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Recrudescence importante des infectons invasives à méningocoque en France
En France, Santé publique France signale une recrudescence importante des infectons invasives à méningocoque (IIM) a été observée au cours de la saison 2024-2025 avec un nombre exceptionnellement élevé de cas au mois de janvier 2025 (90 cas, données non consolidées). En janvier 2025, les IIM du sérogroupe B étaient majoritaires (45% des cas), suivies des sérogroupes W (30%) et Y (25%). Les IIM W et Y ont fortement augmenté ces dernières années par rapport à l’incidence relevée avant la pandémie de COVID-19.
Le nombre de cas déclarés et survenus en janvier 2025 est équivalent à celui observé au pic atteint en décembre 2022 dans le contexte d’un rebond post-pandémie de COVID-19 et d’une épidémie grippale marquée associée à la circulation importante d’autres virus respiratoires (Sars-CoV-2 et VRS). L’augmentation des IIM en janvier 2025 pourrait être liée en partie à l’épidémie de grippe particulièrement importante pendant la saison 2024-2025. En effet, il a été montré que les infections par le virus de la grippe peuvent augmenter le risque d’infection invasive à méningocoque.
Depuis le mois de juillet 2024, 50 décès ont été déclarés soit une létalité de 13,7%. Les souches du sérogroupe W restent à l’origine de formes plus sévères, avec une létalité de 19,8% pour ce début de saison 2024/25, contre 12,5% pour les IIM B et 10,4% pour les IIM Y. En janvier 2025, 13 décès sont survenus, essentiellement chez des adultes dont des jeunes adultes, ce qui témoigne de la sévérité de ces infections.
Pour l’ensemble de l’année 2024, 615 cas d’IIM ont été déclarés en France, correspondant au plus grand nombre annuel de cas depuis 2010.
La Direction Générale de la Santé a alerté ce jour les professionnels de santé sur cette situation, appelant à une vigilance accrue et rappelant l'importance de la vaccination.
Dans la population générale, le calendrier vaccinal prévoit:
Concernant la vaccination contre les sérogroupes A, C, W et Y:
Chez les nourrissons, la vaccination tétravalente est obligatoire selon un schéma vaccinal à deux doses: une dose à l’âge de 6 mois (NIMENRIX) suivie d’une dose de rappel à l’âge de 12 mois (NIMENRIX ou MENQUADFI),
Chez les adolescents, la vaccination est recommandée:
De 11 à 14 ans selon un schéma une dose quel que soit leur vaccination antérieure (NIMENRIX ou MENQUADFI ou MENVEO),
De 15 à 24 ans dans le cadre du rattrapage vaccinal avec un schéma une dose (NIMENRIX ou MENQUADFI ou MENVEO).
Concernant le sérogroupe B:
La vaccination par le vaccin BEXSERO est obligatoire chez l’ensemble des nourrissons depuis le 1er janvier 2025 selon un schéma à trois doses (M3, M5, M12).
Un rattrapage jusqu’à 24 mois est prévu pour les nourrissons jamais vaccinés ou au statut vaccinal incomplet ou inconnu.
Des recommandations vaccinales particulières viennent compléter l’approche du calendrier vaccinal particulier chez les personnes à risque élevé d’IIM (personnes immunodéprimées et leur entourage familial) ainsi qu’en milieu professionnel et chez les voyageurs
Source: Santé publique France, Direction générale de la santé
Sandwich chèvre et poulet
2 pains; 1 tomate; Salade, Morceaux de poulet cuits
4 tranches de chèvre ou fromage à convenance; Vinaigrette
Coupez en deux les sandwichs, insérez la salade et les rondelles de tomates, assaisonnez à la vinaigrette.
Surmontez de tranches de poulet et de fromage. Refermez le sandwich.
Rapide et pas cher
Pour 4 personnes
1 potimarron, 30 marrons, 7cl de lait
4 œufs; 1 cuillère à café de noix de muscade; Sel
Faites cuire à la vapeur des dés de potimarron 20 minutes. A part, mélangez les oeufs, le lait et la noix de muscade.
Réduisez en purée les légumes et versez la mixture par dessus. Faites cuire le gratin 45 minutes à 180°C.
Pour mieux se concentrer et rester attentif, le cerveau a besoin d'une source d’énergie constante.
Le cerveau utilise du glucose, mais il peut aussi tirer son énergie des graisses ou plus exactement de composés dérivés des graisses : les corps cétoniques, ou cétones, qui sont produites en période de jeûne ou dans les régimes très pauvres en glucides (keto).
Les vitamines importantes pour le cerveau
La plupart des vitamines sont importantes pour le cerveau :
les vitamines B, en particulier les folates (vitamine B9) et la vitamine B12, indispensable au fonctionnement normal du système nerveux ;
la vitamine C, parce qu'elle est antioxydante et aide à la production de neurotransmetteurs ;
la vitamine D, car elle permet de lutter contre les effets du vieillissement ;
la vitamine E, liposoluble et antioxydante, qui protège les membranes synaptiques de l’oxydation et favorise de ce fait la neuroplasticité (1) ;
la vitamine K2, associée à une meilleure santé cérébrale...
LA BONNE ALIMENTATION POUR LE CERVEAU
D’après les études, le régime méditerranéen est l’une des meilleures alimentations pour maintenir un cerveau en bonne santé.
Les aliments à index glycémique (IG) bas, comme la plupart des fruits et légumes, les légumineuses, certaines céréales complètes permettent une libération progressive du glucose dans le sang permettant au cerveau de bien fonctionner toute la journée.
Sélection
La sardine est un poisson gras riche en oméga-3, plus précisément en DHA (acide docosahexaénoïque). Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés qui se trouvent en grandes quantités dans certains poissons gras et quelques produits végétaux. Ils font partie des acides gras essentiels, car l'organisme humain en a absolument besoin. L’alimentation est la seule et unique source d’oméga-3, le corps ne peut les produire. Les oméga-3 joueraient un rôle important dans la santé du cerveau en augmentant le flux de sang vers des zones spécifiques, notamment celles qui contrôlent la mémoire et l’apprentissage. Parmi les oméga-3, le DHA est le plus important pour le cerveau et la cognition. C'est un élément structurel et fonctionnel de toutes les membranes cellulaires et des neurones.
Les nombreux antioxydants des petits fruits rouges, les fraises et les myrtilles en particulier, pourraient protéger le cerveau du vieillissement et donc aider à maintenir ses fonctions cognitives.
Abondants et bon marché, les œufs sont un aliment de base consommé dans le monde entier, avec des atouts nutritionnels indéniables: ils apportent des protéines, des graisses saines et des nutriments intéressants pour le cerveau, comme la choline et les caroténoïdes. La choline, présente dans le jaune, est essentielle pour la synthèse d’acétylcholine, un neurotransmetteur associé à la mémoire. Mais à cause de la présence de cholestérol, les œufs ont parfois une mauvaise image dans la population.
Récemment, une étude de l’Université de Californie à San Diego a analysé l’association entre la consommation d’œufs et les facultés cognitives dans différents domaines (2). Pour cela, les chercheurs ont recueilli les données d’une cohorte d’habitants de la banlieue de Rancho Bernardo à San Diego, comprenant 890 hommes et femmes de 55 ans et plus.
Globalement, les hommes mangeaient plus d’œufs que les femmes. D’après cette étude, la consommation d’œufs n’altère pas les fonctions cognitives, tant chez les hommes que chez les femmes. Les résultats suggèrent même un léger effet bénéfique de la consommation d’œufs sur la mémoire sémantique chez les femmes. "Nous avons constaté que la consommation d'œufs à l'âge moyen était associée à une fonction cognitive légèrement meilleure à un âge plus avancé, dit la Pre Donna Kritz-Silverstein, auteure de cette étude. Il s'agit d'une nouvelle découverte qui suggère un impact potentiel à long terme de la consommation d'œufs sur la santé cognitive".
Les épinards sont riches en de nombreux composés bénéfiques comme les vitamines A, B9 (acide folique), C et K mais aussi en pigments antioxydants comme la lutéine et la zéaxanthine. Des études ont montré que ce légume pouvait limiter le déclin cognitif.
Vous n’aimez par les épinards? Avez-vous essayé avec de la crème fraîche?
Non? Pas de problème, ce sont tous les légumes verts à feuilles comme les salades, les choux ou encore les blettes qui ont cette propriété.
Dans une étude de cohorte portant sur 3700 personnes de plus de 65 ans, les chercheurs ont trouvé que par rapport aux personnes mangeant le moins de légumes (médiane de 0,9 portion/jour), celles qui en mangeaient environ 2,8 portions/jour diminuaient de 40 % leur risque de déclin cognitif, Quand les chercheurs ont étudié le déclin cognitif en fonction de la consommation de certains types de légumes, ils ont trouvé que tous les types de légumes, à l'exception des légumineuses, étaient inversement associés au déclin cognitif et que les légumes à feuilles vertes présentaient l'association linéaire la plus forte.
Les propriétés santé du chocolat sont dues à des substances antioxydantes, nommées flavonoïdes, présentes en quantité importante dans les fèves de cacao. Consommés en quantité importante, les flavanols du cacao boosteraient les performances visuelles et cognitives d'après une étude sur des jeunes adultes. Seul le chocolat noir très concentré en cacao contient suffisamment de flavanols pour avoir un effet sur le cerveau. Les autres n'en renferment pas assez et sont aussi trop sucrés pour être profitables.
conseil : consommer 1 à 2 carrés de chocolat à plus de 90% de cacao chaque jour.
La noix de Grenoble a la forme d'un cerveau... et cela tombe bien, elle serait bénéfique pour lui. Outre ses oméga-3, ce serait grâce à sa vitamine E et ses antioxydants.
La vitamine E contenue dans les noix, amandes et noisettes (mais aussi l’avocat, les épinards, les cacahuètes, l'asperge et les huiles d’olive et de colza) permettrait en effet de prévenir le déclin cognitif. La consommation de noix (toutes formes confondues) est ainsi associée à de meilleures fonctions cognitives chez les personnes âgées).
Plus elles mangent de noix et plus le cerveau fonctionne bien. Chez les plus jeunes la consommation de noix de Grenoble n'a pas d'effet sur la mémoire mais en aurait un sur certaines formes de raisonnement logique.
L’ail est parfois considéré comme un "super-aliment"» à cause des composés organo-sulfurés qu’il contient, comme l’allicine, qui ont des effets antioxydants et anti-inflammatoires. L'ail est traditionnellement utilisé pour ses effets sur le système cardio-vasculaire mais il pourrait aussi être bénéfique au cerveau.
Des expériences in vivo et in vitro ont montré que l'ail possède des propriétés neuroprotectrices significatives et qu'il agit principalement sur l'hippocampe. Il a été démontré que les composés organiques soufrés jouent un rôle majeur dans la neuroprotection.
Le brocoli, comme d’autres crucifères (choux de Bruxelles, chou rouge, chou frisé, radis, chou kale...) contiennent du sulforaphane, un composé qui se forme pendant la mastication et offre de nombreux bienfaits pour la santé. Récemment, les effets protecteurs du sulforaphane sur la santé du cerveau ont fait l'objet d'études dans plusieurs maladies neurologiques, dont la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, les troubles du spectre autistique et la schizophrénie.
Le thé vert contient des catéchines, dont la principale est l’EGCG. L’épigallocatéchine gallate est un polyphénol antioxydant très puissant, capable de neutraliser les radicaux libres impliqués dans le vieillissement et la diminution des capacités cognitives. En plus de protéger le cerveau des lésions neuronales, il améliore le flux sanguin cérébral.
Le café contient des polyphénols, mais surtout de la caféine. Les effets stimulants de la caféine tiennent à sa capacité à augmenter la production de glutamate tout en réduisant celle du GABA, qui est un calmant du cerveau. Toutefois, il ne faut pas en abuser, comme l'explique Max Lugavere: "Bien que le café contienne de nombreux composés qui protègent le cerveau et que les études récentes lui soient plutôt favorables, il n’en reste pas moins un stimulant du système nerveux central et peut à ce titre perturber l’équilibre naturel entre le système nerveux sympathique (celui qui va intervenir dans les réactions de lutte ou fuite) et parasympathique (celui qui intervient dans les phases de repos et de digestion)".
Évitez de boire de café après 14 heures pour ne pas nuire à votre sommeil.
LES PIRES ALIMENTS POUR LE CERVEAU
Le sucre est à éviter, comme l'explique Max Lugavere : "Le sucre interagit avec les gènes dans le cerveau, ce qui a pour effet de diminuer la neuroplasticité et de nuire aux fonctions cognitives".Manger moins de sucre, en particulier les sucres cachés (présents dans les aliments transformés), est également une mesure à prendre pour protéger son cerveau.
Dans l'organisme, les sucres favorisent la glycation des protéines. Ce mécanisme "survient lorsqu’une molécule de glucose s’associe à une protéine proche ou à la surface d’une cellule et provoque des dégâts, explique Max Lugavere. Toute nourriture qui provoque une augmentation de la glycémie peut potentiellement accroître la glycation, et les protéines exposées au glucose sont vulnérables." Pour ces raisons, il vaut mieux éviter les aliments à IG (index glycémique) élevé.
La glycation conduit à la formation de produits de glycation avancée (AGE, pour advanced glycation end-products). Les AGE sont associés à l’inflammation et au stress oxydatif dans l’organisme. "La formation des AGE étant plus ou moins proportionnelle au taux de glucose sanguin, le processus est d’autant plus rapide chez les diabétiques de type 2 et joue un rôle majeur dans leur tendance au développement ou à l’aggravation de maladies dégénératives comme l’athérosclérose et la maladie d’Alzheimer, dit Max Lugavere. Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, un cerveau atteint est littéralement envahi de cette toxine du vieillissement et contient trois fois plus d’AGE qu’un cerveau sain".
Méfiance aussi avec le fructose, présent notamment dans les sodas. Dans une étude menée à l’université de Californie à Los Angeles, on a donné à des rongeurs la quantité de fructose équivalente à la consommation d’une bouteille d’un litre de soda par jour. Après 6 semaines, ils ont commencé à présenter des troubles classiques: taux croissants de sucre dans le sang, de triglycérides et d’insuline, et dégradation de la cognition. Ils mettaient aussi deux fois plus de temps à trouver la sortie d’un labyrinthe que des rongeurs qui ne consommaient que de l’eau.
En conclusion, l'alimentation bénéfique à la santé cérébrale est riche en vitamines, minéraux, antioxydants, fruits, légumes, bonnes graisses (oméga-3 des poissons gras et des noix), choline des œufs... Elle évite les sucres, les aliments ultra-transformés et à IG haut.
Augmenter sa production de collagène en consommant les bons aliments
Avec l’âge, la production de collagène diminue et les signes de vieillissement de la peau s’accentuent. Un processus naturel qu’il est toutefois possible de ralentir en consommant des aliments riches en collagène ou favorisant sa production. Lesquels ?
Dès l’âge de 30 ans environ, notre peau perd en moyenne 1% de collagène chaque année. L’épiderme devient alors plus fragile, cicatrise moins bien et perd en fermeté. Ridules et rides apparaissent et s’accentuent. En causes, de nombreux facteurs endogènes tels que la génétique à l’origine d’une carence précoce en collagène, mais aussi exogènes, à l’instar d’une exposition prolongée au soleil, dont les UV produisant des radicaux libres favorisent la diminution de cette protéine.
Au-delà de ces facteurs tels que l’âge, la génétique ou encore les habitudes de vie, la diminution de la production de collagène est également due à des mécanismes cellulaires et moléculaires, notamment la diminution de l’activité des cellules produisant cette protéine et celle des enzymes protégeant le collagène. S’il ne s’agit pas de contrer ce processus naturel, il est possible de l’accompagner en fournissant à l’organisme les nutriments nécessaires à la régénération des cellules et la protection de l’épiderme contre les radicaux libres.
OU TROUVER DU COLLAGENE DANS L’ALIMENTATION ?
Pour augmenter naturellement le collagène dans l’organisme, l’alimentation joue ainsi un rôle clé. Certains aliments sont à privilégier pour leur richesse en zinc, vitamine A, C et E, lesquels participent à la régénération de la peau tout en la protégeant de l’oxydation. Légumes, viandes, agrumes et huiles contiennent des propriétés permettant à l’épiderme de conserver sa souplesse et son élasticité. Lesquels ?
QUEL FRUIT CONTIENT DU COLLAGENE ?
En ce qui concerne les fruits, le kiwi est l’aliment booster de collagène par excellence. Riche en vitamine C aux propriétés anti-âge, n’hésitez pas à en consommer quotidiennement, de même que les agrumes (orange, clémentine, citron, mandarine, pamplemousse, kumquat,etc.)
Les fruits tropicaux sont également à inscrire au menu, à l’instar de la mangue et du litchi, ou encore de la goyave. Outre la vitamine C, leur teneur en vitamines A et E participent à booster la production de collagène dans l’organisme.
Les fruits rouges (fraises, framboises, myrtilles, mûres…) sont également à consommer sans modération pour préserver l’élasticité de la peau, en raison de leur teneur en lycopène, qui augmente les capacités du corps à produire du collagène.
LES LEGUMES ANTI-VIEILLISSEMENT
Communément employé comme légume dans nos assiettes, l’avocat, qui au sens botanique du terme est bien un fruit, est aussi à privilégier pour ralentir le vieillissement de la peau. Riche en vitamine E, ce puissant anti-oxydant ralentit la perte de collagène intervenant à un certain âge.
L’ail, légume faisant partie de la famille des alliacées, est également un excellent aliment favorisant la production de collagène dans l’organisme. Sa teneur en soufre, moins connue que ses vertus anti-inflammatoires, permet en effet à l’ail de participer grandement à la production de cette protéine anti-vieillissement dans le corps.
Autres aliments à inscrire au menu pour lutter contre la perte de collagène: les graines germées, dont la teneur en vitamine C stimule les fibres collagéniques.
OU TROUVER DU COLLAGENE DANS L'ALIMENTATION ?
D’autres aliments anti-vieillissement permettent de favoriser la production de collagène, comme les produits laitiers, dont les acides animés accentuent la régénération de cette protéine dans l’organisme. Idem pour les œufs, riches en acides animés.
Autres aliments à privilégier: les oléagineux (amandes, noix, soja, colza, graines de lin…), qui permettent de combattre plus efficacement les radicaux libres contribuant au vieillissement de la peau.
Du côté des poissons, le saumon, qui contient du zinc en grande quantité, permet d’activer la production de collagène. Sa forte teneur en acides gras permet aussi de ralentir le vieillissement de la peau en l’hydratant en profondeur.
Enfin, sans doute l’aliment le plus riche en collagène : l’os à moelle, constitué en grande partie de cette protéine. Consommer un bouillon d’os à moelle, riche en glycine et proline, acides animés présents dans le collagène, contribue pleinement à la préservation de la fermeté de la peau.
EST-IL BON DE PRENDRE DU COLLAGENE MARIN ?
Le collagène marin, actif naturel, connaît un grand succès pour pallier à la baisse de collagène dans l’organisme qui outre le relâchement de la peau entraîne aussi des problèmes de souplesse au niveau des articulations. Relativement récent sur le marché des compléments alimentaires, le collagène marin est directement extrait des arêtes, de la peau et des écailles des poissons, pour être présenté sous forme de poudre la plupart du temps. Son intérêt: sa similarité avec le collagène synthétisé par l’organisme humain.
De nombreuses études ont confirmé les bienfaits engendrés par une supplémentation en collagène marin pour ralentir le vieillissement de la peau. Ce type de complément alimentaire, allié à une alimentation équilibrée, permet ainsi de préserver l’élasticité et l’hydratation de la peau, tout en participant à sa protection. En d’autres termes, le collagène marin peut être considéré comme un actif anti-âge, anti-rides ou encore photo-protecteur naturel.
Veillez toutefois à toujours choisir scrupuleusement vos compléments alimentaires.
Pour 4 personnes
2 œufs; 1 pincée de sel, 125 g de farine
une demi-cuiller à café de levure chimique, 20 cl de lait, 1 filet d'huile
Pour la garniture :
un demi-reblochon, 50 g d'emmental râpé; 50 g de beurre
Dans un grand saladier, battre ensemble les œufs et le sel. Incorporez progressivement la farine en fouettant pour former une pâte, puis petit à petit le lait. Bien mélanger.
Laissez la pâte à crêpes reposer 1 heure.
Chauffez une poêle antiadhésive à feu moyen élevé. Badigeonnez d'un filet d'huile puis versez une petite louche de pâte dans la poêle. Faire tourner la poêle pour bien enrober le fond.
Cuire jusqu’à ce que le premier côté soit doré puis retournez et faire cuire 30 secondes supplémentaires. Retirez et reproduire jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de pâte.
Enlevez la croûte du reblochon, le couper en petites lamelles d'un demi-centimètre d'épaisseur. Garnir les crêpes, et les rouler. Les disposer dans un plat à four beurré, saupoudrez d'emmental râpé, parsemez de noisettes de beurre et mettre 7 à 10 minutes à four préchauffé à 200°.
Servir chaud.
P.S. D'autres fromages que le reblochon peuvent être utilisés