En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
République démocratique du Congo: de nouvelles analyses de laboratoire révèlent que le paludisme grave et la malnutrition sont à l'origine de l'épidémie inexpliquée
De nouveaux résultats de laboratoire sur des échantillons prélevés sur des patients victimes d'une épidémie de maladie inexpliquée (nouvelle du 5 décembre) dans une région reculée de la République démocratique du Congo (RDC) suggèrent une forme grave de paludisme, a rapporté Reuters aujourd'hui, citant un communiqué du ministère de la santé.
Les autorités ont également indiqué que la malnutrition était l'un des facteurs à l'origine de la maladie et que le nombre total de cas s'élevait à 592, avec un taux de létalité de 6,2%.
L'épidémie dans le district sanitaire de Panzi, dans la province du Kwango, a débuté fin octobre, et les autorités sanitaires de la RDC en ont eu connaissance début décembre. Les symptômes comprenaient de la fièvre, des maux de tête, de la toux, des problèmes respiratoires et de l'asthénie.
Les conditions routières difficiles pendant la saison des pluies ont rendu difficile l'accès des enquêteurs à la région, qui dispose de peu de moyens de communication et d'une faible capacité d'analyse en laboratoire.
Les premiers échantillons ont suggéré la présence de paludisme. Certains des premiers échantillons parvenus à l'Institut national de recherche biomédicale (INRB) de Kinshasa étaient de mauvaise qualité, et d'autres échantillons, notamment respiratoires, ont été prélevés et envoyés au laboratoire. Des résultats plus complets étaient attendus cette semaine.
Source: Center for Infectious Disease Research and Policy
2 oranges non traitées; 20 cl de eau: 150 g de sucre
150 g de chocolat noir dessert
Lavez les oranges et taillez la peau pour pouvoir la peler en quartiers.
Dans un grand volume d'eau frémissante, faire bouillir les peaux pendant 5 minutes. Changez l'eau et répétez l'opération deux fois supplémentaires pour retirer l'amertume des oranges. Découpez ensuite les peaux en fines lamelles.
Portez à ébullition l'eau et le sucre pour réaliser le sirop: plongez les lamelles d'orange pour qu'elles confisent. Laissez réduire le sirop avec les écorces d'orange avant de les égoutter sur une grille.
Pendant ce temps, faire fondre le chocolat au bain-marie ou au micro-ondes pour qu'il soit lisse et brillant.
Trempez les écorces d'orange et laisser reposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Placez au frais.
Toulouse : violente altercation dans un bus entre le chauffeur et des jeunes
La vidéo partagée par Fdesouche est effarante.
Le 6 décembre, entre 21 et 22 heures, une violente altercation a éclaté dans un bus à Toulouse. Le début n’est pas filmé, mais on peut voir le chauffeur du bus qui demande à un jeune, âgé de 14 ans, de descendre du véhicule.
La raison? "Les deux jeunes sont montés sans valider leur titre de transport, explique le réseau de transport toulousain Tisséo, le chauffeur leur a rappelé le règlement. Il s’est fait, en retour, cracher dessus et insulter".
Face à celui qui refuse d’obtempérer, le ton monte. Le chauffeur l’empoigne par le col et le pousse vers la sortie. Retenu par d’autres passagers, il explique que "ce sont des enfants qui ont un passé, qui crachent sur les chauffeurs" et jette le téléphone du fauteur de troubles en lui criant: "Alors tu dégages!".
C’est alors que l’adolescent revient vers lui en furie: "Par Allah, je vais te baiser ta mère la p*** ! Viens, je t’enc*** ta mère la p*** ! Par Allah, je vais rester dans le bus".
Le chauffeur annonce que le bus ne repartira pas tant que les jeunes ne seront pas descendus. Les autres passagers les invitent alors poliment à obéir et à descendre du bus, avant de se voir répondre: " Je m’en bats les c********. "
L’adolescent, voyant que son téléphone est cassé, accuse le chauffeur: " e m’en fous, par Allah, tu vas le repayer".
À la fin de la vidéo, un homme monte dans le bus. C’est un autre chauffeur qui déclare que ce jeune "ne paie jamais".
Une médiation a eu lieu le lendemain des faits: "C’est une réunion qui a apaisé les choses", se réjouit Tisséo…
Comme le précise le site web spécialisé, les bûches industrielles que l’on trouve dans les supermarchés contiennent - pour la plupart - des ingrédients chimiques.
Les compositions truffées d’ingrédients caractéristiques de l'ultra-transformation: graisse végétale de coprah, matière grasse laitière anhydre, gélatine bovine en poudre, sirop de glucose-fructose… À quoi s’ajoutent d’innombrables additifs de type épaississants/gélifiants, stabilisants et autres émulsifiants», détaille le magazine.
Sans réelle surprise, les ingrédients en question peuvent s’avérer dangereuses pour la santé.
"De nombreuses études suggèrent un lien entre les aliments ultra-transformés et de nombreux risques pour la santé (surpoids et obésité, diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, dépression, etc.). De plus, on ignore tout ou presque d’éventuels effets cocktails entre ces molécules».
Et comme si cela ne suffisait pas, certains additifs favoriseraient même la dépression. Une information qui fait froid dans le dos. Pas de panique, certaines bûches sortent du lot.
Pour ne pas se tromper, 60 Millions de consommateurs recommandent d’acheter la bûche de Noël qui comporte «la liste d’ingrédients la plus courte"
Avant votre achat, vérifiez bien les étiquettes de composition de vos aliments.
En France, en semaine 48 (25 novembre au 1er décembre 2024), l'activité liée aux infections respiratoires aiguës (IRA) était en augmentation en ville et à l'hôpital tous âges confondus. Cette hausse était principalement portée par les enfants, notamment les moins de 5 ans.
1.GRIPPE SAISONNIERE
Dans l'Hexagone, les indicateurs grippe continuaient d'augmenter en ville et à l'hôpital et dans toutes les classes d'âge. En semaine 48, l'Île de France entrait en épidémie et cinq régions étaient en pré-épidémie: Hauts-de-France et Normandie depuis S47 et cette semaine Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne et Grand Est.
La part des syndromes grippaux dans les actes médicaux SOS médecin, les passages aux urgences et les hospitalisations après passage aux urgences sont respectivement de 5,5% (+1 points par rapport à la S47), 0,6% (+0,2 pt) et 0,4% (+0,1 pt).
En semaine 48, les taux de positivité des prélèvements réalisés en ville par les laboratoires de biologie médicale, en médecine de ville chez les patients consultant pour IRA et en milieu hospitalier étaient respectivement de 8,1% (+2,7 points par rapport à la S47), 14,9% (+8,5 pt) et 3,2% (+1,1 pt). Le niveau d'intensité en ville passait cette semaine du niveau de base à un niveau faible.
A l’hôpital (réseau RENAL/CNR), parmi les 89 792 prélèvements testés depuis la semaine 40, 96 se sont avérés positifs pour un virus grippal (1,1%), dont 575 virus de type A non sous-typés, 150 A(H1N1)pdm09, 50 A(H3N2) et 189 virus de type B.
BRONCHIOLITE
En S48, les indicateurs syndromiques liés à la bronchiolite étaient en augmentation en ville comme en milieu hospitalier.
Chez les enfants de moins de deux ans, les bronchiolites représentent respectivement 8,2% (+0,6 point par rapport à la S47) des actes médicaux SOS Médecins, 15,1% (+1,4 pts) des passages aux urgences et 30,5% (+3,5 pts) des hospitalisations après passage aux urgences.
Le taux de détection pour le VRS (virus respiratoire syncytial) dans les prélèvements naso-pharyngés était en augmentation en laboratoire de ville (6,9%, +1,3 points) et à l’hôpital (9,5%, +2 points).
En S48, dans l'Hexagone, toutes les régions étaient en épidémie excepté la Corse qui est toujours au niveau de base. Dans les départements et régions d’outre-mer, la Guadeloupe et la Martinique étaient en épidémie depuis S43 et la Guyane depuis fin juillet (S31).
D'autres virus susceptibles d’induire des bronchiolites circulent actuellement dans l’Hexagone, en particulier des rhinovirus et entérovirus.
La campagne d'immunisation passive des nouveau-nés contre les infections à VRS (virus respiratoire syncytial) est en cours.
COVID 19
Les indicateurs syndromiques du COVID-19 restaient globalement stables en ville et à l'hôpital.
Le taux de positivité pour SARS-CoV-2 parmi les prélèvements testés en ville et à l’hôpital restait stable et le niveau de circulation dans les eaux usées étaient en baisse en S48par rapport à la semaine précédente (-3,5%).
Parmi les 143 cas de covid 19 hospitalisés en réanimation au cours de la saison 2024-2025, 91% étaient âgés de 18 ans et plus. Parmi eux, la majorité était des hommes et la présence d’au moins une comorbidité était reportée pour 89% des cas. Parmi les 101 cas pour lesquels le statut vaccinal était renseigné, 96% n’étaient pas vaccinés contre la covid 19 au cours des 6 derniers mois. Ces cas étaient pour la plupart âgés de 65 ans et plus (69%)