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blog - Page 10

  • Pourquoi le lait déborde-t-il toujours de la casserole

    ...mais jamais l’eau?

    (les questions bêtes, ça n’existe pas!)

    Auteur: Christophe Lavelle - Chercheur en biophysique moléculaire, épigénétique et alimentation, CNRS UMR 7196, Inserm U1154, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)

    The Conversation - CC BY ND

    Dans l’intention de préparer une crème anglaise ou, plus rarement de nos jours, de stériliser du lait cru acheté directement à la ferme, vous avez mis du lait à chauffer sur le feu, et quelques minutes d’inattention plus tard, c’est le drame: la moitié du liquide a quitté la casserole et s’est répandu sur le fourneau, avec un "psssshhhhh" qui n’a pas manqué d’avertir vos oreilles, doublé d’une odeur de brûlé caractéristique, annonciatrice des longues minutes qu’il va falloir maintenant passer à gratter pour nettoyer tout ça.

    Pourtant, vous le saviez, que le lait est particulièrement sournois: l’expression "à surveiller comme du lait sur le feu" a bien une origine.

    Mais les faits sont là: vous vous êtes encore fait avoir, et ça ne sera pas la dernière fois.

    Mais au fait, pourquoi cette tendance au débordement, alors qu’une casserole d’eau ne posera jamais de problème (tout au plus fera-t-elle s’agiter le couvercle et génèrera quelques éclaboussures lors d’une ébullition particulièrement poussée)?

    Tout simplement du fait de la composition particulière du lait, qui au-delà de ses 90% d’eau, contient 10% de substances diverses dont certaines lui confèrent un pouvoir moussant.

    Car oui, pour que ça déborde, il faut non seulement des bulles (ce que fait l’ébullition, y compris dans la casserole d’eau), mais surtout que celles-ci soient stables, autrement dit forment ce qu’on appelle une mousse.

    Pour ça, la présence d’un "tensioactif" est nécessaire, à savoir une molécule qui aime se positionner à l’interface entre l’air et l’eau, permettant ainsi de stabiliser les bulles dans le liquide. Qui joue donc ce rôle dans le lait?

    Principalement les protéines, qui du fait de leur composition en acides aminés dont certains sont hydrophiles (c’est à qui dire qui aime l’eau) et d’autres hydrophobes (qui "fuient" l’eau), vont venir se positionner autour des bulles de vapeur d’eau créées par l’ébullition.

    Mais il y a pire, car ces protéines ne se contentent pas seulement de faire mousser le lait (ce qui est une bonne chose quand on pense au cappuccino) mais elles peuvent également coaguler, formant une couche solide à la surface du lait: c’est la fameuse "peau" (épaissie par les globules gras du lait qui remontent eux aussi à la surface, poussée d’Archimède oblige). Cette couche, qui empêche les bulles d’éclater et se vider de leur gaz, va être petit à petit poussée vers le haut de la casserole… et pshhhhhhhhhh…

    Les cuisiniers avertis remarqueront qu’il arrive peu ou prou la même chose quand on fait cuire des pâtes; l’eau, qui ne mousse jamais "seule", se met ici aussi à déborder bruyamment sur le fourneau.

    La cause? L’amidon des pâtes, qui bien qu’étant un glucide et non une protéine, va entraîner un effet un peu similaire en créant une fine couche gélatinisée à la surface du liquide, couche poussée par les bulles de vapeur jusqu’à ce que… pshhhhhhhhhhh…

    Comment éviter ces accidents? D’abord, évidemment, en surveillant la cuisson (du lait, des pâtes, etc.) pour retirer à temps la casserole du feu. Ensuite, il existe des astuces pour gagner (un peu) en tranquillité: en premier lieu, rien ne sert de mettre le feu "à fond"» pour aller plus vite: une ébullition modérée sera amplement suffisante pour chauffer le lait et laissera plus d’opportunité aux bulles d’éclater au fur et à mesure de leur formation, ce d’autant plus qu’on aura pris soin de choisir une casserole d’un grand volume (par rapport au volume du liquide).

    Après, certains préconisent de poser une cuillère en bois sur la casserole pour "casser" la mousse et/ou la peau qui atteignent le haut. (méthode que j'utilise)

    Si cette astuce permet en effet parfois de limiter les dégâts, elle ne constitue en rien une garantie suffisante pour se permettre d’aller bouquiner pendant la cuisson du lait.

    Enfin, il existe un ustensile fort justement nommé "anti-monte-lait". Il s’agit tout simplement d’une coupelle un peu lourde (en métal ou en porcelaine) qui reste au fond de la casserole: les (petites) bulles qui se forment vont alors être piégées sous la coupelle, et se rassembler en une grosse bulle jusqu’à ce que celle-ci soit de taille suffisante pour soulever la coupelle et être libérée vers la surface.

    L’avantage? Il est double, car non seulement les grosses bulles, plus instables que les petites, éclatent facilement et ne forment pas de mousse, mais elles ont aussi une "force" suffisante pour casser en partie la peau. Troisième avantage: en se soulevant puis retombant en permanence, le disque fait du bruit… qui vous avertit qu’il serait bon de venir un peu surveiller ce qui se passe!

    RAPPEL:

    Faire bouillir du lait frais cru

    Verser le lait dans une casserole et faire chauffer en surveillant (voir ci-essus)

    Laissez "monter" jusqu'à rabord et retirez sur le côté pour qu'il "redescende" puis remettre sur le feu et attendez environ 1 minute qu'il "remonte" dans la casserole avant de l'éteindre.

    La méthode que j'ai toujours utilisée enfant et…. encore aujourd'hui

  • Quand la récolte de haricots est bonne

    pensez aux conserves pour l’hiver – méthode à l'ancienne

    La conservation par le sel, aussi appelé salage, consiste à soumettre un produit alimentaire à l’action du sel soit en le répandant directement à la surface de l’aliment (salage à sec) soit en l’immergeant dans une solution d’eau salée (saumurage) : un procédé naturel et écologique qui permet de freiner ou de bloquer le développement microbien.

    Le matériel et les ingrédients pour la recette

    un saloir en grès ou des bocaux en verre

    des haricots verts bio

    du sel (beaucoup)

    Effilez les haricots verts et les laver. Faites-les bouillir dans un grand récipient de l’eau salée. Y plonger les légumes.

    Quand l’ébullition reprend, les sortir, les égoutter et les faire sécher à plat sur un ou plusieurs torchons propres en fonction de la quantité de haricot verts à disposition.

    Mettre les haricots verts ainsi blanchis et séchés dans le pot en grès.

    Versez de l’eau de façon à ce que tous les haricots soient immergés mais pas plus haut, et étalez un torchon propre par dessus.

    Couvrir ce torchon d’un lit de gros sel (environ 1/2 cm d’épaisseur pour la première couche. Refermez le couvercle jusqu’à la prochaine cueillette.

    À noter que si vous mettez un peu trop de sel, ce n’est pas grave: l’eau ayant la particularité de saturer en sel, tout ce qu’elle ne pourra pas absorber restera sur le torchon.

    Après la cueillette suivante, ôtez le torchon et récupérez le sel s’il en reste, puis déposer la nouvelle fournée de haricots verts bio effilés, lavés, blanchis et séchés, comme décris précédemment.

    Ajoutez un peu d’eau si besoin (le liquide doit toujours rester à hauteur) puis remettre le torchon que l’on couvrir à nouveau d’un lit de sel (un peu moins que la première fois). Refermez avec le couvercle du saloir. Procédez de la même manière jusqu’à ce que la cueillette soit finie ou que le saloir plein.

    Deux mois après le dernier remplissage, vous pourrez commencer à consommer vos haricots verts au sel.

     

    COMMENT DESSALER LES CONSERVES AU SEL ?

    La veille au soir, équipé d’une pince en bois, récupérez dans le saloir la quantité de haricots voulue. Plongez-les haricots dans un grand récipient rempli d’eau chaude.

    Pour cela comptez dix volumes d’eau pour un volume de haricots verts. L’eau doit être chaude pour que le sel se dissolve plus facilement (que dans l’eau froide), mais pas bouillante pour ne pas cuire les légumes. Laissez dessaler toute la nuit.

    Le lendemain matin, videz l’eau, puis remplissez à nouveau avec le même volume d’eau chaude, laissez dessaler 1h de plus et égouttez. Portez une grande casserole d’eau à ébullition. Plongez-y les haricots verts. À la reprise de l’ébullition, comptez 3 min et égouttez.

    Les haricots verts sont prêts à être cuisinés à la vapeur, avec un peu de matière grasse ou simplement en salade. Grâce à la conservation au sel, les haricots restent fermes et délicieux. ce procédé fonctionne aussi pour beaucoup d’autres légumes: céleri, cornichons, concombres, choux de Bruxelles, choux-fleurs, tomates entières, oignons blancs, minis carottes, petits épis de maïs, etc.

  •  Salade de poivrons rôtis et tomates

    Pour 2 personnes :

    1 poivron jaune ou rouge, coupé en quartiers; 2 tomates, tranchées

    3 tomates séchées (dans l'huile), hachées

    1 filet d'anchois, haché; 2 c.à café de câpres

    1/2 c.à soupe de pignons [facultatif]

    6 olives noires

    2,5 c.à soupe d'huile d'olive extra vierge: 1/2 c.à soupe de vinaigre

    1/2 c.à soupe de citron pressé en jus

    1/2 c.à soupe de persil; 1 c.à soupe deciboulette fraîche, hachée

    1 pincée de sel [facultatif]; Poivre au goût

    Coupez les poivrons en quartiers, les épépiner et en ôter les tiges.

    Faire cuire au barbecue, côté peau vers le bas, sur une grille chaude, ou dans le four sous le gril. Quand la peau est noircie par endroits, soit après environ 5 min, retournez les poivrons et cuire encore 2-3 min. Après cuisson, transférez les poivrons dans un bol et laisser refroidir une dizaine de minutes. Les peler, couper en lamelles et déposer sur une assiette de service.

    Tranchez les tomates et les ajouter aux poivrons dans l'assiette de service.

    Faire égoutter les tomates séchées, les hacher grossièrement et les ajouter à la salade. Faire égoutter les anchois, les hacher grossièrement et les ajouter aussi à la salade. Y mettre ensuite les câpres, les pignons (facultatif) et les olives.

    Dans un petit bol, mélangez l'huile d'olive, le vinaigre, le jus de citron et le persil. Hachez la ciboulette et l'ajouter à la vinaigrette. Salez et poivrez. Battre le tout et le verser sur la salade.

  • Le poivron

    La couleur du poivron est liée au goût :

    Le poivron rouge est doux.

    Le poivron jaune est juteux et tendre.

    Le poivron vert est fruité mais plus amer.

    Quelles sont les vertus santé du poivron?

    … un plein de vitamine C

    Le poivron est un champion de la teneur en vitamine C. Juste derrière le persil, il devance les choux et épinards aussi très bien pourvus. 100g de poivron en apporte en moyenne 126mg et donc, une petite portion de 50g seulement permet de couvrir 75% des apports quotidiens recommandés.

    Le contenu en cette vitamine augmente durant le mûrissement du poivron et est presque deux fois plus élevé dans les poivrons rouges que dans les verts, qui n’ont pas atteint leur pleine maturité;

    La vitamine C possède des propriétés antioxydantes.

    … prévenir les cancers

    Il contient des substances efficaces contre le développement des tumeurs. Le poivron contient des substances appelées capsiates chimiquement très proches des capsinoïdes du piment. Ces dernières sont capables d’induire l’apoptose, c’est-à-dire la mort des cellules tumorales. Les capsinoïdes agissent habituellement via des récepteurs appelés VR1. Elles entraînent l’apoptose en provoquant la désintégration des mitochondries, un organite dont la cellule a absolument besoin pour fabriquer son énergie.

    …freiner la multiplication des cellules cancéreuses du côlon

    En janvier 2007, ont testé l’effet de la lutéoline sur une lignée de cellules cancéreuses de colon humain. Leurs résultats montrent que cette substance bloque le processus de multiplication cellulaire et provoque la mort des cellules cancéreuses.

    Comment? En modulant l’activité de certaines enzymes et la synthèse de certaines protéines impliquées dans la régulation du cycle cellulaire et dans l’apoptose.

    … favoriser l’apprentissage grace à la lutéoline du poivron

    En utilisant des stimulations destinées à inhiber des comportements innés ou acquis, des chercheurs taïwanais ont mis en évidence l’effet bénéfique de la lutéoline sur l’apprentissage. Ce composé phénolique trouvé dans le poivron serait capable de bloquer l’effet perturbateur de certaines molécules (neurotoxines, antagonistes…) sur les processus de mémorisation. La lutéoline agirait en activant certains circuits neuronaux impliqués dans l’apprentissage.

    Des poivrons rouges 20 jours après la cueillette, pour plus de vitamine C

    Les poivrons sont riches en composés antioxydants. Les résultats de recherhes montrent que les poivrons rouges ont une capacité antioxydante totale plus importante que les poivrons verts et que le stockage augmente les teneurs en vitamine C de ces deux légumes.

    Des poivrons verts avant maturité pour leurs composés phénoliques.

    Les composés phénoliques sont des substances antioxydantes présentes dans les fruits et légumes. Des flavonoïdes (principalement de la quercétine) ainsi que des dérivés de l’acide hydroxycinnamique sont présent dans le poivron. Le contenu en flavonoïdes diminue graduellement avec le mûrissement du poivron. Ainsi, il est de cinq à huit fois plus élevé dans les poivrons verts (cueillis avant maturité) que dans les poivrons rouges. Les composés phénoliques sont principalement localisés dans la pelure du poivron.

    Manger éliminer

    Le poivron se situe parmi les végétaux les mieux pourvus en fibres (2 g/100 g), qui stimulent efficacement le transit intestinal, et font de lui un précieux allié de l'élimination. Tout cela pour un apport énergétique très bas : seulement 21 kcal/100 g.

    Une densité en fibres élevée, et peu de calories, il peut renforcer la teneur du régime en fibres, sans aucun risque d’augmenter excessivement l’apport énergétique. On peut rappeler qu’une portion de 50 g de poivron cru ne fournit que 10 kcalories, et un plat de 200 g de poivron, 42 kcalories (soit respectivement moins de 0,5 %, et environ 2 % du total énergétique de la journée).

    Comment choisir le poivron ?

    Ferme à peau lisse, brillante et tendue

    Vert, jaune, orange, rouge... attention, si la couleur du poivron varie en fonction de la maturité du légume-fruit, elle peut également être déterminée par la variété. Mais, quelle que soit sa couleur, le poivron doit être bien ferme et sa peau lisse, brillante et tendue. La couleur n'influe pas sur la fraîcheur.

    Comment consommer le poivron ?

    En petite quantité crue, et plus du double cuit

    Grâce à sa teneur record en vitamine C, le poivron peut jouer un rôle très utile dans l’alimentation. Et cela même consommé en petite quantité quand il est utilisé cru, comme ingrédient dans une salade composée, par exemple ou même lorsqu’on le sert cuit (la cuisson peut détruire jusqu’à 60% de la vitamine C).

    En effet, une portion de 50 g de poivron cru fournit plus de 60 mg de vitamine C, soit 75 % de l’apport journalier recommandé (AJR). Et 200g de poivron cuit apportent encore

    Pour de mêmes portions de poivron, cru ou cuit, les apports en provitamine A représentent 15 à 50 % des quantités conseillées. Vitamine C et provitamine A font partie des vitamines aux propriétés anti-oxydantes, recherchées dans l’alimentation pour leurs effets protecteurs et préventifs (vis-à-vis du vieillissement cellulaire prématuré, et d’atteintes tumorales ou cardio-vasculaires).

    Pour une meilleure digestion…

    Les variétés de poivrons qui ont une chair et un épiderme épais sont les plus difficiles à digérer. Et plus un poivron est mûr, plus sa peau est épaisse.

    … cuit et débarrassé de la peau

    Dans les pays méditerranéens, c’est une hérésie de manger du poivron cru, on les fait cuire et on enlève la peau. Sauf s’ils sont petits et cueillis avant maturité ou s’il s’agit de variétés à chair et à peau fine.

    … cru en fins tronçons ou débarrassé de la peau

    Lorsque le poivron est consommé cru, ses fibres sont parfois mal supportées par les intestins délicats. Il faut prendre soin de le détailler en très fins tronçons, et de bien le mastiquer. On peut aussi le débarrasser de son épiderme (constitué de fibres assez coriaces) en le passant quelques instants au grill ou au four. Il devient alors beaucoup plus digeste.

    Utilisez un couteau économe pour le peler comme une orange. A rajouter dans une salade de tomate en fin bâtonnet ou râpé ou en brunoise....

    Rouge pour un plein de carotène

    Le poivron est une excellente source de carotène (provitamine A) et de flavonoïdes (vitamine P), présents à l'état de pigments. Les premiers ont une action antioxydante et préventive sur le vieillissement prématuré des cellules et la formation de tumeurs. Les seconds, eux, renforcent les effets de la vitamine C et offrent une protection aux petits vaisseaux sanguins. A savoir que plus un poivron est mûr, plus il est rouge et donc plus il contient de ces précieux pigments.

  • Pâtes au chorizo

    Pour 4 personnes

    1 chorizo doux ou fort; 1 filet d'huile d'olive

    400 g de pâtes; 1 oignon

    1 gousse d'ail, 2 C A S de concentré de tomates

    1 petit piment rouge; 1 C A S d'origan séché

    1/2 bouquet de basilic:  200 ml de crème liquide

    30 g de fromage râpé

    Taillez le chorizo en petits cubes et le faire revenir dans une sauteuse avec un filet d'huile d'olive. Réservez le chorizo en conservant le gras de cuisson dans la sauteuse.

    À part, faire cuire les pâtes en suivant les instructions du paquet.

    Dans la sauteuse, faire dorer l'oignon émincé et l'ail haché. Verser le concentré de tomates, le piment coupé en deux, l'origan et quelques feuilles de basilic.

    Ajoutez la crème liquide, deux louches d'eau de cuisson des pâtes et bien mélanger. Égouttez les pâtes et les mettre dans la sauce avec le fromage râpé .

    Servir avec les dés de chorizo, et des feuilles de basilic.

  • Sandwich rustique à étage

    Pour 2 sandwichs

    4 grandes tranches de pain de campagne; 30 g de beurre

    4 tranches de fromage, 2 tranches de jambon blanc; 100 g de gruyère râpé

    Pour la béchamel: (sinon achetez de la béchamel toute prête mais, tout de même, vigilence sur les composants)

    20 g de beurre; 25 cl de lait; 20 g de farine

    Sel, poivre; 1 peu de noix de muscade

    Préparez la béchamel: dans une casserole, faire fondre le beurre puis ajouter la farine et mélangez bien à l’aide d’un fouet. Laissez ensuite cuire à feu doux pendant quelques minutes, sans coloration, jusqu’à ce qu’une sorte d'écume se forme.

    Toujours sur un feu moyen, versez progressivement le lait froid et mélangez régulièrement avec un fouet.

    Laissez cuire à petite ébullition pendant 5 minutes et assaisonnez ensuite la béchamel de sel, de poivre et de noix de muscade. Réservez.

    Faites griller vos tartines; Étalez -ou non du beurre et- de la béchamel sur les tranches de pain, déposez les tranches de jambon sur 2 d’entre elles.

    Déposez par dessus deux tranches de fromage

    Étalez une cuillère à soupe de béchamel et recouvrir d'une tranche de pain et saupoudrez de gruyère râpé. Appuyez très fort pour souder les tranches de pain

    Vous pouvez chauffez un peu vos tartines dans une poêle sans matière grasse pour plus de moelleux