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  • Laissez les concombres à part du frigo

    De nombreux fruits et aliments frais – tomates (eh oui, c’est un fruit), bananes et melons – produisent du gaz éthylène, un agent de mûrissement qui accélère leur détérioration. Les concombres sont super sensibles au gaz éthylène; il leur faut donc un endroit où leur mûrissement ne sera pas accéléré.

    Il vaut même mieux les laisser sur le comptoir de la cuisine plutôt que dans le tiroir à légumes du frigo. Si vous tenez absolument à ce que vos concombres restent au frais, vous pouvez les conserver pendant quelques jours au réfrigérateur mais, loin des fruits.

    Comme je l'ai déjà indiqué, il ne faut pas faire dégorger, au sel, le concombre: en effet, sa perte en eau contient de nombreux sels minéraux.

    Perso, mon concombre bio, je le nettoie ainsi: je mets un peu de bicarbonate sur un papier absorbant légèrement humide et je frotte tout le long du concombre, je rince sous l'eau courant.

    Je ne pèle pas le concombre, je le coupe en long, en deux, puis je fais des tronçons de 2 cm que je mets direct dans un saladier, un peu de persil ciselé et c'est tout.

    Pas de vinaigrette, RIEN. Surtout pas de sel. Petite station au réfrigérateur et servi sans autre forme de procès. C'est croquant et délicieux sans vinaigrette, le goût simple et nature.

     

  • Croquettes de légumes

    Pour récupérer un reste de légumes

    Au four ou à la poêle (2 cuillères à soupe d'huile dans une poêle à beignets)

    Ingrédients pour 3-4 personnes :

    Restes de carottes râpées non assaisonnées ou ces autres légumes

    2 courgettes râpées grossièrement

    2 pommes de terre râpées grossièrement

    6 petits oignons nouveaux (ou vert) hachés finement

    1 1/2 c. à s. d'huile d'olive; 1 pointe de couteau de piment d’Espelette

    Poivre, 2 œufs gros très frais, 50 g râpé

    Préchauffez le four à 205°C. Tapissez d'huile vos plaques à cuisson, selon le nombre de croquettes à préparer.

    Râpez grossièrement les carottes, les courgettes et les pommes de terre, hachez finement les oignons verts.

    Mettre les légumes râpés dans un bol, y ajouter le fromage parmesan, les oeufs, le piment et l'huile. Salez légèrement et poivrer au goût.

    Bien mélanger le tout et déposer sur la plaque, en galettes d'environ 10 cm de diamètre (environ 4 galettes par portion).

    Cuire au centre du four 12 min, puis retourner les galettes délicatement à l'aide d'une spatule et poursuivre la cuisson.

    Remplissez suffisamment votre poêle d'huile, versez votre préparation en tas, aplatissez avec le dos d'une grande cuillère, laissez cuire trois ou 4 minutes, retournez et laissez cuire deux minutes, posez dans un plat couvert de papier absorbant.

     

  • Alimentation, pour éviter les troubles neurologiques et vieillissement

    L'OMS a récemment reconnu un état endémique de subcarences vitaminiques et minérales dans la population occidentale. Notre alimentation est largement pourvue en lipides, protéines, glucides mais elle n'est pas d'une qualité exceptionnelle sur le plan des nutriments essentiels que sont les vitamines et sels minéraux qui induisent alors des troubles fonctionnels, allergiques, mentaux et comportementaux, voire de pathologies relevant de la psychiatrie avec, chez les enfants, des retards mentaux.

    Les médecins français ne tiennent jamais compte de ces carences et vous voilà obligé de vous renseigner vous-même et de faire appel à des naturothérapeutes et aux compléments alimentaires. Le stress, la pollution, le tabac, l'alcool, les drogues, pesticides alimentaires, les médicaments consomment de très grosses quantités de ces nutriments vitaux pour l'organisme.

    D'après le deux fois prix Nobel de médecine Pauling, nous aurions besoin de 10 à 20 fois plus d'apports journaliers de ces nutriments qu'il n'est généralement conseillé; ce qui nous mettrait à l'abri des maladies psycho-nerveuses induites par notre civilisation moderne; un apport optimal, selon ce prix Nobel, en vitamines et minéraux fortifie le système immunitaire, améliore la santé et ralenti le processus de vieillissement. Selon ce grand chercheur, les vitamines fondamentales sont C et E qui sont anti-oxydantes et piègent les radicaux libres donnant un certain rajeunissement cellulaire. Les carences les plus courantes sont C, A, B1, B2, B6 ainsi que magnésium, calcium, fer, cuivre, zinc et chrome. Les complexes vitaminiques sont à déconseiller dans la mesure où chaque organisme possède certaines vitamines et minéraux en quantités suffisantes, il est inutile de surcharger, ce qui peut entraîner un risque.

    La vitamine C est la vitamine anti-scorbutique mais il n'en demeure pas moins que la plupart des gens souffrent d'une franche carence car cette vitamine se trouve dans les fruits frais et les légumes de bonne culture mais on choisit plus volontiers pâtes et frites que piperade et salade! Pour prévenir la grippe, les rhumes, rhinites, affections ORL, il faut une posologie de 1000 à 1500 mg/j  tout au long de l'année et un renforcement jusqu'à 3000 mg/j en période d'épidémie.

    Prise au petit déjeuner, la dose quotidienne assure clarté d'esprit et énergie pour la journée. La vitamine C retarde la fatigue, s'accorde bien aux activités sportives aux doses de 3000 à 5000 mg/j elle stimule l'influx nerveux moteur et permet une récupération rapide; elle retarde l'usure des cartilages et le flétrissement de la peau, détruit les molécules cancérigènes, élimine les toxiques, limite le cholestérol, stimule les défenses immunitaires et l'activité cérébrale, lutte contre le stress, la fatigue et les allergies; c'est le prolongateur de l'existence; dans cette optique du ralentissement du vieillissement, il faut une dose de 3000 mg/j à 5000 Mg/j en association avec les vitamines A, D, E, B6, B12, des bioflavonoïdes et du sélénium.

    Régulant le métabolisme des lipides, la C peut être utilisée en prévention des affections cardio-vasculaires; à la même dose, associé à une diététique adéquate, elle fait baisser le mauvais cholestérol et évite ainsi de graves problèmes. Chez certaines personnes particulièrement disposées, la vitamine C peut provoquer des calculs urinaires oxaliques; se renseigner mais c'est très rare. Toutes les expérimentations indiquent que la vitamine C, même à haute dose sur des périodes prolongées ne présente aucune toxicité. Le prix Nobel Pauling, lui-même a prit pendant plus de vingt ans 18 g de vitamine C par jour et décéda à l'age de 97 ans!

    Pour allonger sa durée de vie, vivre en très bonne santé et améliorer ses performances intellectuelles et physiques il faut des doses de 2500 et 3000 mg/j en association avec légumes frais, fruits et autres compléments, lécithine, levure de bière, germes de blé, spiruline, etc. La vitamine C entre en synergie avec toutes les autres vitamines et sel minéraux, surtout la vitamine E et le béta-carotène (voir mes gélules de carottes, myrtilles, cassis) dans une action antioxyante. Enfin avec la E, prévoir au moins la B6 avec du zinc (effet calmant) ou la B2 et la B3 (attention aux surdosages extrêmes pour ces dernières) qui sont énergétiques. La vitamine A est impérative pour la vue et lutter contre la cataracte.

    D’après l’institut Linus Pauling, les vitamines B jouent un rôle dans la fabrication des neurotransmetteurs, les molécules qui transmettent des messages entre neurones. Lorsque l’organisme manque de folates et de vitamine B12, il produit moins de méthionine et l’homocystéine s’accumule. Or la méthionine sert à des réactions de méthylation qui maintiennent la gaine de myéline des neurones, mais aussi pour la fabrication de neurotransmetteurs. De plus, l’une des formes de la vitamine B6 est un cofacteur impliqué dans la synthèse de neurotransmetteurs comme le GABA, la sérotonine, la noradrénaline et la dopamine. Le déficit en vitamine B12 est fréquent chez les personnes ayant des problèmes neurologiques.

    Les apports journaliers recommandés en vitamines B s'élèvent à 1,4 mg par jour pour la vitamine B6, 2,5 µg pour la vitamine B12 et 200 µg de folates (vitamines B9). Le Guide pratique des compléments alimentaires conseille de prendre une à trois fois les apports recommandés chaque jour, afin d’éviter le déclin cognitif lié au vieillissement.

    Vous trouverez aussi ces vitamines dans l’alimentation: les folates dans des légumes verts à feuille (épinards…) et des légumineuses (lentilles…), la vitamine B6 dans les volailles, poissons, noix, et la vitamine B12 dans les produits de la mer, volailles et viandes.

  • Mangez sain, mangez français

    Le régime méditerranéen, également appelé régime crétois ou diète méditerranéenne est une pratique alimentaire caractérisée par la consommation en abondance de fruits, légumes, légumineuses, céréales, herbes aromatiques et d'huile d'olive, une consommation modérée de produits laitiers d'origine variée (chèvre et brebis essentiellement et issus de la vache dans une moindre mesure), d'œufs et de vin, une consommation limitée de poisson et une consommation occasionnnelle de viande.

    Plusieurs études montrent que le régime méditerranéen permet:

        de diminuer la mortalité et la morbidité par maladies cardiovasculaires;

        de diminuer le risque de maladie d'Alzheimer et de maladie de Parkinson;

        d'améliorer les chances de grossesse lors d'une fécondation assistée.

    Tous les jours

        une consommation importante et quotidienne de fruits, dont les fruits à coque;

        une consommation importante et quotidienne de légumes;

        une consommation importante et quotidienne de légumineuses;

        une consommation importante et quotidienne de céréales;

        une consommation importante et quotidienne d'eau;

        une consommation quotidienne d'huile olive;

        une consommation quotidienne d'herbes aromatiques;

        une consommation modérée et diversifiée de produits laitiers (produits issus principalement de laits de brebis et de chèvre et dans une moindre mesure de lait de vache) variant d'une consommation quotidienne à hebdomadaire;

        une consommation modérée d'œufs variant d'une consommation tous les deux jours à une consommation hebdomadaire;

        une consommation modérée de vin rouge durant les repas et d'infusions;

        une consommation limitée de poisson environ deux fois par semaine ;

        une consommation faible de viande, particulièrement en ce qui concerne la viande rouge.

    Un autre bénéfice probable de ce régime est lié à la façon de manger, au plaisir de manger, à la convivialité des repas, moments importants de sociabilité. Le “temps de manger“ est pris, ce qui contribue aussi à une bonne mastication et à une meilleure digestion.

    Quelques caractéristiques de ce régime se retrouvent dans certaines régions du sud de la France, et pourraient selon certains auteurs contribuer à expliquer le paradoxe français“.

    Enfin, le régime méditerranéen répond à la première recommandation du "Programme National Nutrition Santé" (PNNS) de l'INPES (Institut national de prévention et d'éducation pour la santé): Manger 5 fruits et légumes par jour. Cependant le PNNS s'éloigne beaucoup du régime méditerranéen en ce qui concerne les recommandations de consommation de viande et de produits laitiers.

    Le paradoxe français (French Paradox en angliche) désigne l'étude épidémiologique d'une importante et étonnante contradiction entre la richesse en matières grasses et en vins français de la cuisine française, en particulier de la cuisine du Sud-Ouest et de la cuisine de la Provence méditerranéenne riche en huile d'olive, et la relative bonne santé publique des Français en matière de maladie cardio-vasculaire ou de cancer, en comparaison avec les mauvais résultats sur la santé publique et mondiale en rapport avec l'industrie agroalimentaire moderne américaine et britannique, souvent qualifiée d'importante source de “malbouffe“.

    L'expression “paradoxe français“ est créée -en 1981- par les Français Richard, Cambien et Ducimetière après avoir comparé les niveaux de maladie cardio-vasculaire et de consommation de matières grasses en France.

    Les plus faibles taux statistiques d'infarctus sont obtenus avec la cuisine méditerranéenne avec seulement 38 cas pour 100 000 habitants (8 fois moins que les 315 cas pour 100 000 habitants des États-Unis et du Royaume-Uni), avec une espérance de vie humaine de 10 ans plus élevée que dans le nord-est de la France, et 80 cas pour 100 000 habitant pour la cuisine française du Sud-Ouest (4 fois moins que les Américains/Britanniques), tout en ayant un taux de cholestérol sanguin équivalent ou plus élevé que ceux-ci, ce qui contredit la théorie communément admise mettant en corrélation directe le taux de cholestérol sanguin avec le risque de maladie cardio-vasculaire (l'infarctus est la première cause de décès prématuré, et les AVC la troisième, avec des taux importants d'hypertension artérielle, diabète, dépression, maladie d'Alzheimer et cancers…).

    Perso, en sus du vin rouge, je dis que la graisse de canard y contribue largement, la preuve

    RAPPEL

    Graisse de canard

    Principes actifs et propriétés

    Il est à noter que les bienfaits reliés à la consommation d’aliments riches en acides gras monoinsaturés proviennent de données obtenues avec des aliments d’origine végétale comme l’huile d’olive ou le beurre d’arachide. Actuellement, il n’existe pas d’études portant sur l’effet d’aliments riches en acides gras monoinsaturés d’origine animale tel le canard. Le canard est une viande grasse; sa teneur en gras atteint 50 % de son contenu en énergie (calories), dont un tiers sont des acides gras monoinsaturés et un peu plus d’un tiers sont des acides gras saturés. Consommé avec modération, le canard peut très bien s’intégrer à une alimentation saine qui mise sur la variété et un plus grand apport en acides gras monoinsaturés.

    Les données ci-dessous proviennent donc d’études ayant évalué les effets des acides gras monoinsaturés en général, et non les effets spécifiques de la consommation de canard.

    Santé cardiovasculaire. La tendance actuelle est de favoriser la consommation d’aliments riches en gras monoinsaturés afin de prévenir les maladies cardiovasculaires. Une alimentation riche en ces gras améliorerait, en effet, le profil lipidique en diminuant les concentrations sanguines de cholestérol total et de triglycérides. Lors d’une étude effectuée chez des hommes en santé, mais qui présentaient des antécédents familiaux de troubles cardiovasculaires, la substitution partielle des acides gras saturés par 13 % d’acides gras monoinsaturés a permis de réduire significativement les concentrations sanguines de cholestérol total et de cholestérol-LDL (mauvais cholestérol).

    Il est à souligner que certaines études ont démontré qu’un régime riche en acides gras monoinsaturés permettait d’obtenir des effets bénéfiques sur le profil de risque cardiovasculaire qui étaient comparables et parfois même supérieurs à ceux habituellement observés avec une alimentation beaucoup plus faible en matières grasses4. De plus, un régime riche en acides gras monoinsaturés pourrait être plus facile à suivre à long terme, comparativement à un régime très faible en matières grasses qui est souvent perçu comme étant trop restrictif.

    La consommation de gras monoinsaturés agit aussi sur d’autres facteurs de risque des maladies cardiovasculaires. Cela contribuerait, entre autres, à une diminution du stress oxydatif dans les lipides sanguins. Dans une étude d’intervention menée auprès de jeunes adultes5, il a été démontré qu’une alimentation riche en acides gras monoinsaturés réduisait l’oxydation du cholestérol-LDL (mauvais cholestérol). Une équipe de chercheurs a aussi noté cette résistance accrue à l’oxydation lors d’études effectuées in vitro. La consommation de ces gras permet aussi de diminuer l’agrégation plaquettaire qui est associée au risque de thrombose.

    Canard, dinde ou poulet?

    Environ 50% des calories de la viande de canard rôti sans la peau proviennent des gras. Ce qui est bien plus élevé que les 16 % et 33 % habituellement retrouvés dans la dinde et le poulet. Toutefois, le canard peut être consommé avec modération dans le cadre d’une alimentation santé puisque qu’il fournit de précieux gras monoinsaturés.

    Diabète. Les acides gras monoinsaturés pourraient diminuer la résistance à l’insuline qui est associée à plusieurs maladies comme l’obésité, le diabète de type 2 ou le syndrome métabolique (syndrome X). Une étude d’intervention a démontré une amélioration de 8 % de la sensibilité à l’insuline chez des sujets en santé qui consommaient 37% de leur énergie sous forme de lipides, dont plus de la moitié provenait des gras monoinsaturés8. Une autre étude effectuée chez des patients souffrant de diabète de type 2 a démontré une amélioration de la glycémie à jeun dans le cadre d’un régime riche en acides gras monoinsaturés9. À la lumière de ces résultats, il serait intéressant de vérifier si la consommation de chair de canard modifie de façon positive certains facteurs de risque du diabète en comparaison avec d’autres viandes.

    Nutriments les plus importants

      Phosphore.

    Le canard est une excellente source de phosphore Le phosphore constitue le deuxième minéral le plus abondant de l’organisme après le calcium. Il joue un rôle essentiel dans la formation et le maintien de la santé des os et des dents. De plus, il participe, entre autres, à la croissance et à la régénérescence des tissus et aide à maintenir à la normale le pH du sang. Il est l’un des constituants des membranes cellulaires.

      Fer.

    Le canard est une excellente source de fer pour l’homme et une bonne source de fer pour la femme, car leurs besoins respectifs en ce minéral sont différents. Chaque cellule du corps contient du fer. Ce minéral est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Il joue aussi un rôle dans la fabrication de nouvelles cellules, hormones et neurotransmetteurs.

      Zinc.

    Le canard est une excellente source de zinc pour la femme, mais seulement une bonne source de zinc pour l’homme, étant donné leurs besoins différents. Le zinc participe notamment aux réactions immunitaires, à la fabrication du matériel génétique, à la perception du goût, à la cicatrisation des plaies et au développement du fœtus. Le zinc interagit également avec les hormones sexuelles et thyroïdiennes. Dans le pancréas, il participe à la synthèse (fabrication), à la mise en réserve et à la libération de l’insuline.

      Cuivre.

    Le canard est une excellente source de cuivre. En tant que constituant de plusieurs enzymes, le cuivre est nécessaire à la formation de l’hémoglobine et du collagène (protéine servant à la structure et à la réparation des tissus) dans l’organisme. Plusieurs enzymes contenant du cuivre contribuent également à la défense du corps contre les radicaux libres.

      Sélénium.

    Le canard est une excellente source de sélénium. Ce minéral travaille avec l’une des principales enzymes antioxydantes, prévenant ainsi la formation de radicaux libres dans l’organisme. Il contribue aussi à convertir les hormones thyroïdiennes en leur forme active.

      Vitamine B2.

    Le canard est une excellente source de vitamine B2. La vitamine B2 est aussi connue sous le nom de riboflavine. Elle joue un rôle dans le métabolisme de l’énergie de toutes les cellules. De plus, elle contribue à la croissance et à la réparation des tissus, à la production d’hormones et à la formation des globules rouges.

      Vitamine B3.

    Le canard est une excellente source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. Elle participe aussi au processus de formation de l’ADN, permettant une croissance et un développement normaux.

      Acide pantothénique.

    Le canard est une excellente source d’acide pantothénique. Aussi appelée vitamine B5, l’acide pantothénique fait partie d’un coenzyme clé nous permettant d’utiliser de façon adéquate l’énergie présente dans les aliments que nous consommons. Il participe aussi à plusieurs étapes de la synthèse des hormones stéroïdiennes, des neurotransmetteurs et de l’hémoglobine.

      Vitamine B1.

    Le canard est une bonne source de vitamine B1. Appelée aussi thiamine, la vitamine B1 fait partie d'une coenzyme nécessaire à la production d'énergie à partir des glucides que nous ingérons. Elle participe aussi à la transmission de l'influx nerveux et favorise une croissance normale.

      Vitamine B6.

    Le canard est une bonne source de vitamine B6. La vitamine B6, aussi appelée pyridoxine, fait partie de coenzymes qui participent au métabolisme des protéines et des acides gras ainsi qu’à la synthèse (fabrication) des neurotransmetteurs (messagers dans l’influx nerveux). Elle contribue également à la fabrication des globules rouges et leur permet de transporter davantage d’oxygène. La pyridoxine est aussi nécessaire à la transformation du glycogène en glucose et elle contribue au bon fonctionnement du système immunitaire. Cette vitamine joue enfin un rôle dans la formation de certaines composantes des cellules nerveuses et dans la modulation de récepteurs hormonaux.

      Vitamine B12.

    Le canard est une bonne source de vitamine B12. Cette vitamine travaille de concert avec l’acide folique (vitamine B9) pour la fabrication des globules rouges dans le sang. Elle travaille aussi à l’entretien des cellules nerveuses et des cellules fabriquant le tissu osseux.

      Vitamine E.

    Le gras de canard est une bonne source de vitamine E. Antioxydant majeur, la vitamine E protège la membrane qui entoure les cellules du corps, en particulier les globules rouges et les globules blancs (cellules du système immunitaire).

    Recherche: Sonia Pomerleau, Dt.P., M.Sc., Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval

    Rédaction : Lucie Fillion, Dt.P. M.Sc., nutritionniste

    Révision scientifique : Sophie Desroches, Dt.P., M.Sc., candidate au doctorat, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval

    Collaboration: Louise Corneau, Dt.P., M.Sc., nutritionniste, Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF), Université Laval et Hélène Gagnon, étudiante en nutrition, Université Laval

    (décembre 2005)

  • Galettes  à la saucisse de Toulouse

    Pour environ 12 galettes, huile de pépins de maïs ou arachide (bain de beignets)

    6 chipolatas aux herbes

    500 g de pommes de terre râpées

    85 g de râpé de chève, 2 œufs

    2 cuillères à soupe de lait 1 pincée de paprika, 1 pincée de cumin

    1/4 de poivron jaune coupé en petits dés, graisse de canard

    1 cuillère à café de ciboulette fraîche hachée

    Sel, poivre

    Saisir les saucisses acec la graisse de canard, environ 2min à la poêle, les couper en rondelles et réserver

    Dans un saladier, fouetter les œufs, le lait, le paprika, le cumin et le poivron coupé en dés. Mélangez les pommes de terre râpées, le fromage rapé de chèvre, le sel et le poivre. Coupez les saucisses en petites rondelles et ajoutez au mélange. Ou bien, disposez dessus au moment de la cuisson. Si le mélange vous semble trop liquide, ajoutez une cuillère ou deux de maîzena.

    Faites chauffer votre bain à beignet et déposez une très grosse cuillère du mélange et faite cuire jusqu'à ce que se soit bien doré, d'un côté et de l'autre. Posez sur du papier absorbant.

    Vous pouvez disposer les rondelles de saucise dès que les galettes sont cuites et pas dans le mélange.

  • Hommage à Bébel

    et à son compère Alain DELON: nos deux monstres sacrés!