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société - Page 72

  • Millefeuilles de Rocamadour aux aubergines

    Pour 4 personnes

    4 Rocamadour; 1 belle aubergine; 2 tomates bien mûres, un peu d'huile d’olive

    Basilic frais et coriandre en poudre

    Tranchez les aubergines et les tomates en 8 mm d’épaisseur, faites-les dégorger au sel 5mn, les rincer puis bien les éponger sur papier absorbant.

    Faites poêler à feu vif les tranches de légumes avec un peu d’huile d’olive.

    Dans un plat allant au four bien huilé, procédez au montage: une tranche d’aubergine bien dorée, une tranche de tomate, un Rocamadour que vous saupoudre de coriandre, une tranche de tomate et une tranche d’aubergine pour finir. Enfournez 8mn à 200° et décorez avec des herbes du jardin (basilic, persil...).

    Vous pouvez utiliser les petits fromages de chèvre ou de brebis que vous aimez...

    vous pouvez remplacez l'aubergine par du poivron jaune ou vert.... vous pouvez ne pas terminer avec la tranche d'aubergine mais poser un œuf frit au moment de servir.

     

  • Coco? coco, coco?

    La première fois où nous avons acheté une noix de coco, dans les années 60, ma mère a voulu l'ouvrir avec un marteau: quelle histoire! Une fois éclatée, l'eau était partout dans la cuisine....

    Huile de coco

    L'huile de coco est la nouvelle star en cosmétique c’est grâce à ses propriétés nourrissantes et réparatrices. Très riche en acides gras essentiels, en acide laurique et en acide myristique, elle possède une action relipidante et est très facilement absorbée par la peau. Elle offre à l’épiderme un aspect lisse et aux cheveux de la brillance.

    Ce qui séduit également très fortement dans l’huile de coco, c’est son côté ultra sensoriel. Car c’est vrai que rien que son nom est une invitation au voyage. Sans oublier son parfum gourmand qui transforme chaque soin en une pause cocooning plaisir. Avec de telles vertus cosmétiques et sensorielles, rien de surprenant à ce qu’on retrouve l’huile de coco dans de très nombreux cosmétiques: huiles capillaires, savons, baumes et laits corporels, crèmes mains, gamme de shampooings, soins visage…

    Comment est obtenu ce précieux élixir? Une fois le fruit récolté, la chair est séparée du lait et de la coque. Puis, comme pour les bonnes huiles d’olive, l’huile de coco doit être extraite à froid, afin de préserver toutes les qualités du fruit; il faudrait aussi vérifier que la récolte se fait, dans les îles Samoa, de façon traditionnelle dans le respect des règles du Commerce Equitable.

    Les atouts de l’huile de coco pour la peau

    Très nourrissante, l’huile de coco aide à lutter contre la déshydratation. C’est une huile assez douce aux vertus réparatrices. Elle apaise, calme les rougeurs, soulage les peaux échauffées par le soleil. On le sait un peu moins mais son action apaisante est équivalente à celle de l’aloé vera. Par ailleurs, de par sa galénique, l’huile de coco apporte également un côté satiné à la peau et la sublime, sans oublier qu’elle va la parfumer subtilement de ce parfum paradisiaque. On s’en "badigeonne" donc à l’envie sur l’ensemble du corps et même du visage

    Les lèvres, le contour de l’œil retrouveront un nouvel éclat. Elle pôssède également des pouvoirs moussants. C’est pourquoi elle est très utilisée en savonnerie. L’huile de coco possède des vertus assouplissantes qui font qu’on lui prête aussi une action anti-vergetures. Les huiles sont en général bonnes pour atténuer les vergetures, car elles permettent de maintenir la souplesse de la peau. Ce n’est pas une particularité spécifique à l’huile de noix de coco mais, tout de même elle serait comédogène

    Cependant, de manière générale, les peaux mixtes à grasses ne tournent pas vers les huiles. Il s’agit avant tout d’une histoire de cohérence et de routine soin adaptée plus que de supposés effets comédogènes de l’huile de coco.

    Les atouts de l’huile de coco pour les cheveux

    L’acide laurique que contient l’huile de coco possède une forte affinité avec les protéines des cheveux. Résultat, elle les nourrit en profondeur. C’est un vrai bonheur pour les cheveux secs et les cheveux crépus. Il s’agit d’une huile relativement grasse qui garde la chevelure bien souple. Elle va également leur redonner toute leur brillance et leur vigueur. Elle peut être utilisée en bain d’huile ou masque avant shampooing par exemple.

    L’huile de coco est également composée de vitamine A et E aux propriétés anti-radicalaires et anti-oxydantes, elle n’est pas véritablement connue pour ses propriétés anti-âge. Une bonne option pour son démaquillage? l’huile de coco comme les huiles en général peut faciliter le démaquillage. Il ne s’agit pas d’une vertu propre à l’huile de coco.

    Les vertus médicinales de l’huile de noix de coco

    C’est le fruit du cocotier qui fournit l’huile de noix de coco ou de coprah, un produit longtemps considéré comme néfaste à cause de sa haute teneur en graisses, notamment en acides gras saturés. Pourtant, des études ont été menées et ont permis de se rendre compte que certaines de ces graisses ont des effets positifs sur la santé. Avec cette huile, l’organisme pourrait être protégé contre diverses pathologies dont les malades cardiovasculaires.

    L'huile de noix de coco est habituellement utilisée en cuisine dans plusieurs pays tropicaux. Elle fait l'objet de nombreuses controverses car si certains trouvent qu'elle est néfaste à cause de sa richesse en graisses saturées, d'autres par contre pensent le contraire.

    Des recherches ont tenté de clarifier les choses. Et il en ressort que bien que toutes les graisses contenues dans l'huile de coco ne soient pas bonnes, elles ne sont pas toutes mauvaises non plus et certaines sont même capables d'éviter à l'organisme plusieurs maladies.

    Composition

    La grande richesse de l'huile de coco en graisses saturées est confirmée par des études scientifiques. Il est même attesté que cette huile est l'une des sources les plus riches en ce type de gras avec une teneur d'environ 90% d'acides gras saturés. D'un point de vue général, ces acides gras sont nocifs à l'organisme. Toutefois, de récents travaux scientifiques informent que certains de ces graisses ne sont pas dangereux et produisent même des effets bénéfiques à l'organisme.

    L'huile de coco contient de l'acide décanoïque, de l'acide laurique et de l'acide octanoïque, des acides gras qui ont des vertus thérapeutiques comme l'attestent les études. La plupart des acides gras présents dans les aliments en général est à longue chaîne, alors que ceux cités dans l'huile de coco sont plutôt à chaîne moyenne, une caractéristique qui leur permet d'être mieux métabolisés que les autres.

    En Asie, on utilise depuis longtemps l'huile de coprah pour ses propriétés antithrombotiques et antiathérosclérotiques. Les acides gras saturés à chaîne moyenne identifiées dans la plante ont en outre des vertus apaisantes, antioxdantes, antimicrobiennes et antifongiques, preuves scientifiques à l'appui. Il faut toutefois indiquer que selon les études, ces vertus de l'huile de coco ne peuvent être mises à profit si le produit est consommé abusivement et le contraire de l'effet attendu pourrait même se produire.

    Dans le cadre d'un traitement, un spécialiste de la question doit être contacté afin que la quantité idéale d'huile de coco soit utilisée en fonction de l'action thérapeutique recherchée. L'application peut se faire en externe dans le cadre de certaines affections.

    Indications thérapeutiques

    Même si on ne trouve que très peu d'études pour confirmer cette allégation, l'huile de coco produit des effets positifs sur la santé cardiovasculaire. A ce propos, on soutient que ce produit réduit significativement les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires. Sa consommation est également indiquée dans le traitement des troubles du cerveau comme la maladie d'Alzheimer et l'épilepsie.

    Il est possible par ailleurs d'utiliser l'huile de coprah pour mieux stimuler le système immunitaire et combattre les problèmes survenant au niveau des reins. Elle permet de lutter contre le stress. Et puis le diabète et l'hypertension artérielle peuvent être maitrisés en suivant un traitement à base d'huile de coco.

    Pourquoi mettre la noix de coco au menu?

    Sa chair donne du croquant aux salades de fruits et aux autres desserts.

    Son lait et sa crème parfument de nombreux plats salés ou sucrés.

    Son huile est très utile en cuisine.

    Elle est très riche en fibres alimentaires.

    Elle regorge d’éléments nutritifs, dont le fer, le manganèse et le cuivre.

    Rares sont les études ayant évalué les effets de la consommation de noix de coco sur la santé. Par contre, de nombreux chercheurs se sont attardés aux effets de la consommation de l’huile de coco. Comme environ 85 % des calories de la noix de coco sont contenues sous forme de lipides (gras), il est pertinent de connaître l’impact de la consommation de ces lipides sur la santé. Il est important de préciser que les études réalisées sur l’huile de coco évaluent souvent une consommation usuelle ou élevée de celle-ci. Cela n’est pas nécessairement représentatif du contexte nord-américain puisque la noix de coco y est plutôt consommée occasionnellement et l’huile de coco y est utilisée davantage par l’industrie alimentaire que pour usage domestique.

    Par contre, on voit apparaitre de plus en plus sur le marché, des huiles de coco vierges, qui ne sont pas partiellement hydrogénées comme le sont celles utilisées par les industries alimentaires. 

    De la crème "traditionnelle " ou du lait de coco?

    L’apport calorique du lait de coco se situe environ entre celui de la crème 15 % et de la crème 35 %. Comparativement à ces crèmes, le lait de coco contient moins de riboflavine et de vitamine B12, et pas du tout de vitamine A et de vitamine D. Par contre, le lait de coco contient davantage de fer, de magnésium, de cuivre, de manganèse et de sélénium que la crème, sans oublier son goût unique. À vous de choisir!

     Que vaut une " portion " de noix de coco?

     

    Poids/volume

    Noix de coco crue, non pressée, filamentée, 42 g/125 ml

    Noix de coco desséchée, non sucrée, 48 g/125 ml

    Lait de noix de coco cru, 127 g/125 ml

    Calories

    150

    317

    292

    Protéines

    1,4 g

    3,3 g

    2,9 g

    Glucides

    6,4 g

    11,4 g

    7,0 g

    Lipides

    14,2 g

    31,0 g

    30,2 g

    -saturés

    12,6 g

    27,5 g

    26,8 g

    -monoinsaturés

    0,6 g

    1,3 g

    1,3 g

    -polyinsaturés

    0,2 g

    0,4 g

    0,3 g

    -oméga-3*

    0 g

    0 g

    0 g

    Cholestérol

    0 mg

    0 mg

    0 mg

    Fibres alimentaires

    3,8 g

    7,8 g

    1,3 g

    Source : Santé Canada. Fichier canadien sur les éléments nutritifs, 2005.
    *AEP, ADH et acide alpha-linolénique

    L’huile de coprah

    La chair comestible de la noix de coco se nomme aussi coprah. De cette partie est extraite l’huile de coprah, ou huile de coco, qui a une texture solide à la température de la pièce étant donné son contenu élevé en acides gras saturés (tout comme les graisses animales). L’huile de coprah est essentiellement utilisée par l’industrie alimentaire pour la préparation de pâtisseries, de confiseries et pour la friture, et elle est parfois hydrogénée ou partiellement hydrogénée, ce qui la rend encore plus solide. L’hydrogénation partielle de l’huile forme des gras trans, lesquels seraient encore plus néfastes que les gras saturés sur le cholestérol sanguin.

    Comparativement aux huiles contenant une proportion plus élevée en acides gras polyinsaturés ou monoinsaturés (telles les huiles d’olive, de canola, de carthame, de tournesol, etc.), l’huile de coprah (ou de coco) est moins recommandable étant donné son contenu élevé en acides gras saturés. On retrouve surtout cette huile dans des produits transformés qui sont déjà riches en gras ou en sucre et que l’on recommande de consommer seulement à l’occasion. De plus, si l’huile de coprah (ou de coco) est hydrogénée ou partiellement hydrogénée, l’aliment contiendra des acides gras saturés et des acides gras trans. L’inscription de ces différents acides gras dans le tableau de valeur nutritive est désormais obligatoire au Canada, ce qui permet au consommateur de faire un choix éclairé parmi les nombreux produits alimentaires offerts.

    ALLERGIES

    Les sulfites sont un des neuf allergènes alimentaires les plus courants et la consommation de ceux-ci peut causer des réactions très graves chez les individus qui en sont allergiques. Les sulfites sont des substances naturellement présentes dans les aliments et dans l'organisme, mais aussi présentes sous forme d’additifs alimentaires utilisés comme agents de conservation. La noix de coco (desséchée ou sous forme de jus) et les produits alimentaires qui en contiennent sont des sources possibles de sulfites; il est primordial pour les gens allergiques aux sulfites de bien lire les étiquettes afin d’éviter de consommer des produits alimentaires qui en contiennent. Même si la réglementation est rigide en ce domaine, la présence de sulfites non déclarés dans certains produits (entre autres à base de noix de coco) survient ponctuellement (voir site de l’Agence canadienne d’inspection des aliments). Il importe donc d’être doublement vigilant lorsque l’on consomme de tels produits.

    La noix de coco n’est pas une noix en tant que tel mais plutôt le noyau d'un fruit. Ainsi, elle n’est pas un aliment allergène pour les individus allergiques aux noix et n’est généralement pas exclue de leur alimentation. Toutefois, certaines personnes allergiques peuvent tout de même réagir à la noix de coco. Il est important de consulter un allergologue afin de s’assurer de pouvoir en consommer en toute sécurité.

     Bien choisir

    On trouve la noix de coco à longueur d’année, mais tout particulièrement de septembre à janvier. L’agiter pour s’assurer qu’elle contient encore de l’eau (une fois toute l’eau transformée en chair, cette dernière prend une saveur de savon et n’est plus comestible). Elle doit être intacte, tandis que ses trois " yeux " devraient être exempts de moisissure. Malgré ces précautions, il se peut que la chair soit rance, auquel cas il ne restera plus qu’à la jeter.

    La chair de coco séchée (râpée ou en flocons) doit être blanche (sans brunissement, signe d’oxydation) et dégager une agréable odeur, sans relent de rancidité. La vigilance s’impose, car la noix de coco séchée peut être additionnée de sucre et traitée aux sulfites. Des produits à base de noix de coco de culture biologique sont offerts dans les magasins de produits naturels.

    On trouve dans le commerce du lait et de la crème en conserve, de même qu’une fine poudre soluble que l’on peut utiliser telle quelle dans les préparations ou délayer dans de l’eau pour en faire du lait.

    Dans la plupart des cas, l’huile de coco est extraite à l’aide de solvants chimiques, puis raffinée et désodorisée. Toutefois, on peut trouver dans les magasins de produits naturels des huiles vierges biologiques simplement extraites par pression.

    Préparation

    Pour ouvrir une noix de coco et en retirer la chair, percer les yeux avec un instrument pointu. Vider le liquide et le réserver. Mettre ensuite la noix dans un four réglé à 190 °C  pendant 15 ou 20 minutes, puis frapper la coque avec un marteau tout le long de sa circonférence jusqu’à ce qu’elle se fende. La débiter en morceaux, détacher la chair à l’aide d’un couteau et enlever la peau brune avec un épluche-légumes.

    Pour préparer le lait de coco : mélanger deux tasses de chair de coco râpée (séchée ou fraîche) et deux tasses d’eau chaude (les proportions peuvent varier en fonction du degré de dilution désiré) dans un bol, laisser tiédir et passer le mélange dans un tamis doublé d’un tissu. Réunir les quatre coins du tissu pour former une poche et presser pour extraire le liquide. Pour se faciliter la tâche, on peut également passer la noix de coco et l’eau au mélangeur avant d’en extraire le lait.

    Pour obtenir de la crème : suivre le même mode d’emploi, puis laisser le lait reposer quelques heures et recueillir à l’aide d’une cuillère la substance épaisse qui aura remontée à la surface.

    Pour faire griller la noix de coco : râper ou émincer finement la chair, ou se servir de noix de coco râpée, et la cuire deux heures sur une plaque, dans un four réglé à 95 °C (205 °F). Brasser régulièrement et s’assurer qu’elle ne brunit pas trop. Conserver dans un contenant hermétique.

    Apprêts culinaires

    Lait et crème
    Le lait et la crème de coco peuvent remplacer leurs équivalents d’origine animale dans toutes les préparations : sur les céréales du matin, dans les crêpes, gaufres, muffins, gâteaux, soufflés, boissons frappées, sauces, etc. Y faire cuire légumes et pâtes ou pocher un poisson. Voici d’autres suggestions.

    Dans les crèmes de légumes (par exemple, la crème de champignons) ou dans une soupe indienne composée, en plus du lait de coco, de tomates et de concombres finement émincés, d’arachides moulues, le tout épaissi à la farine de pois chiche (ou d’une autre légumineuse) et assaisonné de chili, graines de cumin et feuilles de coriandre.

    Dans un flan : mettre la préparation à flan (oeufs, crème de coco et sucre ou miel) dans une petite courge bien jaune, nettoyée de ses graines et parties filandreuses. Cuire à la vapeur, laisser refroidir et découper en tranches. Voilà un dessert sain aux couleurs contrastées.

    Dans l’arroz con coco du Panama : cuire du riz dans du lait de coco en ajoutant, si désiré, des raisins secs. Édulcorer avec du sirop d’érable ou du miel.

    Fruits pochés : cuire à petit feu des morceaux d’ananas ou d’autres fruits tropicaux dans du lait de coco assaisonné, si désiré, d’un peu de piment, de graines de moutarde rôties et de curcuma.

    Ragoûts : en Inde et en Thaïlande, le lait et la crème de coco entrent dans la composition de nombreux ragoûts de viande ou de légumes.

    Chair fraîche ou séchée
    Au-delà des classiques macarons et autres gâteries qui sont bien souvent trop sucrés pour être vraiment sains, la noix de coco peut entrer dans de nombreuses préparations :

    On en ajoutera environ 20 g à une mayonnaise maison, que l’on complétera avec des herbes fraîches finement hachées.

    On en fera des rottis, ces pains plats traditionnels de l’Inde que les Tamouls du Sri Lanka préparent à leur manière en ajoutant de la noix de coco râpée à la farine (environ 200 g de coco pour 500 g de farine). Assaisonner la préparation avec des oignons verts revenus dans de l’huile et de la poudre de cumin, ajouter de l’eau et pétrir. Façonner des boulettes et les étendre au rouleau. Faire dorer des deux côtés dans un peu d’huile ou de beurre clarifié.

    Ajouter des copeaux de chair fraîche dans les salades de légumes ou de fruits. Voici un assemblage inusité, emprunté à la cuisine indienne : banane, concombre, noix de coco, coriandre fraîche, jus de citron, arachides broyées et, si désiré, piment fort.

    Potée de légumes : faire revenir quelques minutes les épices de son choix et des oignons dans de l’huile de coco. Ajouter un peu d’eau, puis les légumes suivants, coupés en morceaux ou en tronçons : poivrons verts, carottes, brocolis, haricots verts, pommes de terre et ciboule en les enrobant bien avec la préparation épicée. Ajouter de la purée de noix de coco (deux tasses de coco râpée passée au mélangeur avec une tasse d’eau). Amener à ébullition, baisser le feu et cuire environ 15 minutes ou jusqu’à ce que les légumes soient tendres. Arroser d’un filet de jus de citron.

    Servir un rayta de coco avec un curry piquant : pour le préparer, faire revenir des graines de moutarde dans du beurre clarifié, ajouter de la noix de coco râpée et enlever du feu. Incorporer cette préparation dans du yogourt additionné de morceaux de banane et de feuilles de coriandre. Réfrigérer une heure.

    Mélanger des flocons d’avoine, des raisins secs, des dattes tranchées avec les noix de son choix (amandes effilées, cajou, noisette, etc.) et de la poudre de coco. Servir ce mélange sec au petit déjeuner, en lui ajoutant un peu d’eau et des morceaux de fruits frais.

    Noix de coco grillée : l’ajouter dans les desserts, en décoration sur un gâteau ou dans un muesli.

    Huile

    Elle peut remplacer partiellement ou entièrement le beurre ou les huiles végétales pour la cuisson des aliments. Comme toutes les huiles, il faut éviter de la faire fumer, car elle devient alors toxique.

    Elle remplacera avantageusement les autres huiles dans la friture, car les aliments l’absorbent moins.

    S’en servir crue sur les tartines ou dans les vinaigrettes (au besoin, la chauffer d’abord légèrement pour la faire fondre).

    Conservation

    Noix de coco entière : deux semaines à la température de la pièce, un ou deux mois au réfrigérateur.

    Morceaux de chair et lait fait maison: quelques jours au réfrigérateur. On peut congeler les morceaux et la noix de coco râpée en les mettant dans un sac au congélateur, où ils se garderont huit à dix mois.

    La noix de coco séchée se conserve plusieurs mois au frais, au sec et à l’abri de la lumière. La garder dans un contenant hermétique ou dans son emballage d’origine pour éviter qu’elle ne brunisse sous l’effet de l’oxydation.

    Fraîche, perso, c'est le nec plus car elle sent si bon! Séchée, je l'aime bien mais je l'utilise rarement car ma fille la déteste.... donc, je n'ai pas trop de recettes perso à vous donner.... Avant qu'elle sache parler et dire "j'en veux pas", j'en ajoutais dans notre déjeuner du matin aux céréales, vers 1970-1974.... Faut dire qu'à l'époque, il n'y avait guère tout ce choix pléthorique et indécents (manip chimique et trop de sucre) de produits de déjeuner aux céréales.

    L’huile de coco se conserve six mois et plus à la température de la pièce, et plus longtemps encore au réfrigérateur. Garder le contenant fermé pour éviter l’oxydation et tenir loin d’une source de chaleur pour prévenir le risque d’ignition spontanée.

     

  • Parler toulousain

    J'ai une voisine qui vient de Paris.

    Elle n'en revient pas des expressions toulousaines... elle dit: je vais les écrire sur un cahier... je me garde bien de lui demander les expressions de pantruche! faut pas pousser, je vais pas me laisser déteindre par les parigots....

    moi, je parle toulousain... comme monsieur Jourdain qui faisait de la prose sans le savoir... mais, je sais de quoi je parle, on me l'a fait pas, hé!

    Je lui ai dis que les pommes de terre se disaient souvent: patanes... quand je suis aux courses et qu'on se trouve...

    Elle me dit qu'elle connait un monsieur qui dit toujours: macarel!

    "à tous les mots, il dit "macarel"... c'est pas croyable ce mot!

    Je lui réponds: ma mère disait "macaniche".... moi, ado, je trouvais l'un et l'autre ringard: je disais "boudu" "hé---ho".... je disais parfois "yétase"... cela m'arrive encore... eh non; ça ne veut rien dire... ça occupe la conversation!!!!

    Avant, comme tous les Toulousains, quand j'étais môme, je disais: ho con... ou p.taingu cong.. mais c'est mal poli... alors je dis: et ben, aques tecop.... bon, tout ça c'est phonétique... je n'ai pas appris à écrire l'occitan!

    Elle s'esclaffe et me dit: il dit aussi tout le temps: cézigue....

    Je réponds: il y a mézigue, tézigue... etc... ça m'arrive de le dire aussi un ou l'autre: cézigue, souvent.

    Les mondialistes, alter et autres nazes, ils attendront que je meure pour que je cesse de parler comme je fais... depuis toujours... bien plus d'années que vous croyez...

    Boudu, bientôt un an de plus dans la carcasse! (ouais, suis née en Août!).

     

  • Un autre toubib de la télé!

    Quand la téléréalité sauve des vies...et fait s'étrangler des diététiciens

    Dans une émission de téléréalité de la BBC, le Dr Rangan Chatterjee améliore significativement la santé mentale d’une jeune femme en changeant son alimentation

    Dans une émission appelée " Un médecin à la maison " (Doctor in the house) diffusée sur la Chaine 1 de la BBC, une famille invite le Dr Rangan Chatterjee, un médecin généraliste, afin qu’il enquête sur un problème de santé, et qu'il y apporte une solution. Ce médecin défend l’idée qu’en changeant certains habitudes de notre mode de vie et notamment notre alimentation, nous pouvons obtenir de réelles améliorations de nos symptômes. Sans pour autant passer par la case médicaments.

    Dans une émission précédente, le Dr Chatterjee avait sorti une famille du diabète.

    Dans un nouvel épisode, le Dr Chatterjee se rend dans la famille Gleeson afin d’aider Emma la mère de famille âgée de 34 ans. Elle souffre d’anxiété, de dépression et d’attaques de panique depuis de nombreuses années. Elle n’était âgée que de 19 ans lorsqu’elle a commencé à souffrir de troubles mentaux. Après un épisode sévère de pneumonie, elle a connu une période de coma et s’est réveillée terrifiée. Elle a alors développé une peur extrême de la mort, augmentant ses crises d’attaque de panique au cours desquelles elle se sent terrifiée et peut se mettre à crier. Ces crises sont sources d’inquiétude et peuvent même se révéler effrayantes pour son entourage.

    Emma a essayé différents traitements médicamenteux et plusieurs thérapies, sans succès car elle souffrait toujours de 3 à 4 crises de panique par jour.

    Une alimentation à corriger

    Les choix alimentaires d’Emma étaient déplorables - plats à emporter, sodas, aliments ultratransformés- et c’est sur ce point que le Dr Rangan Chatterjee a souhaité agir. A aucun moment, Emma n’a pensé que sa façon de manger pouvait contribuer à son anxiété et ses crises de panique. Et pourtant c’était le cas. En rencontrant le Dr Rangan Chatterjee, Emma a changé son alimentation et a compris pourquoi certains aliments ont potentiellement un impact négatif sur sa santé mentale.

    Quels conseils le Dr Rangan Chatterjee lui a-t-il donnés?

    1. Réduire la consommation de sucre et d’aliments ultra-transformés

    Le sucre, les aliments qui en contiennent ainsi que les aliments à index glycémique élevé -comme par exemple les céréales du petit déjeuner- provoquent tous une augmentation rapide de la glycémie. Mais après deux ou trois heures, le taux de sucre dans le sang diminue, vous pouvez alors non seulement avoir faim mais également vous sentir moins bien moralement. Une diminution de la glycémie peut entrainer une augmentation des hormones du stress -cortisol et adrénaline. Ce phénomène impacte négativement l’humeur.

    1. Augmenter les apports en acides gras oméga-3

    Les graisses oméga-3 sont des nutriments essentiels pour la fonction cérébrale et pourraient protéger contre l’anxiété et d’autres troubles psychiatriques. Les oméga-3 sont présents dans les poissons gras, ce qui explique pourquoi Emma en a augmenté sa consommation. On en trouve aussi sous la forme de précurseurs dans les noix, les graines de lin et de chia, l'huile de colza.

    1. Manger plus d’aliments contenant du tryptophane

    Le tryptophane est un acide aminé essentiel que l’on trouve dans le porc, le poulet, les graines et les noix et qui est un précurseur de la sérotonine, une hormone liée à l’humeur. Il est conseillé de manger les aliments riches en tryptophane avec une source de glucides "saine" comme les patates douces, ce qui permet de transporter plus de tryptophane au cerveau pour synthétiser la sérotonine. 

    1. Soigner le microbiote intestinal

    De plus en plus d’études s’intéressent au lien entre notre flore intestinale et notre cerveau. La composition de notre microbiote influence significativement notre humeur. Les fibres prébiotiques présentes dans les légumes et les aliments fermentés (comme la choucroute) aident les bactéries saines à proliférer. Ainsi, il est conseillé d’augmenter sa consommation d’oignons, ail, poireaux, artichauts et légumes crucifères.

    Résultats

    Désormais Emma achète des aliments frais, cuisine, mange plus de poisson. Elle a également beaucoup diminué sa consommation de sucres. "Je me sens beaucoup mieux et j’ai l’intention de poursuivre dans cette voie" dit-elle.

    En suivant ces 4 conseils du Dr Rangan Chatterjee, Emma a diminué ses symptômes et se sent mieux. Simplement en apportant des modifications à son alimentation. Les preuves s’accumulent pour démontrer le lien entre alimentation et santé mentale. C’est efficace et dénué d’effets secondaires, contrairement aux anti-dépresseurs.

    Des conseils puisés dans la science

    Les conseils donnés dans l'émission sont remplis de bon sens et beaucoup d'entre eux ont fait l'objet d'études scientifiques qui leur donnent encore plus de crédibilité.

    Une étude a par exemple montré qu’un régime alimentaire à index glycémique élevé est un facteur de risque de dépression chez les femmes ménopausées. Les sucres ajoutés ont un impact particulièrement important sur l’incidence de la dépression.

    Une autre étude a montré qu’un régime à forte charge glycémique est associé à des symptômes dépressifs plus importants, à plus de problèmes d’humeur et de fatigue par rapport à un régime à faible charge glycémique, et surtout chez les personnes en surpoids et obèses (mais en bonne santé).

    D’autres études ont montré l’effet bénéfique des aliments fermentés sur le stress, la dépression et l’anxiété. Certains aliments (vin, bière, yaourt, fromage, choucroute, tofu, pain au levain, surtout…) sont obtenus par fermentation, un processus qui nécessite des micro-organismes dont certains peuvent être qualifiés de probiotiques. Ces-derniers modifient favorablement l’environnement intestinal qui agit alors positivement sur la santé mentale. On qualifie d’ailleurs ces probiotiques de "psychobiotiques".

    Quant à la consommation de poisson, son impact sur la santé a fait l’objet de nombreuses études parmi lesquelles une méta-analyse de 26 études qui a trouvé que les plus gros consommateurs de poisson ont un risque de dépression diminué de 17% par rapport à ceux qui en mangent peu.

    Sources

    How food can impact mental health on Doctor in the House, 22 mai 2017 on BBC One.

    Gangwisch JE, Hale L, Garcia L, Malaspina D, Opler MG, Payne ME, Rossom RC, Lane D. High glycemic index diet as a risk factor for depression: analyses from the Women's Health Initiative. Am J Clin Nutr. 2015 Jun 24. pii: ajcn103846. [Epub ahead of print]

    Breymeyer KL, Lampe JW, McGregor BA, Neuhouser ML. Subjective mood and energy levels of healthy weight and overweight/obese healthy adults on high-and low-glycemic load experimental diets. Appetite. 2016 Aug 6;107:253-259. doi: 10.1016/j.appet.2016.08.008.

    Hilimire MR, DeVylder JE, Forestell CA. Fermented foods, neuroticism, and social anxiety: An interaction model. Psychiatry Res. 2015 Aug 15;228(2):203-8. doi: 10.1016/j.psychres.2015.04.023. Epub 2015 Apr 28.

    Eva M Selhub1, Alan C Logan2 and Alison C Bested. Fermented foods, microbiota, and mental health: ancient practice meets nutritional psychiatry. Journal of Physiological Anthropology 2014, 33:2. doi:10.1186/1880-6805-33-2

     

     

  • Hallucinant: mon minuteur de cuisine se prend pour une pendule!

    Toujours une histoire de télépsychie mentale…..

    Ce mercredi 26 juillet, je me suis attablée, vers quatorze heures 15, dans la salle à manger pour mon repas… de midi (j'avais du travail et je voulais le terminer avant de déjeuner). J'allume mon téléviseur pour entendre les infos sur une des chaines infos (le son était normal) quand, tout à coup, je m'avise que j'entends un tic-tac. Je pense à l'horloge de la cuisine, qu'on n'entend pas dans la salle à manger, notamment et surtout lorsque le téléviseur est allumé.

    C'était très fort et… un peu inquiétant. On aurait pu croire que c'était le tic-tac d'une bombe comme dans un film suspense…. Intriguée, je me lève et, tout naturellement, me dirige dans la direction de l'horloge. En m'approchant, le tic-tac s'intensifie fortement, de l'ordre de 45 Db (ou plus) … je me dis en avançant que la pile doit être au bout de sa course et, par gentillesse (sic à moi-même!) me fait savoir qu'il est temps de la changer!

    Je plaisante mais pas tant que cela: j'ai bien un téléphone sans fil qui, quand il est déchargé me le fait savoir en sonnant comme s'il y avait un appel… oui! c'est étonnant.

    Donc, je m'approche de l'horloge et je l'écoute. Rien d'anormal. Son tic-tac habituel c'est-à-dire presque inaudible car je n'aime pas entendre des tic-tac intempestifs, ils m'empêchent de réfléchir….

    Mais le bruit est plutôt fort maintenant que je suis dans ma cuisine. Je tends l'oreille et il me semble que c'est du côté du réfrigérateur que je doive aller. Je comprends encore que mon minuteur fait des siennes. Il m'a déjà fait des tas d'entourloupes (lire mes précédents film-textes sur ma chaîne Youtube) et je pensais qu'en m'en ayant fait voir de toutes les couleurs (absurdes et étonnantes) il ne pouvait plus rien “inventer“. Ben, et si!

    Ma fille est en vacances depuis plus d'une semaine et comme elle est la seule à s'en servir pour minuter le temps du médicament sur sa langue, je n'ai pas l'utilité du petit appareil. Comme n'importe quelle ménagère, je fais mes temps de cuisson au pif (ou à l'odeur de brûlé si vous voyez ce que je veux dire)!

    Je m'approche d'icelui et constate qu'il marque 19 minutes au lieu de 00. Toujours le tic-tac! Je me dis qu'il me faut retirer la pile et basté, il se taira. Pour cela, je dois mettre mes lunettes de presbyte pour mieux voir comment procéder. En faisant la manœuvre, j'ai dû le secouer un minimum car, une fois les lunettes sur le nez, plus de tic-tac et le compteur revenu à 0.

    Ce  compte-tour, s'est mis en route (plusieurs fois) tout seul sans qu'on le touche; il a décompté à l'envers comme un chronomètre, il à programmé le temps sans qu'on le touche et voilà que maintenant, il se prend pour une horloge… bruyante.

    Mais, il n'a même pas d'engrenage pour ce faire!!!….. Mon minuteur est en permanence aimanté sur la porte du congélateur au-dessus du réfrigérateur. Je ne l'ai pas ouverte depuis le matin, très tôt.

    En préparant mon repas de … quatorze heures, j'étais dans la cuisine bien sûr et je pensais, tout en le préparant, aux informations de nutrition reçues et lues sur le net, qui m'indiquaient les extraordinaires bienfaits du bouillon à la gélatine, fait avec des abattis de volailles et des os à moelle… Je me suis souvenue que, tous les dimanches, enfant, nous avions du vermicelle fait avec les abattis du poulet. Je me suis dit, pourquoi pas une cure?

    J'avais acheté des os à moelle chez Pilou, mon fantastique boucher de Gagnac sur Garonne (en fait, les os sont gratuits) et j'ai mis en route un bon bouillon… juste avant de me préparer le plateau déjeuner rapide du midi (-quatorze heures).

    Lisez mes recettes à la gélatine en cherchant avec le mot gélatine dans la boîte outils.

    Comme me dit ma fille, je ne devrais pas penser si fort, mon minuteur en perd la tête!

    1 histoire du minuteur sur Youtube

                       

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     Demain, ma recette de bouillon à la gélatine

  • Petits conseils entre amis! :-)

    L’exposition à l’oxygène change la couleur de la viande

    Toutes les viandes contiennent naturellement un pigment appelé myoglobine, qui est la couleur pourpre de la viande fraîchement hachée. La couleur de la viande hachée provient de deux types de myoglobine: l’oxymyoglobine et la mémoglobine.

    Lorsque la myoglobine entre en contact avec l’oxygène, elle forme de l’oxymyoglobine, qui a la couleur rouge vif de la viande bovine. Après plusieurs heures ou jours d’exposition, l’oxymoyoglobine peut se convertir en métamoglobine, qui a une couleur brun-gris.

    Lorsque la viande est exposée à l’air pendant le processus de hachage, l’oxymyoglobine est formée, avec sa couleur rouge vif.

    La plupart des viandes fraîches vendues dans les supermarchés sont conditionnées dans un film transparent qui permet à l’oxygène de passer à travers elle. En conséquence, il existe beaucoup d’oxygène pour conserver la couleur rouge vif à la surface de la viande. Cependant, sous la surface et au fond de la viande, là où il y a moins d’exposition à l’oxygène, la couleur est beaucoup moins rouge et peut être brun-gris.

    La viande hachée est plus susceptible de changer de couleur que d’autres coupes entières de viande en raison de sa plus grande surface.

    Lorsque la viande de couleur brun-gris entre en contact avec l’oxygène, elle sera généralement “magnifique“ avec la couleur rouge vif.

    La cuisson de la viande hachée en toute sécurité

    Le même type de changement de couleur se produit lorsque la viande hachée est cuite. Elle change de couleur du rouge au brun.

    Si la viande est déjà marron avant de cuisiner, il est peut-être difficile de savoir quand elle est cuite car elle ne passera pas par ce changement de couleur pendant la cuisson.

    La viande hachée doit être cuite à un minimum de 71°C et la température au centre doit être vérifiée avec un thermomètre.

    Cuisson viande hachée en toute sécurité

    Le même type de changement de couleur se produit lorsque la viande hachée est cuite. Il change de couleur du rouge au brun.

    Si la viande est déjà brune avant la cuisson, il peut être difficile de dire quand il est cuit comme il ne passera pas par ce changement de couleur pendant la cuisson.

    La viande hachée doit être cuite à un minimum de 71 o C tout au long et la température au centre doit être vérifiée avec un thermomètre.

    Viandes et volailles de cuisson

    Les différentes viandes nécessitent des températures de cuisson pour détruire les bactéries nocives.

    Par exemple, un steak ne doit être poêlé à l'extérieur et peut être rose à l'intérieur, alors que la viande hachée doit être cuite avec soin pour détruire les bactéries. C'est parce que la viande hachée a beaucoup plus grande surface que le steak et l'intérieur a été exposé à l'atmosphère, et donc à un plus grand risque de contamination bactérienne.

    Une façon est de faire cuire simplement la viande hachée, des saucisses et de la volaille à travers le centre: aucun rose doit être visible et le jus doit être clair.

    En utilisant cette méthode devrait vous assurer que votre viande et de volaille est exempt de bactéries nocives, bien que ce qui constitue “rosé“ et “jus clair“ peut différer d'une personne à une autre; la couleur est pas toujours un indicateur fiable.

    Il est une bonne idée d'investir dans un thermomètre alimentaire et de l'utiliser.

    Investir dans un thermomètre

    Un thermomètre alimentaire vous aide à vous assurer que toutes les bactéries potentiellement nocives ont été détruites par une cuisson adéquate.

    Un thermomètre vous indique la température de l'intérieur de la nourriture de sorte que vous pouvez être sûr qu'il est cuit tout au long.

    Ils ne sont pas chers.

    Utilisation d'un thermomètre

    Il suffit d'insérer la partie de sonde du thermomètre dans la viande cuite / cuisson et noter la température sur le cadran.

    Différents aliments nécessitent des températures de cuisson plus élevées pour détruire les bactéries, ce qui explique pourquoi un thermomètre est un ajout pratique à la cuisine. Il est important que vous ne mettiez pas le thermomètre dans le four au moment de la cuisson de la viande à moins que le fabricant déclare ce qui c'est possible.

    Où placer le thermomètre à viande:

    Volaille - insérez le thermomètre dans la zone de la cuisse intérieure près de la poitrine du poulet ou de la dinde, mais sans toucher l'os

    Les viandes hachées et la volaille - le thermomètre doivent également être placés dans la plus épaisse de plats à base de viande ou de volaille hachée comme pain de viande

    Viande de bœuf, de porc, d'agneau, de veau, jambon - rôtis, steaks ou des côtelettes - insérer le thermomètre dans le centre de la partie la plus épaisse, à l' écart de l' os, de la graisse et de cartilages

    Ragoûts et des plats d'œufs - le thermomètre doit être inséré dans la partie la plus épaisse

     

    Type de viande

    Les températures de

    Poisson

    63C

    viande hachée, saucisses

    71ºC

    Boeuf, veau, agneau, porc:

    moyen rare:

    moyen:

    bien joué:

     

    63ºC - laisser au moins 3 minutes pour la viande reposer

    71ºC

    77ºC

    jambon

    frais (brut):

    précuit (à réchauffer):

     

    71ºC

    60ºC

    Poulet et dinde (entier), les cuisses, les jambes des ailes, les seins:

    74ºC

    les restes

    75ºC

     

     Lors de l'achat, choisir et acheter de la viande au dernier moment pour assurer quelle restera froide aussi longtemps que possible. Veillez d'avoir toujours une plaque surgelée qui maintiendra vos paniers au froid.

    Choisissez des paquets qui sont froids, bien emballés et qui n'ont pas de crevaisons ou éraflures.

    Assurez-vous que le paquet ne contient pas de quantités excessives de liquide. Le liquide peut indiquer qu'il n'a pas été gardé assez froid ou a été stocké pendant trop longtemps.

    Et si vous avez visitez soigneusement mon site

    www.tradi-cuisine.com

    vous saurez que vous ne devez pas acheter de la viande emballée dans du film plastique, dans des barquettes alu… le plus possible, en rentrant à la maison, retirez le papier d'emballage sulfurisé (recouvert d'une couche “plastifiante“) et mettre la viande dans une boîte en verre. Plus haut, la boîte à pizza en carton plastifié!!!

     

  • Un débat, en Amérique, de consommateurs

    Où l'on en apprends de belles sur les boîtes à pizza...

    A la question de "Qui est le véritable obésogène? La pizza ou la boîte?"

    Question posé à un public de 300 personnes se divisant de 87% à 13% sur le fait que la pizza rend les gens plus gros et non pas la boîte.

    Et bien, savoir cela (l'emballage rend des gens obèses) l’attention de nombreux participants de l’IAFP ont été pris au dépourvu. Les produits chimiques fluorés dans les emballages, utilisés pour leurs caractéristiques anti-graisses, sont associés dans certains cas à l’obésité. Ce sont les mêmes produits chimiques utilisés pour leurs propriétés anti-répulsives, résistants aux taches et antiadhésives dans les produits de consommation comme les meubles, les tapis, les vêtements, les cosmétiques et les ustensiles de cuisine.

    On a comparé les Américains aux Italiens et cela a permis de conclure que l’emballage aux États-Unis est ce, pourquoi les gens aux États-Unis sont plus obèses.

    Bien sûr aussitôt une certaine Ruth Kava de l’American Council on Science and Health.

    critiqué cela et a dit que les problèmes d’emballage ne constituaient pas une preuve de causalité. Kava a dit que, bien que les problèmes métaboliques et génétiques soient impliqués, l’obésité globale concerne l’activité et l’apport de calories. Elle a déclaré que les données montrent que les gens mangent plus et sont moins actifs.

    "C’est la pizza", a-t-elle proclamé.

    Les produits “vilains“ (qui ont dépassé la date de consommation)

    Les estimations du gaspillage alimentaire mondial varient, mais les Nations-Unies disent que plus d’un milliard de tonnes d’aliments produits annuellement ne sont jamais consommées alors qu’une personne sur neuf a faim ou est sous-alimentée. Et le gaspillage alimentaire représente une perte économique de 940 milliards de dollars par an.

    Sarah Cahill de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a défendu le côté positif de ces produits "vilains" en arguant que le temps est terminé où nous pouvions nous permettre de gaspiller tant de nourriture. Elle a déclaré que les chiffres de l’ONU montrent que jusqu’à la moitié des fibres, des tubercules, des fruits et des légumes sont gaspillés.

    "Nous devons encourager l’industrie et la technologie", a-t-elle déclaré, en les appelant à utiliser des fruits et des légumes qui ne sont plus utilisés que parce qu’ils sont déformés.

    Pour prendre l’autre parti du débat sur les fruits et des légumes vilains ou moches, Robert Tauxe du Center for Disease Control and Prevention à Atlanta.

    Ce n’est pas le produit déformé qui dérange Tauxe, mais les produits meurtris et altérés qui peuvent rendre les produits mûrs pour les pathogènes. Le responsable du CDC a dit que le classement des aliments ne correspond pas toujours à la sécurité sanitaire et cela peut être une source de confusion pour les consommateurs. Il a souligné ce sont des épidémies passées qui comprenaient des items tels que du chili "récupéré" et des tomates trop mûres qui ont rendu les gens malades.

    Tauxe a déclaré que les gens doivent comprendre que “vilain“ n’est pas la même chose qu’abîmé ou risqué. En fin de compte, le public, qui a été divisé entre 70-30 contre le gaspillage alimentaire et le débat a fini par être largement immobile aux arguments présentés.

    Le troisième débat a présenté l’avocat en sécurité des aliments Bill Marler de Seattle contre Sarah Brew, du cabinet d’avocats de Minneapolis, Faegre Baker et Daniels, sur la question de savoir si les consommateurs "sont une composante de la sécurité des aliments".

    Brew, qui a plaidé du côté de l’industrie, a commencé avec le soutien accablant du public, 87% contre 13%.

    "L’industrie n’a pas la capacité de fabriquer des aliments stériles", a-t-elle dit. L’avocat des entreprises a soutenu que les consommateurs sont la "dernière ligne de défense "de la sécurité des aliments et doivent assumer la responsabilité de suivre les instructions, dont des instructions "Nettoyer, Séparer, Cuire et Réfrigérer" présentes sur les emballages alimentaires.

    Marler a réussi à déplacer le curseur vers le côté consommateurs, avec une ventilation après-débat de 82% pour l’industrie et de 18% pour les consommateurs.

    Il a souligné que seuls environ 36 000 scientifiques alimentaires ont le niveau de connaissances en sécurité des aliments de la plupart des participants à la conférence de l’IAFP. Il a déclaré que des tribunaux existent pour répartir la responsabilité entre toutes les parties qui pourraient avoir une responsabilité et, au final, 12 consommateurs sont choisis comme jury, et ce sont ceux qui décident.

    * Snowflakes. Terme utilisé pour décrire des libéraux extrémistes qui sont offensés par chaque déclaration et/ou croyance qui ne corresponde pas exactement à leur propre opinion. Ces individus pensent qu’ils sont tout aussi ‘uniques’ que les flocons de neige, alors que leurs sentiments sont tout aussi fragiles.