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OCCITANIE - Page 54

  • Réussir les pommes de terre sautées

    Quelle variété de pomme de terre choisir pour des pommes de terre sautées?

    Tout d'abord, il faut choisir la bonne pomme de terre pour réaliser ce plat à la maison. En effet à chaque variété sa spécialité. Il existe presque 10 000 sortes de patates: Amandine, Charlotte, Bintje, Vitelotte… Il y en a pour tous les goûts et pour toutes les préparations.

    Certaines ont une chair plus ferme que d'autres et sont donc plus propices pour réaliser des pommes de terre sautées.

    Vous pouvez opter pour des Charlotte, Amandine ou encore des rattes. Contrairement aux bintjes qui sont idéales pour une purée, les pommes de terre à chair ferme vous aideront à faire les meilleures pommes de terre sautées chez vous.

    Quel ustensile de cuisson pour réaliser vos pommes de terre sautées?

    Maintenant que vous avez choisi la meilleure variété de pomme de terre, il vous faut le bon ustensile pour les cuire. Dans une casserole usée, vos patates vont certainement accrocher, même avec de la matière grasse. Elles vont s'effriter et vous obtiendrez une bouillie plutôt que des pommes de terre bien grillées et fondantes.

    Il est donc recommandé d'utiliser une sauteuse ou un faitout avec un revêtement anti-adhésif. Cela vous aidera à ne pas faire cramer vos pommes de terre et à garder de beaux cubes bien croustillants. Cependant, les ustensiles au revêtement les moins dangereux sont: intérieur céramique ou en pierre.

    Comment obtenir des pommes de terre sautées croustillantes et fondantes ?

    Tout d'abord, les pommes de terre sautées demandent une pré-cuisson à l'eau pour garder tout leur moelleux. Mais avant ça, on vous conseille de ne pas seulement les rincer à l'eau mais de les faire tremper dans de l'eau froide pour retirer l'amidon qu'elles contiennent. Pas besoin de forcément les peler, il vous suffira de les couper en cubes et de les plonger dans un bol d'eau froide une dizaine de minutes et de changer l'eau au moins une fois.

    Avant de les faire revenir à la sauteuse dans de la matière grasse (et de préférence, de la graisse de canard qui donne un goût, je vous dis que ça!), faites cuire les pommes de terre dans un grand volume d'eau salée. Seulement quelques minutes pour les attendrir mais elles doivent garder du croquant. Ensuite, laissez-les refroidir complètement avant de les passer à la poêle.

    Une fois les pommes de terre refroidies, versez trois cuillères à soupe d'huile ou graisse de canard dans une sauteuse et laissez chauffer. Ne vous brûlez pas!

    Ajoutez les pommes de terre et imbibez-les de l'huile ou de graisse de canard, en mélangeant avec une cuillère en bois. Refermez la sauteuse avec le couvercle et portez le feu au maximum pendant 3 à 5 minutes, vous sentirez une bonne odeur de pommes de terre grillées s'échapper. Ensuite, il vous faudra remuer délicatement vos pommes de terre pour ne pas les effriter et baisser le feu.

    Laissez cuire avec le couvercle en remuant toutes les trois minutes environ pendant une dizaine de minutes. Pour vérifier la cuisson de vos pommes de terre, n'hésitez pas à planter la lame d'un couteau. Il doit s'enfoncer sans problème.

    Ajoutez un peu de sel et de poivre, des herbes ou même des épices, tout ce qu'il vous fera plaisir!

  • CE QU'IL FAUT SAVOIR

    Sur l'abominable attentat contre les bébés… Ce jour du 8 juin 2023 ne pourra pas être oublié…. ignominieuse attaque dans les jardins de l’Europe, près du lac d’Annecy.

    Une horreur profonde, une douleur pour la FRANCE… mais, cela n'empêche pas de voir la réalité en face.

    Le suspect remplit les bonnes cases, c’est un Syrien demandeur d’asile, parfaitement dans son droit, c’est la porte-parole de Moussa le Tripoteur qui nous l’apprend. Nous sommes en présence d’une authentique chance!

    Il serait installé en Suède depuis dix ans. Il y avait obtenu le statut de réfugié. Un gars sympa, à deux doigts de se faire médailler pour insertion particulièrement réussie, comme son frère, le pousseur du petit garçon sous le TGV. À la fin de novembre 2022, il avait fait une demande d’asile auprès de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides. Tant il aime la France.

    L’assaillant a “bondi”, comme tout bon coranique… “il a commencé à hurler, il s’est dirigé vers les poussettes et a commencé à assener des coups de couteau à répétition sur les petits” a dit un témoin.

    Cette attaque sur des enfants est le sommet de l’abomination. Remercions les policiers pour le courage dont ils ont fait preuve en interpellant l’assaillant

    MAIS

    C’est un chrétien revendiqué, il a poignardé au nom du Christ, donc l’affaire est entendue!

    En effet, quand on l’observe, il a la panoplie du parfait disciple de Jésus, la barbe, la tenue noire, le keffieh, le bermuda, le couteau pour partager le pain. Tous les indices concordent.

    Moussa l’admet, il y a eu un dysfonctionnement de ses services, ils ont trop tardé pour lui signifier le rejet de sa demande et l’autre, à force d’attendre, s’est énervé. Voilà!

    C’est encore la faute à pas de chance, c’est le concours de circonstances malencontreux.

    Surtout que la situation est sous contrôle, la diffusion des images de ce non-événement est interdite. La France peut être fière d’avoir des dirigeants à l’avant-garde de la libre circulation de l’information.

    Et pour paraphraser Julien Perlinpinpin, s’il n’y a pas d’images, c’est que ça n’a pas eu lieu!

  • Riz au lait aux noisettes

    Pour 2 personnes

    100g de riz rond; deux cuillères à soupe rases de sucre en poudre ou 1 de miel

    70 cl de lait entier; 25 g de noisettes

    1 pincée de cannelle

    Faites bouillir le riz rond avec le lait dans une casserole durant le temps indiqué sur la boîte. Ajoutez la cannelle.

    Versez le tout dans des ramequins et servez au frais 2 heures, puis parsemez de noisettes concassées.

    Vous pouvez remplacer le lait pas 70cl de boisson végétale aux noisettes

    Vous pouvez servir avec un caramel léger sur le dessus des ramequins

  • Cest toujours l'heure des crêpes!

    .. et en plus, c'est économique.. peut-être pas cette recette bien connue

     Crêpes Suzette

    Pour 4 personnes

    Pour la pâte à crêpes

    500 g de farine, 8 œufs, 1 L de lait

    50 g de sucre, 1 pincée de sel

    1 cuillère à soupe de beurre fondu

    Pour la garniture Suzette :

    125 g de beurre mou; 125 g de sucre glace

    1 orange non traitée, 10 cl de Grand Marnier (ou autre liqueur d'orange)

    Mélangez la farine, les œufs, le lait, le sucre et la pincée de sel. Versez le beurre fondu et mélangez jusqu'à l'obtention d'une pâte lisse.

    Laissez reposer la pâte pendant au moins 30 minutes.

    Pendant ce temps, préparez la garniture Suzette: mélangez le beurre mou avec le sucre glace et le zeste d'orange râpée.

    Faites chauffer une poêle à crêpes à feu moyen. Versez une louche de pâte et laissez cuire environ 1 minute de chaque côté. Répétez jusqu'à épuisement de la pâte.

    Étalez la garniture sur les crêpes et plier en 4.

    Déposez les crêpes dans une poêle avec un peu de beurre, versez un peu de Grand Marnier et faire flamber (attention à ne pas vous brûler). Arrosez régulièrement.

    A déguster aussitôt

  • Exposition alimentaire au plastique

     méfions-nous des fausses solutions de remplacement

    Auteurs;  Xavier Coumoul - Professor of Toxicology and Biochemistry, Université Paris

    Jean-Baptiste Fini; Professeur du MNHN, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)

    Nicolas Cabaton; Chercheur en Toxicologie, Inrae

    Sylvie Bortoli; Ingénieur de Recherche, Université Paris Cité

    The Conversation - CC BY ND

    Une autre contamination, invisible, existe et affecte l’être humain et sa santé, et les écosystèmes: celle des microplastiques et des nanoplastiques.

    Cette contamination provient de l’érosion des macroplastiques qui conduit à la formation de particules plus petites. Dans la littérature scientifique, les microplastiques sont souvent définis comme des particules dont les tailles ou dimensions ne dépassent pas 5 mm, sans limite inférieure définie.

    Pour les nanoplastiques, celles-ci ne doivent pas être supérieures à 0,1 micron soit 1/10000e de millimètres. De manière assez instinctive, il était facile d’anticiper que les particules les plus petites puissent pénétrer dans les organismes, mais cette démonstration n’avait jamais été faite jusqu’à récemment.

    Des microplastiques dans le sang humain

    En 2022, une étude entreprise par plusieurs équipes néerlandaises a démontré pour la première fois la présence de microplastiques dans le sang humain de 22 volontaires sains à une concentration moyenne de 1,6 mg/L.

    Cette détection concerne des plastiques de nature très différente: le polyéthylène téréphtalate (PET), qui compose par exemple les bouteilles d’eau, le polyéthylène, utilisé pour produire des contenants alimentaires, et le polystyrène, employé pour emballer les produits frais et pour les pots de yaourt par exemple.

    Il est à noter que l’étude s’est uniquement focalisée sur des particules dont la taille est supérieure à 700 nm et qu’aucune information n’est encore disponible pour les particules de taille inférieure, dont de nombreuses formes de nanoplastiques.

    Des effets –aussi-  sanitaires chez l’animal

    (…)

    Migration dans l’aliment ou la boisson

    Comment expliquer cette contamination de volontaires sains? Elle provient tout simplement de la chaîne alimentaire, bien que cette voie d’exposition aux microplastiques soit encore difficile à caractériser ou à quantifier avec des résultats extrêmement variables allant de 0,2 mg par an à 0,1-5 g par semaine.

    De très nombreuses études (plus de 1000) démontrent toutefois clairement une migration dans l’aliment ou la boisson de plusieurs molécules depuis les plastiques à leur contact. C’est le cas par exemple des bouteilles de sport réutilisables en plastique qui relarguent de très nombreux composés, d’autant plus que ces contenants sont lavés au lave-vaisselle.

    Une manière efficace de prévenir les risques que pourrait représenter la présence de microplastiques et de nanoplastiques pour notre santé serait de réduire les expositions, en particulier au niveau du bol alimentaire. Une évolution des pratiques à l’échelle de chaque consommateur est essentielle, notamment pour les organismes les plus vulnérables comme les embryons, les fœtus, les jeunes enfants ou les adolescents dont les systèmes de détoxication sont immatures et pour lesquels les processus de développement sont en cours.

    D’autant plus que l’exposition de ces populations par unité de masse corporelle est plus élevée que celle d’un adulte, majorant les risques pour leur santé.

    Pistes de pratiques plus vertueuses

    Un tel changement passe par la réduction de la consommation de produits transformés ou bruts emballés, la moindre utilisation de contenants en plastique ou composés en partie de plastique (type gobelet en carton, cartons de pizzas) ou la diminution du stockage ou de la cuisson ou du réchauffage d’aliments dans des contenants en plastique – par exemple par utilisation d’un four aux micro-ondes.

    CAR IL EST BIEN DEMONTRE QUE LA CHALEUR FAVORISE LA DETERIORATION DES COMPOSANTS EN PLASTIQUE ET LEUR MIGRATION DES PARTICULES DANS LES ALIMENTS.

    Ces pratiques vertueuses permettraient aussi de baisser la charge globale de notre environnement et de nos écosystèmes en micro et nanoplastiques conduisant naturellement à une diminution de la contamination de notre bol alimentaire.

    En 2025, un versant de la loi "Egalim" s’appliquera à la restauration collective (spécialement les cantines scolaires) avec l’interdiction des contenants en plastique à usage unique.

    Pour quelles alternatives? Le choix de matériaux de substitutions comme le verre, l’acier inoxydable ou les contenants en cellulose (composant de la paroi des végétaux), bambou ou bioplastiques, revient aux communes.

    L’illusion des bioplastiques

    Les contenants en bioplastique constituent une solution de remplacement pratique, largement utilisée par l’industrie agroalimentaire, en raison d’un poids plus léger que les contenants historiques et supposés inertes en inox ou en verre.

    En quoi consistent ces matériaux ? Les bioplastiques sont issus de plantes mais sont mélangés à des matériaux synthétiques afin d’obtenir des produits dont l’étanchéité est équivalente à celle des plastiques classiques.

    Du fait de leur PREFIXE "BIO", ILS DONNENT AU CONSOMMATEUR L’ILLUSION D’UN PRODUIT NATUREL ET SANS RISQUE POUR LA SANTE. Sur le plan réglementaire, ils devraient subir les mêmes tests que les autres contenants en plastique, et leur migration vers le contenu alimentaire est aussi limitée à 60 mg/kg de denrées.

    Malheureusement, un nombre restreint de tests (principalement sur les effets sur l’ADN) sont réalisés et aucun n’est entrepris quant à leurs potentiels effets de perturbateurs endocriniens. Ainsi, leur innocuité pour l’être humain n’est aucunement prouvée au regard de la littérature scientifique la plus récente. Enfin, pour ce qui est de leur biodégradabilité, elle génère dans tous les cas des microplastiques.

    Gare aux "alternatives"

    Ces éléments sont importants à rappeler dans un contexte où des alternatives sont parfois proposées pour limiter l’impact environnemental de toutes formes de pollutions (biocarburants, hydrogène « vert », cigarettes électroniques…) sans une évaluation correcte et aboutie de leur effet propre. Ainsi, le remplacement du bisphénol A par d’autres bisphénols (S, F…) soulève de nombreux questionnements dans la communauté scientifique, du fait des propriétés analogues ou des effets néfastes de ces substituts qui sont de plus en plus décrits.

    Compte tenu de leur origine et de leur mode de fabrication, il apparaît légitime que la question soit aussi posée pour les "bioplastiques", afin que le grand public ne devienne pas à ses dépens source de contamination de l’environnement en voulant pratiquer des écogestes. L’ajout de sacs plastiques à usage unique dits "biodégradables" ou "compostables" dans les composteurs domestiques devrait ainsi être proscrit, estime l’Anses, la dégradation totale de ces produits n’étant pas garantie lors du processus de compostage.

    Nous considérons que les collectivités devraient également être bien informées de la nature des bioplastiques utilisés pour la restauration collective, afin de prendre les décisions politiques plus adaptées sur ce dossier qui concerne des millions de personnes dont des enfants, particulièrement vulnérables aux expositions environnementales.

  • Saison des fraises

    Riz au lait aux fraises

    Pour 4 personnes

    50 cl de lait entier,  20 cl de crème liquide entière

    200 g de riz rond (achetez du riz de Camargue, achetons français!)

    1 gousse de vanille, 165 g de sucre de canne

    100 g de fraises (perso, j’aime bien les rougelines)

    Coulis de fraises à faire maison

    Quelques feuilles de menthe

    Fendre la gousse de vanille en deux et prélever les grains de la gousse.

    Dans une casserole, versez le lait, la crème, le sucre, les grains de vanille et le riz.

    Faire cuire environ 35 à 40 minutes à feu doux en remuant constamment.

    Lavez d’abord les fraises avant de les équeuter.

    Dans des bols, dressez le riz au lait. Décorez avec des fraises, du coulis de fraise et de la menthe fraîche.

    COULIS DE FRAISE

    Passez au mixeur une quinzaine de fraise lavées et équeutées et ajoutez du sucre.

  • Quand je dis que l’eau du robinet est souvent contaminée

    Norovirus est l'un des cinq genres existants de la famille des Caliciviridae. On distingue à ce jour 7 génogroupes subdivisés en plusieurs génotypes, mais certaines souches restent encore non classées. Les Norovirus sont très résistants dans le milieu extérieur et ont une grande capacité de survie sur les surfaces.

    L'homme est le réservoir des Norovirus humains qui sont excrétés en grande quantité dans les selles des personnes infectées. Ces virus persistent dans le milieu extérieur et ils sont résistants à certains traitements d'épuration qu'ils soient physiques ou chimiques. Des pluies abondantes diminuent le temps de séjour des eaux usées dans les stations d'épuration, permettant une plus grande libération de particules virales dans les eaux traitées.

    La transmission à l'homme peut se faire en ayant un contact direct avec une personne malade, en touchant des surfaces ou des objets contaminés par des Norovirus et en portant ensuite ses doigts à la bouche, ou en consommant des aliments ou des liquides contaminés par des Norovirus (les aliments peuvent être contaminés à la source comme les huîtres ou lors de leur préparation par un personnel infecté).

    Clinique:

    Après contamination, l'incubation qui peut varier de 4 à 77 heures, est en moyenne de 24 à 48 heures. L'infection par le norovirus se caractérise par un tableau associant nausées, vomissements, diarrhée, fièvre modérée et douleurs abdominales, et le taux d'asymptomatiques a pu être estimé de l'ordre de 20%. En général, la maladie dure d'un à trois jours.

    La déshydratation est la complication la plus importante de l'infection. Elle survient surtout chez les très jeunes enfants, les personnes âgées et les personnes atteintes d'une maladie grave préexistante. Chez le sujet immunodéprimé, les norovirus peuvent être responsables d'infections chroniques parfois sévères avec une excrétion prolongée du virus dans les selles.

    Épidémiologie :

    Le Norovirus est le virus le plus fréquemment responsable de TIAC. La contamination des aliments se fait par le biais d'eau souillée ou lors de la manipulation des aliments par une personne porteuse du norovirus. Les norovirus seraient impliqués dans 10 à 26% des TIAC. Tous les types d'aliments peuent être en cause. Les TIAC sont dues à des norovirus de génotype II autre que GII.4, et dans 37% des cas, les TIAC sont des infections mixtes où le génotype GII.4 est incriminé. Les norovirus GI, sont généralement associés à des épidémies d'origine alimentaire, hydrique ou environnementale car supposés plus résistants aux facteurs environnementaux que les norovirus GII. Les norovirus GI sont ainsi souvent retrouvés dans les épidémies consécutives à la consommation de coquillages crus.

    Pour les voyageurs, la base de la prévention repose sur l'observation des règles d'hygiènes alimentaires, à savoir :

        se laver fréquemment les mains à l'eau et au savon, en particulier avant toute prise alimentaire ou après être allé aux toilettes ;

        éviter l'usage des serviettes collectives ;

        ne manger que des aliments cuits et encore chauds ;

        éviter de manger des aliments servis à la température ambiante ;

        éviter la consommation de poissons, coquillages, ou fruits de mer autrement que bien cuits ou frits ;

        peler soigneusement, à défaut cuire ou désinfecter les fruits et légumes ;

        évitez les produits laitiers et les jus de fruits non pasteurisés ;

        ne boire que de l'eau minérale en bouteille capsulée ou de l'eau traitée (par chloration, par Troclosène sodique ou par ébullition) ;

        les boissons gazeuses en bouteilles ou en boîtes commerciales scellées non ouvertes ainsi que les boissons faites à partir de l'eau bouillie servies très chaudes comme le café et le thé sont généralement sûres ;

        ne pas consommer de glaçons, de crèmes glacées ou sorbets en vente sauvage.

    Dans le cadre d'une croisière, les recommandations des CDC sont les suivantes :

        Si vous êtes malade, signalez-le.

            Avant le voyage, si vous êtes malade : demandez à votre compagnie de croisière s'il existe d'autres options de croisière et consultez un médecin pour savoir si vous pouvez naviguer en toute sécurité.

            Pendant le voyage, appelez le centre médical du navire et suivez les recommandations du personnel médical.

        Lavez-vous souvent les mains

            Pour éviter de vous exposer et d'exposer les autres à tout ce qui peut causer des maladies et propager des germes.

            Quand? Lavez-vous les mains souvent, mais surtout après être allé aux toilettes et avant de manger ou de fumer.

        Quittez les lieux si vous voyez quelqu'un tomber malade (vomissements ou diarrhée).

        Signalez-le au personnel de la croisière s'il n'est pas déjà au courant.

    Source : Food Safety News