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toulousain - Page 24

  • Les vraies vertus de l’huile d’olive

    Christophe Lavelle

    Chercheur en biophysique moléculaire, épigénétique et alimentation, CNRS UMR 7196, Inserm U1154, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)

    The Conversation - CC BY ND

    Vantée depuis l’Antiquité pour ses vertus médicinales, ingrédient star du régime méditerranéen, l’huile d’olive s’invite régulièrement dans la rubrique santé des médias grand public.

    Cependant, si un certain consensus semble régner quant à ses bienfaits, l’huile d’olive est loin d’avoir révélé tous ses secrets. Ce qui explique qu’elle a aussi élu domicile dans les colonnes des journaux scientifiques les plus pointus. En effet, aujourd’hui encore, les chercheurs bataillent pour décortiquer, à l’échelle moléculaire, les mécanismes d’action qui permettraient de valider ses vertus.

     

    En ce début d’été, faisons le point sur ce que sait la science des qualités de l’huile d’olive vierge extra.

    Une masse grasse importante

    Contrairement aux huiles raffinées, dont l’extraction fait appel à des solvants, l’huile d’olive vierge extra est obtenue à partir d’olives fraîches, en ayant uniquement recours à des procédés mécaniques : pressage, décantation, filtration… En ce sens, c’est un pur jus de fruits. Que contient-elle exactement ?

    En tout premier lieu, on y trouve des triglycérides. Constitués d’une molécule de glycérol associée à trois molécules d’acides gras, ces constituants sont une composante majeure de toutes les matières grasses alimentaires, huiles comme graisses. Il s’agit d’une réserve d’énergie très importante pour l’organisme. Dans l’huile d’olive, les triglycérides sont accompagnés de quelques diglycérides, monoglycérides, acides gras libres et phospholipides (constituants importants des parois des cellules animales et végétales).

    L’huile d’olive vierge extra est extraite uniquement par des moyens mécaniques (ici à Mola di Bari, dans les Pouilles, en Italie). Shutterstock

    L’huile d’olive vierge extra est notamment riche en acides gras monoinsaturés (l’acide oléique en tête, représentant entre 55 et 80% des acides gras totaux) et, dans une moindre mesure, en acides gras polyinsaturés (acide linoléique principalement) et acides gras saturés (acide palmitique, acide stéarique…).

    Cette masse grasse est très largement majoritaire dans l’huile d’olive. Celle-ci contient cependant également d’autres molécules qui, bien que présentes en proportion réduite, n’en ont pas moins un effet majeur sur ses propriétés.

    Goût, couleur, stabilité, vertus: de nombreux responsables

    Parmi les composés minoritaires mais essentiels aux qualités de l’huile d’olive vierge extra figurent notamment des phénols simples et leurs dérivés polyphénoliques (des assemblages de phénols) aux noms et aux structures chimiques compliqués, comme l’oleuropéine, le ligstroside, ou le 3,4-DHPEA-EA, ainsi que de nombreux autres composés aux désignations tout aussi exotiques) : pinorésinol, acide férulique, acide syringique, lutéoline… L’huile d’olive contient également des stérols, des triterpènes, des pigments tels que carotènes et chlorophylles, des tocophérols (vitamine E), et divers composés aromatiques dont les propriétés restent à décrypter.

    Plusieurs facteurs influent sur la teneur de ces molécules dans l’huile d’olive vierge extra : variété des oliviers, nature du sol, type de climat, année de production, mode de culture, maturité à la récolte, conditions de stockage, etc.

    Pris ensemble, ces composés ne représentent qu’1 à 2% de la masse totale de l’huile d’olive, mais celle-ci leur doit beaucoup. D’eux dépendent en effet son goût (amertume), son arôme (fruité vert, mûr, noir), les sensations trigéminales (véhiculées par le nerf trijumeau) qu’elle provoque (astringence, ardence), sa couleur, et sa stabilité face à l’oxydation… En outre, ces molécules sont aussi responsables de ses vertus en termes de santé

    On comprend pourquoi les constituants de l’huile d’olive suscitent un grand intérêt, et font l’objet de diverses études ambitionnant de décrypter les mécanismes à l’origine de leur potentiel préventif vis-à-vis de diverses maladies chroniques. Ce dernier ne fait en effet plus de doute : il a été mis en évidence par de multiples travaux.

    Des effets bénéfiques sur la santé validés scientifiquement

    De nombreuses études épidémiologiques concordent quant aux effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire d’une consommation régulière d’huile d’olive vierge extra, avec une réduction mesurable du risque de mortalité. Cet effet est d’autant plus marqué que l’huile est de bonne qualité.

    Des conséquences bénéfiques en termes de cholestérol sont également souvent rapportés, ainsi que des effets anti-inflammatoires. Ce n’est pas surprenant, puis que stérols et triterpènes sont connus pour être impliqués dans la bonne gestion du cholestérol sanguin, tandis que carotènes et tocophérols sont des antioxydants réputés.

     

    Les polyphénols présents dans l’huile d’olive vierge extra protègent aussi les lipides sanguins contre le stress oxydatif. Celui-ci résulte d’une agression des composants cellulaires de l’organisme par des " espèces réactives de l’oxygène ", les fameux " radicaux libres ". De nombreux tests in vitro, ainsi que des essais cliniques, ont montré que l’huile d’olive piège les radicaux libres. Cette propriété a amené l’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) à reconnaître la validité de l’allégation santé " les polyphénols de l’huile d’olive contribuent à la protection des lipides sanguins du stress oxydatif ".

    Néanmoins, contrairement aux déclarations un peu trop enthousiastes des adeptes de superlatifs, l’huile d’olive vierge extra n’est pas un élixir de jouvence ou un remède miracle contre le cancer. Ses effets protecteurs contre le vieillissement ou le cancer doivent encore être clairement établis. En attendant, on aura néanmoins tout intérêt à intégrer cette huile dans une alimentation variée.

    Mais pour bénéficier au mieux des bienfaits de l’huile d’olive vierge extra, encore faut-il savoir comment bien la choisir, la conserver et l’utiliser!

    Comment bien choisir, conserver et utiliser l’huile d’olive vierge ?

    Une fois que vous aurez trouvé l’huile d’olive vierge extra qui correspond à votre nez et à votre palais, assurez-vous de bénéficier de la dernière récolte. Et surtout, conservez soigneusement votre huile au frais et à l’abri de la lumière. De cette façon, elle n’en sera que plus riche en composés bénéfiques. La placer sur le plan de travail, à côté des plaques de cuisson, comme on le voit trop souvent est la pire des idées!

    Vous voici armé pour agrémenter vos plats de cet or liquide ; et ce ne sont pas les opportunités qui manquent! On pense bien sûr immédiatement à l’assaisonnement des crudités ou des cuidités, cependant l’huile d’olive vierge se prête aussi très bien à de nombreux modes de cuisson, grâce à son point de fumée élevé (température à partir de laquelle on détecte de la fumée lorsque l’on chauffe une matière grasse, soit 210 °C pour l’huile d’olive).

    Il a ainsi été démontré que lors de la cuisson de tomates dans l’huile d’olive vierge extra, cette dernière se chargeait en caroténoïdes contenus dans le légume-fruit. Encore mieux : in fine la biodisponibilité des caroténoïdes, c’est-à-dire leur capacité à être utilisée par l’organisme, est augmentée, ce qui améliore le pouvoir antioxydant de la préparation.

    Par ailleurs, l’huile d’olive vierge extra fournit des antioxydants non seulement lors de sa consommation directe, mais aussi lorsqu’elle est utilisée en cuisson. Lors d’une friture, une partie de ses antioxydants " migrent " en effet dans les aliments! On aurait donc tort de se priver de l’utiliser (même s’il est préférable de ne pas dépasser 190 °C pour les huiles vierges extra).

    Une question pourrait laisser perplexe le marmiton en herbe : quelle huile d’olive vierge extra choisir, pour quel plat ? La réponse est simple : celle que votre palais vous commandera! En effet, s’il existe des applications pour assister les choix, celles-ci relèvent plus du marketing que de la science exacte. Comme toujours en matière de cuisine, c’est votre palais qui restera le plus sûr des juges!

    Passons en cuisine

    Pour conclure ce bref voyage au pays de l’huile d’olive, voici quelques conseils de préparation originaux extraits de l’ouvrage Extra vierge. L’Huile d’olive, Histoire d’Hommes & Recettes de Grands Chefs, publié aux éditions Dunod.

    Extra vierge. L’Huile d’olive, Histoire d’Hommes & Recettes de Grands Chefs. Author provided

     " […] Bien que l’huile d’olive soit le plus souvent pensée comme assaisonnement ou auxiliaire de cuisson, il peut être intéressant de chercher à la valoriser dans des préparations un peu plus élaborées, dans lesquelles elle pourra éventuellement constituer l’élément mis en avant, passant ainsi d’une cuisine “ à ” l’huile d’olive à une cuisine “ de ” l’huile d’olive. Les sources d’inspiration ne manquent pas, qu’elles viennent de recettes dans lesquelles on substitue simplement le corps gras traditionnellement employé par de l’huile d’olive, ou que l’on aille chercher du côté de la cuisine moléculaire et de sa quête de nouvelles textures en cuisine.

    Concernant le type d’huile, on préférera généralement les huiles de début de saison, plus vertes, pour les assaisonnements, et celles de fin de saison, plus douces et sans amertume, pour les cuissons. Ces usages restant cependant subjectifs, nous nous garderons bien ici de toute directive systématique et donnons seulement quelques pistes “ générales ” d’utilisation de l’huile d’olive en cuisine ; laissons à la charge du cuisinier le choix, selon le cas, de l’huile qui lui convient, et, surtout, l’expérimentation au gré de sa fantaisie!

    L’huile en poudre, c’est possible : pour un sable craquant et glacé, verser l’huile dans de l’azote liquide, attendre quelques secondes puis passer le tout à travers un chinois et servir sans attendre. Pour un sable plus fondant et tempéré, fouetter l’huile avec un peu de maltodextrine, tamiser et servir.

    Pour de l’huile crémeuse, monter tout simplement, à la façon d’une mayonnaise, une émulsion avec un jaune ou un blanc d’œuf. Pour une crème légèrement gélifiée, on pourra aussi monter l’émulsion avec de la gélatine dissoute dans un peu d’eau.

    Et pour une huile mousseuse ? Ce ne sont pas les solutions qui manquent. Pour une écume, faire chauffer un mélange d’huile et de liquide aqueux (bouillon, jus de fruit ou légume), ajouter de la lécithine de soja (environ 1%), faire mousser à l’aide d’un mixeur plongeant, récupérer l’écume en surface et servir sans attendre. Pour une mousse plus dense, procéder comme pour une chantilly : fouetter à froid (ou siphonner) de la crème liquide entière additionnée d’huile. Pour une mousse dense et chaude, mélanger 2/5 de blanc d’œuf à 2/5 de crème et 1/5 d’huile d’olive, verser dans un siphon, charger une cartouche, secouer, placer au bain-marie à 65-70 °C pendant au moins 30 minutes et servir.

    Enfin, en dessert, outre la fameuse pompe à huile provençale, le pâtissier ne manquera pas de tester ses recettes favorites (gâteaux, glaces, soufflés, nougats, etc.) avec de l’huile d’olive comme matière grasse principale".

    PERSO: je rajoute toujours dans mon huile d'olive de cuisson (donc, pas huile gastronomique) des branches de thym en fleurs ou de romarin en fleurs.

    Si vous voulez vous fabriquer une huile piquante, rajoutez dans la bouteille des petits piments oiseaux ou autres piments d'Espelette.

    Mettre dans une poêle noire en tôle vos épices, faites chauffer une à deux minutes à sec, rajoutez de l'huile d'olives et faites chauffer à feu doux trois minutes, laissez macérer.

    Pour récupérer l'huile de la poêle, il est nécessaire d'utiliser une passoire à confiture en inox pour mettre dans un pot de verre; vous reversez ensuite dans une bouteille de verre avec un en inox.

    Toujours utiliser des instruments en inox et pas en vieux plastique qui laisse passer du chimique si le liquide est chaud.

     

  • Fabriquez vous-même des eaux aromatisées

    Pour réaliser une eau aromatisée, il faut une grande carafe et un réfrigérateur, ainsi qu’un temps de pause de minimum 3 à 4 h pour que les arômes se diffusent. Pour ce type de recettes, il est -bien sûr- préférable de se tourner vers des produits bio, ainsi, vous pourrez utiliser les zestes sans souci de pesticide…

    N'oubliez pas: bio ou pas, tous les fruits et légumes doivent TOUJOURS être lavés avant utilisation… oui, même les bio

    Lavez les fruits ou les légumes, les couper en lamelles ou en morceaux, puis les introduire dans la carafe pour les laisser se diffuser dans l’eau.

    Voici quelques idées de mélanges:

    • Citron vert & menthe (2 citrons verts, 20 feuilles de menthe)
    • Pêche & basilic (3 pêches et une quinzaine de feuilles)
    • Orange & myrtilles (1 orange et 200 g de myrtille)
    • Concombre & gingembre (1/2 concombre et 1,5 cm de gingembre frais)
    • Pamplemousse & romarin (1 pamplemousse et un bouquet de romarin)
    • Ananas & sauge (1 ananas et un bouquet)
    • Fraises & framboises (250 g de fraises et 250 g de framboises)
    • Pastèque & mûres (1/4 de pastèque et 200 g de mûres)

    Trop assoiffé-e?

    Vite: de l'eau pétillante et le jus d'un demi-citron. Pour les enfants, vous pouvez rajouter un peu de sucre mais, bon, le sucre n'est pas bon pour la santé: n'habituez pas votre nourrisson au goût sucré, notamment s'il y a des diabétiques dans la famille de 2e ou 3e génération ancestrale

  • Crème glacée maison à la vanille.

    Durée: 3h30

    Ingrédients:

    500 ml de crème épaisse

    500 ml de crème liquide

    200 g  de sucre (selon le goût ou le besoin: attention: la vanille donne un goût sucré, donc, il se pourrait que vous en mettiez moins pour le même goût sucré en bouche)

    10 ml (une bonne cuillère à caféà) d’extrait liqui de de vraie vanille

    Tout d'abord, préparez le contenant (moule)

    Mettez au congélateur un bol (ou un moule) acier inoxydable, vide et peu profond, 6 à 7 cm,, de 133 x 23 cm. Évitez le verre ou les matériaux peu résistants pour ce faire.

    Dans un grand bol, mixez tous les ingrédients jusqu’à ce que le sucre soit bien incorporé.

    Conseil maison: pour obtenir une texture plus onctueuse, assurez-vous que le sucre est totalement dissous avant de mettre le mélange au congélateur.

    Versez la mixture dans le récipient refroidi et déposez-le au congélateur de 20 à 30 min. Lorsque les rebords commencent à geler, ressortez la préparation et mixez avec un mélangeur à main. Le fractionnement de la crème glacée accentue son côté moelleux et crémeux. Prenez bien votre temps.

    Replacez le moule au congélateur. Ressortez la crème glacée toutes les 30 min, à quatre ou cinq reprises, et battez-la encore, jusqu’à ce qu’elle soit totalement prise. Si elle devient trop dure, faites-la ramollir au frigo pour la mélanger à nouveau avant de la recongeler. Elle deviendra ainsi plus onctueuse et homogène.

    Conservez la crème glacée dans un contenant à congélation couvert jusqu’au moment de la servir.

    Maintenant que vous maîtrisez la technique, essayez ces idées maison exceptionnelles qui surpassent tout ce qui se trouve dans le commerce:

    Incorporez des morceaux de votre barre de confiserie préférée.

    Garnissez de caramel fondu, de chocolat noir ou de caramel au beurre.

    Étalez de la crème glacée entre deux biscuits pour obtenir un dessert fabuleux.

    Mélangez les saveurs les plus inattendues comme sirop d’érable et figues.

     

  • Salade pomme de terre cansalade

    200 g de roquette ou pissenlit; 200 g de cansalade salée en tranches épaisses

    1 oignon rouge; 1 kg de pommes de terre (c'est mieux si elles sont “primeur“; vous n'avez pas besoin de les peler, roulez-les dans un torchon propre et frottez la peau.

    1 poivron rouge

    Épluchez et coupez les pommes de terre en morceaux de la taille d’une grosse noix.

    Mettez-les dans une casserole, ajoutez de l’eau froide puis une fois porté à ébullition couvrez, laissez cuire 10 à 15 minutes et réservez.

    Émincez l’oignon et le poivron rouge pelé à l'économe

    Prenez les tranches de cansalade plate et faites-les griller dans une poêle bien chaude non huilée puis réservez.

    Dans un grand saladier en verre, mettez la roquette et les pommes de terre et mélangez.

    Ajoutez l’oignon plus le poivron et la cansalade grillée, mélangez à nouveau puis saupoudrez de'herbes aromatique et servez avec une bonne vinaigrette au vinaigre maison et huile de noix ou noisettes.

    Idée: vous pouvez ajouter une brunoise de chorizo, revenue dans la poêle à sec.

    PLUS

    Si vous utilisez des pommes de terre du jardin, n'oubliez pas de les laver à plusieurs eaux et de rajouter un trait de vinaigre dans la dernière eau pour éliminer les petites bestioles.

  • DANGER POUR NOS LIBERTES FONDAMENTALES!

    La Gestapo, le retour: Macron invente le rétro-tracing des cas Covid 

    Entre guillemets les mots exacts utilisés par le politique…

    Dorénavant dès qu’un "cas" Covid sera identifié, la chasse sera organisée pour trouver, identifier… tous ceux que le quidam aura rencontrés, côtoyés, frôlés… au cours des 10 jours précédents… et pour chacun des heureux gagnants, idem… une nouvelle chasse sera ouverte.  pour  "débusquer" (mot exact) les éventuels porteurs de Covid… . La Sécu va envoyer ses enquêteurs chez vous, chez vos contacts, les contacts de contacts pour vous faire parler avec des questions "plus intrusives"…  pour "délier les langues".

    Et ils vont utiliser tous les moyens pour vous faire parler. Tous!  Mieux vaut en rire qu’en pleurer avec Jugnot et Bourvil.

    Source:

     

     

  • Croque-monsieur au foie gras et magret de canard

    Mes recettes de croque-monsieur sont réalisée avec du vrai pain… laissez tomber le pain de mie qui est un pain sans goût ni saveur. Laissez leur pain aux angliches et achetez du bon pain français traditionnel!

    Pour 4

    400 g de roquette ou autre salade amère; 8 tranches pain complet ou aux graines

    150 g de foie gras de canard mi-cuit, acheté en verrine de verre, bien sûr

    90 g de magret de canard fumé

    25 g de graisse de canard

    Mettez le four en position grill et allumez-le.

    Découpez le foie gras en tranches épaisses et le magret de canard en tranches fines.

    Coupez des tranches de pain d'un cm minimum d'épaisseur

    Huilez la plaque du four. Badigeonnez une face de toutes les tranches de pain d’une fine couche de graisse de canard.

    Déposez des tranches de foie gras sur la moitié des tranches de pain. Disposez dessus les tranches de magret de canard en diagonale. Recouvrez les croque-monsieur avec les autres tranches de pain en gardant la partie recouverte de graisse de canard à l’extérieur.

    Déposez les croque-monsieur sur la plaque du four et faites-les dorer pendant 2 minutes sous le grill très chaud, évidemment.

    Poursuivez avec le dressage des assiettes. Pour cela, déposez 100 g de roquette dans chaque assiette, relevé d'une vinaigrette aux agrumes ou à l'huile de noix avant d’y ajouter les croque-monsieur au foie gras et magret de canard.

     

  • Des aliments à consommer pour perdre du poids -4

    Les choux de Bruxelles: un aliment brûleur de graisses pour maigrir

    Teneur en vitamine C: 75 mg

    Portion: 130 grammes  de choux de Bruxelles cru

    Le chou de Bruxelles offre seulement 43 calories pour 100 grammes. Il se démarque par sa teneur très élevée en vitamine C et K. Le chou de Bruxelles a aussi une action détoxifiante, reminéralisante, revitalisante, antibiotique et circulatoire; ce qui fait de ce légume un excellent brûle-graisses et un stimulant pour le métabolisme pouvant aider à la perdre de poids.

    Faites cuire les choux de Bruxelles 30 mn à l'eau bouillant salée ou un quart d'heure en cocotte minutes, les passer et finir la cuisson à la poêle en toile noire bien huilée, sautez-les 10 mn feu vif en secouant la poêle, salez, poivrez.

    Aliments brûle-graisses efficaces: le kiwi

    Voir aussi la catégorie “récup'

    Teneur en vitamine C: 72 mg

    Portion: 1 fruit

    Riche en fibres, magnésium, potassium, vitamine C et K, le kiwi possède plus de 80% d’eau. Fortement recommandé pour les régimes minceur, il apporte une sensation de satiété et favorise ainsi la perte de poids.

    Il renferme également de nombreux composés phénoliques, dont les acides phénoliques, les procyanidines et les flavonols (quercétine, kaempferol). Ces composés, présents dans les végétaux, possèdent aussi des propriétés antioxydantes.

    Un gros kiwi contient 55 calories et vous apporte 80% de vos besoins journaliers en vitamine C, ce qui en fait une collation parfaite. De plus, il ne contient pas beaucoup de sodium et demeure un puissant diurétique, ce qui permet de perdre de l’eau accumulée, très utile chez les femmes enceintes.