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société - Page 26

  • Non, mais!!!!???

    Ariège : plus de 300 chênes centenaires abattus sans autorisation dans les Pyrénées par des bûcherons espagnols

     

    Plus de 300 arbres centenaires déracinés et coupés sur une dizaine de parcelles boisées de Perles-et-Castelet, une commune des Pyrénées ariégeoises.

    Les propriétaires, dévastés par l’action de bûcherons espagnols, montent une association pour porter l’affaire devant la justice.

    Des arbres abattus par centaines et des habitants abattus également devant l’ampleur du désastre. Les faits remontent à fin février 2021.

    Des bruits répétitifs de tronçonneuse attirent l’attention de Hélène Rameil, la propriétaire d’une parcelle sur laquelle se trouve une forêt de chênes centenaires.

    Elle et son mari sortent pour localiser l’origine du bruit et tombent sur des bûcherons espagnols en train de couper tous les arbres sur leur propriété. Le maire du village intervient et les hommes finissent par quitter les lieux. Au petit matin, le bois a disparu….

    Et au delà de cela, il s’agit aussi et surtout d’un gros préjudice environnemental. En effet, la zone a subi une grosse pollution au gasoil, des ordures ont été entassées, des murs en pierre sèche qui délimitaient les parcelles ont également été détruits, « les parcelles sont saccagées » comme le confie cette propriétaire emplie d’émotion….

    France3 Occitanie

  • Attention dans le métro toulousain!

    Ma fille a pris le métro hier après-midi partant de la Barrière de Paris direction Ramonville entre 10 h55 et 11h10 avec un ami âgé de plus de 70 ans qui marche avec une canne.

    Ils sont montés dans la rame et le monsieur s'est assis sur un strapontin. Ma fille a vu monter 4 individus CPF, âgés d'environ 35 ans et vêtus d'une doudoune épaisse noire. Ma fille a trouvé bizarre qu'ils se délestent de leur doudoune.

    Un de ces CPF s'approche d'une barre qui permet de se tenir à côté du strapontin et elle l'a vu se coller contre le vieux monsieur. Elle l'a fait remarquer à notre ami: “mais pourquoi il se colle à toi celui-là?".

    Pour pouvoir voler le portefeuille du monsieur âgé avec tous ses papiers et 500 euros qu'il avait retiré le matin même! Une manie désastreuse des personnes âgées qui, autrefois, avaient sur eux de l'argent en bonne quantité. De nos jours, c'est plus que dangereux, la preuve. Adieux argent, papiers et carte bancaire.

    Les trois autres individus ont regardé la scène: heureusement, ma fille porte sa sacoche sous sa veste ce qui fait que les autres ne pouvaient pas la délester de son porte-monnaie. Elle a vu un de ces CPF faire un signe de la main, comme une dénégation, genre: je n'ai pas pu rien piquer à la femme.

    Le vieux monsieur de nos amis est traumatisé pour ses derniers jours.

    Comme des lâches qu'ils sont, ils s'y mettent à plusieurs contre une femme et un très vieux monsieur!

    Personnellement, j'ai un sac à main à bandoulière que je porte sur le ventre depuis un peu avant 1990….

    J'ai “vu“ ce qui allait nous arriver en France dès 1987-1988; je disais -à tous mes amis et ma famille- que cela serait quotidien vers ma retraite (en 2010).

    J'avais raison, hélas!

     

  • Dans les ehpad, après la vaccination....

    Au 22 février, 84% des résidents d’Ehpad ont été vaccinés en Haute-Garonne. Au 22 février, 19 clusters étaient en cours dans les 135 Ehpad et unités de soins de longue durée du département. D’après les derniers résultats communiqués à l’ARS, en début de semaine, 535 résidents et 271 personnels de santé étaient ou avaient été positifs dans les 19 clusters en cours.

    https://www.ladepeche.fr

     

    SOURCE:

     

     

     

  • Débiles à vomir!!!!!

    Toulouse: le siège de La Dépêche du Midi visé par une tentative d’incendie criminel, l’extrême-gauche suspectée (MàJ: revendication de l’attaque publiée sur un site anarchiste)

    Revendication de l’attaque envoyée par mail a un site d’extrême-gauche anarchiste:

    Avec la nuit, une pince coupante et de quoi faire un joli brasier comme complices, je me suis introduit dans l’enceinte de la dépêche du midi et j’ai allumé 4 camions de livraison. Je suis parti trop rapidement pour voir si cela avait fonctionné. Nous verrons dans les prochains jours.

    Cette action individuelle est en solidarité avec les personnes de l’ancien squat avenue de Fronton à Toulouse, préssurisé.es à partir de leur maison à cause d’une coordination dégueulasse mairie/fafs/keufs/voisin.es et bicraveurs du quartier/ et bien sûr ces chers medias collabos.

    Le propriétaire, Roland, est un ex travailleur de ce torchon qui a bien usé de ses contacts pour faire pleurer dans les chaumières sur son sort, alors que sa maison était vide depuis 3 ans ! Et qu’il vivait dans un appartement à côté de l’EHPAD de sa femme, qu’il prétendait ne pas pouvoir rejoindre à cause des méchant.es squatteureus.es.

    C’est dans ce contexte que j’ai voulu paralyser pendant un temps une partie de leur moyen de propagande et surtout leur montrer que virer des personnes de chez elles ne sera pas impuni et que je, nous sommes prêt.es à nous défendre et attaquer.

    Cette action est aussi un appel à continuer et amplifier l’attaque envers ce qui nous opprime, même si cela peut être dur, il existe tellement de moyen de mettre des grains de sable dans la machine sans forcément prendre énormément de risque (cures dents super glue dans les serrures par exemple) ...

     Ceci dit n’oublions pas de prendre soin de nous.

    Je profite aussi de ce communiqué pour dire à nos compagnons de lutte de faire attention à ne pas blesser des personnes n’ayant rien à voir avec les cibles que nous visons. Je pense à l’étudiant mort accidentellement pendant une attaque à la roquette du groupe 17N en Grèce, à une femme de chambre morte pendant un cambriolage mené par la dite " bande à Bonnot " et aux autres…

    Solidarité avec les émeutes à Barcelone, avec Rigaer94 et Liebig34, d. koufondinas, les maliens qui ont attaqué le consulat du mali en france et les anarchistes, notamment ceux qui subissent la répression de ce monde horrible.

    Que ce petit feu en allume d’autres et que brûle la dépêche et son monde !

    P.S: à mes amis  de la nuit, prenez 2 briquets sur vous, 1 des deux m’a lâché au dernier moment…:)

    Écrit en écriture inclusive dont j'ai fais disparaître la conn… létale de ce C.O.N. et aussi supprimé la source, non mais, je vais pas en plus leur faire de la pub à ces débiles consanguins profonds!

    Dans la nuit du 3 au 4 mars 2021, un individu s’est introduit dans l’enceinte de la Dépêche du Midi à Toulouse pour tenter d’incendier des camions de livraisons. Un acte revendiqué sur un site d’ultra gauche en représailles à l’évacuation de la maison squattée avenue de Fronton à Toulouse.

    Le siège de La Dépêche du Midi, avenue Jean Baylet à Toulouse (Haute-Garonne), ciblé par une tentative d’incendie criminel. Dans la nuit du 3 au 4 mars 2021, un individu a réussi à déjouer la surveillance des agents de sécurité et s’est introduit dans l’enceinte du bâtiment.

    france3-regions.francetvinfo.fr

     

    PERSONNELLEMENT, j'ai besoin de personne pour me défendre, la preuve!

     

     

     

  • Le maraîcher se pend

    Le maraîcher se pend et les gendarmes verbalisent tout le village…

    Cela lève le cœur. Cela donne des envies de révolution.

    La personne qui témoigne, digne, dit tout.  Cela se passe à côté de Rennes, dans un village, dont nous ne saurons pas le nom. Le maire a demandé de ne pas exposer sa commune à l’ire du préfet… Je ne vois pas, quant à moi, l’intérêt d’un tel silence. Il est évident que le préfet est au courant et connaît les sentiments dudit maire… qui aurait été, ainsi que sa commune, bien plus protégé si on avait su le nom du village.

    On a honte. Honte d’être dans la France de Macron. Honte qu’il y ait eu tant de traîtres pour voter pour ce dictateur impitoyable qui déteste les Français de souche.

    Jamais une scène pareille ne se serait passée à la sortie d’une mosquée. Les nôtres sont de plus en plus méprisés, haïs, humiliés… traités comme des délinquants pendant que les véritables délinquants sont, eux, épargnés, relâchés… On se souviendra que ce sont peut-être les mêmes gendarmes, d’ailleurs, qui ont laissé la rave-partie à côté de Rennes se dérouler tranquillement tout le week-end…  Courageux avec les faibles, avec ceux qui respectent la loi, mais lâches avec les meutes islamisées ou d’antifas…

    La colère monte, monte…

    Christine Tasin

     

    Source

  • La vérité sur le squat de la maison de Roland

    Squat Toulouse : les classes populaires ont viré la racaille gauchiste

    Tout d’abord, on ne va pas cacher notre joie d’avoir vu la maison de Roland libérée et le droit de propriété rétabli. Toutefois, au-delà du concert de réjouissances, certains éléments de cette affaire doivent être décryptés car ils révèlent une nouvelle fois le jeu pervers des instances de pouvoir et de l’ultra-gauche.

    Par ailleurs, et c’est là le plus important, la réaction spontanée des supporters de Roland et leur victoire révèlent que l’idéologie gauchiste ne viendra jamais à bout de ce qu’il y a de plus profond dans la nature humaine; en particulier l’idéal d’accession à la propriété et le droit à la propriété privée.

    Enfin, le précédent est créé. Privés de la protection policière, les nervis de gauche ont été obligés de décamper face à la rébellion des couches populaires. C’est une digue de protection des élites qui vient de sauter, les nervis de gauche ne terrifient plus personne. Désormais, antifas et autres casseurs  vont devoir y regarder à deux fois avant de chercher à soumettre les classes populaires.

    Le squat vecteur de déconstruction du droit de propriété. Depuis les années 60, nos adversaires procèdent méthodiquement à la déconstruction, élément par élément, de tous les murs porteurs de notre civilisation. Tout y passe, et donc avec le reste, le droit de propriété. Cela se fait sur le long terme, pour aboutir à l’objectif final des mondialistes qui est l’abolition du droit de propriété. Dans ce sens, les pouvoirs publics successifs et les juges alliés à l’ultra-gauche ont institué un droit au squat et à l’appropriation du bien d’autrui.

    Il existe même un site dédié au squat et un manuel du parfait squatter édité par l’ultra-gauche; tout cela en parfaite transparence.

    La ville de Toulouse en pointe depuis 25 ans. Depuis l’occupation des locaux de l’usine Myrys en 1995, celle ensuite du Grand Hôtel et Tivolier propriété de la préfecture de 2001 à 2005 et le relogement du collectif Mix’art Myrys sur une vaste friche industrielle aux Ponts Jumeaux, Toulouse a été, avec la complicité des pouvoirs publics, un lieu d’expansion et d’expérimentation de la doctrine du squat comme moyen de déconstruction du droit de propriété. 

    http://mixart-myrys.org/presentation/historique/

    Jean-Luc Moudenc transige depuis toujours avec l’ultra-gauche pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la ville est piquetée de locaux associatifs que la municipalité a concédés à l’ultra-gauche après une période d’occupation illicite. J’avais déjà commenté le fait et dénoncé la duplicité de Jean-Luc Moudenc dans ces affaires.

    https://ripostelaique.com/toulouse-moudenc-protege-les-islamo-gauchistes.html

    Le squat progresse en tâche d’huile à partir des lieux d’implantation des collectifs d’ultra- gauche. Au vu des images de l’évacuation d’hier soir, les crétins crasseux qu’on a vus filer sous la protection de la police étaient manifestement venus en voisin depuis Mix’art Myrys. Ils y sont immédiatement retournés en attente de prochaines récidives. Car soyons-en certains, ils n’en resteront pas là. Le squat se propage à partir des lieux déjà squattés et ensuite concédés à l’ultra-gauche par la municipalité. C’est un processus bien rôdé qu’aucune volonté politique n’envisage d’arrêter, bien au contraire.

    Jean-Luc Moudenc traite aussi avec les musulmans pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la construction de la mosquée d’Empalot a fait l’objet d’une manipulation immobilière douteuse générant une plus value de 840 000 € pour la communauté musulmane, à laquelle il faut ajouter la cession à vil prix de son terrain d’assise par la ville de Toulouse. Hamdoulilah.

    https://liguedumidi.com/enclave-algerienne-a-toulouse-grace-a-jean-luc-moudenc/

    Par son usage abusif du droit de l’urbanisme, Jean-Luc Moudenc crée les conditions du squat et de la ruine de certains propriétaires. Il y a ainsi de très nombreux précédents où des propriétaires ont été spoliés. Dans l’affaire de Roland, c’est encore une fois le même scénario qui se répète. Le propriétaire, souvent sans grands moyens de défense, soit parce qu’il est une personne physique de condition modeste ou fragile, soit parce qu’il s’agit d’une institution sur laquelle les pouvoirs publics peuvent mettre la pression (exemple, l’évêché dans l’affaire du squat de la Chapelle…) se retrouve spolié par une décision d’urbanisme abusive et manifestement délibérée.

    C’est typiquement le cas de la maison de Roland, vraiment sans aucun intérêt architectural, coincée en dent creuse entre d’autres unités foncières, en retrait par rapport à l’alignement sur la voirie, sans cœur d’îlot à préserver à l’arrière et située dans un tissu faubourien en cours de requalification et de réhabilitation urbaines. Franchement, malgré les fausses raisons invoquées par la mairie, la maison de Roland ne justifie en aucun cas d’être préservée. D’ailleurs, dans le voisinage, il y en a déjà eu de nombreuses rasées pour édifier des immeubles neufs et redonner à cette avenue un semblant de cohérence urbanistique. C’est très simple, soit cette maison justifiait d’être préservée et alors il fallait l’identifier comme telle au PLU et détourer son terrain d’assise, soit son terrain d’assise est classé constructible au PLU et dans ce cas, cela veut dire qu’elle ne présente aucun intérêt ; sans possibilité d’invoquer de manière arbitraire le sursis à statuer pour refuser un permis de construire.

    Nous sommes manifestement là face un usage abusif, arbitraire et scandaleux du droit de l’urbanisme. Aujourd’hui, toute la ville de Toulouse est cartographiée, chaque parcelle est identifiée, toutes les maisons ont été repérées et identifiées. Il est donc tout à fait possible de mettre fin à l’arbitraire et de clairement définir au PLU celles qui doivent être conservées et celles qui peuvent être rasées. Si le statu quo est maintenu, ce n’est que parce que les élus souhaitent conserver une latitude et la possibilité de faire jouer l’arbitraire et donc l’injustice. Alors pourquoi et pour quelles mauvaises raisons?

    Qu’est ce qui anime les pouvoirs publics pour un tel usage abusif? Connerie ambiante? Démagogie par rapport à certains comités de quartier qui ne représentent personne mais s’arrogent le droit de bloquer toutes les opérations? Délires d’instructeurs ou de chefs de services à l’urbanisme qui n’ont jamais rien dessiné ni construit de leur vie? Délires de ratés de l’architecture marqués par l’idéologie qui ne peuvent exister que par leur pouvoir d’entrave? Corruption de certains? Cela s’est déjà vu.

    Sentiment de toute-puissance qui grise les élus? Interstices laissés en attente permettant toutes les magouilles? Sans doute un peu de tout cela. Toujours est-il que les pouvoirs publics ne font rien pour assainir cette situation génératrice d’injustices et de conflits d’intérêts, donc cela crée un climat détestable.

    Roland spolié par Jean-Luc Moudenc. Alors pourquoi un refus de permis de construire qui stérilise l’affaire et empêche Roland de réaliser son bien aux meilleures conditions avec un promoteur? Pourquoi avoir invoqué un faux prétexte pour refuser le permis de construire puisque la maison de Roland n’est même pas une vraie Toulousaine à préserver? Ou alors, si c’en est une, toutes les maisons individuelles de Toulouse sont des Toulousaines et il faut toutes les protéger. Quelles mauvaises raisons, quelles combinaisons se cachent derrière cette décision totalement arbitraire?

    Tous les doutes sont permis et avec eux toutes les suspicions.

    Comment les squatters ont-ils eu connaissance du dossier de Roland? On pourra toujours dire qu’ils rôdaillent en permanence dans la ville, qu’ils observent les allées et venues des uns et des autres à la recherche d’opportunités. En tout cas, là, ils n’auront pas pu voir de permis de construire affiché puisqu’il n’y en a pas eu… Personnellement, je pense plutôt qu’ils ont des relais au sein même des services d’urbanisme où nidifient de nombreux parasites gauchistes qui leur signalent les bons coups. Car ce n’est pas n’importe quelle maison vide qui a été occupée. Celle de Roland avait été promise à un promoteur et le permis de construire refusé; arguments justifiant la lutte contre les bétonneurs et donc le squat. On voit donc très bien pourquoi la maison vide de Roland a été choisie par idéologie plutôt qu’une autre et comment elle justifiait le squat par un habillage fallacieux.

    Des salopards qui accusent Roland d’avoir instrumentalisé son cas. La mauvaise foi de ces hyènes est sans limite. Dans un de leurs communiqués, ils se sont autorisés à accuser Roland d’instrumentaliser son cas et d’avoir créé les conditions d’une soi-disant violence contre eux. Bande de salauds, venir à une trentaine cagoulés pour lui piquer sa baraque, le conchier sur les réseaux sociaux ; et en plus ils osent se présenter comme les défenseurs des opprimés. Vous êtes vraiment des sous-merdes, des couilles molles parties comme des lopes, de peur de prendre la branlée où vous n’auriez eu aucun scrupule à vous mettre à plusieurs contre un adversaire isolé, comme vous l’avez si souvent fait.

    Voici ce qu’on lit sur leur site :

    ‘’La Dépêche et Roland le proprio ont choisi d’instrumentaliser la situation de cette maison peu de temps après l’annonce du prolongement de deux mois de la trève hivernale, créant un mouvement de défense de la propriété privée et un déferlement de haine et de violence. Depuis dimanche, une cohorte de harceleur.euse.s, mélant les protagonistes habituel.les que sont les keufs, les fachos et les médias auxquel.les se rajoutent des “citoyen.nes vigilant.es”, menacent, tabassent et tentent d’expulser les habitant.es.’’

    Une saine réaction du voisinage. Il faut ici préciser la sociologie du quartier. Il s’agit d’un tissu faubourien ancien au-delà des barrières ; en l’occurrence celle de Paris. Quartier traditionnellement populaire mélangeant classe moyenne de souche en cours de paupérisation, populations immigrées de deuxième et troisième générations et récemment immigrées d’Afrique de l’Est, du Moyen-Orient et d’Asie Centrale. Le quartier est clairement en voie de submersion migratoire, dans le cadre plus vaste du Scot qui  prévoit l’implantation de  300 000 (trois-cent-mille) nouveaux venus d’ici 2030.

    Proche des Isards et de Borderouge, le quartier comporte de très nombreux logements locatifs de construction récente. Disons que c’est traditionnellement un quartier pauvre, un quartier de la mixité invasive que les Blancs, qui en ont les moyens, sont progressivement en train de fuir. C’est donc à partir de ces populations mixées, souvent précaires que s’est déclenché un mouvement spontané de soutien à Roland et, en fait, de défense de la propriété privée.

    Un fait saillant, un rayon de lumière qui doit être remarqué. Il s’agit d’une très bonne nouvelle, les catégories les plus pauvres n’adhèrent pas à l’idéologie gauchiste d’abolition de la propriété privée ; ni à aucune idéologie gauchiste d’ailleurs. Au contraire, cette histoire le démontre, l’accession à la propriété, même si elle est hors de portée de la plupart de ces catégories, reste un idéal et un élément important de la construction personnelle et de l’insertion sociale.

    Oui, la propriété privée est un droit sacré de la personne humaine, un idéal pour toutes les catégories sociales. C’est ce qu’ont affirmé haut et fort les supporters de Roland dont la plupart ne sont probablement pas propriétaires, et probablement sans espoir de jamais le devenir.  Sacrée déconvenue pour les gauchistes promoteurs de l’abolition du droit de propriété. C’est l’un des rayons de lumière de cette affaire.

    Quand les catégories populaires se rebellent contre les nervis gauchistes, le préfet est obligé de les lâcher. À Toulouse, comme dans toutes les métropoles de France, ce sont les antifas et les nervis de gauche qui se sont alliés au pouvoir pour éteindre la poussée révolutionnaire venue de la France périphérique lors du soulèvement des Gilets jaunes.

    L’éviction d’hier peut être considérée comme un précédent et comme un raté majeur dans le jeu de rôle que jouent les pouvoirs publics et les agitateurs d’ultra-gauche contre les catégories populaires.

    À Toulouse, le peuple excédé s’est invité dans la partie et il a mis en échec cette alliance perverse. Sous la pression, le préfet qui avait refusé l’éviction accordée par le juge et accordé le maintien jusqu’à la fin de la période hivernale reportée au 1er juin, a finalement dû laisser filer et envoyer sa police protéger les gauchistes de la vindicte des supporters de Roland.

    Le précédent fera sûrement date et les élus de tous bords feraient bien de faire très attention. Il se pourrait bien que désormais les gens ne se laissent plus duper et qu’ils se dressent contre les gauchistes instrumentalisés par les élites. Cette digue derrière laquelle ils se protégeaient vient de céder, et c’est tant mieux

    Jamais l’idéologie gauchiste ne viendra à bout de ce qu’il y a de plus profond dans l’âme humaine. 

    Jamais l’idéologie gauchiste n’aura le dernier mot.

    À Toulouse hier soir, face aux couches populaires, antifas, zadistes, squatters et nervis de gauche sont partis la queue entre les jambes sous protection policière.

    SOURCE:

     

     

  • France indigne et dégueu  …

    Âgé de 88 ans, Roland comptait vendre sa maison pour rejoindre son épouse dans un Ehpad. En attendant, il louait depuis deux ans un appartement qui le rapprochait de celle qu’il souhaite rejoindre. L’heure venue de passer à l’action et de mettre en vente le pavillon dans lequel il a passé sa vie entière… Trop tard ! Des marginaux ont forcé les portes et changé les serrures. Passées 48 heures, ils sont inexpulsables.

    Outre ce problème de froidure qui risque de les enrhumer, les squatteurs doivent avoir le temps de saccager toutes les pièces du pavillon. Les membres du tribunal d’instance à l’origine de la décision savent que les travaux ne peuvent être effectués en quelques jours. Cuisine, salle de bains, salon, chambres. Compter deux bons mois. Roland doit enfin comprendre qu’il n’est qu’un odieux propriétaire recroquevillé sur son patrimoine.

    Source: