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toulousain - Page 20

  • Salade de pois chiche à la mode de chez nous

    Pour 6 personnes

    200 g de pois chiche secs (sinon 300 g de pois chiche déjà cuits, en conserve de verre; bien rincer sous l'eau courante,  1 pincée de bicarbonate

    100 g de semoule à gros grains; 1 gousse d'ail

    3 g de gel de piment d'espelette; 10 g de graines de cumin

    Sel, poivre, 10 cl d'huile d'olive

    5 cl de vinaigre maison; 6 cuillère à soupe de grains de grenade

    1/2 bouquet de persil frais;

    La veille: Mettre les pois chiches dans un plat et verser de l'eau froide jusqu'à les couvrir sur une hauteur de 7,5 à 10 cm. Ajouter le bicarbonate de soude et remuer pour le faire dissoudre. Vous pouvez rajouter du thym sec

    Faites tremper les pois chiches pendant toute une nuit (8 heures au moins). Pendant le trempage, couvrir le récipient avec un torchon propre ou avec un couvercle. (Vous pouvez garder les pois chiches à la température ambiante et donc il n'est pas nécessaire de les mettre au réfrigérateur.)

    Égouttez les pois chiches et les rincer à l'eau courante pendant 30 à 60 secondes. Placez les pois chiches dans une casserole et verser suffisamment d'eau pour les couvrir. Laissez cuire pendant une heure environ. Réservez. Dans la cocotte minute, cuire 40 mn après la rotation de la soupape mais dans peu d'eau.

    Cuire la semoule selon les recommandations inscrites sur le sachet. Réservez.

    Épluchez et hacher l'ail. Dans un bol, mélangez l'ail haché, le piment, les graines de cumin, le sel, le poivre, l'huile d'olive et le vinaigre.

    Ajoutez les pois chiches égouttés. Laissez ensuite mariner à température ambiante pendant une heure et/ou raffraichir une heure au réfrigérateur (selon la saison)

    Pour plat complet, ajoutez un œuf dur par personne.

     

  • Chocolatine: on a gagné, vu le nombre

    C'est ce que je pense après avoir lu ceci (je remarque que les voisins de Perpignan nous snobent notre choco!).

    Le 17 mai dernier, dix députés des Républicains ont déposé l’amendement n°2064 à la loi “équilibre dans le secteur agricole et alimentaire”, pour “valoriser l’usage courant” du mot chocolatine, dans le code rural et de la pêche maritime. Nous vous proposons de (re)découvrir cette carte de France de l'utilisation de ces mots controversés.

    Vous, vous savez. Vous savez comment on doit appeler cette viennoiserie. Mais pourquoi choisissez-vous tel ou tel mot ?

    A l’occasion de la parution de mon Atlas du français de nos régions, réalisé à partir des travaux publiés sur mon blog, je me suis penché sur le problème.

    C’est une question qui a fait pas mal de bruit sur le web depuis les fameuses sorties de Jean‑François Copé. Outre le tollé politique qu’ont soulevé ces paroles, elles ont été à l’origine de nombreuses querelles linguistiques, relatives à la dénomination de cette délicieuse viennoiserie dans laquelle le boulanger glisse une barre de chocolat.

    Depuis, la question fait régulièrement le buzz sur les médias sociaux: des lycéens de Montauban adressent même en janvier 2017 une lettre au Président de la République pour que chocolatine entre dans le dictionnaire.

    En février 2017 la photo d’une chocolatine au Japon est partagée des milliers de fois sur les réseaux sociaux… Sur Facebook, il existe même un Comité de défense de la chocolatine.

    Toutefois, le débat binaire qui oppose le pain au chocolat à la chocolatine ne rend pas tout à fait justice à la diversité des dénominations dont les francophones se servent pour désigner cette viennoiserie, et de ce qui se passe en dehors de la France.

    Les linguistes enquêtent

    Depuis près de deux ans, une équipe de linguistes cherche à cartographier l’aire d’extension de certains régionalismes du français, c’est-à-dire de phénomènes linguistiques qui ne sont employés ou connus que sur une certaine partie du territoire.

    Pour ce faire, ils ont mis en place différents sondages dans lesquels ils demandaient à des internautes de cocher dans une liste le ou les mots qui s’applique(nt) le mieux dans leur usage pour dénommer un certain objet ou une certaine action.

    L’une des questions de ces enquêtes portait sur la dénomination du pain au chocolat et ses variantes régionales. Les internautes avaient le choix entre 6 réponses: chocolatine, pain au chocolat, couque au chocolat (une couque désignant en Belgique une viennoiserie), croissant au chocolat (un calque de l’allemand Schokoladencroissant ou de l’anglais chocolate croissant, c’est selon), petit pain et petit pain au chocolat.

    Plus de 10 000 participants francophones ayant indiqué avoir passé la plus grande partie de leur jeunesse en France, en Belgique et en Suisse ont répondu à l’enquête. Outre-Atlantique, les linguistes ont reçu plus de 6 000 réponses de francophones ayant signalé avoir passé leur jeunesse dans l’est du Canada.

    Les linguistes ont calculé pour chaque aire géographique le pourcentage d’utilisation de chacune des six variantes proposées.

    Pour l’Europe, la carte obtenue permet de confirmer ce que l’on savait déjà quant à l’aire de chocolatine en France, mais également de préciser l’aire d’extension de la variante petit pain (au chocolat), en circulation dans le nord et sur la frange est.

     

    La carte permet également de rendre compte des régions où on est susceptible d’entendre des variantes moins médiatisées, comme croissant au chocolat ou couque au chocolat.

    Distribution en Belgique, en France et en Suisse des différentes dénominations de la viennoiserie au chocolat.

    Quant à la carte générée à partir des réponses des participants ayant passé la plus grande partie de leur jeunesse dans l’est du Canada, elle fait état d’une opposition binaire entre deux variantes: chocolatine, qui s’impose de façon écrasante dans toute la province du Québec, et croissant au chocolat dans les provinces environnantes, où l’anglais est la première langue parlée. De quoi faire plaisir aux Gascons!

    Bien entendu, chacune de ces variantes est possiblement connue hors de la région où elle est signalée sur les cartes. Ainsi, si vous demandez un pain au chocolat à Bruxelles ou en Alsace, on vous comprendra sans doute.

    La médiatisation du mot chocolatine a également contribué à ce que le mot soit aujourd’hui connut bien au-delà de sa région d’origine. Maintenant si vous demandez une couque au chocolat à Genève ou à Bordeaux, il y a de fortes chances qu’on vous regarde comme une bête curieuse…

    Il est également probable, à l’inverse, que vous soyez originaire d’une région et que vous ne connaissiez pas l’usage dominant: c’est parce que ces cartes montrent des tendances, et ne permettent pas de visualiser aisément la vitalité de telle ou telle variable. Pour ce faire, il faut examiner les cartes de détail donnant à voir le pourcentage de vitalité de chaque item :

    L’expression petit-pain au chocolat est connue par environ 80% des répondants au maximum (c’est-à-dire dans les départements d’Alsace et de l’ancienne région Nord-Pas-de-Calais), et que plus on s’éloigne de ces régions, moins la vitalité de la variante est élevée.

    Vive les régionalismes!

    Depuis la fin du XVIIe siècle, des spécialistes de la langue (grammairiens, instituteurs, correcteurs, journalistes, etc.) – voire de simples amateurs – ont tenté de répertorier les particularités locales du français des gens qui les entouraient en vue d’en souligner le côté fautif pour mieux les corriger et les faire disparaître (on pense à des ouvrages dont les titres sont assez évocateurs : chasse aux belgicismes, barbarismes, solécismes, expressions vicieuses, etc.).

    Or, les régionalismes font partie de l’identité des francophones, de leur culture, de leur patrimoine et ne devraient pas faire, en cette qualité, l’objet de stigmatisation sociale.

    L’intérêt des internautes pour les combats linguistiques qui opposent les tenants du blanco à ceux du Typp-Ex, du sac à la poche, de septante à soixante-dix voire de crayon gris à crayon de bois n’est peut-être pas seulement une illusion territoriale, mais une réponse du peuple à des décennies de discrimination en regard de la variation linguistique par nos élites (au début du XXe siècle, on punissait les élèves qui employaient des mots de patois à l’école).

    Une norme ou des normes?

    Quand on me demande quelle variante de mot, de prononciation ou de phrase est la plus correcte, je réponds qu’il n’y a pas une variante qui est correcte, mais plusieurs. En tant que linguiste, je reste persuadé que ce sont les locuteurs qui définissent la norme, et non l’inverse. Dès lors, il existe autant de normes qu’il existe de régions… ou d’usages dominants!

    Mathieu Avanzi - Linguiste et spécialiste des français régionaux, Université catholique de Louvain

    The Conversation France - CC BY ND

  • Cela pique, mais cela peut être très grave

    Vous avez entendu parler du moustique qui donne le zika, le chikungunia, la dengue etc.. mais, aussi, il peut donner une maladie plutôt gênante: la West Nile. Trois personnes ont été infectées en Grèce (pour paler uniquement de l'Europe).

    Dans la majorité des cas (80%), l'infection par virus est asymptomatique. Les formes symptomatiques de la maladie se caractérisent par l'apparition brutale d'une fièvre importante après 3 à 6 jours d'incubation. Cette fièvre est accompagnée de maux de tête et de dos, de douleurs musculaires, d'une toux, d'adénopathies du cou, et souvent d'une éruption cutanée, de nausées, de douleurs abdominales, de diarrhées et de symptômes respiratoires.

    Des complications neurologiques (méningite, encéphalite) surviennent dans moins de 1% des cas. Plus rarement encore, d'autres complications (hépatite, pancréatite ou myocardite) peuvent apparaître.

    Généralement, le malade récupère spontanément, parfois avec séquelles. Mais l'infection virale peut s'avérer mortelle principalement chez les adultes séniors.

    On peut se protéger des piqûres de moustiques en utilisant un insectifuge contenant du DEET.

    Qu’est-ce que le DEET, au fait? Malgré son nom mystérieux, c’est un ingrédient simple. Le mot "DEET" est l’acronyme du N,N-Diéthyl-m-toluamide. Il est utilisé comme chasse-insectes hautement efficace depuis qu’il a été mis au point par l’armée américaine, en 1946.

    Vai ou mythe?

    MYTHE: Le DEET tue les moustiques.

    VRAI: Le DEET ne tue pas les moustiques, il les éloigne plutôt.

    Le DEET agit sur les neurones et les récepteurs qui se trouvent sur les antennes et les mandibules des moustiques, soit les parties qui détectent les substances comme l’acide lactique et le dioxyde de carbone.

    MYTHE: Le DEET protège uniquement contre les moustiques.

    VRAI: Le chasse-moustiques ne protège pas seulement contre les moustiques; vous protège aussi contre les mouches piqueuses, les moucherons et les aoûtats.

    MYTHE: Les enfants ne doivent pas utiliser des produits contenant du DEET.

    VRAI:

    Lorsqu’il est appliqué correctement, le DEET convient aux enfants.

    Les produits contenant du DEET peuvent être utilisés sur les enfants. Lisez toujours les directives sur l’étiquette du produit. Lorsque vous l’utilisez sur un enfant, vaporisez d’abord dans vos mains, puis appliquez le produit sur la peau de l’enfant.

    MYTHE: C’est l’odeur du DEET qui éloigne les moustiques.

    VRAI: Le DEET fait en sorte qu’il soit plus difficile pour les moustiques d’atterrir sur vous et de vous piquer.

    Il existe plusieurs théories sur le fonctionnement du DEET pour éloigner les moustiques, et les données scientifiques continuent d’évoluer quant au mode d’action précis du DEET. Lorsqu’il est appliqué correctement, le DEET forme une barrière sous forme de buée à la surface de la peau qui empêche les moustiques d’y atterrir.

    MYTHE: Le DEET est un produit chimique de synthèse relativement récent.

    VRAI: Le DEET a été mis au point par l’armée américaine en 1946.

    Le DEET a été homologué il y a de nombreuses années, en 1957, après avoir été mis au point par l’armée américaine en 1946 pour utilisation, par le personnel militaire, dans les zones infestées d’insectes.

    MYTHE: Le DEET et le DDT sont le même ingrédient.

    Oh, que non! Le DEET et le DDT sont deux choses bien différentes.

    Le DEET et le DDT sont deux choses bien différentes. En fait, le DDT a été interdit au dans beaucoup de pays depuis 1972.

    MYTHE: Plus la teneur en DEET est élevée, mieux vous serez protégé.

    VRAI: La concentration de DEET dans les chasse-moustiques détermine la durée de la protection.

    A savoir

    Seules, les moustiques femelles piquent.

    On compte environ 3 500 espèces différentes de ces petits vampires, répartis dans presque toutes les régions du monde. Cela dit, ce ne sont pas tous les moustiques qui se délectent de sang humain. Bien que les moustiques mâles aussi bien que les moustiques femelles se nourrissent de nectar et de sève de plantes, seules les femelles ont besoin de sang pour produire leurs œufs.

    Les moustiques sont davantage attirés par les couleurs sombres.

    S’il est vrai que le noir nous fait paraître plus minces, il n’est pas conseillé pour éloigner les moustiques puisque les couleurs foncées semblent les attirer davantage.

    Les moustiques ont des préférences aussi.

    S’il vous arrive de vous faire piquer constamment, au contraire de vos compagnons, c’est peut-être parce que ces pestes volantes sont davantage attirées par la chimie du corps de certaines personnes. Les moustiques sont attirés par des substances chimiques comme le dioxyde de carbone, que vous produisez lorsque vous expirez, et l’acide lactique, une substance contenue dans la sueur.

    La pleine lune fait danser les moustiques.

    https://youtu.be/MdJEl3OS5qc

    Loups-garous, zombies et... moustiques? Eh oui: la pleine lune est responsable de nombreux phénomènes étranges, tant réels qu’imaginaires. S’il est vrai que les scientifiques n’ont jamais observé un vrai de vrai zombie, ils savent néanmoins que les moustiques existent et que la pleine lune intensifie de 500% l’activité de ces bestioles!

    Une seule cuillerée à table d’eau suffit aux moustiques pour se reproduire.

    Les moustiques préfèrent pondre leurs œufs dans une eau stagnante ou un sol humide, et il leur faut une quantité minime d’eau pour ce faire. En fait, les stades immatures de certaines espèces de moustiques ont besoin d’aussi peu qu’une cuillerée à table d’eau pour se développer, soit une quantité susceptible de se trouver dans des vieux pneus, des barboteuses, des trous dans les arbres, des bains d’oiseaux, des soucoupes sous des pots de fleurs, même un bouchon de bouteille.

    EN RESUME: Pour se protéger il est conseillé:

    De réduire le temps passé à l'extérieur pendant les heures d'activité du moustique (entre le crépuscule et l'aube);

    De porter des vêtements de couleur claire avec des manches longues, pantalons et chaussettes dans les zones où les moustiques sont présents ;

     

  • Chipos ou andouillettes aux lentilles

     

    Pour 4:

    200g de lentilles vertes françaises, 2 saucisses de Toulouse façon chipolatas

    2 carottes, 1 oignon jaune; Quelques feuilles de laurier

    huile d’olive, 1 gousse d'ail, poivre, sel

    Une poignée de persil haché

    1 pomme de terre (parfois, pour changer le goût, je rajoute 40 g grammes de brunoise de légumes à la provençale surgelés) à verser directement, sans décongeler

    Les lentilles cuisent assez vite en cocotte-minute, environ 20 mn dès la mise en rotation de la soupape; inutile de faire tourner celle-ci comme une folle, baissez le gaz et laissez-là chuchoter.

    Donc, versez les lentilles dans ½ litre d'eau (il faut que l'eau affleure la hauteur). Emincez l'ail et ajoutez-le à la cocotte. Remplissez votre cocotte d'eau, plongez-y vos carottes et vos pommes de terre coupées en morceau. Au bout de 20mn, ouvrez la cocotte;

    Rajoutez vos saucisses déjà grillées à part avec de la graisse de canard et ajoutez-les. Mettez les feuilles de laurier et la coriandre.

    Si vous utilisez des andouillettes, il faut les faire réchauffer dans le bouillon durant 15 mn.

    Poivrez, puis mélangez le tout.

    Servez dans les assiettes, saucisse par dessus. Parsemez de coriandre pour décorer cette fois. Coupez l'oignon et disposez-le dans les assiettes.

     

  • Légumes frais du jardin - 2

    Récolte de mi-juin à octobre.

    Le plumet des feuilles du fenouil peut être utilisé comme herbe aromatique et apporte ainsi une note anisée à vos préparations. (Voir la catégorie Récup')

    Il se conserve au réfrigérateur mais pas trop longtemps car il perd rapidement de sa saveur.

    "Légume santé" par excellence, le fenouil cumule une richesse en plusieurs vitamines (C, E et B9), minéraux (magnésium, potassium, fer) et fibres qui jouent un rôle important dans la prévention des cancers et des maladies cardiovasculaires et d’autres maladies liées au vieillissement.

    De plus, ses substances aromatiques ont des propriétés digestives bien connues.

    Par sa richesse en sodium, il est contre-indiqué dans les régimes hyposodés stricts, pauvres en potassium ou sans résidus.

    La fève fraîche

    Récolte d’avril à août.

    Grâce à leur richesse en fibres, quelques fèves fraîches croquées en début de repas sont un moyen efficace de lutter contre la constipation.

    La fève fraîche se conserve quelques jours au réfrigérateur dans un papier humide. Séchée, conservez-la au sec dans un contenant fermé.

    La fève, fait partie de la famille des légumineuses tout comme les lentilles, les pois chiches ou les haricots blancs. Si vous la consommez fraîche, après l'avoir ébouillantée pour retirer sa grosse peau qui est indigeste, sa teneur en glucides est basse, la fève est alors considérée comme un légume sucré, contrairement à la fève sèche, beaucoup plus riche en glucides qui fait alors partie de la catégorie des féculents.

    Son index glycémique est bas, ce qui veut dire que le sucre qu'elle contient sera diffusé lentement dans le sang lors de la digestion, ce qui en fait un aliment conseillé pour les diabétiques.

    Par ailleurs, la fève est riche en fibres, protéines, lipides, minéraux (potassium, magnésium, calcium) et vitamines C, B1, B2 et Niacine.

    Elle contient de la glycine en bonne quantités qui est un acide aminé réputé pour conserver sa jeunesse.

    Le haricot

    Récolte de juin à mi-octobre.

    Il existe plusieurs variétés de haricots: haricot vert ou beurre (jaune), haricot filet ou mange-tout, nains ou à rames.

    Ils se conservent dans le bac à légumes de votre réfrigérateur mais idéalement, consommez-les rapidement car ils perdent vite leur humidité. Crus, ils supportent également très bien la congélation. Retirez le sac plastique pour la décongélation.

    La cuisson des haricots verts est très importante pour conserver au mieux ses qualités nutritionnelles (vitamines, minéraux...): il est ainsi préférable de les cuire le moins longtemps possible, à la vapeur de préférence ou à l’étouffée (dans très peu d'eau). Conservez toujours l'eau de cuisson de légumes pour une base de soupe.

    Le haricot vert possède un apport vitaminique intéressant pour un faible apport énergétique. En effet, une ration de 200g d’haricots verts frais apporte, pour 50 kcal seulement, 20% des ANC en provitamine A, 25% des ANC en vitamine C, 27% des ANC en acide folique et 5 à 10% de ceux en vitamines B1, B2, B3 et B6.

    Il est déconseillé aux personnes suivant un régime sans résidus ou pauvre en potassium.

    Pour les haricots frais, si vous souhaitez les congeler pour l'hiver, blanchissez-les 8 mn avant de les mettre dans votre sac plastique et bien, sûr, pensez à les sortir du sac en plastique avant de les décongeler.

    Le petit-pois

    Récolte de mai à août.

    Il existe plusieurs variétés: les petits pois (ronds, à rame, nains, ridés, à fleur blanche, à fleur rouge), les pois mange-tout ou pois gourmand.

    Conservez-les au réfrigérateur quelques jours mais si vous souhaitez les garder plus longtemps, l’idéal serait de les congeler.

    Le petit pois est un légume dont on consomme les graines encore immatures. Ainsi, sa composition diffère de la moyenne des légumes: il est moins riche en eau, plus riche en glucides et en protéines donc plus énergétique.

    On notera comme principaux intérêts nutritionnels sa richesse en protéines végétales, fibres efficaces contre la paresse intestinale, vitamines du groupe B et en vitamine C.

    La teneur et la nature des glucides varient en fonction de la maturité du petit pois. Ainsi, les petits pois jeunes sont assimilables à des légumes sucrés car ils sont moins riches en glucides et ont une part d’amidon faible alors que les petits pois matures sont plus proches des féculents car plus riches en glucides et notamment en amidon.

    Ils sont déconseillés aux personnes suivant un régime sans résidus ou dyspeptidique.

    Le poivron

    Récolte de juillet à octobre.

    La peau robuste du poivron le rend difficilement digeste pour les personnes ayant les intestins délicats. Aussi, il peut être aisément pelé après avoir été passé au four ou ébouillanté. On peut le peler également avec un couteau économe.

    Il se conserve très bien dans le bac à légumes du réfrigérateur (environ une semaine).

    Le poivron fait partie des légumes record quant à sa teneur en vitamine C car une simple portion de 50g de poivron cru couvre 75% des ANC et une portion de 200g cuits couvre la totalité. Et tout cela sous un très faible apport calorique (seulement 20 kcal/100g)!

    Le poivron est également une très bonne source de provitamine A, surtout le poivron rouge bien coloré.

    On notera également la grande richesse en fibres du poivron, qui lui confère donc un intérêt dans la lutte contre la paresse intestinale.

    Ils sont déconseillés aux personnes suivant un régime sans résidus, dyspeptidique ou pauvre en potassium.

     

  • Aïe

    Durant le confinement, les contrôles ont également pu jouer des tours aux délinquants distraits. Près de Toulouse, un individu a ainsi été contrôlé par la police pour non-respect du couvre-feu, début janvier. Ayant oublié sa carte d’identité chez lui, il a dû y retourner en compagnie des agents, qui ont finalement découvert dans son appartement 6 kilos d'herbe et un demi-kilo de cocaïne, selon La Dépêche du Midi.

    Ce n’est pas la première que des malfaiteurs se montrent étourdis au point de laisser noms et prénoms sur les lieux de leur forfait.

    En mars dernier, un cambrioleur avait ainsi oublié sa carte d’identité dans un hôtel d’Albi, après y avoir dérobé de la petite monnaie et des pots de confitures, rapportait La Dépêche du Midi. Pris au dépourvu, il s’était finalement rendu de lui-même au commissariat, avant d’écoper de huit mois de prison ferme.

     

  • Légumes frais du jardin - 2

    Le fenouil

    Récolte de mi-juin à octobre.

    Le plumet des feuilles du fenouil peut être utilisé comme herbe aromatique et apporte ainsi une note anisée à vos préparations. (Voir la catégorie Récup')

    Il se conserve au réfrigérateur mais pas trop longtemps car il perd rapidement de sa saveur.

    "Légume santé" par excellence, le fenouil cumule une richesse en plusieurs vitamines (C, E et B9), minéraux (magnésium, potassium, fer) et fibres qui jouent un rôle important dans la prévention des cancers et des maladies cardiovasculaires et d’autres maladies liées au vieillissement.

    De plus, ses substances aromatiques ont des propriétés digestives bien connues.

    Par sa richesse en sodium, il est contre-indiqué dans les régimes hyposodés stricts, pauvres en potassium ou sans résidus.

    La fève fraîche

    Récolte d’avril à août.

    Grâce à leur richesse en fibres, quelques fèves fraîches croquées en début de repas sont un moyen efficace de lutter contre la constipation.

    La fève fraîche se conserve quelques jours au réfrigérateur dans un papier humide. Séchée, conservez-la au sec dans un contenant fermé.

    La fève, fait partie de la famille des légumineuses tout comme les lentilles, les pois chiches ou les haricots blancs. Si vous la consommez fraîche, après l'avoir ébouillantée pour retirer sa grosse peau qui est indigeste, sa teneur en glucides est basse, la fève est alors considérée comme un légume sucré, contrairement à la fève sèche, beaucoup plus riche en glucides qui fait alors partie de la catégorie des féculents.

    Son index glycémique est bas, ce qui veut dire que le sucre qu'elle contient sera diffusé lentement dans le sang lors de la digestion, ce qui en fait un aliment conseillé pour les diabétiques.

    Par ailleurs, la fève est riche en fibres, protéines, lipides, minéraux (potassium, magnésium, calcium) et vitamines C, B1, B2 et Niacine.

    Elle contient de la glycine en bonne quantités qui est un acide aminé réputé pour conserver sa jeunesse.

    Le haricot

    Récolte de juin à mi-octobre.

    Il existe plusieurs variétés de haricots: haricot vert ou beurre (jaune), haricot filet ou mange-tout, nains ou à rames.

    Ils se conservent dans le bac à légumes de votre réfrigérateur mais idéalement, consommez-les rapidement car ils perdent vite leur humidité. Crus, ils supportent également très bien la congélation. Retirez le sac plastique pour la décongélation.

    La cuisson des haricots verts est très importante pour conserver au mieux ses qualités nutritionnelles (vitamines, minéraux...): il est ainsi préférable de les cuire le moins longtemps possible, à la vapeur de préférence ou à l’étouffée (dans très peu d'eau). Conservez toujours l'eau de cuisson de légumes pour une base de soupe.

    Le haricot vert possède un apport vitaminique intéressant pour un faible apport énergétique. En effet, une ration de 200g d’haricots verts frais apporte, pour 50 kcal seulement, 20% des ANC en provitamine A, 25% des ANC en vitamine C, 27% des ANC en acide folique et 5 à 10% de ceux en vitamines B1, B2, B3 et B6.

    Il est déconseillé aux personnes suivant un régime sans résidus ou pauvre en potassium.

    Pour les haricots frais, si vous souhaitez les congeler pour l'hiver, blanchissez-les 8 mn avant de les mettre dans votre sac plastique et bien, sûr, pensez à les sortir du sac en plastique avant de les décongeler.

    Le petit-pois

    Récolte de mai à août.

    Il existe plusieurs variétés: les petits pois (ronds, à rame, nains, ridés, à fleur blanche, à fleur rouge), les pois mange-tout ou pois gourmand.

    Conservez-les au réfrigérateur quelques jours mais si vous souhaitez les garder plus longtemps, l’idéal serait de les congeler.

    Le petit pois est un légume dont on consomme les graines encore immatures. Ainsi, sa composition diffère de la moyenne des légumes: il est moins riche en eau, plus riche en glucides et en protéines donc plus énergétique.

    On notera comme principaux intérêts nutritionnels sa richesse en protéines végétales, fibres efficaces contre la paresse intestinale, vitamines du groupe B et en vitamine C.

    La teneur et la nature des glucides varient en fonction de la maturité du petit pois. Ainsi, les petits pois jeunes sont assimilables à des légumes sucrés car ils sont moins riches en glucides et ont une part d’amidon faible alors que les petits pois matures sont plus proches des féculents car plus riches en glucides et notamment en amidon.

    Ils sont déconseillés aux personnes suivant un régime sans résidus ou dyspeptidique.

    Le poivron

    Récolte de juillet à octobre.

    La peau robuste du poivron le rend difficilement digeste pour les personnes ayant les intestins délicats. Aussi, il peut être aisément pelé après avoir été passé au four ou ébouillanté. On peut le peler également avec un couteau économe.

    Il se conserve très bien dans le bac à légumes du réfrigérateur (environ une semaine).

    Le poivron fait partie des légumes record quant à sa teneur en vitamine C car une simple portion de 50g de poivron cru couvre 75% des ANC et une portion de 200g cuits couvre la totalité. Et tout cela sous un très faible apport calorique (seulement 20 kcal/100g)!

    Le poivron est également une très bonne source de provitamine A, surtout le poivron rouge bien coloré.

    On notera également la grande richesse en fibres du poivron, qui lui confère donc un intérêt dans la lutte contre la paresse intestinale.

    Ils sont déconseillés aux personnes suivant un régime sans résidus, dyspeptidique ou pauvre en potassium.