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Actualité - Page 4

  • Comment reconnaître une bonne bûche?

    60 millions de consommateurs

    Comme le précise le site web spécialisé, les bûches industrielles que l’on trouve dans les supermarchés contiennent - pour la plupart - des ingrédients chimiques.

    Les compositions truffées d’ingrédients caractéristiques de l'ultra-transformation: graisse végétale de coprah, matière grasse laitière anhydre, gélatine bovine en poudre, sirop de glucose-fructose… À quoi s’ajoutent d’innombrables additifs de type épaississants/gélifiants, stabilisants et autres émulsifiants», détaille le magazine.

    Sans réelle surprise, les ingrédients en question peuvent s’avérer dangereuses pour la santé.

    "De nombreuses études suggèrent un lien entre les aliments ultra-transformés et de nombreux risques pour la santé (surpoids et obésité, diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, dépression, etc.). De plus, on ignore tout ou presque d’éventuels effets cocktails entre ces molécules».

    Et comme si cela ne suffisait pas, certains additifs favoriseraient même la dépression. Une information qui fait froid dans le dos. Pas de panique, certaines bûches sortent du lot.

    Pour ne pas se tromper, 60 Millions de consommateurs recommandent d’acheter la bûche de Noël qui comporte «la liste d’ingrédients la plus courte"

    Avant votre achat, vérifiez bien les étiquettes de composition de vos aliments.

  • ELLE  EST   BIEN  LA

    En France, en semaine 48 (25 novembre au 1er décembre 2024), l'activité liée aux infections respiratoires aiguës (IRA) était en augmentation en ville et à l'hôpital tous âges confondus. Cette hausse était principalement portée par les enfants, notamment les moins de 5 ans.

    1.GRIPPE SAISONNIERE

    Dans l'Hexagone, les indicateurs grippe continuaient d'augmenter en ville et à l'hôpital et dans toutes les classes d'âge. En semaine 48, l'Île de France entrait en épidémie et cinq régions étaient en pré-épidémie: Hauts-de-France et Normandie depuis S47 et cette semaine Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne et Grand Est.

    La part des syndromes grippaux dans les actes médicaux SOS médecin, les passages aux urgences et les hospitalisations après passage aux urgences sont respectivement de 5,5% (+1 points par rapport à la S47), 0,6% (+0,2 pt) et 0,4% (+0,1 pt).

    En semaine 48, les taux de positivité des prélèvements réalisés en ville par les laboratoires de biologie médicale, en médecine de ville chez les patients consultant pour IRA et en milieu hospitalier  étaient respectivement de 8,1% (+2,7 points par rapport à la S47), 14,9% (+8,5 pt) et 3,2% (+1,1 pt). Le niveau d'intensité en ville passait cette semaine du niveau de base à un niveau faible.

    A l’hôpital (réseau RENAL/CNR), parmi les 89 792 prélèvements testés depuis la semaine 40, 96 se sont avérés positifs pour un virus grippal (1,1%), dont 575 virus de type A non sous-typés, 150 A(H1N1)pdm09, 50 A(H3N2) et 189 virus de type B.

    1. BRONCHIOLITE

    En S48, les indicateurs syndromiques liés à la bronchiolite étaient en augmentation en ville comme en milieu hospitalier.

    Chez les enfants de moins de deux ans, les bronchiolites représentent respectivement 8,2% (+0,6 point par rapport à la S47) des actes médicaux SOS Médecins, 15,1% (+1,4 pts) des passages aux urgences et 30,5% (+3,5 pts) des hospitalisations après passage aux urgences.

    Le taux de détection pour le VRS (virus respiratoire syncytial) dans les prélèvements naso-pharyngés était en augmentation en laboratoire de ville (6,9%, +1,3 points) et à l’hôpital (9,5%, +2 points).

    En S48, dans l'Hexagone, toutes les régions étaient en épidémie excepté la Corse qui est toujours au niveau de base. Dans les départements et régions d’outre-mer, la Guadeloupe et la Martinique étaient en épidémie depuis S43 et la Guyane depuis fin juillet (S31).

    D'autres virus susceptibles d’induire des bronchiolites circulent actuellement dans l’Hexagone, en particulier des rhinovirus et entérovirus.

    La campagne d'immunisation passive des nouveau-nés contre les infections à VRS (virus respiratoire syncytial) est en cours.

    1. COVID 19

    Les indicateurs syndromiques du COVID-19 restaient globalement stables en ville et à l'hôpital.

    Le taux de positivité pour SARS-CoV-2 parmi les prélèvements testés en ville et à l’hôpital restait stable et le niveau de circulation dans les eaux usées étaient en baisse en S48par rapport à la semaine précédente (-3,5%).

    Parmi les 143 cas de covid 19 hospitalisés en réanimation au cours de la saison 2024-2025, 91% étaient âgés de 18 ans et plus. Parmi eux, la majorité était des hommes et la présence d’au moins une comorbidité était reportée pour 89% des cas. Parmi les 101 cas pour lesquels le statut vaccinal était renseigné, 96% n’étaient pas vaccinés contre la covid 19 au cours des 6 derniers mois. Ces cas étaient pour la plupart âgés de 65 ans et plus (69%)

    Patrick GEROME

  • Maladies hivernales

    France: grippe, augmentation des indicateurs, 3 régions en phase pré-épidémique; bronchiolite, cinq régions en pré-épidémie et sept en épidémie dans l'Hexagone; covid 19, stabilité des indicateurs syndromiques et diminution des indicateurs virologiques

    Patrick GEROME, le 28/11/2024

    En France, en semaine 47 (18 au 24 novembre 2024), l'activité liée aux infections respiratoires aiguës (IRA) était en augmentation en ville et à l'hôpital tous âges confondus. Cette hausse était principalement portée par les enfants, notamment les moins de 5 ans. En revanche elle demeurait stable chez les personnes de 65 ans et plus.

    1.GRIPPE SAISONNIERE

    Dans l'Hexagone, l'augmentation des indicateurs grippe observée en S46 se poursuivait en S47 en ville et à l'hôpital et dans la plupart des classes d'âge. Toutefois ils demeuraient encore à leur niveau de base dans la majorité des régions, à l’exception des régions Île de France (passée en pré-épidémie en S46), Hauts-de-France et Normandie (en pré-épidémie cette semaine).

    La part des syndromes grippaux dans les actes médicaux SOS médecin, les passages aux urgences et les hospitalisations après passage aux urgences sont respectivement de 4,5% (+4,5 points par rapport à la S46), 0,4% (+0,1 pt) 6,4% (-0,6 pt) et 0,3% (+0,1 pt).

    En semaine 47, les taux de positivité des prélèvements réalisés en ville par les laboratoires de biologie médicale, en médecine de ville chez les patients consultant pour IRA et en milieu hospitalier  étaient respectivement de 5,3% (+2 points par rapport à la S46), 1,5% (+0,1 pt). Ce sont des niveaux habituellement observés à cette période de l’année.

    La phase post-épidémique était terminée en S47 à La Réunion, avec des indicateurs grippe revenus à leur niveau de base.

     

    1. BRONCHIOLITE

    En S47, les indicateurs syndromiques liés à la bronchiolite étaient en augmentation en ville comme en milieu hospitalier.

    Chez les enfants de moins de deux ans, les bronchiolites représentent respectivement 7,6% (+1,1 point par rapport à la S46) des actes médicaux SOS Médecins, 13,7% (+2,6 pts) des passages aux urgences et 27,2% (+3,8 pts) des hospitalisations après passage aux urgences.

    Le taux de détection pour le VRS (virus respiratoire syncytial) dans les prélèvements naso-pharyngés était en augmentation en laboratoire de ville (5,5%, +2,2 points) et à l’hôpital (6,5%, +1,5 points).

    En S47, dans l'Hexagone, deux régions étaient en épidémie: l’Ile de France (depuis S43) et les Hauts-de-France (depuis cette semaine), et sept étaient en pré-épidémie, les Hauts-de-France depuis la S44 et depuis la S45, les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Centre- Val de Loire, Grand Est, Nouvelle-Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d'Azur).

    En S47, sont passées en épidémie dans l'Hexagone, les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Bretagne, Centre- Val de Loire, Nouvelle-Aquitaine, Provence-Alpes-Côte d'Azur, l’Ile de France (depuis S43) et les Hauts-de-France (depuis S46) étant déjà en épidémie. Cinq régions (Bourgogne-Franche-Comté, Grand Est, Normandie, Occitanie, Pays de la Loire) étaient en phase pré-épidémique en S47.

    Dans les départements et régions d’outre-mer, la Guadeloupe et la Martinique étaient en épidémie depuis S43 et la Guyane depuis fin juillet (S31).

    D'autres virus susceptibles d’induire des bronchiolites circulent actuellement dans l’Hexagone, en particulier des rhinovirus et entérovirus.

    La campagne d'immunisation passive des nouveau-nés contre les infections à VRS (virus respiratoire syncytial ) est en cours.

     

    1. COVID 19

     

    Les indicateurs syndromiques du COVID-19 restaient stables en ville et à l'hôpital, et ce dans l'ensemble des classes d'âge. Le taux de positivité pour SARS-CoV-2 parmi les prélèvements testés en ville et à l’hôpital, ainsi que le niveau de circulation dans les eaux usées étaient en baisse en S47 par rapport à la semaine précédente.

    Parmi les 120 cas de covid 19 hospitalisés en réanimation, 92% étaient âgés de 18 ans et plus. Parmi eux, la majorité étaient des hommes et la présence d’au moins une comorbidité était reportée pour 91% des cas. Parmi les 85 cas pour lesquels le statut vaccinal était renseigné, 96% n’étaient pas vaccinés contre la covid 19 au cours des 6 derniers mois. Ces cas étaient pour la plupart âgés de 65 ans et plus (70%).

     

    N'OUBLIEZ  PAS LES GESTES "BARRIERE"!

  • Honneur aux Français de 14-18

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

    Des tranchées sortent des hommes vivant sous terre,

    L’uniformes invisibles, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La Grande Guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

    Gérard Brazon

  • Confiture de prunes

    500 g de prunes rouges; 400 g de sucre

    1 gousse de vanille, jus d'un citron pour une meilleure conservation des fruits.

    Lavez et dénoyautez les prunes. Vous devenez obtenir 500 g de "chair". Les déposer dans une marmite.

    Versez le sucre et grattez les grains de la gousse de vanille (ajoutez la gousse grattée pour encore plus de saveurs).

    Portez à ébullition puis, une fois que le mélange bout, baissez le feu et laissez cuire environ 30 minutes en remuant de temps en temps pour que ça n'accroche pas.

    Testez la confiture: déposez quelques gouttes dans une assiette, si la confiture coule trop vite, laisser cuire encore quelques minutes. Si elle se fige, elle est prête.

    Mettre en pot et les retourner aussitôt. Laisser refroidir puis conserver à l'abri de la lumière et de l'humidité.

  • Prix du cacao

    Les Français vont-ils devoir réduire leur consommation de chocolat?

    Entre janvier et octobre 2024, le prix du cacao a augmenté de 127%. Du jamais vu dans l’histoire du chocolat, qui porte bien son nom d’"or brun". A l’approche de Noël, les gourmands devront-ils freiner leurs achats?

    Par Bertille Vaur

    "Il semblerait que 90% des personnes aiment le chocolat, et que les 10% restants seraient des menteurs", s’exclame une moniale de l’abbaye de Bonneval au sein de laquelle du chocolat est fabriqué depuis 1878. Pourtant, les consommateurs de chocolat vont bientôt devoir choisir entre leur portefeuille et leur aliment favori.

    Depuis octobre 2023, le prix de la fève de cacao a augmenté de 143%. En quelques mois, la valeur de cette fève est passée de 2 500 euros la tonne, à plus de 12 000 euros. Une hausse considérable qui devrait bientôt se répercuter dans les grandes surfaces. Cette échéance s’explique par le délai entre la récolte, la transformation post-récolte (fermentation et séchage), l’exportation, la mise en stock, la transformation, la fabrication du chocolat puis la mise en rayon.

    Cultivé majoritairement en Afrique de l’Ouest, le cacao est consommé, en grande partie, en Europe et aux États-Unis. En 2023, les Français, qui en sont particulièrement friands, ont consommé 12,5kg de chocolat en moyenne par foyer. Mais, depuis 2013, un nouveau marché est apparu en Chine entraînant une hausse des prix pour répondre à la demande.

    Dereglement climatique, speculation: les raisons de la hausse du cacao

    Le dérèglement climatique explique cette envolée du coût de la fève de cacao. Alors que la Côte d’Ivoire et le Ghana se partagent plus de 60% du marché de matières premières, ces deux pays ont été victimes de conditions météorologiques très mauvaises qui ont eu un impact important sur la production de cacao. En juillet 2023, des pluies torrentielles se sont abattues sur la Côte d’Ivoire provoquant la chute des fleurs à peine formées et la diffusion de pourriture brune des cabosses du cacaoyer, une maladie causée par un champignon nocif. La longue période de sécheresse qui a suivi a aussi affecté le cacaoyer qui a besoin d’eau pour son développement et celui de ses fruits.

    La deuxième raison qui explique cette hausse des prix est la mauvaise anticipation des demandes. Le prix d’achat assez bas du cacao ces dernières années a incité de nombreux agriculteurs à diversifier leurs cultures. Ils ont réduit leur production de cacao pour se tourner vers les plantations de bananiers et la récolte d’huile de palme. En 2024, l’écart entre l’offre et la demande devrait atteindre un volume de 423 000 tonnes de cacao. Depuis quatre ans, la demande mondiale de chocolat dépasse l’offre. Les stocks mondiaux baissent significativement ce qui crée un déséquilibre sur le marché et beaucoup de spéculation.

    Diversifier les chocolats: une option choisie par les moniales de Bonneval

    Avant les consommateurs, la hausse des prix de la fève de cacao affecte d’abord les chocolatiers, qui craignent aussi une possible taxe sur les sucres. Au fond d’une vallée de l’Aveyron, au sein de l’une des plus anciennes chocolateries de France, les vingt-quatre moniales de l’abbaye de Bonneval, ont choisi de réorienter leur production sur certains chocolats pralinés pour faire face à cette hausse des prix. La chocolaterie est leur principal gagne-pain".

    ASTUCE: remplacez le chocolat par de la caroube, que l'on trouve dans les boutiques de diététiques –sous forme de poudre- produit qui a un fort goût de chocolat, est beaucoup moins cher et, qui plus est, est moins calorique!