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DANGERS - Page 44

  • Supprimer le porc à la cantine comme le veut Mélenchon est dangereux pour nos enfants

    Pour dégoûter les non musulmans de manger du porc, ils sont capables de priver de viande tous nos enfants et ils sont capables de faire courir les rumeurs les plus absurdes sur nos amis les cochons. Certains écrivent absolument n’importe quoi dans  les commentaires sous notre article consacré à la volonté de Mélenchon de supprimer le porc et même toutes les viandes dans les cantines pour éviter les problèmes avec les musulmans.

    Les contrôles sanitaires font que ces animaux n’en sont pas réduits à manger des cadavres ou des excréments! Ce sont de pures sottises que d’affirmer de telles choses.

    Le porc est une viande bonne et peu chère, ce qui est très appréciable pour les budgets serrés… et donc les cantines scolaires, qui s’efforcent de proposer des menus à un prix accessible. Ce n’est pas au contribuable de supporter le surcoût lié à un renchérissement du prix de revient pour les cantines.

    Quant à imposer des repas sans viande, c’est grave car cela provoque des carences alimentaires de façon générale. De plus, certaines personnes comme moi qui suis malade ne peuvent pas se passer de viande rouge, qui fournit le meilleur fer à l’organisme :

    http://jactiv.ouest-france.fr/vie-pratique/forme-sante/je-ne-mange-plus-viande-cest-risque-2906

    "elle est riche en fer: "Nécessaire toute la vie, ce minéral est indispensable chez les jeunes, car il participe activement à la croissance, explique le Pr Patrick Tounian, responsable de l’unité de nutrition pédiatrique de l’hôpital Armand-Trousseau, à Paris. Leurs besoins en fer sont accrus, surtout chez les filles qui en perdent pendant leurs règles. " En cas de carence, ce qui serait le cas chez environ 25 % des jeunes femmes (2), on observe une anémie (fatigue, pâleur, lassitude…), des troubles neurologiques (difficultés scolaires, manque de concentration…) et une diminution des défenses immunitaires (infections à répétition).

    Mais on peut la remplacer, non?

    "Difficilement, met en garde le nutritionniste. Certes, beaucoup d’aliments sont riches en fer : légumineuses, légumes, poisson. Mais la viande, notamment de bœuf, l’est beaucoup plus : 100 g de steak apportent autant de fer que 1 kg de lentilles ou 2 kg d’épinards ! De plus, le fer de la viande, dit ‘héminique’, est mieux assimilé par l’organisme. "En consommer un peu (100 à 150 g, trois fois par semaine), en alternance avec du poisson et des œufs, reste un des meilleurs moyens d’éviter les carences".

    La proposition islamophile de supprimer la viande à la cantine scolaire est donc particulièrement dangereuse et malvenue.

    Il faut que chaque petit(e) Français(e) puisse se voir offrir la chance de manger du porc à la cantine.

    1) s’agissant de l’importance de la consommation de viande pour la santé et son caractère difficilement substituable (sauf à manger des kilos de légumes et grossir ou se faire éclater l’estomac) : l’article de Ouest France, avec un entretien avec un professeur de médecine.

    2) pour le prix du porc, c’est très simple, une belle pièce de filet mignon tourne autour de 7 euros en supermarché. Les autres viandes sont notablement plus cher.

    Un site qui propose à la vente différentes viandes établit ainsi un tarif de 7 euros le kilo pour une cote de porc contre presque 20 euros pour une cote de boeuf ! http://www.viandes-fermieres.fr/tarif-general/boeuf,1.html

    Il est beaucoup plus intéressant donc pour les cantines d’acheter du porc que d’autres viandes.

    Comme ce fut dit aussi, ce n’est pas au contribuable de nourrir tous les enfants vivant en France, il y a déjà beaucoup d’aides pour cela (qui ne se justifient d’ailleurs guère si l’on ne mène pas de politiques identitaires, mais c’est une autre question…), augmenter le prix de revient des menus pour les cantines impliquerait d’alourdir les impôts locaux de tous injustement.

    Il est indispensable que les enfants et adolescents mangent de la viande pour être vigoureux et en bonne santé.

     De plus, vouloir interdire la viande dans les cantines, c’est accélérer le trépas de la profession d’agriculteur français.

    Nous sommes en pleine bataille électorale. JLM prône un discours du vivre ensemble ce que la plupart d’entre nous rejetons. Il est très adroit dans ses discours et manière de pensée. Le fait de vouloir proposer des menus végétariens comme alternative n’est que le début de la destruction de notre cycle alimentaire. Cela permet de jouer sur tous les tableaux. C’est écologique, cela conforte l’islam, cela réduit les coûts financiers etc… mais ce n’est pas ce que nous voulons. La gauche dans son ensemble à tellement besoin de voix pour se maintenir au pouvoir, qu’elle est prête à dire et faire tout et n’importe quoi. A ce rythme, le plat national en France recommandé sera le couscous, tajine et autres plats dans le genre. On s’attaque à tout ce qui est traditionnel rappelant notre manière de vivre depuis des siècles afin de satisfaire un peuple qui ne partage en rien nos coutumes. Non, désolé pour certains qui préfèrent la soumission au combat de nos valeurs, nos ancêtres mangeaient bien plus que nous lorsqu’ils étaient jeune, avec de la viande régulièrement, ne se posaient pas la question de l’utilité ou pas de savoir son intérêt alimentaire. Avec l’immigration extra européenne qui s’impose de plus en plus dans notre pays, nos enfants font les frais de cette politique dévastatrice au profit d’élus politiques qui ne savent plus quoi inventer pour se faire remarquer.

    La France restera la France dans son jus, avec toutes ses traditions qui cela plaise ou non, ceux qui ne sont pas d’accord peuvent partir et aller voir ailleurs si l’air est meilleur. Les compromissions ça suffit, nous devons plus reculer. L’histoire du porc est un symbole pour nos ennemis qui veulent le supprimer définitivement et nous les patriotes c’est aussi notre symbole car il doit vivre avec nous, c’est un plaisir de la déguster sous toutes ses formes autour d’un bon vin bien de chez nous.

    La filière porcine doit se maintenir dans la tradition Française, Christine à dit une chose importante récemment dans un article sur RR, nous sommes arrivés à une situation devenu incontrôlable, le pays est réellement divisé en deux blocs et quelque soit l’élu le 7 mai, les affrontements sont malheureusement inévitable. La semaine prochaine sera un avant goût de ce qui nous attend. En attendant défendons avec courage le fait de manger de la viande car cela reste un plaisir immense et continuons le combat pour le porc !!!!!

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/04/18/supprimer-le-porc-a-la-cantine-comme-le-veut-melenchon-est-dangereux-pour-nos-enfants/

     

  • TOULOUSE-OCCITANIE: DANGER ROUGEOLE

    Les autorités alertent sur l'épidémie de rougeole, à Toulouse et en Occitanie

    Alors qu'une épidémie de rougeole sévit en Europe, de nombreux cas ont été signalés à l'Agence régionale de santé d'Occitanie... qui alerte sur le risque de recrudescence. Détails.

    Selon l'Agence régionale de santé, la recrudescence de la rougeole est renforcé par une "couverture vaccinale insuffisante".

    Les autorités tirent la sonnette d’alarme. Alors que l’épidémie de rougeole sévit en France et en Europe (où 559 cas de rougeole ont été recensés depuis janvier, selon l’Organisation mondiale de la Santé), l’Occitanie n’est pas épargnée. L’Agence régionale de santé met ainsi en garde contre un risque de recrudescence de cette maladie contagieuse, risque qui pourrait être "renforcé en raison d’une couverture vaccinale insuffisante".

    La majorité des cas survenus dans l’agglo toulousaine

    De son côté, la mairie de Toulouse souligne que "la rougeole étant très contagieuse, on craint une recrudescence de la maladie au cours du printemps, notamment dans les régions où la couverture vaccinale à deux doses n’est pas bonne; c’est le cas en Occitanie où la majorité des cas sont survenus dans l’agglomération toulousaine chez des personnes non vaccinées".

    Repérer les symptômes

    La rougeole se caractérise par l’apparition de plaques rouges, souvent précédée d’un épisode de forte fièvre (jusqu’à 39-40°C) avec toux, d’une grande fatigue, de rhinite et de conjonctivite. Ces signes avant-coureurs durent environ trois à quatre jours avant l’éruption cutanée, rappelle l’Assurance maladie sur son site. Si elle est majoritairement bénigne, cette maladie, toutefois très contagieuse, peut entraîner des complications (environ 30 % des cas) chez les nourrissons, les adolescents ainsi que les femmes enceintes (pneumonies, encéphalites, etc.)

    Comment le virus se propage-t-il ?

    Le virus de la rougeole se propage très facilement par voie aérienne, en particulier lors de toux, d’éternuements, de mouchages ou par contact de mains qui n’ont pas été lavées. L’ARS estime même qu’il s’agit de la "plus contagieuse des maladies infectieuses", un malade pouvant contaminer 15 à 20 personnes à lui seul. L’ARS et la Ville de Toulouse rappellent, par ailleurs, qu’il n’existe pas de traitement contre la rougeole et que "seule la vaccination constitue une protection efficace".

    Le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole), s’il n’est pas obligatoire, est toutefois recommandé dès l’âge d’un an, mais aussi chez les adultes nés après 1980. Comme le rappelle la mairie sur son site :

    Les personnes nées après 1980 doivent avoir reçu deux doses et certains professionnels (santé, travail au contact d’enfant) nés avant 1980, une dose s’ils n’ont pas eu la maladie.

    http://actu.cotetoulouse.fr

  • Figurez-vous que la bière est plus toxique que vous ne le croyiez!

    Boire beaucoup de bière augmente l’exposition aux mycotoxines, selon une étude espagnole

    Je ne sais pas si cela fait partie des "recommandations de l’Anses pour bien supporter les fortes chaleur", encore que boire une petite bière soit parfois très agréable, mais selon une étude espagnole, "Boire beaucoup de bière augmente l’exposition aux mycotoxines"

    Des chercheurs de l’université de Valence ont analysé les mycotoxines produites par certains champignons microscopiques dans la bière et les fruits secs, comme les figues et les raisins secs, confirmant que ces produits répondent à la réglementation sur les denrées alimentaire. Seuls les gros buveurs de bière, qui boivent plus d’un litre par jour, la contribution à ce produit à la dose journalière n'est pas négligeable, approchant ou dépassant même le niveau de sécurité sanitaire.

    Les mycotoxines sont des métabolites toxiques produits par des champignons qui contaminent les fruits, les céréales et les produits dérivés. Des scientifiques de l’université de Valence ont analysé les mycotoxines du genre Fusarium dans 154 marques de bière présentes sur le marché européen.

    Les résultats, publiés dans la revue Food Chemistry, confirment que l’exposition du consommateur moyen à ces toxines est faible et qu’elle ne comporte aucun risque toxicologique associé. Même les deux plus abondantes mycotoxines, le déoxynivalénol ou DON, qui est présent dans près de 60% des échantillons, et le la toxine HT-2 présente dans 9% des cas, sont présents à " des niveaux qui ne peuvent pas être considérés comme élevé ", comme le rapportent à SINC, Houda Berrada et Yelko Rodríguez du département de médecine préventive de l’université de Valence et co-auteurs de l’étude.

    Les concentrations moyennes de DON et de HT-2 détectées dans les bières ont été proches de 30 µg/L. Il n’y a aucune limite maximale légale de mycotoxines dans ces boissons, mais en général, cette valeur est faible par comparaison avec la limite maximale de DON établie par la législation de l’UE pour les aliments à base de céréales et fixés à 200 µg de DON par kg.

    Ainsi, l’étude souligne que, chez les personnes qui boivent beaucoup de bière, la contribution de ces substances nocives à la dose journalière " n’est pas négligeable, approchant ou dépassant même les niveaux de sécurité sanitaire ". La dose journalière admissible (DJA) maximale établie provisoirement par le Comité scientifique sur les aliments, une organisation qui conseille la Commission européenne, est considérée comme une référence.

    "Considérant que la consommation d’une quantité d’un litre par jour des marques de bière qui ont montré les niveaux de contamination les plus élevés, l’apport de déoxynivalénol seraient équivalents à 60% de la DJA maximale, et le niveau de sécurité pour la toxine HT-2 serait dépassé", fait remarquer Berrada.

    La chercheuse insiste pour dire que ces types de consommateur sont exceptionnels, et même si quelqu’un boit un litre de bière par jour, "avant d’avoir des problèmes liés à la toxicité des mycotoxines, il ou elle aurait d’autres problèmes, comme des problèmes de foie“.

    L’étude révèle que la consommation de bière varie beaucoup entre les pays européens. Pour la population espagnole, la FAO constate qu’elle est 75,3 kg/an, comparativement à la moyenne européenne qui est de 70,1 kg/an (équivalent à environ 0,19 L/jour). Selon les chiffres de cette institution, l’Irlande est le pays où l’on boit le plus de bière (142,8 kg/an), suivie par la République Tchèque (136,6 kg/an) et l’Autriche (107 kg/an).

     

  • Tant de ces “restos“ de merdemalbouffe en France: comme cela est-il possible?

    Une jeune étudiante de Bordeaux a croqué dans une limace présente dans sa portion de patates achetée chez McDonald’s.

    Mauvaise surprise pour Mélanie, une étudiante à Bordeaux. Mardi, elle a acheté un menu à emporter dans un restaurant McDonald’s. De retour chez elle, elle commence à déguster ses patates mais la bouchée ne passe pas une information révélée par Sud Ouest. Une limace est coincée dans une de ces patates. Elle recrache alors et constate bien qu’un gastéropode est présent dans sa portion.

    Après avoir été malade toute l’après-midi, elle retourne chez McDonald’s " sans faire de scandale " dit-elle, pour présenter sa découverte et espérer un dédommagement. On lui propose de la rembourser et de lui offrir un autre menu. Un peu faible selon elle, mais surtout elle raconte avoir été mécontente par le peu d’attention qu’on lui a alors accordée.

    Contacté par Sud Ouest, le restaurant précise "qu’une enquête serait menée en interne, et auprès de notre fournisseur. Il faut rappeler le caractère exceptionnel de cet incident, alors que la vigilance sur la qualité des produits est une des priorités de l’entreprise".

    Sur son site, McDonald’s ne précise pas le nom du ou des fournisseurs de frites mais indique :

    En usine, les fournisseurs réalisent plus de 50 contrôles qualité depuis la pomme de terre jusqu’aux frites.

    Cela étant, en 2015, le principal fournisseur de frites de McDonald’s était McCain.

    Conseil à Mélanie: ce n'est pas parce qu'on est étudiant qu'on doit bouffer de la merde: se faire un sandwich français et quelques feuilles d'endives ou une banane, ce sera toujours meilleur que cette bouffe agrochimique

  • Les émulsifiants de synthèse néfastes pour l'intestin

    Plusieurs études laissent penser que des additifs synthétiques couramment utilisés par l’industrie agro-alimentaire dans les aliments ultra transformés favorisent les inflammations intestinales en altérant la flore (le microbiote). Ils augmentent aussi la perméabilité de l’intestin ce qui peut conduire à des phénomènes d’auto-immunité.

    L’intestin, en plus de son rôle de digestion et d’absorption, constitue une barrière entre le milieu intérieur et l’environnement. A ce titre, il doit empêcher les pathogènes, allergènes, toxines, présents dans la lumière de l’intestin d’entrer dans l’organisme. Cette fonction barrière est assurée par les jonctions serrées entre les cellules de l’épithélium intestinal.

    Des articles récents ont accusé les émulsifiants de provoquer des dysfonctionnements de la barrière intestinale en affectant les jonctions serrées (1) (2). Lorsque les jonctions serrées sont déstabilisées, cela conduit à l’entrée d’antigènes étrangers qui activent l’inflammation et les phénomènes d’auto-immunité. Un mauvais fonctionnement de la barrière intestinale pourrait donc expliquer l’incidence croissante des maladies auto-immunes.

    Ce n’est pas tout. En 2016 puis 2017, des chercheurs de l’université d’Atlanta (Georgie) et de l’université de Gand (Belgique) ont montré qu'expérimentalement, deux familles d’émulsifiants (polysorbates et carboxyméthylcellulose) perturbent la flore intestinale et la rendent pro-inflammatoire (3) (4).

    La flore intestinale est formée d’une large diversité de micro-organismes qui apportent des bénéfices pour le métabolisme et l’immunité. Des perturbations des relations entre la flore intestinale et l’hôte ont été associées à différentes maladies inflammatoires chroniques, comme les maladies inflammatoires de l’intestin et celles associées à l’obésité sous l'appellation de "syndrome métabolique".

    Chez des souris, carboxyméthylcellulose et polysorbate 80, à des concentrations relativement faibles conduisent à des altérations de l’écosystème intestinal, à une inflammation et un syndrome métabolique (augmentation des niveaux de consommation alimentaire, obésité, hyperglycémie et résistance à l’insuline).

    De plus, en utilisant un modèle d’écosystème intestinal humain, ces mêmes chercheurs ont trouvé que ces émulsifiants modifient la composition des souches bactériennes du microbiote intestinal d’une manière qui le rend plus pro-inflammatoire.

    Des données à jour scientifiques, conseille d’éviter ces deux familles d’additifs :

    • Polysorbates: E432 (polysorbate 20), E433 (polysorbate 80), E434 (polysorbate 40), E435 (polysorbate 60), E436 (polysorbate 65);
    • Carboxyméthylcelluloses: E466 (carboxyméthylcellulose de sodium), E468 (carboxyméthylcellulose sodique réticulée), E469 (carboxyméthylcellulose hydrolysée de manière enzymatique).

    Sources

     (1) Lerner A, Matthias T. Changes in intestinal tight junction permeability associated with industrial food additives explain the rising incidence of autoimmune disease. Autoimmun Rev. 2015 Feb 9. pii: S1568-9972(15)00024-5. doi: 10.1016/j.autrev.2015.01.009.

    (2) Csáki KF. Synthetic surfactant food additives can cause intestinal barrier dysfunction. Med Hypotheses. 2011 May;76(5):676-81. doi: 10.1016/j.mehy.2011.01.030.

    (3) Chassaing B, Koren O, Goodrich JK, Poole AC, Srinivasan S, Ley RE, Gewirtz AT. Dietary emulsifiers impact the mouse gut microbiota promoting colitis and metabolic syndrome. Nature. 2015 Feb 25. doi: 10.1038/nature14232.

    (4) Chassaing B. Dietary emulsifiers directly alter human microbiota composition and gene expression ex vivo potentiating intestinal inflammation. Gut. 2017 Mar 21. pii: gutjnl-2016-313099. doi: 10.1136/gutjnl-2016-313099.

    Moralité: cuisinez vous-même votre alimentation. Si vous n'avez pas le temps, steak-salade et un fruit, ce sera mieux que des “merdes“ agro-alimentaires.

  • Germes et bactéries : les 7 endroits les plus sales de votre cuisine

    Le bac à légumes du réfrigérateur est l'un des éléments les plus contaminés.

    Un rapport de l'organisation à but non lucratif NSF International et une étude de l'université du Kansas révèlent les endroits les plus susceptibles d’abriter des germes dans la cuisine.

    Une variété de germes

    Les scientifiques ont analysé surfaces et appareils, et trouvé un assortiment de bactéries, dont une bonne partie à l’origine des principales maladies d'origine alimentaire, comme Escherichia coli, Salmonella ou Listeria monocytogenes.

    La présence de ces germes dans la cuisine est considérée comme un risque pour la santé, en particulier pour les personnes les plus sensibles aux maladies d'origine alimentaire, comme les femmes enceintes, les personnes âgées et les personnes ayant un système immunitaire affaibli. La bactérie E. coli se transmet par les aliments et l'eau contaminée, ce qui provoque diarrhée, infections des voies urinaires, pneumonies et autres complications parfois sérieuses. La bactérie Salmonella peut entraîner une infection, à l’origine de diarrhée, de fièvre, de maux d'estomac ou de complications plus graves dans les groupes à risque. Listeria monocytogenes peut entraîner de la fièvre, des douleurs musculaires et des symptômes gastro-intestinaux.

    Dans l'étude NSF, 25% des articles testés renfermaient la bactérie E. coli, notamment le compartiment à viande du réfrigérateur, les spatules en caoutchouc, le joint du mixeur, l’ouvre-boîte et le couteau à pizza.

    Des salmonelles ont été retrouvées dans 25% des articles testés, y compris les compartiments à viande et à légumes du réfrigérateur, les spatules, le joint du mixeur, les distributeurs de glaçons et d’eau des réfrigérateurs et les joints en caoutchouc des boîtes en plastique à usage alimentaire.

    BOITES PLASTIQUES: je les ai supprimées depuis longtemps. Je n'utilise que des contenants en céramique ou en verre avec couvercle: je lave ceux-ci à l'eau chaude et je les mets à tremper dans de l'eau bicarbonatée durant plus d'une demi-heure.

    SPATULES: je vends des spatules qui résistent à très hautes températures (ce sont les seules que j'utilise!) pour pouvoir les faire bouillir dans de l'eau javellisée.

    www.tradi-cuisine.com

    Levures et moisissures ont été trouvées sur 100 pour cent des 14 articles analysés. Six articles avaient des taux inquiétants de moisissure  le bac à légumes du réfrigérateur, les spatules, le joint du mixeur, les distributeurs de glace et d'eau et le joint en caoutchouc des boîtes alimentaires. Ces moisissures détériorent la qualité des aliments, ou conduisent à des allergies.

    La Listeria a été retrouvée dans 10 pour cent des éléments testés, dont le bac à légumes du réfrigérateur et joint de la porte du réfrigérateur. Je lave le joint du réfrigérateur avec de l'eau contenant du bicarbonate et une éponge très, très propre, voir neuve.

    Dans l'étude de l'université du Kansas, des bactéries coliformes ont été détectées sur 89% des serviettes et torchons, et 25,6% étaient porteurs de E. coli.

    Je change TOUS LES JOURS mes torchons de cuisine et bien souvent après UN SEUL USAGE, selon l'usage que j'en ai fait.

    Les éléments les plus contaminés dans la cuisine

    Sans les classer dans un ordre particulier, les 7 éléments les plus contaminés étaient :

    • le bac à légumes du réfrigérateur
    • le bac à viande du réfrigérateur
    • le joint du mixeur
    • les ouvre-boîtes (je laisse tremper ce dernier dans de l'eau bouillante, je dégraisse avec une eau savonneuse, je laisse tremper dans du javel au moins une heure).
    • les spatules en caoutchouc
    • le joint des boîtes plastique destinées aux aliments
    • les torchons et serviettes

    NSF recommande de bien nettoyer l'ensemble de ces articles de cuisine. Par exemple, beaucoup de gens ne suivent pas les instructions des fabricants: démonter régulièrement le mixeur, enlever le joint en caoutchouc avant de le nettoyer. Les chercheurs de l'université du Kansas recommandent de laver fréquemment serviettes et torchons, désinfecter les éponges, ainsi que téléphones et tablettes.

    Chaque année, en France, on dénombre 250000 à 750000 toxi-infections alimentaires, qui entraînent 70000 consultations aux urgences, 15000 hospitalisations et 400 décès.

    NSF avait déjà réalisé une étude en 2011 montrant que les éponges à vaisselle (laisser tremper régulièrement dans eau javellisée ou bicarbonatée) et les torchons (vu plus haut) étaient les articles de la maison les plus contaminés, suivis par les éviers de cuisine (javelliser tous les deux à trois jours), les porte brosse à dents (trempage dans de l'eau bicarbonatée une fois par semaine plusieurs heures), les gamelles pour animaux de compagnie et les cafetières. (j'utilise la méthode à l'ancienne pour faire mon café: une cafetière en émail que je lave et javellise souvent… avec l'eau en bouteille chauffée dans une casserole, un cornet à papier brut, le café dedans et je verse petite quantité d'eau par petite quantité d'eau, c'est plus longe mais c'est meilleur pour ma santé, ainsi, pas d'eau chaude dans des tuyaux de plastique qui relarguent leur toxicité plastique en traversant les tuyaux).

     

  • Un communiqué de l’EFS du 23 mars 2017 rapporte que L’EFSA formulera un avis sur l’apport en sucre ajouté aux aliments.

    Extraits.

    L’EFSA produira un avis scientifique sur l’apport quotidien en sucres ajoutés dans les aliments d’ici 2020. Son objectif est de déterminer un seuil maximal d’exposition quotidienne scientifiquement fondé aux sucres ajoutés, toutes sources confondues, qui ne soit pas associé à des effets défavorables sur la santé. Ces travaux sont réalisés à la demande du Danemark, de la Finlande, de l’Islande, de la Norvège et de la Suède.

    Les sucres ajoutés issus de toutes les sources d’exposition comprennent le saccharose, le fructose, le glucose, les hydrolysats d’amidon tels que le sirop de glucose, le sirop à teneur élevée en fructose ainsi que d’autres préparations de sucre utilisé en tant que tel ou ajouté pendant la préparation et la fabrication des aliments.

    Les paramètres sanitaires qui seront étudiés incluront le poids corporel, l’intolérance au glucose et la sensibilité à l’insuline, le diabète de type 2, les facteurs de risque cardiovasculaire ainsi que les caries dentaires. Dans son évaluation, l’EFSA étudiera la population générale en bonne santé, y compris les enfants, les adolescents, les adultes et les personnes âgées.

    Cet avis contribuera à aider les États membres dans la formulation de conseils en matière de consommation de sucres ajoutés et dans l’élaboration de recommandations nutritionnelles exprimées en termes d’aliments.

    La Suède coordonne la demande faite à l’EFSA au nom des cinq pays nordiques. Annica Sohlström, directrice générale de l’Agence suédoise de l’alimentation, a déclaré: "Nous sommes heureux que l’EFSA ait accepté ce mandat qui reflète la nécessité d’évaluer scientifiquement les liens entre les sucres ajoutés et la santé".