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DANGERS - Page 54

  • ATTENTION: à lire absolument!

    les scientifiques du Technion d'Israël et en Allemagne ont découvert des preuves que certains aliments transformés endommagent l'intestin et affaiblissent sa résistance à des bactéries, aux toxines et à d'autres éléments hostiles.

    Les chercheurs ont découvert un lien entre les aliments transformés et les maladies auto-immunes. 

    Dans l'agitation du monde d'aujourd'hui, sur les aliments transformés, ce facteur de commodité peut entraîner un prix plus grand que précédemment connu, dit une équipe internationale de chercheurs.

    Dans les résultats publiés récemment, des chercheurs israéliens et allemands ont présenté des preuves que les aliments transformés affaiblissent la résistance de l'intestin aux bactéries, toxines et à d'autres éléments nutritionnels, qui à son tour augmente la probabilité de développer des maladies auto-immunes.

    Les maladies auto-immunes sont dues à une hyperactivité du système immunitaire à l'encontre de substances ou de tissus qui sont normalement présents dans l'organisme. Parmi ces maladies peuvent être cités la sclérose en plaques, le diabète de type 1 , jadis appelé " diabète juvénile " ou " diabète insulino-dépendant ", le lupus, les thyroïdites auto-immunes, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le syndrome de Goujerot-Sjögren, la maladie de Crohn, etc..

    Professeur Aaron Lerner, de la Faculté de médecine de Technion

    L'étude a été dirigée par le professeur Aaron Lerner, de la Faculté de médecine de Technion et Carmel Medical Center à Haïfa et le Dr Torsten Matthias de l'Institut Aesku-Kipp (Allemagne).

    L'équipe de recherche a examiné les effets des aliments transformés sur les intestins, et sur le développement de maladies auto-immunes; conditions dans lesquelles il y a des dommages de ses propres tissus. Plus de 100 de ces maladies ont été identifiés, y compris le diabète de type 1, la maladie cœliaque, le lupus, la sclérose en plaques, l'hépatite auto-immune et la maladie de Crohn.

    Au cours des dernières décennies, il y a eu une diminution de l'incidence des maladies infectieuses, mais en même temps il y a eu une augmentation de l'incidence des maladies allergiques, le cancer et les maladies auto-immunes“ a déclaré le professeur Lerner.

    Dans leur étude, les chercheurs se sont concentrés sur l'augmentation vertigineuse de l'utilisation des additifs alimentaires industriels visant à améliorer des qualités telles que le goût, l'odeur, la texture et la durée de conservation, et il a été découvert une connexion circonstancielle significative entre l'utilisation accrue d'aliments transformés et l'augmentation de l'incidence des maladies auto-immunes.

    De nombreuses maladies auto-immunes résultent de dommages sur la muqueuse intestinale. Lorsqu'elle fonctionne normalement, elle serre de barrière contre les bactéries, des toxines, des allergènes et des agents cancérigènes, et protège le système immunitaire. Ces dommages, aussi connu comme le leaky gutraquo, entraîne le développement de maladies auto-immunes.

    Les chercheurs ont découvert qu'au moins sept additifs alimentaires communs affaiblissent les intestins:  glucose (sucres), sodium (sel), solvants graisseuses (émulsifiants), des acides organiques, gluten, la transglutaminase microbienne (une enzyme spéciale qui sert de protéine alimentaire-colle et des particules nanométriques.

    "Le contrôle et l'exécution des organismes tels que la FDA supervisent rigoureusement l'industrie pharmaceutique, mais le marché de l'additif alimentaire reste sans surveillance“ a déclaré le professeur Lerner; “Nous espérons que cette étude et des études similaires vont accroître la sensibilisation sur les dangers inhérents à des additifs alimentaires industriels, et sensibiliser à la nécessité d'un contrôle sur eux.

    Les chercheurs conseillent aussi aux patients atteints de maladies auto-immunes, et ceux qui ont des antécédents familiaux de ces maladies, d’éviter les aliments transformés lorsque cela est possible.

    Que sont les aliments transformés? 

    Les aliments transformés sont des aliments qui ont été compromis par l’ajout d’hormones, additifs, conservateurs, de matériel génétique artificiel ou d’autres traitements chimiques ou thermiques qui altèrent ou détruisent les enzymes naturels sains, acides gras, vitamines et minéraux.

    Ce sont des aliments qui ont été transformés:

    -chauffés (traitement des aliments en conserve et séchés

    -usinés (la farine blanche)

    -traités sous pression (le lait)

    -irradiés (herbes, épices, tisanes)

    -contenant des additifs alimentaires (les nouilles, les produits laitiers, les sauces de cuisson).

    Les aliments transformés sont faciles à reconnaître, ils sont presque toujours dans un emballage. L’objectif principal des aliments transformés est de prolonger la durée de vie des aliments ainsi que de pouvoir vendre de plus grandes quantités.

     

     

  • Grippe aviaire sur nos canards

    L’assemblée générale de la fédération départementale de son syndicat. Avec au cœur des débats, la grippe aviaire et la situation des éleveurs contraints de geler leur production.

    Jeudi, le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, a indiqué "être d'accord avec le Premier ministre Manuel Valls pour réajuster le plan de sauvetage de l'élevage. Nous allons discuter pour apporter des réponses supplémentaires", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.

    Il a affirmé qu'"entre les crises sanitaires qui frappent les palmipèdes, les crises de marché qui touchent les secteurs du lait et du porc, un ajustement du plan sera bien sûr nécessaire", précisant que le secteur bovin, affecté par une centaine de cas de fièvre catarrhale ovine (FCO), sera également concerné.

    A l'effondrement quasi généralisé des prix agricoles - lait, viande de porc et céréales - s'ajoutent les crises sanitaires qui frappent les élevages, comme les canards touchés par la grippe aviaire et les bovins par la fièvre catarrhale.

    Gel de production

    Les éleveurs d'oies et de canards de dix-huit départements sont ainsi sous le coup d'un gel de production pour plusieurs mois en raison de l'épizootie de grippe aviaire - une première en France.

    M. Le Foll doit recevoir mardi les professionnels de la filière du foie gras pour caler avec eux les dispositions qui seront mises en œuvre: durée du "vide sanitaire" nécessaire à compter du 1er avril pour venir à bout de l'épizootie et mesures de compensation aux élevages. Le même jour, le préfet de la région Bretagne recevra également les professionnels du porc.

     

    Toulouse, toulousain, société, santé, cuisine, gastronomie, Occitanie

     

     

     

     

     

     

  • SARLAT: L'épizootie perturbe l’organisation de la prochaine édition de Fest’oie, début mars

    Sitôt la Fête de la truffe de Sarlat terminée, l'attention se tourne maintenant vers les prochaines manifestations de la Ville. Si la Fête de la noix est bien huilée pour les 13 et 14 février, Fest'oie cause plus de soucis pour les 5 et 6 mars.

    Pas d'oies vivantes

    “Alain Chapoulie est la plaque tournante, avec ses équipes, du repas phare de la manifestation. Ses équipes participeront. Son collaborateur, le cuisinier Éric Loubatière, sera présent avec les chefs locaux. La préparation du repas n'est pas remise en cause“.

    Très bien. Mais pour faire un repas avec une quinzaine de plats à base d'oie, il faut des ingrédients. La fête de l'oie tourne évidemment en majorité autour de ce palmipède. Une autre menace plane donc sur la manifestation: le manque d'oies fraîches, en raison de l'épidémie de grippe aviaire.

    Dans 18 départements du Grand Sud-Ouest, le ministère de l'Agriculture a annoncé, jeudi, la mise en place d'une procédure de vide sanitaire. Les palmipèdes déjà dans les élevages ne seront pas abattus et pourront être normalement engraissés et gavés avant d'aller à l'abattoir. En revanche, il n'y aura plus d'animaux rentrant dans les élevages. D'ici 12 à 14 semaines, soit début mai, il ne devrait plus rester de palmipèdes vivants chez les éleveurs.

    Victime collatérale ?

    La production reprendra après ce vide sanitaire, qui devrait permettre de nettoyer les exploitations. Le temps que la filière se remette en route, que les éleveurs soient fournis, les stocks ne seront pas reconstitués pour la saison estivale. Cet été, les barbecues et pianos des restaurateurs devront se passer de palmipèdes frais. Les touristes auront droit à un régime conserves. Autant dire que c'est une véritable catastrophe, dans nos contrées, pour la filière.

    Dans cette hécatombe, la fête sarladaise sera-t-elle une des premières victimes collatérales? Fest'oie tombe cette année début mars, en pleine période de vidage des élevages, qui a débuté lundi par le non-remplacement des bêtes abattues. Y aura-il une pénurie à ce moment-là? Franck Duval est rassuré, depuis lundi soir, après s'être activé auprès de la filière et des fournisseurs.

    “Nous sommes quasi certains aujourd'hui que nous n'aurons pas l'espace dévolu aux oisons. De la même manière, pour l'instant, une interdiction pèse sur les rassemblements d'animaux adultes. Il est probable qu'il n'y aura pas d'oies adultes dans les parcs en ville. Même si on pouvait envisager de faire venir des oies d'autres régions qui ne sont pas frappées par l'interdiction, une fois rentrées elles ne pourraient pas ressortir. Il ne sera pas possible de recevoir, comme les autres années, un dresseur d'oies. Il n'y aura aucun animal vivant“.

    Oui, mais mort? Dans l'assiette? “Nous avons pris des dispositions pour réserver les œufs vidés pour les ateliers de décoration pour les enfants qui en font une consommation moyenne de 800. Nous avons aussi sécurisé auprès des partenaires, des fournisseurs, dont le principal est la coopérative Sarlat Périgord foie gras, nos approvisionnements en marchandises. Il n'y aura pas de difficultés a priori pour le marché au gras, les animations de découpe des oies, les grillades en centre-ville et le repas au centre culturel. En juin ou juillet, on n'aurait pas pu tenir la fête“.

    Pour la fin de l'année, le foie gras va augmenter... si vous ne voulez pas vous rabattre sur du foie gras de Pologne, videz les rayons des supermarchés!

    Dans tout le sud-Ouest, les éleveurs sont atterrés. Ce n'est pas le moment de les laisser tomber!

     

     

  • Paméla Anderson nous enquiquine

    Il parait que la dame aux gros tétons va à l'assemblée nationale pour se plaindre du gavage des oies. “C'est pas bien“ dit-elle de notre tradition multi-millénaire!

    On va envoyer Marion Cotillard devant le Congrès américain pour leur dire de sucrer les rodéos: c'est pas bien dans les rodéos de monter sur les vaches et les taureaux car ça leur fait mal au dos: la preuve, il leur faut moins de 8 secondes pour se débarrasser des trublions! En plus, ils nous font rire les coweboyes avec leur tradition vieille de 250 ans copiée auprès des corridas ou des courses de vaches landaises.

    Ils nous gavent ces amerloques coincés!

    Je pense qu'on doit se cotiser pour offrir à chacun de nos députés des poupées gonflables aux nichons de bonnets Fou G puisqu'ils sont en manque de nénés à tripoter.

    Ainsi, en faisant cela chaque jour dans leur bureau doré par les ors de la République, ils pourront jouer du piano sur les nichons de plastique bien malléables, tout en dégustant des tartines de foie gras au bon pain de France ou toutes nos autres cochonnailles bien de chez nous et faire descendre chaque bouchée du bonheur d'être français avec le bon pinard de chez nous.

    Té même, en faisant une commande groupée, on leur passera des bouteilles de champ' pas trop chères et pendant qu'ils en croqueront, ils cesseront de nous augmenter les impôts et autres prélèvements obligatoires!

     

  • Aïe, mon saucisson

    Les chorizos et les saucissons secs sont-ils des produits à risque?

    D'après certaines études, il est patent que, même après séchage, les produits de saurisserie restent des véhicules potentiels de Salmonella. La détection d’une mêlée contaminée appelle à un renforcement des contrôles avant mise sur le marché des lots de produits finis.

    Le taux de contamination estimé des saucissons secs de porc produits en France par Salmonella spp. était de 1,0 % (Intervalle de confiance à 95%, 0,0-4,7%). L’échantillon contaminé de saucisson sec pur porc, de par son process de fabrication et ses caractéristiques physico-chimiques, cumulait différents facteurs favorisant la croissance de Salmonella:

    une aw (activité de l’eau) relativement élevée pour un produit de petit calibre, due à une durée de séchage très courte (cinq jours, au lieu des une à deux semaines habituelles), qui reflète la présence d’une quantité d’eau libre favorable à la croissance de Salmonella ;

    un pH de 7, qui correspond à un pH optimal pour la croissance de Salmonella; le pH d’un saucisson est généralement autour de 5,6-5,8; un pH plus élevé peut correspondre à un défaut d’étuvage et/ou de séchage (durées trop courtes).

    Les résultats de ce plan soulignent les risques de contamination des saucissons secs de porc par Salmonella. À titre d’information, la Mission des urgences sanitaires de la DGAL a recensé en deux ans, au cours de la période 2012-2013, quatorze alertes issues d’autocontrôles sur différents types de saucissons secs de porc contaminés par Salmonella (fuet catalan, rosette, saucisson au jambon, saucisse sèche, saucisson au Beaufort…).

    Dans une récente note de service de la DGAL (DGAL/SDSSA/2015-1137 du 23-12-2015 Statut: Rectifiee) concernant le "Plan de surveillance de la contamination des saucissons secs et chorizos de porc par Salmonella spp. au stade de la production – 2016", on découvre que:

    Saucissons secs et chorizos, sont des produits à risque mais que fait-on à part surveiller, que donnent les contrôles? Qu’ont donné les quatorze alertes issues d’autocontrôles?

     

     

  • DOSSIER: la grippe aviaire dans le sud-Ouest

    Grippe aviaire: les élevages du Sud-Ouest vont geler leur production pour éradiquer la maladie

    Les élevages d’oies et de canards du Sud-Ouest vont devoir geler leur production pendant plusieurs mois afin d’éradiquer la grippe aviaire qui a été détectée dans huit départements.

    Le gouvernement a décidé de frapper fort pour tenter d’endiguer l’épizootie de grippe aviaire qui touche les élevages de volaille français depuis fin novembre 2015. Il a annoncé la mise en place d’un vide sanitaire chez tous les producteurs de canards et d’oies du sud-ouest de la France. En clair, pas de nouveaux canetons seront mis en production à partir du lundi 18 janvier. En revanche, les canards en cours d’élevage iront à leur terme.

    La décision intervient alors que 69 foyers de grippe aviaire hautement pathogène pour les volailles ont été décelés à ce jour. Le virus a affecté aussi bien des poulets, que des pintades, des oies, des canards ou des chapons. Le dernier cas a été détecté en Haute-Garonne portant ainsi à 8 le nombre de départements touchés.

    Face à cette épizootie, le ministère de l’agriculture a défini une zone dite de " restriction ". Dans cette zone, des mesures de limitation des mouvements d’animaux, de nettoyage, de désinfection et de vide sanitaire dans les élevages s’appliquent. Elle couvre 9 départements et sera étendue à 15, plus deux (Aude et Cantal) partiellement.

    Limiter les risques économiques

    C’est dans cette géographie que les autorités sanitaires françaises et les industriels ont décidé d’arrêter toute production de canards pour tenter d’éradiquer le virus. Les palmipèdes ayant la particularité d’être des porteurs sains de l’influenza aviaire. Le gel de l’élevage pourrait durer jusqu’à la fin du premier semestre. Ce qui permettrait de remettre des canetons à temps pour la fabrication de foie gras en fin d’année.

    L’enjeu pour la filière est de limiter le risque économique. Et en particulier dans le domaine de l’export de volailles. La plupart des pays non européens qui ont signé une convention vétérinaire avec la France ont fermé plus ou moins les portes. Les pays du Golfe continuent à importer des volailles élevées hors des zones de restriction. La question de la réaction des pays européens se pose aujourd’hui.

    Le ministère de l’agriculture n’a pas détaillé le plan d’aide qui accompagnerait cette mesure. Le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras estime que ce " plan d’éradication aura d’importantes conséquences économiques pour l’ensemble des maillons de la filière, depuis les couvoirs, jusqu’aux ateliers de transformation, en passant par les éleveurs et les abattoirs ". Il chiffre le coût entre 250 et 300 millions d’euros.

    " Pour certains [éleveurs], cela signifiera un arrêt de production de près de six mois et donc une véritable catastrophe économique et sociale. Par ailleurs, les mesures de biosécurité envisagées font peser de lourdes menaces sur les élevages de plein air ", a réagi le syndicat de la Confédération paysanne demandant des mesures proportionnées pour les élevages paysans.

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  • La vérité sera postée ici!

     

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2016/01/09/les-allemands-copient-la-mediacratie-francaise-5742233.html