et que leurs auteurs s’exposent à un bannissement du réseau social, au nom de la lutte contre les théories du complot. À l’époque — du moins à en croire la pensée unique relayée par nombre de médias autant que par les sources institutionnelles —, l’affaire semble entendue: d’origine naturelle, le covid aurait été transmis à l’homme par un animal (c’est d’ailleurs, encore aujourd’hui, l’hypothèse défendue sur Wikipédia).

    "Aucun scénario basé sur une origine de laboratoire n’est crédible", affirmait Nature Medicine en 2020

    L’idée d’une fuite accidentelle n’était pourtant pas incongrue: Wuhan, ville d’origine du Covid, hébergeait un laboratoire de recherche médicale de pointe sur les coronavirus, développé en collaboration avec la France mais depuis lequel très peu d’informations sortaient. Dès les premiers mois de la pandémie, en revanche, les défenseurs de la théorie d’une transmission animale s’étaient montrés nombreux et bruyants.

    Début février 2020, une lettre ouverte signée de 27 chercheurs publiée dans la revue médicale The Lancet affirme "condamner fermement les théories complotistes suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle". Un mois plus tard, un autre article, publié cette fois dans Nature Medicine, assure qu’"aucun scénario basé sur une origine de laboratoire n’est crédible".

    Début 2021, une équipe de l’OMS dépêchée en Chine arrive à la même conclusion. Et en août de la même année, un rapport du conseil américain du renseignement, remis au président Joe Biden, privilégie une infection d’origine naturelle.

    Quatre ans plus tard, pourtant, l’hypothèse est de moins en moins considérée comme probable. En janvier dernier, la CIA a ainsi revu sa position, privilégiant désormais la possibilité d’une origine de laboratoire, avec un niveau de confiance jugé faible tout de même. Elle n’est pas la seule : le FBI, le département américain de l’Énergie, les services de renseignements allemands sont également parvenus à la même conclusion.

    LES CURIEUSES CONFIDENCES DES CHERCHEURS

    Il faut dire que, entre-temps, les textes visant à défendre la théorie de l’origine naturelle ont montré leurs faiblesses. La lettre ouverte parue dans The Lancet, par exemple, avait été pilotée par Peter Daszak, le président de l’ONG EcoHealth Alliance. Or EcoHealth entretenait des liens étroits avec le laboratoire de recherche virologique de Wuhan et avait, deux ans avant le début de la pandémie, demandé au département américain de la Défense un financement pour… modifier le code génétique de coronavirus.

    L’an dernier, l’ONG a été interdite de tout financement public jusqu’en 2029 par le gouvernement Biden. Le deuxième article, publié dans Nature Medicine, s’est avéré tout aussi fragile: alors que ses cinq auteurs y affirment leur opposition à l’hypothèse de la fuite de laboratoire, leurs conversations privées, obtenues par la commission d’enquête du Sénat américain, font ressortir l’exact contraire:

    "Le principal problème, c’est que la fuite accidentelle est en fait très probable, ce n’est pas une théorie marginale", écrit par exemple l’un d’entre eux; "Je n’arrive pas à imaginer un scénario naturel plausible", écrit un autre; "60-40 que ça vient du laboratoire", ajoute un troisième. Quant au rapport initial des renseignements américains, une longue enquête du Wall Street Journal a montré que les défenseurs de la théorie de la fuite de laboratoire avaient été mis sur la touche au point qu’au moment de la présentation du document au président Biden, aucun d’entre eux ne se trouvait dans la salle.

    LES DIZAINES DE MILLIONS DE DOLLARS EN JEU

    Qu’est-ce qui a pu pousser des scientifiques à masquer ainsi la vérité? Pour certains, il s’agissait d’une inquiétude à propos de l’impact de ces révélations: alimenter les débats autour d’une fuite accidentelle "causerait un préjudice inutile à la science en général et à la science en Chine en particulier", peut-on lire dans un échange entre les auteurs de l’article de Nature Medicine.

    Pour d’autres chercheurs, en revanche, c’était aussi une question d’argent : au moment de la publication de ce même article, l’un des auteurs attendait la validation d’une subvention d’un montant de 8,9 millions de dollars de la part de l’institut américain de la santé. Pour EcoHealth, l’enjeu était encore plus évident : entre 2008 et 2024, les subventions versées par Washington dépassaient les 90 millions de dollars.

    Entendons-nous bien: rien de tout cela ne permet d’affirmer avec certitude que l’une ou l’autre des théories sur l’origine du coronavirus est “la bonne”. Cela nécessiterait l’accès à des données soit cachées, soit carrément détruites par les autorités chinoises. En revanche, la dissimulation d’une hypothèse que, malgré tout, nombreux considéraient comme crédible aura durablement affecté la confiance du public dans les institutions médicales.

    C’est tout le paradoxe: en voulant éviter de décrédibiliser la sciences, les scientifiques ont obtenu l’effet exactement contraire.

     

  • A69 : les juges doivent-ils être responsables devant le peuple?

    Contre toute logique et contre tout bon sens, le Tribunal Administratif de Toulouse a décidé de suspendre la construction de l'autoroute A69 Castres-Toulouse. Le Tribunal va ainsi à l'encontre des 14 recours précédents tous rejetés, et du Conseil d'État qui avait validé la déclaration d'utilité publique. Il va à l'encontre de la volonté de la majorité des élus et des entreprises de cette zone enclavée.

    Mille personnes se retrouvent au chômage, soixante-dix pour cent des ouvrages d'art sont déjà finis (va-t-on les détruire?), trois-cents millions d’euros ont été engagés sur quatre-cent-cinquante, pour rien si le tribunal persistait...

    Ainsi les juges ont littéralement décidé que le prix du péage faisait perdre à l’autoroute son utilité publique ! Qui sont ces juges qui veulent faire la Loi ? Cette triste histoire rappelle d'autres chantiers, déjà interdits par la justice (les toulousains se souviennent sûrement de ce pont qui n'a jamais pu voir le jour à cause de 22 tritons dorés...). Doit-on en conclure que la France est condamnée par les juges à se momifier, ne plus évoluer, et qu'aucune infrastructure n'est désormais plus envisageable? Ce n'est pas notre vision de l'intérêt général.

    Arthur COTTREL déclare: "On savait déjà la Justice judiciaire gangrénée par l’idéologie d’extrême-gauche, voilà maintenant qu’elle s’étend à la Justice administrative. Si les juges veulent prendre le pouvoir et faire la Loi à la place des élus, ne devraient-ils pas eux-mêmes se soumettre d’une façon ou d’une autre à une véritable forme de responsabilité devant le Peuple, en encourant sa sanction?".

    P.S.: Je laisse la responsabilité de ses dires à l'auteur (NDLR)

  • BRAVO!

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    Une députée proteste contre l’interdiction du foie gras à l’Assemblée nationale

    Ce 24 février, la députée du Lot-et-Garonne Hélène Laporte a interpellé par courrier Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, pour protester contre une charte interdisant le foie gras à la cantine de l’Assemblée nationale. En effet, Yaël Braun-Pivet a signé, en janvier 2024, la charte Etica de l’ONG Welfarm. Cette dernière est censée " accompagner les acteurs de la restauration collective afin de les aider à s’assurer que leurs approvisionnements sont orientés vers des produits plus respectueux du bien-être animal ".

    Après Tournefeuille (hélés, hélas, hélas,) et Montpellier en Occitanie, l’Assemblée nationale a décidé d’adhérer à ce texte. Or, ce dernier préconiserait entre autres de "bannir des “produits de qualité et durables” la liste de produits suivants qui ne respectent pas les fondamentaux du bien-être animal : produits issus du gavage des canards et des oies (foie gras, magret, confit)".

    Hélène Laporte, à l’instar d’autres députés de la région, regrette que "des produits qui s’inscrivent pleinement dans LA CULTURE GASTRONOMIQUE DE NOS REGIONS soient exclus des sites de restauration".

     Selon elle, les motifs invoqués par l’association seraient " erronés, comme l’ont démontré à de nombreuses reprises les représentants de nos filières d’excellence ". Pourtant, de son côté, la présidence de l’Assemblée nationale a nié toute proscription du foie gras dans les cantines de l’institution, affirmant que des centaines de kilos de ce produit avaient été préparés au cours de l’année dernière.

  • Suivez le coq

    Quand vous allez chez votre boucher, vous lui demandez de vous fournir le code de l’abattoir où il se fournit, vous rentrez ce code dans votre application SUIVEZ le COQ et vous pourrez lire immédiatement si votre viande est halal ou pas. Téléchargez sur votre smartphone, appelée SUIVEZ le COQ et dont la mise en œuvre est facile.

    Quand vous achetez un produit halal, vous devez savoir que l’animal a été égorgé vivant, alors que dans la méthode traditionnelle (et légale), l’animal est d’abord rendu inconscient, donc il n’est pas stressé. (SAUVEZ le bien-être animal, ce sont des êtres sensibles comme nous).

    1°) Le stress pré-abattage rend la viande dure.

    2°) Avec l’abattage rituel, il y a des risques sanitaires à cause de la bactérie Escherichia COLI présente dans tous les estomacs et cette bactérie est très dangereuse, notamment pour les enfants (maladie du HAMBURGER). Voir le replay de l’émission : Envoyé Spécial de Élise LUCET d’Antenne 2 (La VIANDE dans TOUS ses ÉTATS).

    3°) Vous financez sans le savoir la propagation de l’islam et de la CHARIA en France.

    Pourquoi la viande halal n’est pas étiquetée, afin de savoir si elle est halal ou pas? Grâce à Monsieur Bruno Le MAIRE qui, quand il était ministres de l’Agriculture, a refusé l’étiquetage des viandes.

    L'association participe aux côtés de Monsieur Alain de PERETTI au développement de l’usage de l’application SUIVEZ le COQ pour ainsi débusquer les abattoirs ne respectant pas l’abattage traditionnel.

    Alain Guillon

    Association Detracipa

  • Noël est notre histoire

    Noël est notre histoire, Noël est un espoir,

    Et du Ciel à la Terre, il est plaisant de voir

    Cette étrange lumière descendant sur nos âmes

    Qui, dans notre foyer, brûle d’une tendre flamme.

     

    Noël nous appartient, que l’on y croie ou non,

    Nous devons en garder l’authentique tradition,

    Comme d’autres encore qui, toutes, définissent

    La Nation véridique, de nos vies fondatrice.

     

    Noël raconte ainsi les soirées d’autrefois,

    Faisant taire le présent et son rythme sans foi,

    Du sapin à la table, nous réparons le temps,

    Pourvu que ce miracle dure plus qu’un instant.

     

    Noël pour les familles et les cœurs en hiver

    C’est un cadeau sacré, une bonne prière,

    Une force soudaine réveillant le courage

    D’affirmer nos valeurs contre les noirs présages.

     

    Noël ne peut mourir ou alors nous mourrons,

    Parce qu’en le tuant nous tous, nous nous tuerons.

    Alors joyeux Noël, joueuse Nativité,

    Que vous croyez ou pas, vous êtes tous invités…

    Charles Demassieux

     

  • Prix du cacao

    Les Français vont-ils devoir réduire leur consommation de chocolat?

    Entre janvier et octobre 2024, le prix du cacao a augmenté de 127%. Du jamais vu dans l’histoire du chocolat, qui porte bien son nom d’"or brun". A l’approche de Noël, les gourmands devront-ils freiner leurs achats?

    Par Bertille Vaur

    "Il semblerait que 90% des personnes aiment le chocolat, et que les 10% restants seraient des menteurs", s’exclame une moniale de l’abbaye de Bonneval au sein de laquelle du chocolat est fabriqué depuis 1878. Pourtant, les consommateurs de chocolat vont bientôt devoir choisir entre leur portefeuille et leur aliment favori.

    Depuis octobre 2023, le prix de la fève de cacao a augmenté de 143%. En quelques mois, la valeur de cette fève est passée de 2 500 euros la tonne, à plus de 12 000 euros. Une hausse considérable qui devrait bientôt se répercuter dans les grandes surfaces. Cette échéance s’explique par le délai entre la récolte, la transformation post-récolte (fermentation et séchage), l’exportation, la mise en stock, la transformation, la fabrication du chocolat puis la mise en rayon.

    Cultivé majoritairement en Afrique de l’Ouest, le cacao est consommé, en grande partie, en Europe et aux États-Unis. En 2023, les Français, qui en sont particulièrement friands, ont consommé 12,5kg de chocolat en moyenne par foyer. Mais, depuis 2013, un nouveau marché est apparu en Chine entraînant une hausse des prix pour répondre à la demande.

    Dereglement climatique, speculation: les raisons de la hausse du cacao

    Le dérèglement climatique explique cette envolée du coût de la fève de cacao. Alors que la Côte d’Ivoire et le Ghana se partagent plus de 60% du marché de matières premières, ces deux pays ont été victimes de conditions météorologiques très mauvaises qui ont eu un impact important sur la production de cacao. En juillet 2023, des pluies torrentielles se sont abattues sur la Côte d’Ivoire provoquant la chute des fleurs à peine formées et la diffusion de pourriture brune des cabosses du cacaoyer, une maladie causée par un champignon nocif. La longue période de sécheresse qui a suivi a aussi affecté le cacaoyer qui a besoin d’eau pour son développement et celui de ses fruits.

    La deuxième raison qui explique cette hausse des prix est la mauvaise anticipation des demandes. Le prix d’achat assez bas du cacao ces dernières années a incité de nombreux agriculteurs à diversifier leurs cultures. Ils ont réduit leur production de cacao pour se tourner vers les plantations de bananiers et la récolte d’huile de palme. En 2024, l’écart entre l’offre et la demande devrait atteindre un volume de 423 000 tonnes de cacao. Depuis quatre ans, la demande mondiale de chocolat dépasse l’offre. Les stocks mondiaux baissent significativement ce qui crée un déséquilibre sur le marché et beaucoup de spéculation.

    Diversifier les chocolats: une option choisie par les moniales de Bonneval

    Avant les consommateurs, la hausse des prix de la fève de cacao affecte d’abord les chocolatiers, qui craignent aussi une possible taxe sur les sucres. Au fond d’une vallée de l’Aveyron, au sein de l’une des plus anciennes chocolateries de France, les vingt-quatre moniales de l’abbaye de Bonneval, ont choisi de réorienter leur production sur certains chocolats pralinés pour faire face à cette hausse des prix. La chocolaterie est leur principal gagne-pain".

    ASTUCE: remplacez le chocolat par de la caroube, que l'on trouve dans les boutiques de diététiques –sous forme de poudre- produit qui a un fort goût de chocolat, est beaucoup moins cher et, qui plus est, est moins calorique!