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  • Boules “Rochers“ maison

    Ingrédients (pour 30 pièces)

    100g de gaufrettes; 225g de crème épaisse au chocolat maison

    400g de chocolat au lait; 150g de noisettes en poudre

    30 g de noisettes entières et 80g de praliné concassé

    Pour la crème au chocolat

    125 g de chocolat noir cassé en morceaux; 40 cl de lait

    35 cl de crème fraîche liquide, 6 jaunes d’œufs

    100 g de sucre en poudre; 1 cuillère à soupe de fécule de maïs

    1 cuillère à café d’extrait de vanille liquide

    Mixez légèrement les gaufrettes pour qu'il reste de petits morceaux.

    Dans un saladier en verre, versez les gaufrettes mixées, la poudre de noisette et la crème épaisse au chocolat maison.

    Mélangez bien à l'aide d'une cuillère à soupe, puis travaillez la pâte avec les mains (propres et sans vernis à ongles, bien sûr!).

    Façonnez de petites boules et glissez au milieu une noisette entière. Formez une boule. Laissez durcir au congélateur 30 minutes.

    Faire fondre le chocolat au lait. Y verser le praliné concassé. Trempez les boules dans ce mélange et les déposer sur une plaque chemisée au beurre et sucre en poudre. Laissez durcir au réfrigérateur une heure.

     

  • À bas les affameurs, vive les circuits courts!

    Il y a trois jours, j’ai eu besoin d’un extrait d’acte de naissance. Ni une ni deux, je me suis mise à l’ordinateur, c’est si pratique de faire ainsi les démarches, pas de déplacement comme autrefois, pas de lettre à envoyer. J’ai tapé "mairie de …", le site s’est ouvert, et j’ai rempli le questionnaire. Et puis je venais de terminer lorsqu’est apparue une page de paiement. Paiement pour un document gratuit? Sans blague! Aussitôt retour en arrière. Eh bien pour trouver le site réel de la mairie, j’ai dû consulter plusieurs sites et perdre du temps. Car, là aussi, des escrocs s’immiscent et se font passer pour ce qu’ils ne sont pas. Pour ceux qui tombent dans le panneau, ces sites payants se feront délivrer par les mairies les documents demandés, se substituant aux demandeurs, et les leur renverront.

    Partout, absolument partout, des profiteurs se font entremetteurs, sans qu’on le leur demande, et se font payer pour leurs " services". Ce qui est plus grave, c’est lorsque les intermédiaires se mêlent d’économie et d’approvisionnement. Un exemple parmi d’autres, concernant les pommes. Un de mes amis normands m’a raconté ce matin que son voisin, grand producteur de pommes, a été approché par une grande enseigne dont je tairai ici le nom. De toute façon, il semble bien qu’elles appliquent toutes les mêmes procédures. La grande enseigne lui a racheté, à bas prix, toute sa production, et a installé sur son domaine de grandes chambres froides dans lesquelles les fruits ont été tout de suite entreposés. Puis, par un système industriel, tout l’oxygène des chambres a été pompé. Ainsi pas de bactéries. " On mange les pommes de l’année précédente ", m’a expliqué cet ami. Ça explique bien des choses, notamment un goût qui a disparu et une conservation courte.

    Parlons des pêcheurs. Ils partent en mer, dans de très dures conditions, ne dormant que trois heures par jour et affrontant les éléments. Puis retour au port avec leur pêche. Et là, ce sont les mareyeurs, avec leurs blouses noires, qui font les prix. C’est insupportable. Les uns travaillent dur, les autres profitent de ce travail.

    Idem pour le vin, le lait, le blé… Idem lorsque les grands domaines n’appartiennent pas aux banques, internationalisées et aux très grandes entreprises qui n’ont plus qu’une patrie : le fric.

    À côté de cela, nos petits producteurs, nos paysans, se crèvent pour nous nourrir. Eux-mêmes, en couple, ne touchent même pas le Smig. Nous leur devons tout sans les reconnaître. L’année dernière, 108 d’entre eux se sont suicidés. Du moins est-ce ceux que l’on a recensés. Cela fait deux par semaine. Intolérable. Guillaume Canet a tourné, il y a quelques années, un beau film sur le sujet, " Au nom de la terre ", incarnant un agriculteur au bord du gouffre. Cela aurait dû alerter. Mais que dalle!

    Mais pourquoi un petit agriculteur du fin fond de la France devrait-il attendre les autorisations de Bruxelles pour savoir quand faucher? Quand récolter? Il sait mieux que les technocrates ce qu’il faut faire et quand. Et pourquoi le prix de son blé devrait-il être décidé aux États Unis, au sein de la fameuse bourse de Chicago? Quelle est donc cette folie?

    Il faut y mettre un terme, en développant au maximum les circuits courts par lesquels des agriculteurs vendent eux-mêmes les fruits de leur travail aux consommateurs, en direct. Ce sera plus frais, plus sain, et moins cher. Il est temps de mettre un frein au pouvoir corrupteur et déloyal des grosses entreprises. À nous d’agir pour en finir et rétablir une situation plus saine.

    Louise Guersan

    https://ripostelaique.com/a-bas-les-affameurs-vive-les-circuits-courts.html

     

  • Dame blanche maison

    Purée de marrons

    Ingrédients

    40 cl d’eau de source; 400 g de sucre (ou moins);

    1 kg de marrons entiers frais ou un pot en verre déjà épluchés

    1 gousse de vanille ou de la poudre de VRAIE vanille

    Incisez les marrons sur la partie la plus pointue. Épluchez-les et mettez le tout dans une casserole d'eau froide. Faites bouillir 10 minutes, puis passez-les au mixeur.

    Ou bien: Rincez le pot de marrons en verre -longuement- à l'eau courante et versez dans le mixeur. Mettez moins de sucre que ci-après.

    Dans une casserole à fond épais en inox, mélangez le sucre, l'eau et les graines de la gousse de vanille. Portez à ébullition, puis laissez tiédir.

    Versez progressivement le sirop dans la purée de marrons, puis mixez à nouveau.

    Faites une chantilly épaisse un peu sucrée avec du sucre vanillé maison; dans un verre large ou verrine, remplissez de crème marron et déposez la chantilly sur le dessus.

    Passez une heure au frais.

     

  • Pavé de biche aux girolles

    Il parait que, pour ne pas  choquer les enfants, il faut dire cerf au lieu de biche; perso, je dis comme Berruyer, le copain du commissaire Sant-a(tonio): lycée de Versailles

    Il vous faut deux poêles en fer*; chez moi, j'ai deux poêles: une de 24 cm et l'autre de 28 cm que j'utilise selon le produit à cuire. Pour 4 personnes :

    1 pavé de biche, par personne

    100 g de girolles, 1 verre de vin blanc sec (100 ml) ou 2 verres d'eau (100 ml), de bouillon de viande maison

    1 cuillère à soupe de moutarde maison de préférence (si vous l'aimez très forte comme moi, diminuez la quantité); sel et poivre.

    Pour les pavés:

    Dans une poêle en fer (28 cm), faites dorer les pavés de biche sur toutes les faces avec 30g de beurre et une cuillère à soupe d'huile d'olive pour cuisson. Penchez la poêle et arrosez régulièrement de la graisse à cuire. Salez et poivrez. Mettre à part sur assiette chaude et gardez la graisse de la poêle pour les champignons.

    Lavez et préparez les girolles fraîches (en pot de verre, bien les rincer). Dans une autre poêle en fer (24cm) -à feu vif- faites-les dégorger de leur eau. Puis, faites rissoler dans l'autre poêle avec le reste de beurre-huile une dizaine de minutes à feu doux.

    Pour un filet de 600g: placez-le dans une cocotte émail et mouillez avec du vin blanc ou de l'eau ou du bouillon de viande.

    Baissez le feu et laissez mijoter 15 min environ. Retirez le filet et maintenez-le au chaud.

    Dans un bol, délayez la moutarde avec un peu de jus de cuisson.

    Déglacez le fond de la cocotte avec cette sauce. Ajoutez les girolles et remontez en chaleur ou bien laissez-les frits. Coupez le filet de biche en tranches, mettez-les dans le plat de service et servez arrosé de sauce et/ou accompagné des champignons frits ou mis dans la sauce.

    *Pfff! et alors, il faut ce qu'il faut pour bien cuisiner! de plus, j'en ai deux autres en inox (une de 24 cm pour le millas et les cuissons spéciales sans goût et l'autre de 28 cm que je peux mettre dans mon four)…

    On reconnait les bons ouvriers à leurs outils!

     

  • Purée de marrons maison

    Ingrédients

    40 cl d’eau de source; 400 g de sucre (ou moins);

    1 kg de marrons entiers frais ou un pot en verre déjà épluchés

    1 gousse de vanille ou de la poudre de VRAIE vanille

    Incisez les marrons sur la partie la plus pointue. Épluchez-les et mettez le tout dans une casserole d'eau froide. Faites bouillir 10 minutes, puis passez-les au mixeur.

    Ou bien: Rincez le pot de marrons en verre -longuement- à l'eau courante et versez dans le mixeur. Mettez moins de sucre que ci-après.

    Dans une casserole à fond épais en inox, mélangez le sucre, l'eau et les graines de la gousse de vanille. Portez à ébullition, puis laissez tiédir.

    Versez progressivement le sirop dans la purée de marrons, puis mixez à nouveau.

     

  • Dommage que cette vérité vienne uniquement de lui!

    Oui, où sont les révoltés d'opérettes droit-de-l'hommiste?

    Jean Messiha (RN): “Les progressistes sont émus pour un gamin dans un conseil régional mais personne ne réagit quand il s’agit d’une crèche de Noël avec des enfants“

        "Les progressistes se sont émus et indignés pour un gamin dans un conseil régional.

        Personne n'évoque le sujet quand une crèche avec des enfants est attaquée.

        Quand il s'agit de nos racines, c'est silence radio et personne ne réagit …" – @JeanMessiha pic.twitter.com/tNWNXIxR5j

        — Tancrède ? (@Tancrede_Crptrs) December 16, 2019

  • ACTUALITE: CE QUE PERSONNE NE DIT

    Tous les salariés français payent deux fois pour les saint-diktats

    … même s'ils n'ont pas la carte et abhorrent les saint-diktats… QUI NE SERVENT A RIEN DE RIEN

    le pire, ceux qui sont encartés payent une troisième fois!

    Voici comment:

    Avant 2014, les saint-diktats se goinfraient n'importe comment, faisant feu de tout bois: soit-disant vente du muguet, faux-adhérents ou obligation de payer des pubs de complaisance dans les journaux d'entreprises et autres chantages divers aux patrons (tu payes -en espèces de préférence- où on te fout la grève perpétuelle dans ta boîte… Cf le scandale du Médef il y a quelques années)… Mais, bien sûr, la grève, ils la faisaient!

    Puis une loi de  mars 2014 a institué le Fond pour le Financement du Dialogue Social (sic, il fallait l'inventer!!!): taxe de 0,016% sur la masse salariale de l'entreprise (donc, votre salaire et, ne vous étonnez pas s'il n'augmente pas beaucoup, car plus on augmente la masse salariale plus l'entreprise paye cette taxe (environ 94,3 millions d'euros net en 2018) et, vous comprendrez que les patrons ne sont pas très chauds pour être encore plus ponctionnés).

    Ce fond est augmenté d'une taxe supplémentaire sur l'entreprise qui doit impérativement l'abonder sur ses fonds propres.

    Ce fond est, de plus, engraissé d'une somme importante de 32,6 millions -versée par l'état-  donc par LES IMPOTS DE TOUS LES FRANÇAIS et toutes les autres taxes diverses et avariées: sur les cabanons du jardin, de la TVA, sur les piscines, sur le carburant etc…

    (comme disait l'autre: tu sème un fonctionnaire de Bercy dans le jardin et il pousse des taxes, je dirai même plus: des tas de taxes nouvelles et anciennes).

    (Quand vous êtes pris pour des (con…) moutons sur le quai de la gare, ils doivent bien se marrer les camarades syndiqués!!!).

    Et ENFIN, les idiots inutiles qui veulent se donner de l'importance et qui adhèrent et donc, payent leur carte aux saint-diktats (et là je ne parle pas des malfaisants qui veulent uniquement l'argent du beurre et se présentent aux élections syndicales, pas pour vous défendre croyez-moi!*)….

    SAVOIR: ce fonds a versé:

    19,5 millions à la CFDT

    18,9 millions à la CGT

    13,1 million à la CFE-CGC

    12,8 millions à la CFTC

    et des clopinettes pour les organisations syndicales patronales qui -bien évidemment- sont elles aussi des syndicats… et c'est normal que les patrons se fédèrent pour contrer de leur mieux ces rapaces des saint-diktats.

    *Savoir aussi que vos représentant syndicaux sont payés par les patrons ce qui représente l'équivalent de 1903 postes à plein temps de faignants et faignantes qui se la coulent douce en vous faisant croire qu'ils et elles se préoccupent de vos problèmes!

    Voilà, j'ai tout expliqué d'après un article de Valeurs Actuelles du 5 décembre.

     

    J'ai dis Valeurs Actuelles et pas Valeurzactuelles.

    On lit ce qui est écrit et on articule les deux mots à part: c'est ce qui fera la différence lorsque vous serez devant un employeur et que 500 candidats se disputent un emploi!