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DANGERS - Page 5

  • Vers et poisson cru

    Comment éviter l'infection par ces vers qui parasitent le poisson cru

    De plus en plus, la consommation de poissons, calmars et poulpes crus se développe alors que sushis japonais, poke hawaïen et autres ceviches péruviens gagnent nos tables. Or ces plats ne sont pas sans risque puisqu’ils peuvent nous exposer aux divers parasites véhiculés par ces animaux lorsqu’ils sont insuffisamment cuits…

    Ce problème n’est pas à prendre à la légère. Chaque année, près d’une personne sur dix est atteint d'"anisakiase" après avoir consommé de tels aliments contaminés. Plus précisément, l’Organisation mondiale de la santé estime que quelque 56 millions de cas d’infections parasitaires sont associées à la consommation de produits de la pêche chaque année.

    Aujourd’hui, l’anisakiase est donc un problème de santé émergent à l’échelle mondiale. Elle est également une préoccupation économique, en raison des potentiels effets négatifs sur la confiance des consommateurs et des problèmes commerciaux associés aux produits de la pêche infestés.

    Les vers qui nous parasitent

    Parmi les parasites transmis par les poissons, trois grands groupes sont capables de nous infecter: les vers plats, les vers à tête épineuse (acanthocéphales) et les vers ronds (nématodes).

    Les infections par un opisthorchidé, une famille de vers plats, sont les plus fréquemment diagnostiquées, mais il se retrouve principalement en Asie de l’Est et du Sud-Est. Son impact au niveau mondial est donc moindre que celui de certains nématodes de la famille des Anisakidae. Les espèces des genres Anisakis, Pseudoterranova et Contracaecum sont ainsi au cœur d’une grande partie des préoccupations médicales.

    En particulier, l’anisakiase (ou anisakidose), causée par des larves de nématodes appartenant au genre Anisakis, est considérée comme la principale menace pour la santé humaine. Chaque année, sur tous les continents, d’innombrables cas sont décrits, qui sont liés notamment à l’augmentation de la consommation de certains produits comme les sushis ou les sashimis.

    Rien qu’au Japon, où il est traditionnel et courant de manger ces plats à base de poisson cru et de fruits de mer, l’incidence annuelle moyenne de l’anisakiase dépasse les 7 000 cas cliniques.

    Le long chemin du ver jusqu’à notre estomac

    Comment se retrouve-t-on atteint d’anisakiase ? La réponse réside dans la compréhension du cycle de vie du parasite.

    Le genre Anisakis comprend neuf espèces, dont trois (A. simplex, A. pegreffii et A. physeteris) ont été confirmées comme pathogènes zoonotiques pour l’homme. Ces nématodes parasitent un large éventail d’organismes marins et leur cycle de vie inclut les dauphins, les baleines, les phoques et d’autres mammifères en tant qu’hôtes finaux, ainsi que les poissons et les céphalopodes (poulpes, etc.) en tant qu’hôtes intermédiaires.

    Les vers adultes se trouvent initialement dans la muqueuse de l’estomac des mammifères marins, où ils se reproduisent. Les œufs du parasite sont ensuite expulsés par les fèces de l’animal et vont se développer dans l’eau de mer. Désormais sous forme de larve, les nématodes vont infecter des crustacés (krill). Lorsque ces crustacés sont la proie de poissons ou de calmars, le parasite (sous forme de larve toujours, mais de troisième stade) peut gagner les intestins du prédateur et s’enkyster à la surface de ses organes, puis dans sa musculature.

    Et c’est là que nous intervenons : nous pouvons devenir un hôte accidentel du parasite en mangeant des céphalopodes ou du poisson cru ou insuffisamment cuit, ou même fumé, salé ou saumuré, contenant des larves d’Anisakis (du troisième stade). Une fois ingérées, ces dernières s’installent dans notre estomac et notre intestin grêle.

    Cycle de vie du ver Anisakis, parasite responsable de l’anisakiase. CDC/Alexander J. da Silva/Melanie Moser (PHIL #3378), 2002

    Urticaire, douleurs d’estomac et vomissements

    Une fois chez nous, le parasite est piégé… Il ne peut plus se reproduire, mais peut survivre pendant une courte période et provoquer l’anisakiase. La maladie, qui varie de légère à grave selon la personne infectée, peut se manifester par des troubles gastriques, intestinaux et abdominaux, des manifestations allergiques (quatorze allergènes ont été décrits) et même un choc anaphylactique. L’infection peut s’installer en dehors de l’appareil gastro-intestinal, mais ce phénomène est rare.

    Les symptômes les plus typiques de l’anisakiase gastrique comprennent des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements dans les heures qui suivent l’ingestion des larves. L’atteinte de l’intestin grêle est moins fréquente, mais lorsqu’elle se produit, elle peut entraîner une inflammation massive et des symptômes subaigus, similaires à ceux de la maladie de Crohn, qui se développent une à deux semaines plus tard.

    En outre, certains travailleurs de l’industrie de la pêche, cuisiniers et autres professionnels qui manipulent régulièrement du poisson peuvent souffrir d’anisakiase allergique professionnelle. Dans ce cas, l’ingestion de larves ou l’exposition orale au parasite n’est pas nécessaire pour que la maladie se manifeste : la sensibilisation se fait par l’intermédiaire des protéines d’Anisakis qui entrent en contact avec leur peau ou leurs voies respiratoires.

    Le pronostic global de l’anisakiase est positif. La plupart des infections sont limitées et disparaissent spontanément après plusieurs semaines. La transmission de personne à personne n’est pas possible.

    Ceviche, sashimi et anchois marinés

    Le saumon, le thon, le calmar, la morue, le merlu, le maquereau, le chinchard, le merlan bleu, les sardines et les anchois font partie des espèces les plus fréquemment parasitées.

    Plus de 90 % des cas d’anisakiase dans le monde sont signalés au Japon, et la plupart des 10 % restants dans des pays tels que l’Espagne, l’Italie, les États-Unis (Hawaï), les Pays-Bas et l’Allemagne. Il s’agit de régions où l’on consomme traditionnellement des plats de poisson cru ou insuffisamment cuit, tels que le sushi et le sashimi, le ceviche et le carpaccio, les anchois marinés ou saumurés, le saumon lomi-lomi à la hawaïenne et le hareng salé. (En France, une étude de 2016 estimait le nombre de cas à 10 par an en moyenne (contre 20 en Espagne, etc. ou un pic à 30 cas décrits en Italie en 2005), avec un développement en cours notamment au niveau des allergies. Il n’y a pas encore de système de surveillance épidémiologique, ndlr)

    Les pays où la consommation de poisson cru est la plus forte sont les plus touchés par l’anisakiase. Ostancov Vladislav/Shutterstock

    Comment se débarrasser du parasite

    Peut-on éviter de contracter l’anisakiase ? Les mesures préventives sont essentielles pour contrôler la maladie, et certaines permettent de minimiser le problème. Tout d’abord, bien que les vers résistent au marinage et au fumage, la cuisson à des températures supérieures à 63 °C détruit les larves. Une température atteinte en les faisant frire, cuir au four ou griller.

    L’Espagne, qui fait partie des pays les plus concernés en Europe, son Agence pour la sécurité alimentaire et la nutrition signale que les préparations traditionnelles de produits de la pêche (friture, cuisson au four, grillade) inactivent le parasite, car elles permettent d’atteindre une température de 60 °C pendant au moins une minute.

    Les semi-conserves (en récipients étanches et pasteurisées, salées, séchées, etc.), comme pratiquées sur les anchois, les morues… impliquent des processus qui tuent le parasite.

    Une autre solution courante est la congélation, car les larves sont détruites lorsqu’elles sont soumises à une température de -20 °C pendant sept jours, ou de -35 °C pendant plus de 15 heures. Si votre réfrigérateur a moins de 3 étoiles, il est par contre prudent d’acheter du poisson congelé.

     

    Dans certains pays, pour accroître la sécurité alimentaire des consommateurs, les sushis préparés commercialement sont même congelés avant d’être mis en vente.

    En outre, il est préférable de procéder à une inspection visuelle du foie, des gonades et de la cavité viscérale des poissons éviscérés, ainsi qu’à une inspection des filets de poisson. Les législations européennes exigent que les produits de la pêche montrant des parasites visibles ne soient pas mis en vente. Il est conseillé d’acheter des poissons propres et éviscérés.

    Tous les fruits de mer ne sont pas soumis aux mêmes astreintes. Les huîtres, moules, palourdes, coquillages et autres mollusques bivalves, ainsi que les poissons provenant des eaux intérieures (rivières, lacs, marais…) et des piscicultures d’eau douce, comme les truites et les carpes, ne nécessitent pas de congélation.

    De même, les poissons issus de l’aquaculture peuvent être exemptés de l’obligation de congélation, à condition qu’ils aient été élevés à partir d’embryons obtenus en captivité, qu’ils aient été nourris avec des aliments exempts de parasites zoonotiques et qu’ils aient été maintenus dans un environnement exempt de parasites viables.

    Comment choisir le bon poisson?

    Chaque consommateur étant différent, il n’existe pas de « roi » du poisson. Les décisions varient selon plusieurs critères - la santé, le développement durable, le budget et l’origine.

    1. La santé

    Tout comme pour les pommes ou le brocoli, les consommateurs mangent du poisson parce que c’est bon pour la santé. Les poissons gras comme le saumon et le maquereau sont riches en éléments nutritifs importants et en oméga 3.

    Cependant, de nombreux bénéfices sur la santé sont remis en question, et les prétentions contradictoires peuvent prêter à confusion. Des choix à priorité "santé" sont parfois contredits par des inquiétudes relatives à une contamination au mercure ou par l’usage d’antibiotiques en pisciculture.

    Certains consommateurs, en particulier les femmes enceintes et les jeunes enfants devraient peut-être éviter les poissons prédateurs comme l’espadon et le thon car ils sont susceptibles de contenir de fortes quantités de mercure.

    Dans de nombreux pays comme le Canada et la Norvège, l’usage d’antibiotiques en pisciculture a fortement décru au cours des dernières années, quoiqu’il demeure très fréquent ailleurs.

    Certains consommateurs recherchent des poissons bio car ils sont élevés sans ajout de produits chimiques. Au Canada, ils existe quelques options bio certifiées en provenance de fermes d’élevage, y compris des moules bio.

    1. Le développement durable

    Compte tenu de la surpêche et de la santé déclinante des océans, de nombreux consommateurs sont à la recherche de choix durables pour leur poissons et crustacés.

    On considère que les crustacés comme les moules et les huîtres ont l’impact environnemental le plus faible car elles requièrent peu d’énergie et n’ont pas besoin d’être nourries. Dans certains cas, elles peuvent même nettoyer l’eau de leur élevage, permettant de ce fait d’aider à protéger ou même améliorer des eaux dégradées.

    Manger du poisson d’élevage permet de diminuer la consommation de poisson sauvage dont la population est déjà vulnérable. Son empreinte carbone est également inférieure à celle des élevages de bétail. Et pourtant, le débat autour de la viabilité de la pêche, en particulier de l’aquaculture, se poursuit.

    Les étiquettes de certification écologique, comme celle du Marine Stewardship Council et de l’Aquaculture Stewardship Council, permettent au consommateur d’identifier les poissons et crustacés capturés ou élevés de manière respectueuse de environnement. Selon l’endroit où vous habitez, certaines espèces populaires comme des variétés de thon, de saumon et de flétan peuvent se retrouver sur la liste"à éviter" du Monterey Bay Aquarium Seafood Watch.

    1. Manger local

     

    Des Canadiens ont mis l’accent sur la consommation locale afin de réduire leur empreinte environnementale et d’appuyer les producteurs de proximité ces dernières années. Pour beaucoup d’entre eux, cela signifie d’éviter la plupart des crevettes et de choisir du saumon de l’Atlantique canadien et du homard lorsqu’ils vivent près des côtes, ou encore du poisson d’eau douce s’ils habitent à l’intérieur des terres.

    Mais il faut également savoir que beaucoup des produits domestiques qu’ils favorisent sont également importés, comme le saumon de l’Atlantique en provenance de la Norvège et du Chili, ou encore le tilapia qui nous arrive de Chine ou d’Indonésie.

    1. À la recherche d’un prix abordable

    Bien que l’on trouve beaucoup d’excellents produits canadiens, ils sont étonnamment chers. Et le prix est une priorité constante qui va au-delà du goût, de l’odeur et de l’apparence pour bien des Canadiens.

    Le poisson en conserve, comme le thon, est un choix économique populaire. Les filets de haddock, le tilapia, et le saumon d’élevage sont également abordables. Les consommateurs à la recherche de produits bios et écocertifiés paieront plus cher.

    Rien n’est simple…

    En matière de poisson, l’étiquetage n’a pas aidé le consommateur. Les producteurs ont pour seules obligations d’indiquer le nom usuel du poisson (ce qui permet parfois d’en mélanger plusieurs espèces, comme celles du thon, des crevettes, ou de la rascasse), ainsi que l’origine du poisson - qu’il soit emballé ou frais.

    Complication supplémentaire, la soi-disant origine du poisson n’est en fait que le dernier endroit où il a été "transformé" en filets, ou emballé, ou mis en boîte. Par exemple, un poisson pêché dans les eaux territoriales canadiennes mais expédié en Chine pour y être emballé, pourrait porter la mention "produit de Chine". L’origine n’indique donc pas forcément la localisation de la pêche ou de l’élevage.

    Des enquêtes récentes menées par le groupe de protection Oceana Canada sur les différentes espèces de poissons et leur origine a conclu que les produits disponibles dans les épiceries canadiennes étaient fréquemment mal étiquetés. Par exemple, sur 472 échantillons testés entre 2017 et 2019, c’est 47 pour cent d’entre eux qui étaient mal étiquetés. Du vivaneau en guise de tilapia, et du poisson sauvage remplacé par du poisson d’élevage.

    Nous devons assumer la responsabilité, en tant que consommateurs canadiens, d’exiger davantage d’information sur la provenance et la manière dont le poisson se retrouve sur notre table, et d’encourager des normes d’étiquetage ainsi que des pratiques responsables.

    Raúl Rivas González - Miembro de la Sociedad Española de Microbiología. Catedrático de Microbiología, Universidad de Salamanca

    The Conversation - CC BY ND

  • MAIGRIR? Quelques astuces pour un ventre plat

    Consultez votre médecin au sujet d'un déséquilibre hormonal

    Le déséquilibre hormonal entraîne tout un tas d'effets secondaires, le ballonnement étant l'un d'eux. Ce n'est pas pour rien que, durant la ménopause, les femmes parlent du ballonnement comme l'un des principaux maux dont elles souffrent. Bien qu'il soit impossible de faire reculer l'horloge biologique ou de retrouver le profil hormonal de ses vingt ans, vous pouvez au moins vérifier que vous êtes dans les limites de la normale -  c'est à votre médecin de vous le dire. Avant de prendre rendez-vous, renseignez-vous sur les symptômes d'un déséquilibre hormonal. Par ailleurs, bien manger et s'exercer sont d'excellentes voies pour atteindre naturellement l'équilibre hormonal et trouver un ventre plat.

    Vérifiez l'état de votre transit intestinal

    Laissez tomber les crucifères pour un ventre plat, sans faire de sport

    Les crucifères sont parmi les légumes les plus sains, mais ce sont aussi malheureusement ceux qui risquent le plus de vous faire gonfler l'estomac.

     À cause de la raffinose, un composé qui dégage des gaz au moment de la décomposition, le brocoli, le chou, le chou-fleur et leurs semblables peuvent sérieusement hypothéquer votre tour de taille. Ne les bannissez pas pour autant de votre menu, mais gardez-les pour les repas où vous pouvez porter des pantalons ou une robe plus ample.

    Dormez davantage pour un ventre plus plat

    Les gens dorment de moins en moins. Or, leur santé s'en ressent – et cela se reflète sur leur tour de taille. Une simple perte de 30 minutes de sommeil peut vous faire prendre du poids, selon une recherche en endocrinologie. Pire, cet excès de poids est plus susceptible d'aller se nicher sur votre ventre. Les chercheurs ont établi que le meilleur cycle de sommeil suit les rythmes circadiens. Dans la mesure du possible, couchez-vous et levez-vous avec le soleil.

    Évitez les aliments transformés

    Les aliments transformés sont l'une des plus importantes sources de sel dans l'alimentation: le pire étant que vous ne vous en rendez peut-être même pas compte! À cause de la manière dont ces aliments addictifs sont conditionnés, le sel se cache dans tout, de la soupe aux sauces pour les pâtes; il n'épargne même pas les sucreries, comme certains gâteaux et biscuits.

    Remplacez ces aliments transformés par des plats faits maison, et votre estomac vous en sera éternellement reconnaissant. Non seulement vous réglerez les problèmes de rétention d'eau liés au sel, mais vous bannirez de votre régime un tas de calories vides et vous perdrez du poids.

    Regardez ce que vous buvez afin de retrouver un ventre plat

    Vous rêvez d'un ventre plat? Regardez ce que vous avez dans votre verre: le lait et les sodas sont une des causes majeures de ballonnement. Environ 65% de la population humaine perd en partie la capacité de digérer le lactose après l'enfance, ce qui veut dire que c'est peut-être à cause du verre de lait chaud que vous avez avalé avant de vous coucher que vous vous réveillez avec un pyjama trop serré.

    Quant aux sodas, diètes ou pas, ils sont tous susceptibles de vous faire gonfler l'estomac à cause des sucres qui entrent dans leur composition et de la gazéification. Essayez de les éliminer, et voyez si votre ventre s'aplatit.

    Buvez de l'eau

    Alors que de nombreuses boissons contribuent à l'expansion de votre tour de taille, une seule vous assure de le voir diminuer: l'eau. Chaque fois que vous avalez des lampées de ce bon vieil H2O, vous envoyez à votre corps un excellent signal: vas-y, tu peux te débarrasser de l'eau que tu retiens. Et vous réduisez du même coup le ballonnement lié à la rétention d'eau. Il a en plus été prouvé que boire de l'eau réduit nos fringales de sucre, diminue notre appétit et nous aide à nous sentir rassasiés plus rapidement.

    Placez un bol de fruits sur le comptoir

    Les fruits tels que les baies, les cerises, les pommes et les oranges sont bourrés de quercétine, un composé naturel qui réduit l'inflammation de l'estomacuillière Et si vous en placez un bol à l'endroit de la cuisine où vous pouvez bien le voir, vous serez plus tenté de piger dedans si vous avez une petite faim. Ou encore, essayez l'un de ces smoothies au déjeuner.

    Des plantes pour donner du goût et réduire votre ventre

    Le fenouil, la menthe poivrée et le gingembre ont tous démontré dans des recherches les effets calmants qu'ils ont sur l'estomacuillière En stimulant les enzymes de la digestion, ils aident la nourriture que vous absorbez à traverser plus vite votre appareil digestif. Et des aliments qui voyagent plus vite, ça veut aussi dire un estomac plus plat. En plus, la menthe poivrée réduit les crampes d'estomac et les gaz, le gingembre combat la nausée et l'inflammation et le fenouil est un diurétique qui vous aide à vous libérer de l'eau que retient votre corps.

    Améliorez votre posture

    Vous tenir avachi met en valeur les rondeurs de votre ventre, alors que vous tenir droit allonge tout votre corps et vous fait paraître à la fois plus grand et plus mince. Vous voulez avoir l'air encore plus plat pour une photo? Usez de ce vieux truc de mannequin et arquez légèrement le dos – cela va obliger votre peau à se resserrer plus étroitement autour de votre estomac, vous faisant ainsi paraître plus mince. D'accord, c'est une réparation temporaire, mais outre qu'elle vous fera mieux paraître, une meilleure posture présente un tas d'avantages pour la santé.

    Détendez-vous

    Le stress fait bondir votre taux de cortisol, une hormone souvent associée à la graisse abdominale puisqu'elle signale au corps que c'est là qu'il faut stocker le gras. Si on ajoute à cela le stress de la vie moderne, vous comprendrez que le cortisol circule sans arrêt dans nos veines. Sur le plan de la santé, ce stress permanent a de très fâcheuses conséquences… sur votre estomac, par exemple.

    D'où la nécessité de prendre du temps chaque jour pour se détendre. Le yoga, la méditation, la marche, la tenue d'un journal, un passe-temps manuel ou faire de la musique sont des activités qui ont fait leurs preuves. Retrouvez plus d'idées pour vous détendre jour et nuit. Prenez garde à la télévision, car elle ne vous aide pas à faire baisser le stress. Au contraire, elle augmente votre niveau de cortisol!

    Pour avoir un ventre plat, débranchez vos appareils électroniques.iStock/BraunS

    Débranchez vos appareils électroniques

    Votre téléphone, votre tablette et votre télé affectent votre tour de taille de bien plus d'une façon. D'abord, le temps que vous leur consacrez, vous ne le passez pas à bruler des calories. Mais les effets vont bien au-delà de l'énergie que vous ne dépensez pas. La lumière bleue des appareils électroniques peut perturber votre rythme circadien ; notre dépendance à ces appareils réduit notre temps de sommeil puisque nous préférons nous gaver de séries sur Netflix plutôt que d'aller nous coucher. Chacun de ces éléments a été lié à un plus haut niveau de graisse abdominale.

    Portez des sous-vêtements amincissants

    Porter des corsets et des culottes amincissantes n'est certainement pas l'idée que l'on se fait généralement du bonheur. Mais il vous suffit parfois d'un simple coup de main pour amincir votre silhouette. Et il n'y a rien de mal à se tourner vers la technologie. Les sous-vêtements amincissants se sont considérablement améliorés ces dernières années grâce à des matériaux plus respirants. De plus, de nombreux styles conviennent désormais aussi bien aux hommes qu'aux femmes.

    Faites le plein de fibres pour un ventre plat

    Les aliments fibreux sont presque une "pilule miracle pour un ventre plat". Les fruits, les légumes et les céréales complètes, particulièrement celles contenant des fibres solubles, ont démontré leur efficacité à réduire le tour de taille. Ajoutons que ces aliments vous rassasient plus facilement, ce qui fait que vous mangez moins et que votre ventre finit lui aussi par perdre du volume.

    Cessez de fumer

    Il vous faut vraiment une raison supplémentaire pour cesser de fumer pour de bon? Parfait : fumer vous fait grossir. Non seulement en allumer une ne vous aide pas à rester mince, le mythe le plus courant concernant la cigarette. Selon de récentes études, les gens qui fument accumulent plus de graisse abdominale.

    Un bon bol de céréales

    Prendre un bon bol de céréales, chaudes ou froides, avec quelques morceaux de fruits et, peut-être, quelques graines et fruits à coque, est l'une des meilleures choses que vous puissiez faire le matin. Préférez les céréales riches en fibres: une portion devrait vous en fournir 3 grammes.

    Et évitez les céréales raffinées, les grains entiers comme l'avoine ou le blé étant bien meilleurs pour la santé. Par-dessus tout, renoncez aux céréales sucrées. À la rigueur, les enfants peuvent en prendre, mais pas une adulte qui surveille son poids et recherche la forme: en faisant grimper puis chuter la glycémie, le sucre provoquera inévitablement fatigue et faim bien avant le repas du midi. Faites attention à ces erreurs qui pourraient ruiner tous vos efforts pour maigrir.

  • Comment ils font peur aux jeunes...

    Ce cliché a été pris en vue plongeante depuis un drone, le 24 mars 2023 à Saint-Malo, lors de l’équinoxe de printemps, à 8h57 au moment de la haute mer.

    Avec un coefficient de 105, des déferlantes ont éclaboussé la « chaussée du Sillon. Une grande plage à l’est des remparts. Créant l’illusion d’un tsunami.

    Cette photo fait peur. Elle a servi à illustrer la submersion des rivages français par la hausse des océans, consécutive au prétendu réchauffement climatique.

    Les grandes marées d’équinoxe ont lieu tous les ans, à peu près à la même date, autour du 20, en mars et en septembre.

     

  • Les ustensiles de la cuisine

    "60 millions de consommateurs" alerte sur le danger des moules à gâteaux

    Dans un hors-série, 60 millions de consommateurs s’attaque aux moules à gâteaux, pointant du doigt plusieurs substances indésirables libérées en présence d'aliments acides ou à la cuisson. Explications.

    Après les aliments du quotidien qui nous empoisonnent, les box minceur et les produits gluten free, c'est au tour des moules à gâteauxd'être passés au crible par la revue 60 millions de consommateurs. En effet, dans son nouveau hors-série publié en janvier, elle épingle leur revêtement antiadhésif en silicone ou teflon, accusés de libérer des substances susceptibles de migrer dans les aliments sous l'effet de la chaleur, de corps gras, ou de l'usure.

    DES SUBSTANCES TOXIQUES DANS LES MOULES EN SILICONE

    La rédaction du magazine de l'Institut national de la consommation explique avoir testé 9 moules à gâteaux en silicone des marques Guy Degrenne, Carrefour Home, Ikea, Hema, Tefal, Mastrad, Bake Me, Zodio, De Buyer. Verdict?

    Trois d'entre eux peuvent s'avérer dangereux pour la santé, pour les utilisateurs réguliers. Ils sont accusés de libérer des substances indésirables et/ou toxiques, issues de la fabrication du silicone, et ce, en quantité parfois non négligeables. C'est notamment le cas lorsqu'ils sont au contact d'ingrédients gras comme l'huile. Pour éviter cela, 60 millions de consommateurs suggère donc de bien vérifier que soit mentionné sur l'étiquette du moule le "certificat de conformité à l'aptitude au contact des aliments".

    LES MOULES USAGES SYNONYMES DE DANGER

    Les moules en métal s'en sortent globalement mieux. Sur les 9 testés – des marques, Ikea, Ardence, Maom, De Buyer, Hema, Mastrad, Guy Degrenne, Tefal, Bake Me –, sept n'affichent aucune migration problématique retrouvée en cas de contact avec un corps gras ou acide. Ici, le problème se pose lorsqu'ils sont abîmés. Les récipients sont alors susceptibles de relâcher des particules métalliques comme de l'aluminiumou du fer, dans les préparations qu'ils contiennent.

    Le magazine préconise donc de ne jamais utiliser d'ustensile tranchant à l'intérieur d'un moule en teflon et de ne pas hésiter à le renouveler dès que celui-ci est rayé.

    PERSO: cela fait 25 ans que je n'utilise plus de récipients recouvert de téflon et je n'ai JAMAIS utilisé de moules en silicone, soupçonnant le danger du pétrochimique

  • Alerte à la shigellose en France

    L’Institut Pasteur lance une alerte à la shigellose, maladie de pays en voie de développement, pour la France

    L’Institut Pasteur a signalé, jeudi 16 mars, la diffusion en hausse d’une souche hautement résistante aux antibiotiques de la bactérie Shigella sonnei . Très contagieux, ce pathogène se transmet entre humains via des matières fécales (beaucoup plus rarement par des aliments contaminés). L’infection qui en résulte, connue sous le nom de shigellose, provoque des diarrhées fébriles parfois sanglantes et des douleurs abdominales. Cette maladie qui touche d’habitude les pays pauvres, provoque chaque année 70 000 décès, d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS). (…)

    Après une pause liée à la pandémie de Covid, elle s’est diffusée en France rapidement. En 2021, 22 % de toutes les souches de Shigella sonnei analysées étaient hautement résistantes ». Ces résultats ont été publiés en janvier dans la revue Nature Communication .

    (…)

    SAVOIR SUR LA SHIGELLOSE :

    La shigellose est une maladie diarrhéique qui sévit surtout dans les régions tropicales. Elle est endémique toute l'année dans les pays en développement, avec des poussées épidémiques à certaines saisons ou lors de désastres humanitaires.

    Elle est provoquée par des bactéries appartenant au genre Shigella. Les espèces les plus fréquentes dans les pays en voie de développement, et responsables des symptômes les plus graves, sont Shigella flexneri, causant la forme endémique de la maladie et Shigella dysenteriae sérotype 1 (ou bacille de Shiga), responsable des épidémies les plus importantes. Une autre espèce, Shigella sonnei, est prévalente dans les pays émergents et industrialisés.

    La shigellose est par excellence une maladie de l'insuffisance d'hygiène. Les shigelles sont transmises par voie féco-orale. L'homme est le seul réservoir et peut éliminer ces bactéries dans ses selles pendant des semaines après un épisode dysentérique. Le plus souvent, la transmission est directe, du malade à son entourage. L'eau et les aliments souillés par des déjections contenant des shigelles peuvent également transmettre la maladie, ainsi que les mouches.

    La forme dysentérique aiguë typique de l'adulte débute brusquement, après une incubation brève. Elle se caractérise par des douleurs abdominales, souvent accompagnées de vomissements, d'épreintes et de l'émission permanente de selles innombrables (jusqu'à 100 par 24h), glairo-sanglantes et purulentes, voire parfois hémorragiques. La fièvre est élevée, avec altération de l'état général. Le malade guérit le plus souvent spontanément en quelques jours et plus rapidement après administration d'antibiotiques.

    Des complications peuvent cependant émailler l'évolution de la maladie, surtout chez le nourrisson et le jeune enfant ; elles en causent les formes graves qui peuvent aboutir à la mort du patient et sont de plusieurs ordres : les complications aiguës dominées par l'hypoglycémie ; des bactériémies ou des septicémies à point de départ intestinal pouvant se compliquer de choc septique ; la déshydratation due à la fièvre et à l'abondance des pertes hydro-électrolytiques de la diarrhée, menant au collapsus et à l'insuffisance rénale aiguë ; le syndrome hémolytique et urémique, une insuffisance rénale aiguë de cause complexe, le plus souvent mortelle en l'absence de possibilités rapides de réanimation.

    A la différence des autres maladies diarrhéiques, la shigellose ne peut être traitée par la seule réhydratation. Les antibiotiques permettent généralement une guérison rapide et sans séquelles.

    Source : Outbreak News Today.

  • Sur mon autre blog

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2023/03/09/la-covid-repart-6432158.html

  • Récupérer les eaux usées???

    “La plupart des tomates produites en Espagne et consommées en France sont irriguées au moyen d’eaux usées traitées” souligne le directeur du développement durable de l’entreprise Veolia, Tristan Mathieu.

    Je sais pas vous, mais l’idée que les tomates mangées en été ou celles vendues en boîte, d’origine espagnole, ont été arrosées, nourries, avec les chiottes des Espagnols, même si l’eau a été traitée avant, ça me fait pas envie.

    PERSO: D'ailleurs, cela fait plus de 15 ans que je n'en achète plus!

    Je ne parlerai même pas de la “mémoire de l’eau” utilisée en homéopathie, ne relançons pas le débat. Non, je me contenterai de rappeler que, actuellement, dans les eaux traitées, bien traitées, au point qu’on les prétend potables quand elles sortent du robinet, on trouve des traces de pilule, d’anti-dépresseurs, d’anti-cancéreux, de somnifères et autres antidépresseurs…

     

    https://www.partagedeseaux.info/La-pollution-de-l-eau-par-les-produits-pharmaceutiques

    Ces résidus médicamenteux se retrouvent dans les stations d’épuration (collective ou individuelle), qui ne sont pas conçues pour les traiter. Ils se retrouvent donc également dans l’eau du robinet.

    https://www.culligan.fr/qualite-eau/polluants/residus-medicamenteux/

    D’un côté, le Monde tire la sonnette d’alarme, on manquerait de plus en plus d’eau potable en France, à cause des pesticides (enfin c’est ce qu’ils disent, ils auraient pas envie, en fait, de faire disparaître notre agriculture et surtout nos agriculteurs, histoire de nous faire dépendre des importations venant de pays sans règles ni contraintes? ). La France deviendrait-elle le Sahara depuis que, pour plaire à Veolia, on interdit aux villages d’utiliser leurs sources millénaires?

    De l’autre côté le Parisien nous apprend que l’on pourrait encore prendre le luxe de faire des expériences avec l’eau… Et les journaleux de nous inciter à boire l’eau de nos douches… Bon, j’en conviens, j’exagère à peine. En fait ils voudraient recycler l’eau des stations d’épuration, ils voudraient que l’on arrosât nos jardins avec l’eau des toilettes, ce qui est forcément bon pour les jardins, c’est là l’origine du fumier, ou que l’on lavât notre linge avec.

    Mon souci c’est que je les connais trop, ces mondialistes, ces écolos-dingos… Il est évident que, très vite, la tentation de basculer les eaux usées traitées a minima pour aller dans les WC ou le jardin se retrouveront dans le robinet de la cuisine. Et une petite dose de javel, hop! Ni vu ni connu! Ils en sont capables, on a payé pour voir.

    La sécheresse s’installe en France, hiver comme été, obligeant à repenser nos usages. Le gouvernement veut ainsi mettre davantage à profit les eaux dites grises. Celles-ci pourraient servir à l’irrigation, à l’arrosage des espaces verts ou au nettoyage de la voirie. La France a du retard en la matière.

    Quand Nicolas Condom a proposé il y a douze ans à la ville de Cannes (Alpes-Maritimes) une opération pilote de recyclage des eaux de sa station d’épuration pour alimenter les balayeuses de la ville et nettoyer ses bennes à ordures, beaucoup l’ont toisé avec circonspection.

    Les mêmes lui ont fait les gros yeux lorsqu’il a proposé un procédé similaire pour le jardin potager d’une petite commune située au nord de Montpellier. Mais depuis que la France subit de plein fouet des épisodes récurrents de sécheresse, plus personne ne regarde de haut le patron de l’entreprise Ecofilae, spécialisée dans la réutilisation des eaux usées traitées.

    PERSO: vous n'imaginez pas les bactéries et virus que l'on ramasse avec les semelles de ses chaussures et que l'on fait entrer dans la maison!

    À la traîne en la matière, la France veut rattraper son retard. Ce week-end, au Salon de l’agriculture, Emmanuel Macron a annoncé avoir "transmis ces derniers jours au Conseil d’État un décret pour mieux utiliser les eaux usées". La réglementation est en train de changer pour encourager le plus possible ce type de pratique, l’objectif fixé par la commission européenne étant de "multiplier par six les volumes d’eaux usées recyclées ", explique le Centre d’information sur l’eau.

    C’est qu’en raison d’une réglementation sanitaire jugée aujourd’hui trop restrictive par l’exécutif, la France réutilise environ 1% de ses "eaux grises", "c’est très peu". La plupart des tomates produites en Espagne et consommées en France sont irriguées au moyen d’eaux usées traitées souligne le directeur du développement durable de l’entreprise Veolia, Tristan Mathieu. Mais en France, ce procédé est aujourd’hui très marginal car nous avons jusqu’ici été moins exposés que les autres aux effets du réchauffement climatique".

    "ASSOUPLIR LA RÉGLEMENTATION " POUR UTILISER L’EAU DE LA DOUCHE DANS LES TOILETTES

    Tout a changé depuis l’été 2022, marqué par une succession inédite de canicules et une sécheresse historique. Beaucoup de collectivités locales et d’industriels se sont alors tournés vers nous pour se renseigner sur ces solutions de réutilisation des eaux usées qui n’ont pour l’heure été développées que dans 70 stations d’épuration sur les plus de 22 000 que compte l’Hexagone.

    Bien conscient du potentiel, le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, espère bien lever certains freins administratifs et sanitaires qui empêchent les communes d’utiliser leurs ressources aquifères comme elles l’entendent.

    "Nous devons assouplir la réglementation afin de pouvoir utiliser l’eau de la douche ou de la machine à laver pour la chasse d’eau alors que c’est aujourd’hui de l’eau potable qui est utilisée, nous explique le ministre depuis le Gabon où il accompagne le chef de l’État. En zones littorales, nous devons aussi innover pour pouvoir réutiliser les eaux traitées dans les stations d’épuration en vue d’arroser les parcs ou d’irriguer des terres, plutôt que de les rejeter à la mer".

    Même si les eaux des égouts qui échouent dans les stations d’épuration ressortent débarrassées de la majeure partie des polluants qui pourraient s’avérer nocifs pour le milieu naturel, l’association France Nature Environnement (FNE) reste prudente quant à certains usages". Les stations d’épuration n’éliminent pas toutes les substances dangereuses présentes dans les eaux usées, souligne le président de FNE, Arnaud Schwartz. Si c’est pour arroser des espaces verts, pourquoi pas? Mais pour irriguer des champs destinés à l’alimentation se pose évidemment la question des risques chimiques et microbiologiques".

    Lire la suite ici

    https://www.leparisien.fr

    PESTICIDES: DE L’EAU POTABLE NON CONFORME POUR 20 % DES FRANÇAIS

    (environ 12 millions de personnes ont été concernées en 2021 par des dépassements de seuils de qualité pour les pesticides et leurs métabolites).

    Le Monde donne les chiffres ahurissants de la contamination de l’eau par les pesticides et alii mais donne également les lacunes ÉNORMES dans la surveillance de l’eau potable!

    Encore en 2021, on vous parle pas du XIXème siècle, 20 % des Français métropolitains ont utilisé (donc bu pour nombre d’entre eux) de l’eau non potable selon les critères officiels. 5,9 % des Français en 2020. Quel bond en un an! C’est juste terrifiant.

    Les données officielles sont à la Direction Générale de la Santé mais ne sont pas… communicables au public  et la DGS refuse de répondre aux journalistes!! Ben voyons! Et ensuite on s’étonne de voir le nombre de cancers et autres maladies augmenter vitesse grand V

    Et tout ça pourquoi? Parce que l’on pollue plus à présent? Mais non, mais non… c’est juste que jusqu’à maintenant on ne trouvait que ce que l’on cherchait. Et l’on ne cherchait que les traces de certains pesticides et même pas les recompositions de pesticides entre eux…

    Donc l’eau est déclarée potable parce que l’on n’a recherché QUE certains types de produits dedans…

    Christine Tasin

    https://resistancerepublicaine.com/2023/03/06/1-francais-sur-5-na-pas-acces-a-leau-potable-et-ils-veulent-quon-joue-avec-les-eaux-usees/