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Blog - Page 61

  • ATTENTION: trop de sucre

    41% des adultes mangent trop de sucre

    La bière

    C’est l’un des alcools dont il faut se méfier : un verre de 250 mL de bière à plus de 8 ° d’alcool apporte plus de 11 g de glucides !

    Les jus de fruits

    De nombreux jus de fruits sont très sucrés, notamment le nectar d’abricot (16 g de glucides pour une portion de 125 mL), le jus de pommes (13 g de glucides environ par portion) ou le jus de raisin (environ 18 g).

    Les soupes industrielles

    Vous pensiez que les soupes étaient un aliment sain à privilégier dans le cadre d’un régime?

    Pas toujours : une portion de 250 mL à 300 mL de soupe en brique apporte souvent plus de 11 g de glucides…

    Les lentilles cuisinées

    Bien que les légumineuses soient intéressantes pour leurs apports en protéines végétales, les lentilles cuisinées fournissent aussi leur lot de glucides: environ 24 g pour une portion de 150 g. Ce n’est guère mieux avec les haricots blancs ou rouges cuits qui apportent plus de 20 g de glucides.

    Le yaourt à la vanille

    Au rayon des yaourts, fuyez le yaourt à la vanille et préférez-lui un yaourt nature. Vous trouverez ainsi plus de 15 g de glucides dans un yaourt à la vanille, contre 5 à 9 g dans un yaourt nature.

    Les céréales du petit déjeuner

    Oui les céréales apportent des glucides, pas de grande surprise certes, mais certaines marques utilisent comme argument de vente que leur produit serait bon pour la ligne. Ne vous faites pas avoir.

    Les corn flakes, les flocons de céréales, les mueslis, apportent généralement plus de 15 g de glucides par portion, voire 25 g pour le riz soufflé.

    Les barres de céréales

    Ces produits sont souvent riches en sucres et ne peuvent en aucun cas représenter un en-cas sain en cas de fringale. Une barre de céréales fournit généralement au moins 11 g de glucides en une seule portion.

    Les barres protéinées

    Comme leur nom ne semble pas l’indiquer, les barres protéinées du commerce sont elles aussi riches en sucres! Lisez bien la composition et le tableau des valeurs nutritionnelles, car en croyant avaler des protéines vous allez surtout manger des glucides.

     

  • Pour les messieurs et autres "fan-es"

    fan-es??? ben oui, c'est de l'écriture inclusive!!! hahahaha

     

     

    Faites-passer à vos Jules!

     

  • Recette pour les fauchées, mais gourmande

    Ailes de poulet panées épicées

    Pour 4 personnes
    1 kg d’ailes de poulet; 75 ml de lait ribot (le lait ribot est du lait fermenté breton)
    75 ml d’eau;

    Huile de friture végétale

    Mélange d'épices: 2 cuillères à soupe de paprika, curcuma, gingembre
    2 à café de sel; de piment d'espelette; d’ail en poudre; poivre noir
    sucre; maïzena ou de fécule de pommes de terre

    Lavez et nettoyez les ailes de poulet si nécessaire puis égouttez bien. Les couper en trois aux articulations. Retirez le petit bout d’aile. Réservez

    Préparez les épices et mélanger.

    Dans un saladier, placez les ailes de poulet et ajoutez 3 cuillères à café du mélange d'épices. Ajoutez la farine, la cuillère à café de levure chimique, le lait ribot et l’eau. Mélangez afin que toutes les ailes soient recouvertes de marinade.

    Préchauffer l’huile de friture à 170 °C. Plongez les morceaux de poulet dans la friteuse et laissez dorer chaque face.

    Une fois dorés, retirez les ailes de poulet et déposez sur du papier absorbant.

  • Grosses frites

    On dit parfois "inédites"

    pour 4 personnes
    400 g de pommes de terre spéciales frites
    2 cuillère à soupe de paprika; 1 cuillère à soupe d’origan
    3 cuillères à soupe d’huile d’olive, 1 cuillère à soupe d’ail en poudre
    1  cuillère à café de sel, 1/2 cuillère à café de poivre
    1/2 cuillère à café sucre; 3 cuillères à soupe de farine
    Huile de friture pépin de raisin ou arachide

    Lavez précautionneusement les pommes de terre et les couper en 6 ou 8 quartiers selon leur taille.

    Préchauffez la friteuse à 170 °C.

    Mettre tous les ingrédients dans un saladier (sauf la farine). Bien mélanger et ajouter les pommes de terre.

    Mélangez à nouveau et ajoutez la farine et mélanger à nouveau.

    Faire cuire les inédites 4 minutes et réserver sur du papier absorbant. Cuire une seconde fois, 4 minutes à la même température.

    Faites égoutter sur du papier absorbant. Saler et servir sans attendre.

     

    Si vous utilisez des pommes de terre bio, conservez la peau après l'avoir pelée en rondelles et faites frire 1 minute dans une friteuse archi-bouillante;

    posez sur du papier absorbant et salez encore très chaude: bon accompagnement pour l'apéritif

  • Réussir les pommes de terre sautées

    Quelle variété de pomme de terre choisir pour des pommes de terre sautées?

    Tout d'abord, il faut choisir la bonne pomme de terre pour réaliser ce plat à la maison. En effet à chaque variété sa spécialité. Il existe presque 10 000 sortes de patates: Amandine, Charlotte, Bintje, Vitelotte… Il y en a pour tous les goûts et pour toutes les préparations.

    Certaines ont une chair plus ferme que d'autres et sont donc plus propices pour réaliser des pommes de terre sautées.

    Vous pouvez opter pour des Charlotte, Amandine ou encore des rattes. Contrairement aux bintjes qui sont idéales pour une purée, les pommes de terre à chair ferme vous aideront à faire les meilleures pommes de terre sautées chez vous.

    Quel ustensile de cuisson pour réaliser vos pommes de terre sautées?

    Maintenant que vous avez choisi la meilleure variété de pomme de terre, il vous faut le bon ustensile pour les cuire. Dans une casserole usée, vos patates vont certainement accrocher, même avec de la matière grasse. Elles vont s'effriter et vous obtiendrez une bouillie plutôt que des pommes de terre bien grillées et fondantes.

    Il est donc recommandé d'utiliser une sauteuse ou un faitout avec un revêtement anti-adhésif. Cela vous aidera à ne pas faire cramer vos pommes de terre et à garder de beaux cubes bien croustillants. Cependant, les ustensiles au revêtement les moins dangereux sont: intérieur céramique ou en pierre.

    Comment obtenir des pommes de terre sautées croustillantes et fondantes ?

    Tout d'abord, les pommes de terre sautées demandent une pré-cuisson à l'eau pour garder tout leur moelleux. Mais avant ça, on vous conseille de ne pas seulement les rincer à l'eau mais de les faire tremper dans de l'eau froide pour retirer l'amidon qu'elles contiennent. Pas besoin de forcément les peler, il vous suffira de les couper en cubes et de les plonger dans un bol d'eau froide une dizaine de minutes et de changer l'eau au moins une fois.

    Avant de les faire revenir à la sauteuse dans de la matière grasse (et de préférence, de la graisse de canard qui donne un goût, je vous dis que ça!), faites cuire les pommes de terre dans un grand volume d'eau salée. Seulement quelques minutes pour les attendrir mais elles doivent garder du croquant. Ensuite, laissez-les refroidir complètement avant de les passer à la poêle.

    Une fois les pommes de terre refroidies, versez trois cuillères à soupe d'huile ou graisse de canard dans une sauteuse et laissez chauffer. Ne vous brûlez pas!

    Ajoutez les pommes de terre et imbibez-les de l'huile ou de graisse de canard, en mélangeant avec une cuillère en bois. Refermez la sauteuse avec le couvercle et portez le feu au maximum pendant 3 à 5 minutes, vous sentirez une bonne odeur de pommes de terre grillées s'échapper. Ensuite, il vous faudra remuer délicatement vos pommes de terre pour ne pas les effriter et baisser le feu.

    Laissez cuire avec le couvercle en remuant toutes les trois minutes environ pendant une dizaine de minutes. Pour vérifier la cuisson de vos pommes de terre, n'hésitez pas à planter la lame d'un couteau. Il doit s'enfoncer sans problème.

    Ajoutez un peu de sel et de poivre, des herbes ou même des épices, tout ce qu'il vous fera plaisir!

  • Nutri-score

    le Nutri-score évolue régulièrement pour améliorer ses performances et prendre en compte les évolutions les plus récentes en matière de nutrition, comme le montre sa dernière mise à jour.

    Un Nutri-score mis à jour pour être plus performant

    La récente mise à jour de l’algorithme du Nutri-score par un comité scientifique composé d’experts européens indépendants a permis de corriger certaines des « limites » identifiées depuis sa mise en place et d’améliorer encore sa cohérence avec les recommandations nutritionnelles actuelles de santé publique.

        Modifications pour les aliments solides:

        les produits riches en sel ou en sucre sont finalement classés moins favorablement;

        les céréales de petit déjeuner à teneur relativement élevée en sucre ne peuvent plus être classées A et passent en C;

        les produits laitiers sucrés sont moins favorablement classés;

        les pains complets sont principalement classés A alors que les pains raffinés se répartissent entre B et C (selon leur teneur en sel);

        L’huile d’olive passe en B ainsi que les huiles végétales à faible teneur en acides gras saturés (colza, noix, tournesol oléique). L’huile de tournesol passe en C. Les autres produits de la catégorie demeurent inchangés;

        Les noix et graines sans sel ni sucre ajoutés, sont classées en A ou B, alors que les versions salées et/ou sucrées sont en moyenne en C ou même D;

        Les plats composés (plats prêts-à-manger, pizzas, etc.) passent en moyenne des classes A/B aux classes B/C ou même D pour certaines catégories de produits notamment les pizzas;

        Les fromages à pâte dure à faible teneur en sel (type Emmental) sont maintenant classés C; les autres fromages restent D ou E en fonction de leur contenu en sel et en acides gras saturés;

        La viande rouge est moins bien classée et se retrouve globalement dans des classes de notes inférieures à celles de la volaille et du poisson.

        Modifications pour les boissons :

        Les laits de vache écrémés et partiellement écrémés sont en majorité classés B et le lait entier C;

        Les boissons lactées sucrées (laits aromatisés), ne peuvent plus être A ou B et se retrouvent principalement en D et E (certains à faible teneur en sucre en C);

        Les boissons fermentées à base de lait (incluant les yogourts à boire sucrés et aromatisés) ne peuvent plus être A et sont différenciées en fonction de la teneur en sucre entre C et E;

        Les cacaos et cafés en poudre sont inclus comme boissons pour le calcul de leur Nutri-score si leur déclaration nutritionnelle est indiquée comme consommée (c’est-à-dire après reconstitution avec du lait ou de l’eau) plutôt que comme vendue et se retrouvent moins bien classées;

        Les boissons à base de plantes (soja, amande, avoine, riz…) ne sont plus classées en A comme actuellement mais se distribuent entre B e E;

        Les boissons sucrées avec des quantités très limitées de sucre (<2 g/100mL) passent en B, tandis que celles avec des quantités élevées de sucre sont maintenues en D/E;

        Les boissons contenant des édulcorants sont pénalisées et se trouvent classées au moins en C (voire D ou E si elles contiennent des édulcorants et du sucre).

    Récemment, 320 scientifiques et professionnels de santé ont publié un rapport reprenant l’ensemble des arguments scientifiques robustes en faveur du Nutri-score. Ils y pointent également la forte demande sociétale justifiant le choix du Nutri-score au niveau européen.

    Un intense lobbying anti-Nutri-Score

     

    Dès la naissance du Nutri-score et sa proposition, en 2014, par les scientifiques, de puissants lobbys qui ont tenté de bloquer sa mise en place. A l’issue d’une bataille qui a duré près de 4 ans, ce logo a finalement été adopté en France et dans six autres pays européens, mais sur une base volontaire. La réglementation européenne empêche en effet les états-membres de rendre obligatoire un logo d’information nutritionnelle.

    Si aujourd’hui plus de 900 marques en France l’ont adopté (ce qui correspond à 60 % du marché alimentaire), il n’est que facultatif et certaines grandes firmes refusent toujours de l’afficher sur leurs produits.

    A l’origine des pressions anti-Nutri-Score, on retrouve plusieurs grandes entreprises alimentaires qui s’opposent depuis toujours à son implémentation (Ferrero, Lactalis, Coca-Cola, Mars, Mondelez, Kraft…) ainsi que certains secteurs agricoles, notamment ceux du fromage et des charcuteries et leur puissante représentation européenne (COPA-COGECA).

     

    Leurs actions de lobbying sont relayées au niveau des structures européennes par divers partis politiques et des politiciens, et surtout par le gouvernement italien (particulièrement depuis les dernières élections italiennes) instrumentalisant Nutri-score comme un complot de l’Europe contre les produits "made in Italy".

    Bien que ce lobbying s’appuie sur des arguments non scientifiques, il semble avoir été suffisamment efficace pour amener la Commission européenne à ne pas tenir ses engagements concernant le calendrier de l’évolution de la réglementation européenne concernant l’étiquetage nutritionnel des aliments.

    En outre, les déclarations de certains de ses représentants laissent entendre que la Commission pourrait finalement ne pas retenir le Nutri-score comme logo nutritionnel obligatoire pour l’Europe, considérant qu’il serait trop "polarisant".

    Il est pourtant clair que le Nutri-score dans sa version mise à jour est un moyen simple et efficace d’aider les consommateurs à tendre vers des choix alimentaires plus favorables sur le plan nutritionnel. Ce faisant, ils réduisent leur risque de développer bon nombre de maladies chroniques liées à la nutrition (obésité, maladies cardiovasculaires, diabète, certains cancers…), lesquelles constituent des problèmes de santé publique don le coût humain, social et économique majeur n’est plus à démontrer.

    Espérons donc que la Commission européenne prendra en considération les données issues de la science pour motiver une décision en faveur de la santé publique plutôt que de la défense d’intérêts économiques ou politiques.

    Commission européenne: maintenant tu sais pourquoi les Français votent NON

  • Mayo sans huile... et sans calories

    Pour remplacer l'huile dans une mayonnaise, vous pouvez utiliser… du bouillon de légumes! Et oui, cette petite astuce va vous changer la vie si vous voulez déguster une mayonnaise allégée. C'est très simple à réaliser: il faudra simplement gélifier un peu de bouillon de légumes pour l'utiliser ensuite comme l'huile.

    MAYONNAISE SANS HUILE

    Pour 4, environ

    300 ml de bouillon de légumes; 5 feuilles de gélatine

    1 jaune d'œuf; 1 c. à soupe de vinaigre, 1 pincée de sel

    1 c. à soupe de moutarde, Poivre du moulin

    Réchauffez le bouillon de légumes sans le faire bouillir.

    Trempez les feuilles de gélatine dans un bol d'eau froide pour les ramollir puis les essorer.

    Plongez les feuilles de gélatine égouttées dans le bouillon tiède et bien mélanger hors du feu. Versez dans un récipient et laisserzprendre au frais pendant au moins deux heures (l'idéal est de réaliser cette opération la veille pour que le mélange soit bien figé).

    Mélangez le jaune d'oeuf avec le vinaigre, le sel, la moutarde et un bon tour de moulin à poivre.

    Mixez la gelée de bouillon jusqu'à l'obtention d'une émulsion. Versez sur la préparation précédente et bien mélanger avec un fouet. La mayonnaise doit monter.

    Rectifiez l'assaisonnement selon vos goûts et conservez au frais jusqu'au moment de servir.