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cuisine - Page 49

  • Gâteau à l'orange caramélisée

    Ingrédients

    120g de farine fluide: 120g de sucre

    4 oranges bio; 120g de beurre fondu; 2 œufs; 1 sachet de levure

    Préchauffez votre four à 180°C.

    Dans un saladier, mélangez le sucre et une bonne partie du beurre ensemble. Ajoutez les œufs, la farine, et la levure. Mélangez bien

    Lavez bien les oranges. Récupérez le jus de 3 oranges, et faites des zestes de la peau

    Mettez les zestes d’orange avec le mélange précédent. versez le jus des oranges dans la préparation. Mélangez encore.

    Dans votre plat à gâteau, beurré et saupoudré de sucre (chemisage), versez votre préparation.

    Enfournez pendant 25 minutes.

    Démoulez le plat:

    1e : passez un couteau entre le gâteau et le moule

    2e: prendre un torchon un peu humide, l'installer d'un bord à l'autre du moule, par le dessous, et renversez sur un plat à gâteau de présentation (un peu comme on retourne une omelette): non seulement vous ne vous brûlerez pas, mais ce système aide à décoller le gâteau de son moule.

    Coupez la 4e orange (cure) en très fines rondelles et rangez en rosace sur le gâteau; faites du caramel et arrosez toute la surface du gâteau. Le carmel en refroidissant “colle“ les rondelles et donne une joli présentation à votre gâteau.

    J'adore faire ce gâteau!

     

  • PENURIE DE MASQUES?

    PÉNURIE DE GEL HYDROALCOOLIQUE?

    Fabriquez des lingettes maison et FAITES PASSEZ A TOUT LE MONDE CETTE INFO

    Pour commencer, et je vais vous faire frémir… les gels hydro-alcooliques achetés fort cher en pharmacie ne valent RIEN, RIEN DU TOUT contre les virus de la grippe, coronavirus et autres… gardez votre argent.

    Ceux qui sont efficaces sont vendus par des sociétés pour des sociétés et autres gens de la santé (Delcourt, l'Equipier et les sites de fournisseurs de matériels de bureau pour les entreprises). BON A SAVOIR: certains ne demandent pas un numéro siret.

    JE VOUS ENSEIGNE A FABRIQUER DES LINGETTES NETTOYANTES ÉCONOMIQUES ET ANTISEPTIQUES.

    Elles seront tout aussi efficaces (même plus) que ces gels de pharmacie.

    Achetez des petits sacs zip en plastique transparent, de l'alcool à 90°, des mouchoirs papiers. Quelques gouttes d'huile essentielle de citron, thym, origan.

    Dans un petit saladier en verre, verser trois-quart de verre d'alcool à 90° et versez des huiles essentielles thym, origan environ 30 gouttes de chacune d'elles et pour donner une meilleure odeur, ajoutez 40 gouttes d'HE de citron.

    Fouettez pour bien mélanger; les HE s'intègrent à l'alcool pour peu que vous fouettez longuement.

    Prenez un mouchoir en papier et dépliez-le entièrement puis pliez-le en 4 (ce sera plus facile a ouvrir lorsqu'ils seront mouillés).

    Prenez un sac: ouvrez-le entièrement, glissez le mouchoir en papier et versez suffisamment du mélange d'alcool/ H.E. pour qu'il soit bien imbibé. Fermez bien.

    Voila, vous avez des lingettes de propreté suffisamment efficaces.

    Ne remplissez pas trop, il ne faut pas que vos lingettes soient bombées: trop lourdes, le paquet peut s'ouvrir et parfumer votre sac à main!

    L'alcool dessèche les mains, donc à utiliser uniquement quand vous n'avez pas un point d'eau à proximité avec du savon de Marseille et un bon système de séchage, c'est-à-dire, des feuilles de papiers. En effet, le système genre sèche-cheveux sèche les mains, mais vous gardez des bactéries qui, au contraire, restent sur le papier.

    Pensez à passer de la crème sur les mains régulièrement pour lutter contre le dessèchement.

    Éventuellement, vous pouvez achetez des sachets zip plus grands et, avec le même mélange, imbiber des pages de papier absorbant. Vous pourrez utiliser au moins deux fois le papier s'il est non tissé et  si vous avez utilisé un seul côté la première fois.

    C'est moi qui est eu l'idée d'inventer ces lingettes, j'ai testé. Utilisées lorsque je remplissais mon réservoir voiture.

    On peut les garder longtemps (si vous conservez le sachet bien fermé et à l'abri de la lumière).

  • Une info qui nous la Sorbonne (sort bonne)

    On a découvert que les bières fortes peuvent contenir des bactéries bénéfiques pour le microbiote intestinal, comme, vous le savez déjà, les yaourts

    Je vous informe -si vous ne le saviez déjà- que le corps humain contient autant de bactéries que de cellules, il n’est donc pas surprenant que les aliments et compléments probiotiques (incluant yaourts, laits fermentés, choucroute, kéfir*) soient devenus si populaires au fil du temps. En effet, de plus en plus de gens savent que ces aliments aident à rétablir la flore intestinale, suite à un traitement antibiotique par exemple.

    *le pain au levain est réalisé avec du levain fermenté!

    Heureusement pour celles et ceux qui n’apprécient que peu ces produits, des études récentes suggèrent que boire une bière (forte) chaque jour pourrait également aider à maintenir un microbiote intestinal sain. Heu… sauf si vous êtes contre l'alcool car, vous vous doutez que les bières fortes en questions sont assez alcoolisées.

    Un chercheur, Eric Claassen (de l’Université d’Amsterdam) a publié ses recherches sur la bière, expliquant comment certaines marques contiennent un nombre considérable de micro-organismes bénéfiques.

    Alors que la plupart des bières ne subissent qu’un seul processus de fermentation, certaines (des bières belges) plus fortes, sont fermentées deux fois afin de décomposer davantage de sucres -contenus dans la matière végétale- en alcool.

    Contrairement au premier cycle habituel de fermentation, ce second utilise, généralement, un type de levure qui produit des acides toxiques pour de nombreuses bactéries responsables de maladies.

    Ainsi donc, chaque fois que quelqu’un boit une bière forte, celle-ci renforce son armée de défenseurs microscopiques intestinauxs ces millions de bactéries, qui éliminent les agents pathogènes. Bien que cela puisse potentiellement avoir un effet bénéfique sur la santé du buveur. Mais, comme nous oblige la loi française, je tiens à souligner que la modération est nécessaire. D'ailleurs, si vous ne voulez pas avoir un pneu à la place de l'estomac….

    En fait, il faut savoir qu'à forte concentration, l’alcool est -c'est entendu- mauvais pour l’intestin. Mais si vous ne buvez qu’une de ces bières (fortes) chaque jour, cela pourrait être bénéfique pour vous. Heu… c'est une nouvelle quelle est bonne, n'est-ce pas?

    Pourtant, n'oubliez pas que des études antérieures ont montré qu’une forte consommation d’alcool endommage les bactéries intestinales, conduisant à une composition anormale du microbiote intestinal. S’appuyer uniquement sur la bière pour améliorer sa santé n’est donc pas une bonne idée…

    Il convient également de noter que, malgré les nombreuses affirmations relatives aux avantages pour la santé des aliments probiotiques, il n'existe pas beaucoup de preuves pour étayer la plupart de ces hypothèses. La plupart des probiotiques contiennent des bactéries appartenant au genre lactobacilles (Lactobacillus) ou Bifidobacterium, mais les chercheurs ne savent pas encore exactement quels sont les rôles de ces bactéries dans le maintient de l’équilibre du microbiote.

    Et pour contrebalancer ces informations qui pourraient faire sauter de joie certain-es, le houblon de la bière est ana aphrodisiaque, c'est à dire, qu'il endort votre libido… Alors, courir le guilledou ou boire, il faut choisir!

    Et comme une femme avertie en vaut quatre, mesdames si votre mari vous fatigue trop au lit, faites-lui des bortch (rata hongrois à la bière) des crêpes à la bière, etc….

  • La glace express

    Pour  6  personnes environ

    250 ml de lait concentré sucré; 500 ml de crème liquide.

    Saveur de vote choix

    Dans un saladier en verre, versez le lait concentré que vous avez mis au frigo deux heures

    Dans un autre récipient, battez la crème liquide jusqu’à l’obtention d’un mélange épais.

    Progressivement, par cuillères, ajoutez la crème liquide dans le lait concentré.

    À l’aide d’une spatule, incorporez le lait concentré jusqu’à obtenir une texture lisse.

    Munissez-vous d’un moule inox, verre et versez-y votre préparation et lissez toute la surface.

    Laissez le tout refroidir pendant quelques heures dans le congélateur.

    Si vous le souhaitez, vous pouvez ajouter saveur d'accompagnement de votre choix pour une glace encore plus gourmande: caramel, fruits, chocolat, coulis…

    Pour encore plus de saveur, ajoutez une saveur en battant le lait concentré

    Par exemple: une grosse cuillerée de chocolat sans sucre dans le concentré et, au service des copeaux ou pépites de chocolat

     

  • En attendant la saison...

    En dehors de la saison: prenez des abricots secs; faites les tremper dans un saladier en verre avec de l'eau en bouteille, 2 cm au-dessus du sommet des abricots;

    Ne jetez pas l'eau: elle est à récupérer, elle est délicieuse!

    Charlotte aux abricot

    Pour 6 personnes

    Pour la mousse aux abricots

    230 g de fromage blanc (ne le prenez pas trop ligth); 100 g de confiture d’abricots

    150 g de crème liquide entière; 1 gousse de vanille

    Le zeste d’un demi-citron et 3 feuilles de gélatine

    Lavez et dénoyautez les abricots frais puis coupez-les en quatre.

    Faites tremper la gélatine dans de l’eau froide dans un saladier en verre. Montez la crème liquide en chantilly en sortant la bouteille de crème fraîche au dernier moment.

    Dans un grand saladier froid, mettre le fromage blanc, les grains de vanille après avoir coupé en deux la gousse de vanille, et le zeste d’un demi-citron. Fouettez bien.

    Chauffez la confiture d’abricot pour la liquéfier au bain-marie (environ 15 mn). Égouttez la gélatine puis incorporez-la dans la confiture chaude tout en la remuant pour la faire fondre.

    Mélangez délicatement la préparation de confiture d’abricots au fromage blanc puis mélangez le tout avec la chantilly.

    Mettre à réfrigérer au minimum 1 heure. La prise de fera plus rapidement si vous mettez votre appareil (crème) dans des petits moules individuels au frigo.

     

  • Gâteau au yaourt diététique parfumé

    Vous pouvez diminuer le grammage de sucre; ajoutez des pelures de peau d'orange, de fleurs d'oranger ou d'eau de roses;

    250 g de yaourt de kéfir ou grec

    175 g de farine de blé semi-complète;

    50 g de poudre d’amande, 50 g de sucre de canne,

    2 Œufs, 1 sachet de poudre à lever

    Mélanger farine de blé, la poudre d’amande et le sucre. Dans un saladier, ajoutez le mélange de farine aux autres ingrédients, et bien mélanger.

    Chemiser le moule et y verser la préparation (avec du beurre et saupoudré de sucre)

    Mettre au four 45 minutes à 180°C.

    Il m'arrive de rajouter quelques cuillères de lait fermenté maison (recette avec la boîte à outil: Rechercher)

     

  • Taxer la viande, la fausse bonne idée!

    Dans un monde très sensible aux marchands de peur, l’État infantilise par la généralisation de ses dogmes ceux qu’il entend protéger de leurs choix considérés comme irréfléchis ou incompétents.

    Depuis la plus haute antiquité, tous les États ont prélevé des taxes sur les marchandises, choisissant souvent de frapper les produits les plus nécessaires. Plus habiles pour légitimer leurs prélèvements, les États modernes tentent de nous faire croire qu’ils nous taxent dans notre intérêt voire pour mieux satisfaire nos ambitions!

    Les dernières décennies ont ainsi vu se multiplier des législations dont le but est clairement d’agir sur l’offre alimentaire et sur le comportement des consommateurs, avec l’ambition de lutter contre les graisses saturées, ou contre la consommation excessive de sucre (nutriscore, taxe sur les sodas), pour faire face au développement des maladies non transmissibles, telles que maladies cardiovasculaires, obésité, diabète.

    Dans un monde très sensible aux marchands de peur, l’État infantilise par la généralisation de ses dogmes ceux qu’il entend protéger de leurs choix considérés comme irréfléchis ou incompétents. Comme si l’État était le mieux placé pour connaître nos besoins, lui qui n’entend en général que les plus bruyants.

    Convergence des peurs et pression de l’actualité

    De façon plus subtile, émergent aujourd’hui des projets de taxation sur la viande, exploitant les trois grandes peurs du moment : peur de la météo, peur de la misère, et peur de la maladie.

    Découvrant les conséquences de certains de ses excès, la société se prend à redouter les effets du changement climatique, l’érosion des terres, la pollution des eaux, l’effondrement de la biodiversité.

    Il faut trouver d’urgence une victime expiatoire: la voiture, c’est embêtant, l’agriculteur ce pollueur, c’est mieux, la vache émettrice de gaz, c’est encore mieux!

    On découvre aussi que le changement climatique augmente les inégalités sociales ; il accroît la misère des populations qui souffrent déjà de la double peine (malnutrition et obésité).

    La misère fait peur à son tour et l’on organise des campagnes de lutte contre le gaspillage.

    Enfin, le Centre international de recherche sur le cancer a classé la consommation de viande rouge comme cancérigène probable, instillant la peur de la maladie en raison de l’association positive entre consommation de viande rouge et risque de cancer du côlon, suggérée par l’épidémiologie nutritionnelle.

    Si le danger lié à l’effet promoteur du fer héminique est bien réel, la réduction du risque d’incidence d’adénomes coliques ne l’est pas moins par une consommation mesurée (et non exclusive ou excessive) dans le contexte d’une alimentation diversifiée (comportant notamment des fruits et légumes sources d’antioxydants et des produits laitiers sources de calcium).

    Dans ce contexte de peurs, l’État se voit pressé d’agir par les thuriféraires du changement climatique qui, après avoir adressé une requête préalable au gouvernement, envisageaient un recours juridique à l’encontre de ce dernier, accusé de carence fautive et d’action défaillante pour réduire les émissions de gaz à effet de serre.

    Dans le même temps on enregistrait une multiplication des actes de vandalisme contre les boucheries, actions " signées " par des mouvements antispécistes, niant toute hiérarchie entre l’Homme et l’animal, et donc refusant à l’Homme le droit d’utiliser l’animal de quelque façon que ce soit. Plus d’une centaine de boucheries auraient été la cible de telles attaques en l’espace d’un an.

    Une réflexion tronquée et bien imprudente

    Ainsi pressé d’agir, sensible à l’addition des peurs de l’époque, défié dans sa fonction régalienne face à une forme de négation de notre humanité, l’État envisagerait-il de renouer avec le rite grec antique de l’hécatombe, ce sacrifice de 100 bœufs ?

    Tant au niveau national que dans les méandres du Parlement européen, l’idée fait son chemin de taxer la viande de bœuf pour que l’on en consomme moins, donc que l’on en produise moins, afin de réduire les émissions de gaz (CO2, méthane) des troupeaux, tout en dégageant de belles recettes fiscales pour financer des politiques environnementales.

     

    On notera l’illogisme et l’hypocrisie de la démarche.

    Pour que la taxe soit intéressante à collecter, il faut qu’elle soit rémunératrice ; il faut donc que la consommation continue et que la taxe soit significative, mais pas trop élevée pour ne pas étrangler la consommation.

    Par ailleurs, on va certainement nuire aux agriculteurs-éleveurs qui ont déjà beaucoup souffert des règlementations bruxelloises, cours mondiaux, et décisions administratives de tous ordres. Mais ils ne sont pas les plus nombreux, et ils sont déjà la cible de ceux qui pensent l’environnement dans les salons.

    On omet aussi de prendre en compte le fait que globalement l’élevage apporte des bénéfices importants, démontrés par une expertise collective de l’INRA, pour la préservation des paysages, le maintien de la biodiversité et des écosystèmes dont certains procurent de réelles aménités.

    Qu’importent ces observations ; on pourra encore faire appel à la menace d’un risque de cancer et valoriser la lutte contre le gaspillage.

    On en vient enfin à oublier quelques fondements de notre physiologie humaine ! Notre organisme fonctionne selon des mécanismes complexes très finement régulés. Malgré la mode en faveur d’une alimentation végétarienne, végétalienne, voire vegan, les besoins nutritionnels en protéines de qualité subsistent.

    Nous devons ingérer des protéines alimentaires pour pouvoir construire ultérieurement nos propres protéines : structures membranaires et tissulaires, enzymes cellulaires et digestives, neuromédiateurs, hormones, protéines immunitaires etc.

    Non seulement nous avons besoin d’un apport de protéines exogènes, malgré les facultés de recyclage d’une partie des ressources endogènes, mais la qualité des protéines alimentaires, leur valeur biologique, résident dans leur composition en acides aminés. Elles doivent contenir tous les acides aminés indispensables dans de bonnes proportions, ce qu’aucune source ne permet à elle seule (d’où la nécessité d’une alimentation variée). Mais il reste une certitude : les produits animaux (œuf, lait et viande) sont les meilleures sources.

    S’il est donc naturellement exclu de manger trop de protéines, de viande en l’occurrence, il ne saurait être question d’en réduire la consommation sous une contrainte de prix, ce qui nuirait évidemment d’abord aux plus fragiles.

    Taxer la viande est une très mauvaise idée

    On connaît les effets malheureux de la malnutrition protéique encore très présente dans le tiers monde. À propos de la privation de protéines, J.M. Bourre rappelle dans l’un de ses ouvrages que " de tout temps, les gourous de multiples sectes ont affamé leurs disciples en leur imposant des régimes alimentaires plus ou moins draconiens, afin de mieux les diriger – une diminution de leurs facultés intellectuelles facilitant leur asservissement ". Nous n’irons pas jusqu’à prêter au législateur d’aussi mauvaises intentions.

    Cependant, avant de disserter sur les tonnes d’équivalent carbone produites par les animaux d’élevage, rappelons qu’il y a 10 000 ans, les êtres humains représentaient sans doute tout au plus 0,1% des mammifères, alors qu’ils en constituent aujourd’hui quelques 90 %.

    Alors amusez-vous à calculer combien de CO2 est produit par la seule respiration des quelques 8 milliards d’êtres humains qui peuplent la planète, et laissez les vaches brouter en paix.  Pour ma part je réclame le droit à un statut d’omnivore raisonnable.

    https://www.contrepoints.org

    Jean-Paul Laplace est Directeur de recherches honoraire à l'INRA. Il est membre de l’Académie Vétérinaire de France et de l’Académie nationale de Médecine. Docteur Vétérinaire, docteur en Physiologie animale, docteur d’État en Physiologie de la Nutrition, Jean-Paul Laplace a fait une carrière de chercheur en physiologie digestive, nutrition et neurophysiologie, à l'INRA.

    S'il ne reste qu'une seule mangeuse de viande sur la terre, ce sera moi!

    Mais, avant qu'il n'en reste qu'une, faudra chercher longtemps!