Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

DANGERS - Page 58

  • Je n'aime pas les maisons neuves, leurs visages sont indifférents….

    Je leur préfère les maisons vieilles, qui se souviennent en pleurant (Sully Prudhomme)

    Un collectif d'habitants de la rue Mazas, dans le quartier toulousain du faubourg Bonnefoy, propriétaires de petites maisons, se mobilise contre un projet immobilier de 49 logements. "Par sa taille et sa hauteur, il est disproportionné à côté de petits pavillons qu'il va écraser et défigurer par son aspect déplacé", s'indigne le collectif, qui vient d'envoyer un courrier au maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, après avoir saisi le tribunal administratif. "Ce n'est pas pour tenter d'entraver toute réalisation et s'opposer à l'arrivée de futurs Toulousains. Mais sommes-nous condamnés à perdre notre qualité de vie dans cette opération ? s'interroge Hélios Casa. Nombre d'habitants de cet ancien quartier de cheminots sont vieux et pensaient ici pouvoir conserver une maison ayant quelque valeur, et surtout préserver un certain équilibre. Le stationnement est déjà saturé, le cheminement et la circulation seront encore plus difficiles, s'il n'y a pas de garages pour les voitures".

    Le collectif, qui regrette le manque de concertation, demande que les proportions soient respectées comme dans le reste de l'îlot Lapujade, soit 100 logements à l'hectare. "Alors qu'on parle actuellement du triple", précise Hélios Casa. Le bras de fer est engagé avec le promoteur du projet immobilier et les vendeurs des parcelles qui ont assigné le collectif devant le tribunal de grande instance pour recours abusif. "On nous réclame des dommages et intérêts tels que nous devrions vendre biens et maison pour pouvoir y répondre", s'insurge Hélios Casa, qui tiendra une réunion publique d'information ce mercredi 27 mai, à 19 heures, au bar associatif Les Farfadets, 19 bis, rue du faubourg Bonnefoy.

     

    aoaoa.jpg

     

     

     

     

     

  • Dernières nouvelles nutrition et cuisine

    Que sont les AGE? Des produits chimiques qui résultent d’une réaction entre un sucre et un acide aminé. Cette réaction chimique s’appelle "Réaction de Maillar ", du nom du chimiste français qui l’a découverte en 1912. Cette transformation ne fait pas intervenir d’enzyme, elle a lieu spontanément: dans un premier temps, le groupement carbonyle du sucre réagit avec une fonction amine et donne ce que l’on appelle une base de Schiff. Ensuite cette base de Schiff va elle-même subir un réarrangement moléculaire pour donner ce qu’on appelle un produit d’Amadori. Ce dernier entre dans la phase terminale de la réaction de Maillard et aboutit à la formation des AGE, parfois appelés produits de la réaction de Maillard ou produits terminaux de la glycation.

    Les premières étapes de la réaction sont réversibles: on pourrait revenir en arrière et retrouver nos sucres et nos acides aminés. Malheureusement les étapes finales sont irréversibles : quand un AGE est là, il y reste ! Et à moins d’être éliminés grâce à nos reins dans les urines, les AGE s’accumulent dans notre organisme avec des conséquences majeures.

    La glycation: un phénomène spontané dans notre corps

    Si les conditions sont favorables: sucre sanguin, pH, température, le corps fabrique les AGE tout seul. Les deux premières étapes de la réaction de Maillard donnent des produits de glycation précoces. Leur formation est proportionnelle à la concentration sanguine en sucre (glycémie). Dans la dernière étape de la réaction de Maillard, on obtient des produits de Maillard, les fameux AGE. La formation des AGE, contrairement à celle des produits de glycation précoces, ne dépend pas de la glycémie mais de la durée d’exposition des protéines aux sucres et du temps de renouvellement protéique.

    Mais c’est également un phénomène culinaire

    La glycation, ou réaction de Maillard, est une réaction à laquelle nous pouvons assister tous les jours lorsque nous cuisinons. Lors de la cuisson, la réaction entre les sucres et les protéines alimentaires donnent des AGE alimentaires. Tous les aliments ne contiennent pas la même quantité d’AGE (voir tableau des sources d’AGE). La formation de ces AGE est d’autant plus importante que la température de cuisson augmente. Les modes de cuisson sont donc responsables de la quantité d’AGE que l’on va trouver dans notre assiette, quantité qui peut parfois être très importante. En cuisine, ces réactions sont indispensables car ce sont elles qui donnent aux aliments leur couleur dorée et leur fumet appétissant. Le rôti tout juste sortit du four avec sa belle couleur caramélisée? C’est la réaction de Maillard. L’arôme puissant du café torréfié? Encore la réaction de Maillard. La belle croûte dorée du pain? Toujours la réaction de Maillard. Incontestablement, tout cela stimule nos yeux, notre odorat et ravit nos papilles. Hélas, en matière d’alimentation, ce qui est bon… n’est pas toujours bon pour la santé.

    Quels aliments privilégier? Lesquels éviter?

    Pour ce qui est de déconseiller tel ou tel aliment, il est encore un peu tôt. En revanche, on peut d’ores et déjà faire des recommandations sur les modes de cuisson à utiliser préférentiellement. On sait que le fait de frire ou griller des aliments augmente considérablement le taux d’AGE alors que le fait de les faire bouillir engendre moins d’AGE.

    Cependant, les hautes températures permettent également de former des produits finaux de la réaction de Maillard, polymères bruns aussi appelés melanoidines et qui sont associés a un effet antioxydant. Nous avons aujourd’hui beaucoup plus de données scientifiques sur ce sujet, au travers d’études financées par les industries agro-alimentaires.

    La cuisson à haute température permet en effet de conférer aux aliments goût et couleur et texture croustillante, caractéristiques sensorielles très appréciées du consommateur. Malgré ces données, il est raisonnable en terme de bénéfice/risque de recommander d’éviter de griller les aliments et de préférer la cuisson à l’eau.

    On a établi des liens de cause à effet entre les AGE et certaines maladies. Les pathologies rénales par exemple sont aggravées par les AGE alimentaires. Ceux-ci sont mal excrétés, il y a alors une accumulation d’AGE ce qui favorise un terrain inflammatoire.

    Dans le cadre du diabète, on a une surproduction endogène d’AGE favorisée par l’excès de glucose sanguin. Les diabétiques sont donc soumis à une exposition chronique à un excès d’AGE.

    En diminuant les AGE dans leur alimentation, les diabétiques, les personnes qui souffrent de maladies rénales pourraient prévenir les complications liées a ces pathologies mais certainement pas soigner la pathologie elle-même.

    Dans l’obésité? Pour ce qui est de la lutte contre l’obésité on ne peut décemment pas envisager la restriction des AGE, les données de la littérature sont encore très éparses et controversées.

    Par contre on peut supposer dès a présent un lien évident avec le risque de surconsommation alimentaire: les produits de la réaction de Maillard augmentent l’appétence des aliments. Ces derniers prennent donc une belle couleur dorée et une odeur parfumée qui incitent les gens à en manger. Par exemple si on vous propose des pommes de terre bouillies ou des pommes de terre frites, vous aurez peut-être tendance à manger plus de frites car elles vous semblent plus appétissantes, et pourtant les frites apportent deux fois plus de calories que la pomme de terre.

     

  • A vos moustiquaires! moi, c'est fait, et vous?

    Dengue et Chikungunya : Surveillance sanitaire renforcée en Haute-Garonne du 1er mai au 30 novembre 2015 annonce l’institut de veille sanitaire ce lundi. En cause : le moustique tigre.

    Le moustique Aedes albopictus ou moustique tigre, est implanté dans le département de la Haute-Garonne depuis 2012. Ce moustique est connu pour être un vecteur potentiel de maladies comme le Chikungunya ou la Dengue. Conséquence : les autorités sanitaires mettent en place une surveillance sanitaire renforcée dans tout le département.

    153 cas signalés en 2014 dans le département de Haute Garonne

    Le Chikungunya et la Dengue sont des maladies à déclaration obligatoire qui doivent être signalées partout en France métropolitaine en utilisant la fiche de notification adaptée. Néanmoins, pour certains départements de France métropolitaine dans lesquels le moustique tigre est implanté, comme la Haute-Garonne, un système de surveillance sanitaire renforcée des cas de Dengue et de Chikungunya est mis en place dans le but de détecter plus précocement les cas suspects revenant de zones endémiques et mettre en place rapidement les mesures de gestion pour éviter l’apparition de nouveaux cas indiquent les spécialistes de l’Institut de veille sanitaire.

    En 2014, en Haute-Garonne 153 signalements ont été adressés à l’ARS Midi-Pyrénées : 50 cas importés de chikungunya et 18 cas pour la dengue ont été confirmés positifs.

  • Ne vous laissez mener en bouteille!

    Ici, on nous vend de l’eau avec un petit quelque chose en plus… totalement inutile.

    Hydratez-vous! Le conseil, martelé par les nutritionnistes, est repris en chœur par les fabricants d’eaux minérales. Jamais à court d’idées, ils proposent des variantes fruitées, censées remplacer par du "naturel" les sodas mis à l’index. Attitude responsable, sauf que l’eau cache des surprises…

     

    eau.jpg

     

     

     

     

     

     

     

    Sucre caché. Dans le flacon Volvic, le composant le plus important juste après l’eau, c’est le sucre. Ni vu ni connu, une bouteille de 75 cl fait avaler plus de trois morceaux de douceur indésirable. Le corps a certes besoin d’énergie, mais pas sous cette forme!

    Additifs inutiles. Les fruits promis sur l’étiquette sont présents sous forme d’arômes naturels: du citron et de la limette, mais pas seulement. D’autres arômes naturels figurent dans la composition – on ne sait ni lesquels ni combien – ainsi que de l’acide citrique. Ces composants sont tout droit sortis d’un labo, rien à voir avec la nature. Quant au benzoate de potassium, c’est un additif qui peut provoquer des réactions chez les asthmatiques ou les allergiques à l’aspirine.

    Pour le reste, il vaut mieux boire de l'eau en bouteille que de l'eau du robinet... malgré ce que disent les autorités, l'eau du robinet contient énormément de molécules pharmaceutiques que l'on ne peut pas encore déceler ni supprimer dans les stations d'épuration!

    On se plaint de la stérilité masculine? ils boivent au robinet de l'eau qui contient des molécules de.... la pilule!

    ... et je ne parle pas de la contamination par les traitements chimio ou antibio!

    Moi, perso: depuis 1992, je fais mon café, mes bouillons, comme le pot-au-feu avec de l'eau en bouteille!

    Comme j'ai la sale habitude le matin en me levant de m'asperger le visage d'eau froide pour me réveiller, depuis 3 ans, je toussais... je tousse encore car, j'ai cette sale habitude tenace et parfois, hop, j'oublie et je m'asperge... la chaleur m'oblige, hélas, donc j'oublie...

    Malgré tous les examens et antibio avalés, sans compter la cortisone et tout un tas de sal.. je continue à tousser.... parce que en me mettant de l'eau sur le visage, je suis sans aucun doute embêtée par la chlorine, un composé de Javel qui s'évapore devant nous en faisant couler l'eau du robinet.... Sachez que depuis les attentats américains de 2001, en France, le chlorage de l'eau a été doublé! ce qui nous fait très souvent des "yeux de lapin" en sortant de la douche... et le Javel des piscines rend, très souvent, les champions de natation très allergiques... alors, à vous de conclure!

    De plus, il faut savoir que les normes de propreté de l'eau en bouteille sont deux fois plus sévères que l'eau du robinet (l'émission de Cymes me l'a appris il y a 7 ou 8 mois)... Résultat, non seulement nous payons très cher le traitement (qui est complètement bidon) de l'eau dans nos factures, mais, en plus, nous devons uniquement utiliser de l'eau en bouteille pour notre santé. Ce qui revient plutôt cher.... Un conseil, ne buvez pas l'eau au goulot, le plastique dans la bouche, c'est bisphénol et compagnie.... et, quand il n'y a plus d'eau, jetez la bouteille, au bout de 9 mois, le plastique se dégrade et l'eau que vous boirez sera biphénolisée! donc, prudence en achetant vos eaux...

    Sur le net, beaucoup de filles se lavent les cheveux avec seulement l'après shampooing car elles pensent protéger leur chevelure: IDIOT; elles n'ont rien compris: la faute de l'eau du robinet...

    Si après avoir lavé vos cheveux le matin, ils grasseyent déjà le soir ou le lendemain, ce n'est pas votre shampooing: c'est l'eau du robinet. Je vous conseille de faire un dernière rinçage après lavage des cheveux avec 1 bouteille d'eau et vous verrez la différence! En hiver, vous la chauffez un peu dans une casserole et vous rajoutez du vinaigre pour la brillance... avec ce système et dans des conditions de vie normales (sans le sport qui fait transpirer) vous devriez pouvoir avec des cheveux propres durant pratiquement une semaine.. par contre, les allergiques doivent retirer les allergènes des cheveux;

    Petit truc pour avoir des cheveux propres sans les laver... mon truc du temps où j'avais les cheveux tellement longs que, lorsque je m'asseyais, il me fallait les soulever pour ne pas avoir la tête bloquée: des cheveux longs, c'est très long à sécher... donc, je mettais un vieux collant dans la brosse à cheveux et je brossais... rapidement, le morceau du collant va au fond des poils de la brosse à cheveux: vous verrez toute la poussière, c'est absolument incroyable... pour continuer un peu, déplacer le morceau de collant pour avoir un propre et recommencez à vous brosser... vous allez être suffoqué-e de la poussière que vous récupèrerez! bien sûr, vous aurez beaucoup de poussière quand les cheveux seront plutôt sales. Le bon sens n'est pas "près de chez vous" comme dit la pub, il doit être en vous!

    Ces trucs n'ont rien à voir avec la cuisine... mais, il y en plus d'un millier sur mon site

    www.tradi-cuisine.com

    Vous êtes de plus en plus nombreux chaque jour a y passer, plus de 800 visites par jour, merci!

     

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    FAIRE CIRCULER SUR TOUTE LA PLANÈTE!

     

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

  • Il est fou, celui-là ou quoi?

    Je viens à l'instant même de fermer le téléviseur sur une Escapade de Petitrenaud, qui se déroulait à Marseille… En fait, je suis entrée dans l'émission au moment où le toqué de la toque, un certain Ludo, nous démontrait sa bouillabaisse, que d'ailleurs, il intitule, sans se casser la tête: “Ma bouillabaisse“.

    DANGER TOTAL dans chacun de ses moindres gestes!

    Il fait de la cuisine de “pin's“ comme dit ma fille, celle où l'assiette est 3 fois plus grande que ce qui est à l'intérieur; celle où, aussitôt que l'on a réglé la note (qui doit être à la hauteur de son arrogance), on file vite fait vers le Macdo en face pour avoir quelque chose qui vous rempli l'estomac. Ces trucs-gargottes sont ouverts tout le temps et il y en a tous les coins de rue, honte aux Français qui s'en repaissent!

    Je le vois faire cuire 1 poisson (rouget je crois, mais bon, j'ai déjà dit: je ne suis pas spécialiste en poisson, surtout qu'il s'agit là de filets) à la vapeur: simple comme bonjour; le petit bout de poisson est posé sur une assiette, il le filme bien serré et le pose sur une casserole d'eau bouillante, le bain marie que l'on connait tous.

    Vous me direz: et alors? le film étirable, c'est des composés chimiques en veux-tu en voilà… surtout quand on y dépose un aliment chaud.

    Puis, il prend l'autre poisson, il le met également dans un film et le pose sur une plancha qui est mouillée d'huile….

    Et alors? le film étirable, c'est des composés chimiques en veux-tu en voilà… et c'est bien pire si on le met à cuire avec l'aliment! par la plancha, le bain-marie ou autre!

    Et comme le toqué vous concocte la bouillabaisse à sa façon, il y a deux pommes de terre creusées d'un côté, dans lequel il verse la rouille, fait maison comme il se doit.

    Pour la rouille, je n'ai pas vu la préparation mais je suppose qu'il doit la fabriquer à sa manière désastreuse.

    Mais, là où j'avais envie de vomir, c'est qu'il a posé un morceau de pomme de terre pour le colorer, sur un grand plat de pain noir qu'il disait. Ce pain est brûlé à noir et réduit en poudre….. Réduit à noir: bonjour le cancer!

    Si vous n'avez pas le cœur sensible, visitez mon site

    www.tradi-cuisine.com

    et lisez les dossiers; dans le blog, vous trouverez toutes les aberrations de la cuisine actuelle, des matériaux utilisés.  

    Et à la fin de l'émission, j'apprends que sa maman lui dirait, en le voyant faire: c'est pas comme ça qu'on fait (humour, il parait)

    Il vient d'avoir une étoile Michelin et il n'a que 26 ans nous commente joyeusement Petitrenaud!

    Je ne dis rien pour l'âge… bien sûr, tout le monde n'est pas parfait.

    Mais, je finis cette note par la morale de l'histoire pré-citée: surtout, n'allez JAMAIS PLUS dans ces restaurants étoilés, quel qu'en soit le nombre, car les préparations et la cuisine des produits mis dans leurs belles assiettes, c'est le plus court chemin pour aller à l'hôpital!

    Contentez-vous d'apprendre à cuisiner vous-même, faites les recettes comme autrefois, dans de bons articles de cuisine d'autrefois: du verre, de l'émail, de l'inox ou, au moins pire, de céramique.

    Contentez-vous d'apprendre à choisir les bon produits, même s'ils sont surgelés: les aliments sont D’ABORD surgelés avant d'être mis dans les sachets plastiques, donc, pour les décongeler sortez-les du sachet et laissez la tiédeur de votre cuisine faire.

    Contentez-vous de faire appel à votre bon sens…. votre intuition vous indiquera si vous agissez mal… d'ailleurs, votre corps vous le fera vite savoir si vous lui donnez n'importe quels mauvais aliments.

     

     

     

  • additifs alimentaires: DANGER

    Liste complète

    Voici la liste qui se veut exhaustive (mais qui ne l'est pas) de tous les colorants, conservateurs, antioxydants, émulsifiants et additifs que l'on peut trouver sur le marché alimentaire Français et Européen. Ils sont au nombre de 150.

    E100

     Type: Colorant.

     Nom: Curcumine.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit naturel (curcuma) ou produit chimique. Innocuité toxicologique.

    E101

     Type: Colorant.

     Nom: Lactoflavine (Riboflavine).

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit naturel (lait, foie, jaune d'œuf) ou produit chimique. Innocuité toxicologique.

    E102

     Type: Colorant.

     Nom: Tartrazine.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique dangereux pour la santé. Risque important  d'allergie.

    E103

     Type: Colorant.

     Nom: Chrysoïne S.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique  dangereux pour les enfants. Interdit en France . Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

    E104

     Type: Colorant.

     Nom: Jaune de quinoléine.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique. Innocuité discutable. Suspect. Dans le doute, s'abstenir.

    E105

     Type: Colorant.

     Nom: Jaune solide.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique dangereux. Risque d'allergie grave. Interdit en France.  Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977

    E110

     Type: Colorant.

     Nom: Jaune orangé.

     Couleur: Orange.

     Remarque: Produit chimique dangereux . Risque d'allergie grave . A éviter absolument.

    E111

     Type: Colorant.

     Nom: Orangé GGN.

     Couleur: Orange.

     Remarque: Produit chimique dangereux . A ne pas consommer . Interdit en France.  Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

    Lire la suite