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  • JE BALANCE MES PORCS!

    Cela a commencé dès l'âge de 14 ans (en 1964), quand j'étais ouvrière en confection: beaucoup de filles se trouvaient aux meilleures places de l'usine parce qu'elles couchaient avec les petits chefs.

    J'ai perdu un chouette travail très bien payé: j'avais 20 ans… j'ai réussi haut la main (et il parait que j'étais la seule depuis 25 ans) à finir un problème concocté par l'expert comptable pour un groupe de 5 hommes d'affaires qui cherchaient une secrétaire de direction,  mais, ils ne m'ont pas embauchée parce que j'étais trop jeune et trop belle et qu'ils seraient tentés… le pognon avant la galipette!

    Le suivant, c'est un patron d'imprimerie, aujourd'hui décédé qui m'a proposé de me payer un bel appartement et tout le confort si je le recevais deux fois par semaine; j'avais 21 ans.

    Ma fille un an. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    Le second patron m'a proposé du travail  de secrétaire de direction si je lui permettais de me rendre visite deux fois par semaine; j'avais 23 ans. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    Un autre, un collègue m'a fait perdre un emploi de photograveur dans un quotidien sports (à l'époque, hebdo sur le rugby) parce que je lui ai refusé de lui faire une “pi…“ dans le labo photogravure et comme j'ai refusé, il a raconté au chef d'atelier que je lui avais bien fait ce que j'avais refusé et que j'étais une salop' qui “foutrait“ le bordel dans l'imprimerie. J'avais 24 ans. Pas d'allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

    A cette époque aussi, j'ai était contactée par un chef de photogravure du grand quotidien régional qui me proposait un emploi mais, il “fallait passer à la casserole“. J'ai installé cette histoire sur le blog de mon site:

    http://www.josyanejoyce.com/voyances2/index.html

    Pdf: le droit de cuissage. Et pourtant: toujours maman célibataire sans allocs, pas d'aide, pas de soutien, besoin immense de ce travail!

     

    A 25 ans, je rentrais fourbue d'une grande journée de travail (vive les heures sup') et un homme m'a mis les mains aux fesses: comme l'abruti roulait en mobylette, il m'a soulevée et je suis pratiquement tombée; j'ai dû me rattraper tant bien que mal pendant qu'il s'enfuyait sans se retourner et que je l'insultais de tout ce que je pouvais hurler….

    Etc… etc…

     

    Comme j'ai la chance de ne pas avoir de rides, quand ma fille a eu l'âge d'aller en boîte et que c’est moi qui conduisait, je ne vous dis pas ce que j'ai entendu des jeunes de son âge alors que j'avais 20 ans de plus qu'eux!

     

    Des porcs, y'en a partout, depuis toujours, à toutes les strates de la société!

     

  • Pâtes (très) crémeuses aux champignons

    450g de champignons, 250g de crème fraîche; 500 g de pâtes n'importe lesquelles; 75 g de noisettes; 1 verre de fond de veau; 2 cuillères à soupe de persil ciselé; 2 gousses d'ail haché, huile d'olive.

    Faites suer l'eau vos champignons bien nettoyés et faites les sauter avec les gousses d'ail haché dans un filet d'huile. Ajoutez la crème fraîche diluée dans un verre de bouillon de veau.

    Salez et poivrez, laissez mijoter 5 minutes à feu moyen en surveillant.

    Coupez grossièrement les noisettes après les avoir réchauffées dans la poêle pour augmenter leur saveur.

    Faites cuire vos pâtes dans de l'eau bouillante salée. Gardez un peu d'eau de cuisson Égouttez et rajoutez dans la sauteuse avec la crème aux champignons, si nécessaire, rajoutez l'eau de cuisson. Ne pas remettre à cuire mais gardez sur feu très doux pour juste conserver la chaleur car les pâtes refroidissent vite.

    Ou bien servez sur une assiette chaude; saupoudrez de persil haché au dernier moment.

     

  • Tourte au canard et champignons

    S'il vous reste du canard ou bien chair de deux cuisses – pour 3 ou 4 personnes

    de l'effiloché de canard, au moins 200 g; 350 g de mélange de champignons; 1 oignon, 1 verre de bouillon bien fort de veau, deux pâtes feuilletés; 2 gousses cardamome; 1 filet huile de noisette, sel, poivre, 10 cl de crème fraîche

    Dans un peu de graisse de canard, faites revenir l'oignon en cubes durant 3 mn feu vif, rajoutez les champignons et faites cuire l'ensemble 8/10 minutes; il faut que tout soit bien rissolé, rajoutez le bouillon et la crème fraiche, l'effiloché de canard, laissez cuire dix minutes à feu réduit et ajoutez la cardamome. Salez, poivrez.

    Dans un plat à bords d'au moins 8 cm, huilé et fariné, étalez la première pâte; versez le mélange champi-canard que vous avez laissé réduire et couvrez de l'autre pâte; faites un trou au centre de la seconde pâte pour que la vapeur s'évapore.

    Mettre à four chaud, th 7-8 ou 190-200° et laissez cuire au moins 30 mn.

    Se déguste chaud ou tiède.

    Cette farce peut servir pour des raviolis, des cannellonis, dans des pâtes, du riz, etc.

  • Les aliments qui combattent l'inflammation

    Dans cette étude qui a duré 5 ans, les chercheurs ont évalué les apports alimentaires en vitamine B5 de 908 personnes et déterminé en parallèle leurs taux de protéine C-réactive. Les apports quotidiens moyens en vitamine B5 étaient de 4,5 mg chez les hommes et de 4 mg chez les femmes. Les résultats ont aussi montré que les personnes ayant les apports les plus élevés en vitamine B5 au début de l’étude mais aussi au cours du suivi avaient également des concentrations en protéine C-réactive plus faibles à la fin, indiquant une inflammation plus faible.

    La vitamine B5 (acide pantothénique) pourrait diminuer l’inflammation en augmentant la synthèse du coenzyme A et en favorisant la synthèse du glutathion (un antioxydant) permettant ainsi de diminuer le stress oxydant. Ce dernier joue en effet un rôle important dans le développement des maladies inflammatoires chroniques.

    Vous trouverez cette vitamine essentiellement dans les abats (foie et rognons surtout), le poulet, le bœuf, les œufs, les champignons (le shiitaké notamment), les céréales complètes, l’avoine ou encore les brocolis.

     

     

    Toulouse, toulousain, cuisine, santé, nutrition, France, Occitanie

  • Petite réflexion personnelle....

    Dans le vaccin de la grippe il y a toujours 3 souches plus une ou deux secondaires...

    Cette année, il y a Brisbane et Hong-Kong... Brisbane c'est un virus grippal un peu dangereux.

    Mais, le Hong-kong, alors là!!!! je tremble pour vous (perso, cela fait 20 ans que je me fais vacciner...)

    Figurez-vous qu'en 1968, (j'avais 18 ans entre parenthèses), il y a eu, en France, plus de 50.000 morts... c'était le Hong Kong...

    Il faut savoir qu'avant que les crétins anti-virus ne foutent la trouille à toute la population, la grippe faisait, il y a environ 5 ou 6 ans dans les 3000 à 4000 décès, surtout des personnes âgées et DES BÉBÉS...

    Il y a trois ans, elle a fait 10.000 morts l'année suivante, 11 000 (l'année où les épidémios s'étaient trompés sur le virus qui allait frapper), et l'an passé, vous l'avez entendu, 14 000 morts dont 75% des décédés étaient âgés mais n'AVAIENT PAS FAIT LE VACCIN!

    Les autres décès... pas que des bébés, croyez moi, des tas de jeunes!...

    ceux qui croient qu'ils sont increvables comme croient tous les jeunes (je suis passée par là, moi aussi).

    Bon, chacun voit midi à sa porte... je voulais juste vous avertir...

    Ensuite, si vous suivez des tas de cortège funéraires... c'est votre problème.

     

     

  • Une étude révèle que trois quarts du miel

    Une étude révèle que trois quarts du miel produit contiennent de l'insecticide

    Des chercheurs de l’Université de Neufchâtel, en Suisse, ont publié une étude ce vendredi 6 octobre dans la revue Science. Celle-ci révèle que trois quarts du miel produit contiennent des insecticides néonicotinoïdes.

    Il s’agit d’un insecticide utilisé depuis les années 1990, surtout dans les cultures céréalières (blé, maïs, colza), qui est l’une des causes principales de la surmortalité des abeilles constatée dans les ruches depuis une vingtaine d’années. Il attaque le système nerveux des insectes, entraînant la paralysie et la mort.

    Si la présence de ce produit neurotoxique ne présente aucun risque pour les humains, elle démontre cependant que la contamination des sources de nourriture des insectes pollinisateurs est partout: "Ils permettent de mettre en lumière la nature mondiale de la menace qui pèse sur les abeilles" explique Christopher Connolly, chercheur à l’université de Dundee en Écosse.

    Les chercheurs sont parvenus à ce résultat après avoir réuni 198 échantillons de miel, entre 2015 et 2016, provenant du monde entier (Alaska, Madagascar, Europe, Asie, Australie). Des échantillons que les visiteurs du jardin botanique de Neufchâtel leur ont ramenés. 30% de ces échantillons contiennent un des cinq insecticides néonicotinoïdes retenus au préalable par les chercheurs. 45% en contiennent entre deux et quatre alors 10% en contiennent quatre sur cinq.

    Voilà des chiffres qui ne font pas qu’appuyer ce que les apiculteurs affirmaient déjà en constatant la surmortalité dans les ruches. De 1995 à 2015, la production française de miel a baissé de moitié tandis que l’importation a été multipliée par quatre. En effet, les Français consomment toujours autant de miel qu’avant selon l’Unaf (Union nationale de l’apiculture française).

    De plus, les gros producteurs et les petits sont tout autant exposés comme l’explique Alexandre Aebi, l’un des chercheurs de l’étude: " Je suis moi-même apiculteur amateur et mon miel a été testé dans cette étude: il est contaminé par des traces de trois molécules."

    En France, l’utilisation du pesticide tueur d’abeilles sera interdite à partir du 1er septembre 2018, même si des dérogations seront possibles, au cas par cas, jusqu'en juillet 2020.