Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

société - Page 34

  • Celle qui a sauvé des millions de bébés

    Cette semaine, notre héros du Progrès est une héroïne, Virginia Apgar, anesthésiste et chercheur américaine, qui a inventé le test permettant d’évaluer rapidement la santé du nouveau-né et de déterminer si l’enfant a besoin immédiatement de soins médicaux néonataux.

    Ce test, dénommé "score d’Apgar" continue à être utilisé couramment dans le monde entier et il est reconnu pour avoir sauvé la vie de millions de nouveau-nés depuis 1952.

    Virginia Apgar est née à Westfield, dans le New Jersey, le 7 juin 1909. Apgar avait deux frères aînés, dont l’un est mort en bas âge de la tuberculose, tandis que l’autre vivait avec une maladie chronique. En raison des problèmes médicaux de ses deux frères, Apgar choisit de faire carrière dans le domaine médical.

    En 1929, Apgar obtient un diplôme de zoologie avec des mineures en physiologie et chimie au Mount Holyoke College, et la même année, elle commence sa formation médicale au College of Physicians and Surgeons (P&S) de l’Université de Columbia.

    Apgar obtient son diplôme de médecine en 1933 et commence un internat de deux ans en chirurgie à l’Hôpital presbytérien P&S. Bien qu’elle fasse montre de compétence, le président du P&S, qui s’inquiétait des perspectives économiques pour les femmes chirurgiens pendant la Grande Dépression, lui conseille de faire carrière dans l’anesthésie – un nouveau domaine d’étude qui commençait à prendre forme en tant que spécialité plutôt médicale, que strictement infirmière.

    Apgar suit ce conseil et après la fin de son internat en 1936, elle commence une formation d’anesthésiste d’un an à l’hôpital presbytérien. Après avoir terminé le cursus, elle effectue son résidanat en anesthésiologie à l’université du Wisconsin et à l’hôpital Bellevue de Manhattan, NYC.

    En 1938, elle retourne à l’Hôpital presbytérien et devient directrice du nouveau département d’anesthésie. Apgar est la première femme à occuper un poste de direction à l’Hôpital presbytérien.

    En 1949, Apgar devient également la première femme à occuper un poste de professeur titulaire à la P&S. La chaire d’anesthésiologie la libère de nombreuses tâches administratives, lui permettant ainsi de consacrer davantage de temps à la recherche.

    Apgar constate que la mortalité infantile (c’est-à-dire les bébés âgés de 0 à 1 an) aux États-Unis a diminué rapidement entre les années 1930 et 1950. Mais que le taux de mortalité des bébés dans les 24 heures suivant la naissance est resté le même.

    Perplexe devant cet écart, Apgar commence à étudier les différences entre les nouveau-nés en bonne santé et les nouveau-nés nécessitant des soins médicaux.

    En 1952, Apgar élabore un test appelé "score d’Apgar" que les professionnels de la santé peuvent utiliser pour évaluer la santé des nouveau-nés. Le système de notation Apgar donne à chaque nouveau-né un score de 0, 1 ou 2. Zéro indique la pire condition possible et deux indique la condition idéale dans chacune des cinq catégories suivantes: activité (tonus musculaire), pouls, grimace (irritabilité des réflexes), apparence (couleur de la peau) et respiration. Pour que son évaluation soit facile à retenir, la première lettre de chacune des cinq catégories forme le mot "APGAR".

    Le test est généralement effectué sur les nouveau-nés 1 minute puis 5 minutes après leur naissance. Un score cumulé de 3 ou moins est généralement considéré comme dangereusement bas et justifiant une prise en charge médicale immédiate.

    Le test d’Apgar est rapidement devenu une pratique courante dans le monde entier. Il reste aujourd’hui encore une procédure standard pour évaluer la santé du nouveau-né.

    En 1959, Apgar obtient une maîtrise en santé publique à l’université Johns Hopkins et commence à travailler pour la Fondation March of Dimes – une organisation américaine à but non lucratif qui œuvre à l’amélioration de la santé des mères et des bébés – en dirigeant son programme de recherche axé sur le traitement et la prévention des malformations congénitales.

    Tout en travaillant à la March of Dimes, Apgar devient une fervente partisane de la vaccination universelle pour prévenir la transmission de la rubéole de la mère à l’enfant.

    Virginia Apgar deviendra ensuite maître de conférences, puis professeur clinique de pédiatrie à l’université Cornell. Elle décède le 7 août 1974.

    Tout au long de sa carrière, elle recevra de nombreux doctorats honorifiques, le "Distinguished Service Award" de l’American Society of Anesthesiologists (1966) et le titre de " Femme de l’année en sciences " par le Ladies Home Journal (1973).

    En 1995, elle a été intronisée au National Women’s Hall of Fame des États-Unis.

    On attribue à l’utilisation du score d’Apgar la réduction du taux de mortalité infantile car il a considérablement augmenté la probabilité de survie des bébés dans les 24 heures suivant la naissance. L’invention et l’utilisation du score d’Apgar ont permis de sauver des millions de vies et continuent à en sauver des milliers d’autres chaque jour. C’est pourquoi Virginia Apgar est notre vingt-deuxième héros du progrès.

    Les Héros du progrès, c’est aussi:

     

  • Gâteau de semoule à l’orange

    Pour les enfants, bien sûr, par d'alcool. Un gâteau tradi de par chez nous.

    Ingrédients: 100g de semoule de blé fine déjà cuite

    Pour 1 verre à moutarde se semoule (cela doit correspondre aux 100 g de semoule) et un verre et demi de lait: mettre le lait dans une casserole inox, versez le verre de semoule; cela cuit très vite, donc, remuez constamment et arrêtez le feu dans les trois minutes maximum; laissez refroidir (pas au frigo).

    4 œufs; 1 orange bio; 70g de miel; une grande cuillère à soupe de Grand Marnier (c'est mieux) ou d'Armagnac

    70g de sucre + 20g de sucre;

    20cl de jus d’orange (de préférence pressé par vos soins) + 5cl de jus d’orange

    100g de poudre d’amandes; 2 cuillères à soupe de fleur d’oranger

    Facultatif: huile essentielle d'orange ou poudre de gingembre

    Séparez les blancs des jaunes d’œufs. Fouettez les jaunes avec les 70g de sucre. Ajoutez ensuite les 20cl de jus d’orange.

    Ajoutez la poudre d’amandes, mélangez. Ajoutez ensuite la semoule, puis le gingembre (facultatif). Laissez reposer 20 minutes.

    Râpez les zestes de l’orange, additionnez-les ensuite au mélange. Montez les blancs d’œuf en neige, puis ajoutez-les délicatement à la préparation.

    Versez l’ensemble dans un moule beurré. Coupez votre orange en tranches et placez-en quelques unes par-dessus la pâte.

    Enfournez à 200°C pendant 20 minutes.

    Pendant ce temps, mélangez les 20g de sucre avec le miel et la fleur d’oranger. Ajoutez les 5cl de jus d’orange. Versez dans une casserole, 15 gouttes d'H.E. d'orange et portez à ébullition.

    Quand le gâteau est cuit, laissez-le tiédir, puis versez le sirop auquel vous avez ajouté le Grand Marnier ou Armagnac.

    Laissez-le s’imbiber pendant minimum 5 heures au frais.

  • La preuve des mensonges du gouvernement

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2020/06/18/la-preuve-des-mensonges-du-gouvernement-6246606.html

     

     

  • Le pognon, toujours le pognon: crevez, pauvres gens!

    La puissance de Big Pharma dépasse ce que nous pouvions imaginer

    La puissance financière de Big Pharma est telle que les rédacteurs en chef avouent publier sous contrainte!

    Chaque jour nous apporte sa dose de révélations sur le milieu de Big Pharma et des publications dans les revues à comité de lecture, considérées autrefois comme fiables et qui manifestement ne le sont plus, et à un niveau que nous ne saurions imaginer.

    Nous pensions être un peu informés car nous avons publié un livre sur les nouvelles molécules innovantes, hors de prix, toxiques et peu efficaces chez Michalon en 2016 et présenté dans les colloques d’Avicenne deux études sur les évaluations trompeuses de ces nouveaux médicaments. Les autorisations de mise sur le marché sont en effet délivrées non plus sur les critères classiques (en cancérologie l’amélioration de la durée de vie des patients) mais sur des critères substitutifs, appréciations rapides de l’efficacité du médicament testé sur la taille d’une métastase choisie et une durée limitée à quelques mois.

    Mais l’article publié en anglais le 7 Juin dépasse ce que nous avions imaginé, même après la mise en évidence du trucage évident, grossier de l’article du Lancet souhaitant démolir l’hydroxychloroquine.

    "Selon les rédacteurs en chef de The Lancet et du New England Journal of Medicine, "la puissance financière de Big-Pharma est telle que nous sommes contraints de publier certains articles" — Et Surgisphere dans tout ça?" Vera Sharav – Vaccin Impact Sott.net dim., 07 juin 2020.

    En français https://fr.sott.net/article/35757-

    Nous vous en livrons les passages les plus succulents. Accrochez-vous.

    Le docteur Philippe Douste-Blazy, cardiologue et ancien ministre français de la santé et sous-secrétaire général des Nations unies, dans un entretien filmé le 24 mai 2020, a expliqué comment une série d’études négatives sur l’hydroxychloroquine ont été publiées dans de prestigieuses revues médicales.

    "Il a révélé que lors d’une récente réunion top secrète tenue à huis clos à Chatham House, à laquelle seuls des experts ont participé, y compris les rédacteurs en chef de The Lancet et du New England Journal of Medicine qui y ont exprimé leur exaspération en citant les pressions exercées sur eux par les sociétés pharmaceutiques".

    Il a déclaré que chacun des deux rédacteurs a utilisé le mot "criminel" pour décrire l’érosion de la science.

    Remarquons que ce mot fut déjà employé par le PR Peter Goetsche, fondateur de la prestigieuse fondation Cochrane, licencié lors de son rachat par Bill Gates. Son livre de 2013 "remèdes mortels et crime organisé" ne mâchait pas ses mots mais fut malheureusement ignoré d’une grande partie des médecins lanceurs d’alerte comme le professeur Even ou nous-mêmes préférant nous diaboliser plutôt qu’ouvrir les yeux. Pourtant le cancer, entre autres, n’épargne personne, mais alors il est trop tard.

    Le Dr Richard Horton, rédacteur en Chef du fameux Lancet a déploré l’état actuel de la science:

    "Si cela continue, nous ne pourrons plus publier de données de recherche clinique parce que les compagnies pharmaceutiques sont tellement fortes financièrement et arrivent à avoir de telles méthodologies pour nous faire accepter des papiers qui apparemment méthodologiquement sont parfaits, mais qui au fond font dire ce qu’ils veulent à ceux-là; c’est très grave!".

    Dans cet article, l’auteur rappelle la position courageuse précoce de l’ancien ministre pour la liberté de prescription libre des médecins et en particulier de la chloroquine. Il avait, avec le Professeur Perronne, lancé une pétition signée par près de 500 000 médecins et citoyens français.

    Si le gouvernement avait écouté ces médecins et les citoyens, beaucoup de vies aurait probablement été sauvés, en particulier ceux des ainés en EHPAD abandonnés avec interdiction par décret du 26 mars de les hospitaliser, de le traiter par autre chose que le doliprane, exigence aberrante et non éthique, puis euthanasiés par Rivotril de prescription hors AMM facilité par ce fameux décret toujours valide à ce jour. Une violation flagrante de la loi Leonetti et surtout du choix libre du patient et de sa famille.

    Dans cet article, Vera Sharav explique que le choix de l’hydroxychloroquine est devenu un choix politique, ce qui semble complètement aberrant!  "Les politiciens de gauche et les responsables de la santé publique sont catégoriquement opposés à l’utilisation de l’HCQ, alors que ceux qui penchent politiquement à droite sont pour le droit des médecins à prescrire le médicament comme ils le jugent bon".

    NON, PAS DU TOUT! d'après Valeurs Actuelles, de cette semaine, c'est EDOUARD PHILIPPE qui a trafiqué -avec ses sbires de Matignon- le décret qui devait permettre la prescription LIBRE à tous les médecins: ce sont eux qui ont modifié le décret initial! Edouard Philippe est un ancien LR, une girouette politique: souvenez-vous en si vous voyez son nom inscrit sur n'importe quelle liste électorale! Honte aux habitants du Havre qui l'ont élu, ce fantoche, maire!

    "Cependant, les responsables de la santé publique, les médecins universitaires et les médias — qui sont tous financièrement redevables aux sociétés pharmaceutiques et à leurs objectifs de marketing à haut profit — s’opposent avec véhémence à l’utilisation de l’hydroxychloroquine, et profitent de chaque occasion pour dénigrer le traitement en faisant référence de manière dérisoire au président Trump comme son promoteur".

    The Lancet a publié une étude frauduleuse toujours lisible, malgré la rétractation et tous connaissent l’histoire relatée comme un feuilleton; pour ceux qui auraient raté les détails, lisez les articles détaillés dans France soir de la fraude du Lancet et celle du BMJ.

    Deux points sont soulignés par Vera: "La base de données appartient à Surgisphere Corporation, dont le fondateur et PDG est le Dr Sapan Desai, qui est l’un des principaux co-auteurs de l’étude. Le Dr Desai a — pour un examen de confirmation indépendant — refusé de divulguer les données. En fait, il refuse de mentionner les hôpitaux participants, voire les pays.

    Le Dr Mandeep Mehra, co-auteur principal, est directeur au Brigham & Women’s Hospital, qui est crédité du financement de l’étude. Le Dr Mehra et The Lancet n’ont pas révélé que le Brigham Hospital a un partenariat avec Gilead et qu’il mène actuellement DEUX essais pour tester le Remdesivir, le principal concurrent de l’hydroxychloroquine pour le traitement du Covid-19, le point central de l’étude".

    Rien de surprenant, ni de bien neuf mais il vaut mieux le savoir. A la suite du scandale évident de la publication du Lancet dont la nullité est évidente à la première lecture, et après les tristes prestations médiatiques de quelques professeurs qui resteront célèbres -car rien ne s’efface sur le web, une lettre ouverte fut publiée en ligne, adressée aux auteurs ainsi qu’au rédacteur en Chef, le Dr Richard Horton, signée par plus de 200 éminents scientifiques du monde entier, dont 17 issus d’institutions africaines.

    Parmi les préoccupations, Vera cite:

    "Une série d’écarts flagrants par rapport à la recherche et aux pratiques cliniques standards, comme par exemple: les patients se sont vu prescrire des doses quotidiennes d’hydroxy chloroquine inexplicablement élevées — bien plus élevées que les doses recommandées par la FDA;

    Aucune évaluation éthique ; Le nombre de patients provenant d’Australie aurait largement dépassé le nombre de patients figurant dans la base de données du gouvernement australien;

    Représentation grossièrement erronée du nombre de décès en Australie;

    "Le nombre de cas et de décès [les prétendus 40% de décès déclarés en Afrique], ainsi que les détails fournis, semblent peu probables";

    Refus d’identifier les hôpitaux qui ont fourni des données sur les patients

    The Guardian déclarait le 28 mai qu’il ne pouvait pas confirmer que les agences de santé britanniques n’avaient, ne serait-ce que fourni des données pour l’étude ".

    Vous trouverez de nombreux détails sur les réactions de professeurs de toutes parties du monde entier. Ce qui parait nouveau ici et en tous cas très éclairant sur le devenir de l’intelligence artificielle et des bases de données vendues larga manu est le rôle de Surgisphère.

    Surgisphere Corporation, c’est quoi?

    Un rapport d’enquête de Catherine Offord paru dans The Scientist, cité par Vera, le 30 mai 2020, rapporte

    En 2008, Surgisphere fut l’éditeur de manuels médicaux qui ont connu des difficultés lorsque des médecins se sont plaints de critiques dithyrambiques falsifiées (…)

    The Scientist rapporte que le Dr Desai est cité dans trois procès pour faute médicale qui ont été intentés au cours du second semestre 2019. (…)

    "Les employés de Surgisphere n’ont que peu ou pas de compétences ou d’antécédents scientifiques. Un employé répertorié comme rédacteur scientifique semble être en fait un auteur de science-fiction et de fantasy. Un autre employé répertorié comme responsable marketing est une mannequin également hôtesse en événementiel… jusqu’à lundi, le lien " entrer en contact " sur la page d’accueil de Surgisphere redirigeait vers un modèle WordPress pour un site web de cryptologie monétaire, ce qui soulevait des questions sur la manière dont les hôpitaux pouvaient facilement contacter l’entreprise pour rejoindre sa base de données. "

    LA PRATIQUE RÉELLE de l’intelligence ARTIFICIELLE RÉVÉLÉE PAR LE SCANDALE DU LANCET

    Le plus croustillant et effarant est ce qui nous attend avec l’intelligence artificielle gérée probablement par des sociétés de ce genre.

    "Surgisphere se présente comme "une organisation de service public qui se consacre à rendre le monde meilleur". prétend leur plateforme QuartzClinical®

    "effectue des analyses de données sur les soins de santé présentes dans le Cloud en exploitant une multitude de données et en les présentant de manière qu’elles soient faciles à comprendre et à utiliser pour les administrateurs des soins de santé et leur personnel.

    […]

    QuartzClinical® est doté d’une intelligence artificielle sophistiquée qui permet d’effectuer et d’analyser facilement un grand nombre de tâches complexes. La technologie avancée des ordinateurs qui apprennent tout seuls permet d’identifier des modèles de données qui prendraient aux êtres humains une vie entière pour les reconnaître, sans parler de leur utilisation.

    QuartzClinical® a été reconnu par Frost et Sullivan comme ayant la plateforme d’analyse de données la plus avancée du marché, basée sur des ordinateurs qui apprennent tout seuls. De plus, les résultats d’analyse de QuartzClinical® ont été reconnus au niveau international pour la qualité des soins de santé et ont donné lieu à de nombreuses publications dans les principales revues médicales".

    Voilà comment fonctionne l’intelligence artificielle et à quoi cela aboutit. Les ordinateurs apprennent tout seuls, bravo, mais à partir de données qu’un pauvre humain a choisi de mettre dans la machine ignorante et pas si intelligente que le mot pourrait le laisser penser. Attention à vos données de santé, à votre dossier partagé qui le sera surtout avec ces grandes firmes sans âme, sans pensée, sans éthique, qui ne verront pas le mal, ni le bien parce que sans cerveau, et seulement une machine.

    Aujourd'hui, a été adopté une loi qui permet aux médecins de LEVER LE SECRET PROFESSIONNEL!

    Macron: DICTATEUR!

    "Ce n’est qu’après les rapports de The Scientist et de The Guardian que les rédacteurs en chef du NEJM et de The Lancet ont été contraints de publier" L’expression d’une préoccupation".

    Ce fiasco démontre pourquoi les personnes intelligentes recherchent des sources alternatives d’informations fiables. Le site web, Science Defies Politics, expose de nombreuses études scientifiquement invalides qui étaient essentiellement des " coups montés "contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine".

    Vous savez maintenant après ces semaines passées à décortiquer les liens d’intérêt des vedettes télévisées comme des patrons de l’APHP et du fameux conseil scientifique, à qui aurait dû profiter le crime de falsification pour la chloroquine, pas chère, efficace, sans danger connu, après que plus d’un milliard d’humains l’ait absorbé. Malgré leurs façons méprisantes de traiter les citoyens comme de jeunes enfants, la supercherie a été dévoilée. Mais entre temps combien de morts inutiles en France, en Grande-Bretagne, transitoirement en Espagne qui ont privé leurs patients de chloroquine sur ordre des gouvernements conseillés par l’OMS qui, elle, a rapidement changé d’avis une fois les falsifications dévoilées. Mais en France l’interdiction pèse toujours et la délivrance en pharmacie impossible. Serons-nous toujours les pires?

    Vera cite d’autres conflits d’intérêt majeurs à l’origine de ces manipulations aux dépens des patients.

    "Comme l’a révélé Science Defies Politics cité par Sarah: 16 des membres du panel sélectionnés par " National Institutes of Health " (Institut National de Santé américaine), pour formuler les directives officielles dans le traitement contre le Covid-19 — dont deux des trois coprésidents — ont été payés par Gilead. Ils ont émis des directives qui ont suscité la peur, l’incertitude et le doute quant à l’utilisation de l’hydroxychloroquine combiné à l’azithromycine, tout en ne suscitant aucune crainte, aucun doute ni aucune incertitude quant à l’utilisation du médicament non prouvé et non approuvé de Gilead, le Remdesivir; un médicament qui a montré des performances médiocres dans les essais cliniques.

    Sept des membres du panel du NIH ont omis de divulguer leurs liens financiers avec Gilead.

    La littérature scientifique médicale est infestée d’études de mauvaise qualité, motivées par des considérations financières, visant à promouvoir des produits et, lorsqu’un produit non brevetable, capable de sauver des vies, s’avère efficace, des scientifiques sont engagés pour rédiger des rapports d’étude destinés à ternir la réputation des scientifiques, et pour proclamer des conclusions qui réfutent des constatations légitimes. Dans ce cas, il s’agit d’études destinées à "démystifier" l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre le Covid-19".

    En conclusion, la science est tellement corrompue que les rédacteurs en chef des grandes revues avouent leur impuissance; ils devraient démissionner comme l’ont fait Marcia Angell en2002 et D Kisserer du NEJM en 2007 déjà!

    Les politiciens de gauche et les responsables de la santé publique sont catégoriquement opposés à l’utilisation de l’HCQ, alors que ceux qui penchent politiquement à droite sont pour le droit des médecins à prescrire le médicament comme ils le jugent bon".

    Pourquoi? Juste parce que Trump et Bolsonaro ont soutenu cette option thérapeutique et que D Raoult est ami de R Muselier, LR? Ont-ils pensé aux nombreuses victimes potentielles et concrètes de cette interdiction? Pour qui se prennent -ils ainsi pour se mêler de prescription?

    L’intelligence artificielle mélangeant les big data auxquelles veulent croire nos gouvernants menace d’être une confiture pourrie qui ne conduira qu’a des désastres sanitaires, mais probablement à des enrichissements boursiers.

    Tragique corruption de la société.

    Nicole Delépine

    https://ripostelaique.com/la-puissance-de-big-pharma-depasse-ce-que-nous-pouvions-imaginer.html

  • Fruits rouges : Comment faire le plein d’antioxydants?

    Les polyphénols constituent une importante famille d’antioxydants dans les plantes, les fruits et les légumes puisqu’elle comprend plus de six mille molécules. On estime que l’alimentation en fournit environ 1 g par jour. Les polyphénols permettent aux végétaux de se défendre contre les ultraviolets.

    Pour ces raisons, les teneurs en polyphénols sont plus élevées dans les fruits mûrs que dans ceux qui sont cueillis trop tôt. Les polyphénols défendent la plante contre les pathogènes et leur concentration augmente après une infection.

    Ceci explique que les fruits bio, en particulier les fraises et les mûres renferment plus de polyphénols antioxydants que les fruits élevés sans stress comme c’est le cas dans l’agriculture classique. Enfin, le stockage au froid pendant quelques jours ne semble pas affecter la teneur de ces fruits en antioxydants.

    GRATIN DE FRAISES

    Par personne: 1 bol en terre qui passe au four

    Des fraises bio ou du jardin: lavez-les d'abord, puis, ôtez le pédoncule (si vous le faites avant, dès que vous laverez vos fraises, de l'eau va entrer dans le fruit par le trou du pédoncule)

    Une pincée de cannelle

    Un œuf battu en omelette avec de la crème fraîche liquide puis la cannelle (par bol).

    Coupez les fraises en petits morceaux, arrosez de l'omelette à la crème fraîche

    Mettre au four à cuire, 10 mn à 170°: plus c'est cuit, plus vous perdez des vitamines, alors, mollo sur la molette du four! J

    Date limite de dégustation: avant les autres!

    (hi, hi, j'adore ce slogan!)

    Vous ferez cette recette avec des mûres, des myrtilles ou un mélange de fruits rouges.

    BIS REPETITAS

    Si vous utilisez des fruits congelés, n'oubliez jamais de les décongeler en les sortants du plastique si vous ne voulez pas que la chimie du plastique passe dans vos fruits (ouvrez le sachet et disposez les fruits sur une assiette en verre. Les fruits sont toujours congelés à l'unité, vous ne devriez pas avoir de problèmes pour les sortir de la poche (on est toulousaine ou on ne l'est pas!).

  • Les bons fruits rouges pour la santé

    Les cerises sont utiles dans la goutte

    VRAI

    Ce remède de bonne femme est en passe d’être vérifié. C’est en tous cas la conclusion d’une étude très récente au cours de laquelle des volontaires ont consommé environ 300 g de cerises. Le niveau d’acide urique du plasma a baissé 5 heures après, tandis que l’élimination urinaire augmentait logiquement. Par ailleurs, plusieurs indices inflammatoires (dont la protéine C-réactive) étaient eux aussi à la baisse.

    Les myrtilles améliorent la vision nocturne

    FAUX

    Les myrtilles, lit-on un peu partout, étaient consommées au cours de la seconde guerre mondiale par les pilotes de la Royal Air Force (RAF) pour améliorer l’acuité visuelle par faible visibilité. Hélas pour la légende, le Centre de médecine aéronautique de la RAF, interrogé par votre serviteur, dément que les pilotes aient reçu des myrtilles, de la confiture de myrtille voire des extraits.

    Et les 30 études scientifiques conduites depuis sur le sujet ne soutiennent guère cette belle histoire : les quatre dernières, qui sont aussi les plus rigoureuses, concluent que les myrtilles sont sans effet sur la vision nocturne.

    ALORS, LA, C'EST FAUX!

    Après 5 opérations sur mon œil gauche, le moindre tout petit, petit, rai de lumière était une affreuse stridence lumineuse, quand je conduisais le jour où la nuit!

    Aux grand maux, les grands remèdes: j'ai avalé 9 gélules d'huile de carottes et autant de gélules de baies de myrtilles par jour et, en 8 semaines, j'ai pu conduire SANS LUNETTES de soleil alors que, justement, je mettais une pare de lunettes 4 PLUS une sur-lunettes de puissance 3 et j'étais pourtant, aveuglée par le soleil!

    J'ai recommencé une cure tous les ans, au printemps et ma vue était meilleure qu'elle n'avait jamais été!

    Bon, d'accord, depuis, après 40 années de myopie, je suis devenue hypermétrope... et je suis obligée de porter des lunettes.

    vive la vieillesse!

     

    Les fraises sont anti-cancer

    VRAI

    Comme tous les fruits, les fraises apportent des antioxydants qui réduisent les dommages infligés par les radicaux libres à l’ADN. Mais les fraises font plus : elles inhibent fortement la formation de composés cancérogènes appelés nitrosamines qui peuvent se former dans le tube digestif lorsqu’on ingère des nitrites ou nitrates et des protéines (amines). Les nitrosamines, apportées en particulier par les charcuteries, sont accusées de provoquer des cancers digestifs. Les fraises inhibent jusqu’à 70% la formation de ces agents cancérogènes. Une bonne raison, cet été, de faire suivre une assiette de merguez d’un bol de fraises.

    Myrtilles, mûres et framboises sont les meilleurs fruits anti-âge

    VRAI

    Kiwi et orange sont souvent cités comme les meilleures sources d’antioxydants, mais des recherches conduites à l’université Tufts (Boston, Massachusetts) par l’équipe de Ronald Prior, montrent la supériorité des myrtilles, mûres, framboises et fraises pour renforcer nos défenses contre les radicaux libres, responsables du vieillissement. Les chercheurs américains ont mis au point un test baptisé ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity) qui mesure le pouvoir antioxydant des fruits et d’autres aliments (voir tableau) dans le plasma. Les fruits dont les scores sont les plus élevés augmentent de 10 à 25% le pouvoir antioxydant du sang.

    En plus, ils préviennent les pertes de mémoire chez le rat âgé et protègent les capillaires de ces animaux contre les attaques de l’oxygène.

    “Sur la base de ces résultats, dit le Dr Prior, j’estime qu’il faudrait se procurer 3 000 à 5 000 unités ORAC par jour pour espérer avoir un impact significatif sur la capacité antioxydante du plasma et des tissus. Mais les valeurs ORAC varient tellement d’un fruit ou d’un légume à l’autre, que vous pouvez manger 7 fruits et légumes par jour et ne recevoir que 1 300 unités ou consommer un seul bol de myrtilles et avoir plus de 3 000 unités“.