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Futur - Page 8

  • Toulouse avance!

    A Toulouse, le CNRS planche sur une batterie au sodium pour remplacer le lithium

    Le centre interuniversitaire de recherche et d’ingénierie des matériaux (Cirimat), laboratoire toulousain commun au CNRS et à l’université Paul-Sabatier, est partie prenante d’un projet visant à développer des batteries de nouvelle génération, utilisant le sodium plutôt que le lithium. Après deux ans de recherche, un premier prototype vient d’être mis au point". La prochaine étape est d’optimiser et de fiabiliser les procédés en vue d’un futur déploiement industriel ", précise un communiqué.

    Offrant des performances comparables, ce nouveau type de batterie affiche surtout l’avantage d’utiliser une ressource bien moins rare que le lithium. L’abondance du sodium pourrait ainsi aboutir à une forte réduction des coûts de production des batteries.

    Ce projet est soutenu par le Réseau sur le stockage électrochimique de l’énergie (RS2E). Regroupant dix-sept laboratoires, trois établissements publics et une quinzaine d’industriels cette structure est portée par le CNRS et coordonnée par les professeurs Jean-Marie Tarascon (Collège de France) et Patrice Simon (université Toulouse III - Paul-Sabatier). Ce dernier est chercheur au Cirimat, qui mobilise plus de 200 personnes pour une quarantaine de brevets déposés.

     

    L’INP de Toulouse conçoit une compresse chirurgicale absorbable par le corps humain

    Le laboratoire de génie chimique de l’INP de Toulouse, spécialisé dans la chimie verte, a créé une compresse pouvant être laissée dans le corps humain ; ainsi que la machine pour commercialiser cette innovation.

    C’est une invention qui va simplifier la vie des chirurgiens et diminuer le stress des patients. Une compresse chirurgicale innovante, pouvant être laissée dans le corps humain, vient d’être conçue par des chercheurs de l’Institut national polytechnique (INP) de Toulouse.

    Issue des recherches en chimie verte, la nouvelle compresse est hémostatique, capable d’arrêter le saignement des tissus qui suturent difficilement, et est biorésorbable". Nous avons réussi à éliminer le solvant traditionnellement employé dans des compresses. Pour cela, nous avons fabriqué des tissus de cellulose avec un gaz sous forte pression, du CO2 supercritique ", explique Jean-Stéphane Condoret, chercheur laboratoire de génie chimique de l’INP de Toulouse.

    Près de 109 enseignants-chercheurs de ce laboratoire travaillent précisément sur cette chimie du futur. En 2005, aux côtés de leurs confrères du Cermav [1] de Grenoble, ils ont breveté un procédé d’oxydation de la cellulose basée sur l’utilisation du CO2 supercritique. Ce brevet avait été acquis en 2006 par la société rhônalpine Sofradim Production, qui avait lancé des études avec les deux laboratoires pour industrialiser le procédé et permettre la fabrication de dispositifs médicaux hémostatiques biorésorbables.

    Commercialisation en décembre

    Dans le cas de la nouvelle compresse, les chercheurs de l’INP avaient conçu et implanté dès 2008 une machine pré-industrielle de haute technologie qui avait permis de réaliser des produits tests pour homologation. Valider la possibilité d’industrialiser un nouveau produit est l’une des expertises du laboratoire de génie chimique de l’INP de Toulouse, qui apporte son appui technologique à 500 entreprises dont un tiers de PME-PMI.

    " C’est le produit et son procédé qui sont innovants aujourd’hui ", assure le chercheur. Ces études nous ont pris dix ans ". La compresse sera commercialisée en décembre par le groupe américain Medtronic, l’un des leaders mondiaux dans le domaine des technologies médicales. L’INP de Toulouse possède un portefeuille actif de 100 brevets, dépose en moyenne douze nouveaux brevets par an et gère actuellement 750 contrats de recherche partenariale, représentant chaque année 21.5 millions d’euros de ressources externes.

    Notes

    [1] Centre de recherches sur les macromolécules végétales

  • Tout est bon dans le cochon!

    Des parasites pour traiter la sclérose en plaques?

    L’ingestion d’œufs vivants d’un parasite intestinal du porc semble avoir un effet positif sur l’évolution de la maladie.

    Il s’appelle Trichuris suis, un parasite intestinal dont l’hôte naturel est le porc, mais qui peut également se plaire dans les entrailles humaines, même s’il ne s’y reproduit pas. Quel intérêt? Eh bien, la seule présence de ce ver dans l’intestin des personnes atteintes de sclérose en plaques aurait des vertus thérapeutiques. C’est du moins ce que semble indiquer une étude pilote présentée au congrès de l’Académie américaine de neurologie 1. Lorsque l’on sait que cette maladie est la première cause de handicap neurologique chez les jeunes des pays industrialisés, la piste mérite d’être suivie. Des travaux antérieurs avaient déjà montré l’efficacité des œufs de ce parasite dans le traitement de maladies inflammatoires chroniques du tube digestif (maladie de Crohn en particulier) 2. Une nouvelle thérapie en vue? Le point avec Patrice Lalive d’Epinay, médecin adjoint au service de neurologie des Hôpitaux universitaires de Genève.

    Utiliser un parasite intestinal pour traiter la sclérose en plaques, est-ce une piste à suivre?

    Patrice Lalive d’Epinay: C’est une piste intéressante. Et des études précédentes ont montré une action de ces parasites contre les maladies auto-immunes du tube digestif. Mais, en ce qui concerne la sclérose en plaques, il ne s’agit que d’une étude préliminaire, certes validée par la Société américaine de sclérose en plaques. Il y a toutefois encore un long chemin jusqu’à ce que ce protocole puisse être validé.

    Ces essais thérapeutiques sont-ils basés sur la théorie hygiéniste selon laquelle des personnes peu exposées aux infections et parasites seraient plus susceptibles de développer des allergies et maladies auto-immunes?

    Une étude israélienne d’Uri Leibowitz a montré, en 1966 déjà, que l’incidence de la sclérose en plaques était liée aux conditions sanitaires dans lesquelles vivaient les gens: plus ces conditions étaient bonnes, plus l’incidence de la maladie était élevée. On observe que les maladies auto-immunes sont très peu fréquentes dans certains pays du Sud, quasi inexistantes à l’Equateur, et beaucoup plus présentes dans le Nord où l’hygiène est plus stricte. Cela a été effectivement mis en relation avec les infections et les parasitoses.

    En quoi les parasites pourraient-ils traiter les maladies auto-immunes et en particulier la sclérose en plaques?

    Je ne parlerais pas de traitement curatif mais plutôt d’une modulation du système immunitaire. Dans les maladies auto-immunes, notre système de défense se trompe de cible et agit contre ses propres constituants comme s’il s’agissait d’éléments étrangers à détruire. Dans la sclérose en plaques, il s’attaque ainsi à la gaine de myéline qui entoure les nerfs. La présence de parasites dans l’intestin modifie cette réponse immunitaire et induit une tolérance aux antigènes impliqués dans la réaction auto-immune.

    Quel est le traitement classique de la sclérose en plaques?

    Les traitements visent toujours à modifier l’inflammation, et sont plus ou moins lourds. Ceux de la première génération ont des effets secondaires au moment de leur administration, mais ne posent pas de problème de sécurité. Ceux de la seconde génération, des immuno-suppresseurs, sont bien tolérés, mais peuvent entraîner un risque d’infections.

    Et le traitement avec le parasite du porc?

    Apparemment, il est bien toléré. Les patients doivent prendre deux mille cinq cent œufs toutes les deux semaines pendant trois mois. Il s’agit de larves immatures duTrichuris suis. Elles colonisent temporairement l’intestin, ce qui semble moduler l’inflammation, puis sont éliminées. Comme l’homme n’est pas l’hôte naturel de ce parasite, il ne se multiplie pas chez lui, et il n’y a pas de risque de contamination des proches, selon l’étude préliminaire. Mais, comme je l’ai dit, il est encore beaucoup trop tôt pour dire si ce traitement est sûr et efficace.

    ___________

    1. Multiple Sclerosis Journal, Probiotic helminth administration in relapsing-remitting multiple sclerosis: a phase 1 study, J.O. Fleming.

    2. Trichuris suis therapy in Crohn’s disease, R. W. Summers, D.E. Elliott, 1 J.F. Urban, Jr, R. Thompson, and J.V. Weinstock, 2005.

  • Notre histoire

    Et comme j'ai TOUJOURS raison, voir le sondage plus bas: nous voulons que notre région s'appelle:

    OCCITANIE

     

    Les cinq grandes dates qui ont marqué notre histoire commune 

    413

    Arrivant d'Italie, les Wisigoths envahissent Toulouse en 413 et en font la capitale de leur royaume qui couvre tout le sud de la France : la Septimanie. La cité gallo-romaine connaît un véritable essor durant près d'un siècle. Vaincus à la bataille deVouillé (en 507), les Wisigoths fuient vers l'Espagne laissant Toulouse en 508 aux mains de Clovis. La Septimanie est aussitôt divisée en diocèses.

    1209

    Au début du XIIIe siècle,Toulouse est à son apogée mais le catharisme se développe et provoque en 1209, le lancement de la croisade des Albigeois par les armées françaises. Raymond VII de Toulouse abandonne une partie de ses territoires et marie sa fille Jeanne à Alphonse de Poitiers frère du roi.

    En 1271, le couple s'éteint sans enfant : le roi devient comte de Toulouse.

    1346

    Poussé par les dépenses militaires de la Guerre de Cent ans, le roi Philippe VI convoque en 1346 à Toulouse les représentants des sept

    Il fait de même à Montpellier en 1351. Ainsi naissent “les assemblées de langue d'oc” qui deviendront les États du Languedoc après 1380. Ils seront chargées d'établir le montant de l'impôt versé au roi, sa répartition et sa levée.

    1666

    Sur ordre de Colbert, Pierre Paul Riquet, baron de Bonrepos, entreprend le creusement du “Canal royal du Languedoc” entre Toulouse et Sète. Achevée en 1681, la nouvelle voie navigable devient un axe économique majeur entre l'océan Atlantique et la mer Méditerranée. En 1789, sous la Révolution, il est rebaptisé “canal du Midi”. Depuis 1996, il est inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco.

    1955

    Afin de favoriser l'expansion économique de la France, le décret Pflimlin du 30 juin 1955 lance le programme de création des 22 régions actuelles. Jean Vergeot, commissaire au Plan est chargé du découpage. Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées voient le jour. Pour la première fois depuis la Révolution, des régions ne correspondant pas aux anciennes provinces sont créées en France.

     

    Quel nom choisiriez-vous pour la future grande région ?

    Votre vote a été pris en compte.

    Occitanie

    27%

    Pyrénées-Languedoc

    11%

    Pays-d’Oc

    9%

    Midi-Languedoc

    8%

    Pyrénées-Méditerranée

    6%

    Midi-Méditerranée

    5%

    Languedoc

    5%

    Midi-Roussillon

    5%

    Sud de France

    5%

    Occitanie-Pyrénées

    4%

    Midi-d’Oc

    3%

    Septimanie

    2%

    Occitanie-Pays Catalan

    2%

    8059 personnes ont voté

     

    J'ai voté Occitanie, bien sûr, sur le sondage de La Dépêche

     

     

  • Bien sûr!!! tout à fait normal!

    Toulouse sera bien la capitale de la nouvelle grande région

    Le gouvernement a tranché. C'est la ville de Toulouse qui a été désignée comme capitale de la future région, ce vendredi matin en conseil des ministres. Pour la répartition des compétences, les préfets de région en diront plus ce vendredi en fin d'après-midi. 

    Sans surprise, Toulouse sera la nouvelle capitale de la future région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon, selon les décisions sur la nouvelle organisation territoriale arrêtées vendredi en Conseil des ministres.

     Outre Toulouse, Lyon, Bordeaux et Strasbourg, Lille, Rouen et Dijon ont également été choisies comme capitales régionales.

    Le choix  des nouvelles capitales régionales, dont la liste provisoire a été présentée en Conseil des ministres ce vendredi matin, "peut

     en théorie encore bouger d'ici l'année prochaine", selon le secrétaire d'Etat André Vallini.

     "Les capitales définitives seront fixées par le gouvernement après consultation des futurs conseils régionaux", a rappelé André Vallini sur RMC.

     "Chacun défend son territoire, c'est légitime", a-t-il dit. "C'est tout à fait normal que les maires des villes qui pourraient ne plus être capitales régionales

     se battent pour garder des services de l'Etat et nous allons profiter de cette réforme pour répartir les services de l'Etat de façon plus équilibrée encore". Les chefs-lieux définitifs doivent être fixés avant le 1er octobre 2016.

    L'annonce officielle de la répartition des services de l'Etat a également été faite, ce vendredi, après le conseil des ministres. 9 postes de préfets de région et autant de postes de directeurs généraux d'agences régionales de santé (ARS) vont être supprimés dans l'hexagone dans le cadre de la nouvelle organisation territoriale, selon le compte-rendu du Conseil des ministres vendredi. "63 postes de directeurs régionaux des administrations de l'Etat, ainsi que leurs états-majors" seront également supprimés.

    Le détail pour notre future grande région Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon doit être donné ce vendredi après-midi à Carcassonne dans l'Aude lors d'une conférence de presse du Prefet de région.

    Selon Damien Alary, le président sortant de Languedoc-Roussillon, 5 administrations régionales actuelles sur 11 existantes siégeront toujours à Montpellier après la fusion des régions, le 1er janvier 2016. Il s'agit du rectorat coordinateur, de l'Agence régionale de santé (ARS), des affaires culturelles (DRAC), de la jeunesse, les sports et la cohésion sociale et enfin la chambre régionale des comptes.

    Perso, je souhaite que l'ensemble devienne la région “Occitanie“.

     

    Toulouse, toulousain, société, recettes, cuisine, gastronomie, Occitanie

     

     

     

     

    Allez-va, les autres, poutous pour vous réconforter!

     

  • Des scientifiques toulousains inventent un aimant exceptionnel

    Le Laboratoire national des champs magnétiques intenses (LNCMI – CNRS) installé à Toulouse et Grenoble vient de faire un bond dans la course vers les 100 teslas avec la réalisation d’un aimant générant un champ magnétique pulsé de 90.6 teslas.

    Ce nouvel aimant offre des impulsions très longue durée, 9,1 millisecondes pour des champs au-delà de 80 teslas, ce qui constitue une nouvelle référence mondiale et permet d’effectuer des expériences physiques dans des conditions inégalées.

    Le LNCMI se positionne désormais au troisième rang mondial des records absolus de champ magnétique pulsé non destructif (avec un aimant réutilisable), derrière les laboratoires de Los Alamos aux Etats-Unis et de Dresde en Allemagne. L’objectif du laboratoire est maintenant de mettre au point un aimant permettant d’atteindre 100 teslas tout en optimisant la durée de l’impulsion et en réduisant le bruit électronique généré par le dispositif.

    Ce type d’installation permet d’étudier les propriétés des matériaux dans des conditions extrêmes: champ magnétique intense couplé à de très basses températures ou à des hautes pressions. La première étude utilisant l’aimant 90 teslas du LNCMI a permis de sonder les propriétés d’un composé de la famille des supraconducteurs à base de fer et a donné lieu à une publication dans la revue Physical Review Letters.

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  • Découvertes révolutionnaire sur le cerveau

    Des vaisseaux lymphatiques dans le cerveau

    Contre toute attente, des vaisseaux lymphatiques ont pour la première fois été décelés dans le cerveau, alors que les scientifiques estimaient jusqu'ici qu'il en était dépourvu. Cette découverte majeure pourrait révolutionner la compréhension et le traitement des maladies neurologiques comme Alzheimer ou la sclérose en plaques.

    C’est une découverte tout simplement stupéfiante, appelée à bouleverser de fond en comble les livres d’anatomie. De quoi s’agit-il ? Des chercheurs américains ont découvert l’existence de vaisseaux lymphatiques dans le cerveau, reliant ce dernier au système immunitaire. Or jusqu’ici, le cerveau était supposé… être totalement dépourvu de tels vaisseaux. En d’autres termes, aucun "lien" anatomique direct entre le cerveau et le système immunitaire n’était connu jusqu’à ce jour.

    Au-delà de la révolution que ce résultat majeur va provoquer dans nos connaissances anatomiques, c’est également la compréhension de nombreuses maladies affectant tout à la fois le système nerveux central et le système immunitaire qui devrait être considérablement améliorée par cette découverte. C’est par exemple le cas de la sclérose en plaques, cette maladie auto-immune qui affecte le système nerveux central. Ou encore la maladie d’Alzheimer, une affection neurologique dont les liens avec le système immunitaire sont très mal compris.

    Pour bien comprendre ce dont il s’agit rappelons au passage ce qu’est le système lymphatique: il s’agit d’un système formé par des vaisseaux et des organes chargés du drainage des substances de rebut, dont des protéines et des lipides, produites lors du métabolisme cellulaire.

    Toutefois, le système lymphatique n'est pas présent partout dans le corps humain. Toutes les analyses anatomiques conduites jusqu’ici avaient en effet indiqué que certains organes étaient dépourvus du drainage lymphatique, comme les os et le cerveau. Concernant ce dernier, c’était en tout cas ce qui était supposé jusqu’ici, avant la découverte réalisée par le neurologue Antoine Louveau et ses collègues de l'Ecole de Médecine de l'Université de Virginie (Etats-Unis).

    Pour réaliser cette découverte, Louveau et ses collègues ont mené des analyses sur des souris. Lesquelles ont révélé l’existence de vaisseaux lymphatiques dans les méninges, ces membranes recouvrant le cerveau. Et ce, en totale contradiction avec ce qu’affirmaient jusqu’ici tous les traités d’anatomie. Des vaisseaux bien cachés, qui avaient échappé à toutes les dissections anatomiques réalisées dans le passé…

    Pourquoi ces structures lymphatiques avaient-elles échappé jusqu'ici au regard des anatomistes? Pour une question méthodologique. Car c’est bien l’adoption d’une nouvelle méthode de dissection qui a permis à Louveau et ses collègues de déceler ces vaisseaux. Si la procédure habituelle prévoyait tout d'abord l'ablation des méninges du cerveau, pour ensuite les "fixer" ("fixer" un tissu consiste à immobiliser les cellules dans l’état dans lequel elles étaient juste avant l’intervention), Louveau et ses collègues ont tout simplement inversé le processus : ils ont d’abord fixé les méninges alors qu’elles étaient toujours présentes dans le cerveau, et ce n’est que dans un second temps qu’ils les ont extraites avant de les analyser en microscopie. Une méthode présentant l’avantage de conserver beaucoup plus efficacement les méninges dans leur état d’origine.

    Grâce à ce changement méthodologique, Louveau et ses collègues ont ainsi pu déceler la présence de cellules immunitaires et de vaisseaux lymphatiques au sein des méninges…

    En plus de révolutionner nos connaissances sur le cerveau, cette découverte est susceptible de renouveler le débat sur l'approche médicale des maladies neurologiques. En effet, on sait que des pathologies comme la maladie d’Alzheimer impliquent l'accumulation massive de protéines dans le cerveau (les protéines bêta-amyloïdes). Or, il est tout à fait possible de faire l’hypothèse que l’accumulation de ces protéines proviendrait d’une mauvaise évacuation de ces dernières par les vaisseaux lymphatiques…

     

  • Mobilisation des Toulousain-es

    Mobilisation du 27 mai de 12h à 18h place St Etienne devant la Préfecture de région.

    A l’appel du Collectif pour une France accessible (national) et du Collectif régional pour une France accessible à tous.

    Car on peut encore faire bouger le gouvernement

    Et demain il sera trop tard pour se plaindre du recul et de l’arrêt de mise en accessibilité de notre pays.

    L’APF va installer un parcours d’accessibilité qui permettra au grand public de se mettre en situation dans un fauteuil roulant et de mesurer les obstacles se trouvant sur notre route. Si des personnes veulent faire pareil pour la déficience visuelle avec un bandeau et une canne blanche, cela serait bienvenue. Ainsi que toute démonstration sur tous les types de handicaps et toutes les difficultés de mobilité.

    Et une action coup de poing sera menée pour rendre visible notre profonde colère. De façon à visibiliser davantage notre lutte. Que ceux qui veulent participer à cette action me contactent.

    Compte-tenu de la grève du service de transport adapté Mobibus, les personnes handicapées ayant besoin d’un transport peuvent nous contacter mardi matin au 05 34 85 50 85 (APF 31) pour tenter d’avoir une solution. Et que ceux qui ont un moyen de transport, surtout adapté, se proposent aussi.

    Un dossier sera remis à la Préfecture.

    On compte sur vous et si vous ne pouvez vraiment pas bouger, possibilité aussi de se mobiliser virtuellement sur Facebook : https://www.facebook.com/events/821000314641717/

    Cordialement.

    Odile MAURIN

    Représentante Départementale de l'APF en Haute Garonne

    Membre du conseil APF de région Midi-Pyrénées

    APF (Association des Paralysés de France)

    60 chemin du commandant Joël Le Goff - 31100 TOULOUSE

    Tél : 06 68 96 93 56 (11h à 21h uniquement)

    Mail : odile.maurin@apf31.fr - cd.31@apf.asso.fr

     

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    Blog : http://dd31.blogs.apf.asso.fr

    association membre du CIAH31 (Collectif InterAssociatif Handicaps du 31) :

    http://v2.handi-social.fr/ciah31.html

    et du collectif  Ni Pauvre Ni Soumis midi pyrénées : http://nipauvrenisoumis.mp.free.fr/

    Necoutezpasleslobbies_1403_40ansimmobilismecasuffit

    http://www.necoutezpasleslobbies.org/

    Mobilisons-nous en signant la pétition, en la partageant et en rejoignant les manifestations locales organisées par les délégations départementales de l’APF!

    POUR CONSTRUIRE UNE SOCIETE INCLUSIVE ET EN FINIR AVEC CETTE INJUSTICE: SANS ACCESSIBILITE, PAS DE CITOYENNETÉ!