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société - Page 62

  • Petits fromages de chèvre à l'Armagnac

    C'est une semi-conserve de grand luxe, à servir en entrée, sur un lit de salade ou mesclun.

    On met un demi-crottin par petit pot de 125 ml. Ce qui nous donne une généreuse portion individuelle. Cette semi-conserve sera bonne dans un mois et se gardera pour 4 mois après au frigo. Prenez des fromages de chèvre un peu secs

    Voici une recette 10 petits pots de 125 ml.

    En premier lieu, il faut parfumer l'huile: donc, 1 litre de bonne huile d'olive ou de noix ou de noisettes; 4 gousses d'ail hachées grossièrement

    un demi- piment de la Jamaïque ou autre piment, mais c'est facultatif si vous n'aimez pas piquant; perso, ma fille ma ramené de la purée de piment de la Réunion…. j'aime bien que ce soit relevé, mais là! ouf!... j'ai ouvert le pot, rajouté de l'huile d'olive et je m'en sers pour parfumer ma moutarde maison ou autres.

    3 brins de thym et brin de romarin frais

    2 feuilles de laurier ou plus; 1  c. à café de grains de poivre noir concassé; 1 c. à café de grains de cumin

    Pour garnir les pots: 1 peu d'Armagnac, 5 crottins de fromage

    Il faut d'abord parfumer l'huile. Dans une petite casserole, chauffer l'huile à 80 C et y mettre tous les aromates. Couvrir et laisser macérer 2 heures hors du feu.

    Filtrer l'huile parfumée dans un entonnoir tapissé de deux couches d'étamine à moins que vous n'ayez une passoire ultra-fine en inox et son entonnoir large ouverture pour bocaux.

    Faites tremper les crottins de 15 à 20 secondes dans l'eau pour ramollir la croûte. Essuyez à l'essuie- tout un peu fort pour retirer complètement la croûte.

    Tranchez les crottins en deux et badigeonnez-les sur toute leur surface d'Armagnac (ou autre alcool fort) pour les stériliser de toute moisissure active. Laissez l'alcool s'évaporer.

    Placer un demi-crottin par pot et couvrir d'huile en laissant un peu d'espace (tout petit!) sous le goulot.

    Scellez les bocaux et les cacher au réfrigérateur pour un mois.

    Au moment de déguster, égouttez et déposer sur un lit de mesclun ou autre verdure. Vous pourriez aussi les sortir le matin et les poser sur le comptoir pour dégustation en soirée; si vous avez oublié de le faire, faites légèrement tiédir les fromages soit à l'entrée du four chaud durant deux heures, soit en les chauffants dans une poêle en tôle sur feu très, très doux ou au bain-marie.

    Pensez à conserver l'huile égouttée: elle va faire d'intéressantes vinaigrettes. Conservez-la au frigo après l'avoir passé au tamis très fin.

     

  • Faire la cuisine à la maison est-il le secret de la longévité ?

    Pour ceux d'entre vous qui utilisent leur four pour le stockage de chaussures, notez bien tout le temps que vous perdez en laissant votre cuisine inactive, et cela pourrait raccourcir votre durée de vie. En fait, une nouvelle étude a constaté que les gens qui cuisinent jusqu'à cinq fois par semaine étaient 47 pour cent plus susceptibles d'être encore en vie 10 ans après.

    Selon une étude, " Faire la cuisine à la maison augmente la longévité", source US Food Safety, d’après Huffington Post.

    "Il est devenu clair que faire la cuisine est un comportement sain", a déclaré le professeur Mark Wahlqvist, principal auteur de l’étude, dans un communiqué. " Cela mérite une place dans l'éducation tout au long de la vie, la réglementation en santé publique, l’agenda des citadins et l'économie des ménages“.

    L'équipe de recherche, composée de chercheurs taïwanais et australiens, ont publié leurs travaux dans Public Health Nutrition, un journal de l'Université de Cambridge, après avoir observé un groupe de 1 888 hommes et femmes de plus de 65 ans qui vivaient à Taïwan. Au début de l'étude, ils ont interviewé chaque participant sur leur style de vie, dont les habitudes de cuisine, les circonstances familiales, les habitudes d'achat, l'alimentation, l'éducation, le transport et le tabagisme.

    Au cours de la surveillance initiale, les chercheurs ont constaté que 43 pour cent des participants n'ont jamais fait la cuisine, tandis que 17 pour cent la faisait une à deux fois par semaine, 9 pour cent, de trois à cinq fois par semaine et 31 pour cent, cinq fois ou plus par semaine.

    Au bout de 10 ans, ils ont vu combien de participants étaient décédés. Ils ont ensuite mis en relation les réponses liées au mode de vie des 1 193 participants restés en vie. Les chercheurs ont découvert que faire fréquemment la cuisine à la maison a été souvent associé à la survie. Sont aussi associés, faire des courses, prendre les transports en commun, ne pas fumer, et d'être une femme. Cuisiner fréquemment, et la survie, était plus commun chez les femmes et plus profondément chez les femmes non mariées, mais aussi chez les femmes avec une famille.

    Il y a des limites à l'étude : les femmes vivent généralement plus longtemps que les hommes et, pour des raisons culturelles, les femmes font plus la cuisine que les hommes. En outre, celles qui sont restées en bonne santé étaient plus aptes à accomplir des courses liées à la cuisine, comme acheter des aliments, marcher et prendre les transports en commun. Celui qui est vraiment malade ne serait pas capable de faire la cuisine en raison de son état de santé, et pas l'inverse.

    Mais, même après que les chercheurs aient maîtrisés ces autres facteurs, ils ont trouvé une association entre faire fréquemment la cuisine à la maison et la longévité. "L’état à la santé que les aliments fournissent ne sont pas limités à ses éléments nutritifs ou ses composants, mais s'étendent à chaque étape de la chaîne alimentaire, de sa production, l'achat, la préparation et la consommation, en particulier avec les autres", a ajouté Wahlqvist.

    NB : l'étude ne dit pas si les gens ont mangé bio, mais je ne crois que cela n'aurait rien changé …

    Source Cooking frequency may enhance survival in Taiwanese elderly

    Rosalind Chia-Yu Chen, Meei-Shyuan Lee, Yu-Hung Chang and Mark L Wahlqvist

  • Tripes déjà cuisinées

    Dans votre enfance, mémé vous préparait des tripes…. à sa mode à elle. Aujourd'hui, vous ne savez pas les cuisiner… mais en regardant une recette sur le net, ouf! que c'est long à cuire!

    Un petit tuyau en passant: avec une cocotte minute, cela diminue les temps de cuisson de presque la moitié. Et, qu'est-ce qui vous empêche de les préparer et mettre à cuire en regardant votre film à la télé?

    Sinon, achetez un bloc tout prêt chez votre boucher ou charcutier puis suivez le guide: vous aurez une autre façon de les consommer.

    Tartine gourmande de tripes

    Pour 4 personnes

    400 g de tripes cuisinées, 8 tranches de pain de campagne

    1 oignon rouge, quelques pluches de cerfeuil

    1 salade de roquette; poivre du moulin

    Faites chauffer les tripes dans une casserole sur feu doux. Laissez cuire jusqu'à complète réduction du bouillon.

    Faites griller les tranches de pain. Pelez et émincez l'oignon.

    Déposer les tripes sur les tranches de pain, ajouter les tranches d'oignon. Donner un tour de moulin à poivre.

    Servir aussitôt avec une salade de roquette.

     

  • Avec ce froid, une petite tisane?

     Bien sûr, il y a des tas et des tas de tisanes bio!

     

     

  • Conserver vos aliments?

    Temps de conservation

    Il arrive fréquemment qu'on se demande si un aliment est encore bon après un certain temps ou si on doit le jeter. Pour vous aider, ce tableau regroupe les temps de conservation des aliments les plus consommés.

     

    Produits laitiers

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Lait, crème, yaourt

     

    3 à 5 jours (ouverts)

     

    Camembert, brie

     

    3 à 4 semaines

     

     

     

     

     

    Fruits

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Fruits rouges

     

    2 jours

    1 an

    Melons, rhubarbe

     

    4 jours

     

    Raisins, prunes

     

    5 jours

     

    Pêches, abricots

     

    1 semaine

     

    Jus

     

    1 à 2 semaines (entamés)

     

    Pommes

     

    2 mois

     

     

     

     

     

    Légumes

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Endives

     

    3 jours

     

    Haricots, champignons, brocoli

     

    5 jours

     

    Chou-fleur, choux de Bruxelles

     

    6 jours

     

    Poivrons, oignons verts, radis, navet, laitue, tomates, courgettes, concombre, poireau

     

    1 semaine

     

    Chou, céleri

     

    2 semaines

     

    Betteraves

     

    3 semaines

     

    Oignons

     

    3 à 4 semaines

    1 an

    Carottes

     

    3 mois

    1 an

    Potage, soupe

     

    3 jours

    2 mois

     

     

     

     

    Viandes, volailles, poissons, œufs

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Œufs frais crus

     

    3 semaines

    4 mois

    Jaunes et blancs frais

     

    2-4 jours

    4 mois

    Œufs cuits dur

     

    1 semaine

     

    Agneau (côtelettes, rôtis)

     

    3 à 5 jours

    6 à 9 mois

    Bœuf (biftecks, rôtis)

     

    3 à 5 jours

    6 à 12 mois

    Jambon cuit (en tranches)

     

    3 à 4 jours

    1 an

    Porc (côtelettes, rôtis)

     

    3 à 4 jours

    4 à 6 mois

    Viande hachée, boulettes de viande

     

    1 à 2 jours

    2 à 3 mois

    Viande cuite

     

    3 à 4 jours

    2 à 3 mois

    Volaille

     

    1 à 2 jours

    6 mois

    Bacon

     

    7 jours

    1 an

    Viande fumée, charcuterie

     

    5 à 6 jours

    1 à 2 mois

    Saucisses fraîches

     

    1 à 2 jours

    1 à 2 mois

    Poisson et crevettes

     

    1 à 2 jours

    2 mois

     

     

     

     

    Féculents et Céréales

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Céréales sèches

    6 à 8 mois

     

     

    Farine blanche

    2 ans

     

     

    Pâtes et riz

    1 an

     

     

    Légumineuses sèches

    1 an

     

     

    Pommes de terre

    1 semaine

    Plusieurs mois

     

     

     

     

     

    Aliments divers

    Placard

    Réfrigérateur

    Congélateur

    Fines herbes séchées

    1 an

     

     

    Confiture

     

    Quelques mois (entamés)

     

    Miel pasteurisé

    18 mois

     

     

    Conserves

    1 an

     

     

    Ketchup, marinades

     

    1 an (entamés)

     

    Mayonnaise

     

    2 mois (entamée)

     

    Huile d’assaisonnement

    1 an

     

     

    Vinaigre

    2 ans

     

     

    Thé

    1 an

     

     

    Café moulu

    1 semaine (entamé)

    2 mois

     

    Café instantané

    1 an

     

     

    Beurre

     

    3 semaines (ouvert)

     

     

     

     

     

  • Comment fabriquer son propre gin

    est "le" spiritueux en vogue, le chouchou des apéros d’été une fois noyé dans le tonic.

    Comment fabriquer son propre gin, l’un des rares spiritueux qu’on peut créer à son goût sans le redistiller,

    Vous pouvez craquer pour des agrumes insolites, des herbes rares ou des épices originales |

    Arrachez une vodka à son triste destin

     Le gin n’est jamais qu’une vodka pomponnée au genièvre et, éventuellement, habillée d’herbes, écorces, zestes et épices. Alors on commence par le commencement, et on achète une bouteille de vodka, de préférence titrant entre 50 et 65% (si le pourcentage d’alcool est trop mou ou trop violent, l’extraction des composés aromatiques des botaniques vous arrachera une grimace).

    Pourquoi une vodka et non un gin de base? Pour garder la maîtrise du dosage en genièvre, colonne vertébrale de votre gnôle de salle de bain. Et pour sauver une vodka de son triste destin sans saveur. Commencez modestement avec une bouteille, pas une baignoire.

    Avant même de commencer, essayez d’avoir une idée du gin que vous avez envie de créer. De cette décision dépendra le choix et le nombre des botaniques. Au début, mieux vaut rester simple, presque binaire, et travailler avec deux ou trois ingrédients.

    C’est le moment de craquer pour des agrumes insolites, des herbes rares ou des épices originales car vous les utiliserez en très faibles quantités, sans vous ruiner –pensez-y quand vous craquerez pour un gin à 50 euros, qui, lui, vous prend pour un gogo.

    D’abord, le genièvre (et après on verra)

    L’intensité en genièvre sculpte l’essentiel du caractère d’un gin. C’est donc l’étape à ne pas saborder. N’achetez pas de baies déshydratées: vous avez besoin du gras, des huiles essentielles qu’elles renferment. Et faites le tri pour écarter toutes celles qui ne sont pas bien lisses et rebondies. Impératif, car les baies fripées et rabougries apportent des notes de terre humide, de vieux sapin qui pourrit sur pied.

    Baies de genièvre? ici: www.biotine-sep.com

    Quelle quantité de baies? Tout dépend de votre interprétation du gin. Commencez pépère, avec 25 grammes de genièvre pour 70 centilitres de vodka. Si les baies sont entières, laissez macérer une journée ou au-delà, mais un conseil, goûtez très souvent –il faut parfois savoir se sacrifier quand la quête le mérite.

    Si vous émiettez les baies pour en extraire les arômes huileux logés dans le cœur, quinze à trente minutes suffisent; au-delà, le boisé rafle la mise. Pour gagner en complexité, divisez la vodka diluée à différents degrés dans plusieurs récipients, en émiettant ou non le genièvre, et jouez sur plusieurs temps de macération pour créer ensuite un assemblage.

    À cette étape, laissez votre imagination poser les limites. Le gin, c’est le truc le plus facile à créer, car il n’y a pas de règles, on dispose d’une liberté totale. Et c’est aussi ce qu’il y a de plus difficile à faire, car il n’y a pas de règles, on dispose d’une liberté totale. Jusqu’à quel point user ou abuser de cette liberté? Allez, un peu d’aide.

    Vous pouvez laisser macérer tous vos ingrédients dans le même saladier de vodka ou les travailler un par un ou à plusieurs en vue d’un futur assemblage. Avec l’avantage de ne pas tout balancer si vous vous ratez sur une infusion; et l’inconvénient de devoir goûter régulièrement (j’insiste, le timing est crucial) chaque macération.

    Pour élaborer un gin dry et frais, jouez sur les zestes (non séchés) d’agrumes, la coriandre fraîche (30 à 40 minutes de macération dans l’alcool suffisent), le concombre tranché, le thé vert genre maicha…

     Pour un boisé tempétueux, privilégiez une macération longue des baies de genièvres non émiettées. Et misez sur une infusion rapide de thé noir dans l’alcool, du rooibos, de la réglisse pour calmer l’astringence. Les fleurs de jasmin séchées apporteront en sus un toucher de bois ciré précieux.

    Thés? fleurs de Jasmin? Réglisse? http://www.biotine-sep.com/phyto/index.html

    Un gin floral appréciera un genièvre délicat, des fleurs de jasmin fraîches, d’acacias, d’oranger, des pétales de rose, du gingembre frais émincé (en macération rapide), de la bergamote…

    Pour un gin méditerranéen, forcez sur le genièvre et piochez dans le répertoire frais et anisé: les écorces d’agrumes, les herbes de Provence (estragon, basilic, thym, romarin), une pointe d’anis étoilé, qui déposera nonchalamment un peu de profondeur en fin de bouche.

    Fleurs ici: http://www.biotine-sep.com/fleurs/index.html

    Alerte vigilance, certains ingrédients se montrent un peu traîtres à travailler. La gourmande vanille est de ceux-là. Faites-la toujours macérer à part. La cannelle et le girofle deviennent très vite astringents; ne les quittez pas d’un œil. Quand ils macèrent trop longtemps, le basilic vire à l’estragon, la lavande à la lessive et la menthe à la pisse de chat. De rien…

    Pour électriser un gin en berne, rien de tel que des graines de cardamome (sorties de leur cosse) ou du poivre du Sichuan. Pour une patine chaleureuse, quelques grains d’orge. Pour apporter de la tension, des écorces d’agrumes, dont la macération se compte en minutes seulement.

    Epices: http://www.biotine-sep.com/epices/index.html

    Les astuces qui font la différence

    Terminé? Filtrez le contenu du saladier dans un banal filtre à café pour stopper net l’activité des plus petites graines (cardamome ou miettes de genièvre); laissez reposer. Puis, procédez à la réduction à la Volvic si votre vodka titrait à plus de 40%. Diluez lentement, sur une semaine si possible, en oxygénant à chaque fois le mélange. Cette étape va donner de la cohésion à l’assemblage.

    Embouteillez dans un joli flacon sombre si la robe jaune orangé due aux macérations vous plonge dans le désarroi. Si les 70 centilitres de vodka de départ remplissent tout juste une bouteille de 50 centilitres de votre gin maison, pensez à espacer les étapes de contrôle qualité..... la prochaine fois.

    De rien!

     

  • Mesurer l'âge cérébral...

    Des chercheurs britanniques de l’Imperial College de Londres ont montré qu'il est possible de déterminer l'âge cérébral d'un patient, potentiellement différent de son âge civil, ce qui pourrait fournir des informations sur l’état de santé présent et à venir du cerveau, et même dans certains cas alerter sur un risque de mort prématurée. C’est l’écart entre les deux âges qui permettrait de tirer ces conclusions capitales. Les spécialistes affirment avoir mis au point une méthode de calcul de l’âge du cerveau qui, basée sur la neuro-imagerie, analyse le volume de tissu cérébral.

     

    Celui-ci est étudié grâce à des ordinateurs appliquant des algorithmes spécifiques et mis en parallèle avec des clichés d’examens par imagerie par résonance magnétique (IRM). Une fois l’âge cérébral évalué, il faut le comparer à l’âge chronologique du patient, ce que les scientifiques ont fait avec un groupe de personnes âgées écossaises. Or, les résultats obtenus montrent que plus la différence entre cet âge et l’âge réel est importante, plus les risques de mauvaise santé mentale et physique, voire de décès, sont élevés.

     

    Face à ce constat, les chercheurs estiment que leur dispositif pourrait à terme devenir un outil de dépistage pour identifier un éventuel déclin cognitif ou un risque de mourir avant d’avoir atteint 80 ans. "Quelqu’un pourrait aller chez son médecin, avoir une analyse du cerveau et le médecin pourrait dire "votre cerveau est 10 ans plus vieux qu’il ne le devrait", et conseiller de changer d’alimentation, de mode de vie ou de commencer un traitement", s’enthousiasme le docteur James Cole, principal auteur de l’étude.

    Paru dans la revue Nature