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  • Rillettes d'oie ou de canard

    Cette recette peut d'adapter aux autres volailles ou lapin  ....

    Du canard de ferme et même poids en poitrine de porc

    De la graisse d'oie ou de canard, 15g sel/kilos de viande, 6 g de poivre /kilos de viande

    1 feuille de laurier

    Videz et flambez la volaille; dans une grande gamelle faites cuire le canard entier, rajoutez la poitrine de porc sans la couenne - sel poivre 1 feuille de laurier - faire cuire pendant au moins 6 h voire plus si votre canard ou votre oie sont vieux.

    Laisser tiédir, retirer la viande a l'aide d'une écumoire (la viande se détache seule des os)

    Retirez la peau du canard et toutes les parties qui seraient restées a 'intérieur du canard

    Maintenant va commencer un travail long: pas question de passer la viande à la machine. Vous devez malaxer à la main jusqu'a obtenir un hachis a votre convenance, tout en laissant  quelques petits morceaux.

    Malaxez à la main la viande et retirez tous les os que vous sentirez sous vos doigts aussi petits soit ils; malaxer le canard et le porc ensemble pendant un bon moment (la viande ne doit pas passer au hachoir) le malaxage va hacher lui même la viande

    Rajoutez de la graisse de canard si vous sentez que la farce est sèche, salez et poivrez à votre gout (si nécessaire).

    Continuez à malaxer: il faut que cela vous fasse une pate de viande (si vous ne voulez pas que vos rillettes soient trop fines vous pouvez malaxer moins longtemps il restera des morceaux de canard et de porc, ce qui ne gâchera rien)

    Une fois le malaxage terminé,  mettez en bocaux avec un peu de graisse de canard au dessus (pas trop; en effet pendant la stérilisation, le pâté va rejeter encore de la graisse) Essuyez les bords, mettre le caoutchouc et stérilisez pendant 1h30 a 100°.

    Consommez au bout de trois semaines. Bien entendu, la quantité des bocaux dépendant de la quantité de viande choisie.

     

  • Octobière: premier festival de bière artisanale, à Toulouse

    La bière artisanale est à l’honneur à l’occasion de l’Octobière, du jeudi  20 au samedi 22  octobre. On vous donne le programme des festivités.

    Vous connaissez l’Oktoberfest, la traditionnelle fête de la bière de Munich qui attire chaque année des millions de passionnés? Bien que plus connue pour le vin, Toulouse organise son festival de bières artisanales, du jeudi 20 au samedi 22 octobre.

    Baptisé Octobière, il s’agit d’une première dans la Ville rose. Pourtant renommées lorsqu’on parle du "bien manger", Toulouse n’avait encore "aucun moyen de célébrer comme il se doit la bière artisanale", souligne Raimbault Fontanet, à l’initiative du festival. C’est chose faite.

    Plus d’une vingtaine de brasseurs artisanaux de la région toulousaine sont attendus : La Garonnette, La Biérataise, La Brasserie du Midi, Gué des Moines, Brasserie l’Excuse, Gilbert’s, Joli Rouge, Ratz, Brasserie des Vignes… Des brasseurs du Nord font aussi le déplacement pour l’Octobière. Le festival accueille la Brasserie du Pays Flamand (Anosteké, La Bracine…) et la brasserie Saint Germain.

    Aussi pour les néophytes

    Que l’on se rassure, nul besoin d’être expert en bière de spécialité pour venir. Il suffit d’être curieux et de rechercher de nouvelles saveurs ! Les portes de l’Octobière sont aussi ouvertes aux néophytes.

    La bière artisanale est un produit noble et festif, que l’on déguste entre amis, précise Raimbault Fontanet.

    C’est l’occasion de rencontrer des brasseurs, de déguster des produits locaux et de se faire conseiller par de véritables spécialistes ! Près d’une trentaine de bars, restos et caves à bière vous accueillent.

    Les temps forts

    À titre d’exemple, au cœur du quartier Saint-Aubin, l’Autruche, un pub dans lequel on peut consommer la bière brassée sur place (un brewpub, ndlr), vous invite vendredi, à 17 h, pour une séance de dégustations gratuites. L’occasion de découvrir une nouvelle recette à base de pain rassis.

    De son côté, Beer Mosaic a prévu de brasser sa bière dans une citrouille.

    On fait un brassin public devant la cave, précise Alexandre, de la brasserie Beer Mosaïc. La bière sera brassée dans une citrouille par notre maître brasseur formé à l’université de la Rochelle.

    Infos pratiques:

    Festival Octobière

    Du jeudi 20 au samedi 22 octobre 2016

    Pour connaître les brasseries qui participent à Octobière, rendez-vous sur la page Facebook de l’évènement

     

  • Concours: créez le nouveau logo de la région Occitanie

     ...et gagnez 8 000 euros

    Au cours d'un vote prévu mardi 25 octobre, la région Occitanie va proposer un concours ouvert aux créateurs et designers afin de définir son nouveau logo.

    À quoi devrait ressembler le logo de l’Occitanie? Le Conseil régional va se rassembler, mardi 25 octobre, et proposera le lancement d’un concours ouvert aux designers, aux créateurs, aux étudiants des beaux-arts locaux pour la création du symbole qui représentera notre nouvelle région. Comme pour le nom, l’assemblée a souhaité passer par une consultation populaire afin de mettre en valeur les talents locaux.

    Jusqu’à 8 000 euros à gagner

    Le gagnant de ce concours présidé par Carole Delga sera récompensé par un prix de 8000 euros. Le deuxième recevra un chèque de 5 000 euros et le troisième, 3 000 euros.

    Ce nouveau logo devra tenir compte de toutes les cultures et identités régionales, avec une référence à nos couleurs: l’or et le rouge sang, explique une porte-parole de la Région.

    Les modalités seront connues une fois le concours approuvé par le Conseil régional.

     

    8000 € c'est pas trop! étant donné les cadeaux que s'octroient eux-même les élus et autres ponctionnaires des "collectivités territoriales" (sic)...

     

  • Fèves au carré frais

    Ingrédients (pour 4 personnes):

    1 sachet de fèves surgelées épluchées (ou 450 g de fèves fraîches épluchées)

    150 g de cansalade roulée coupée en dés (de poitrine nature)

    1 cuillère d'huile d'olive, 2 Carrés Frais, 1/2 verre de vin blanc, 1 jaune d'œuf

    1 branche de thym frais, sel et poivre

    Malgré ce que l'on croit généralement, les fèves fraîches cuisent très vite. Plongez-les encore surgelées ou une fois débarrassées de leur peaux dans une casserole d'eau bouillante salée. Laissez le feu très fort. Quand l'eau revient à ébullition, compter 1 min, puis sortir et  égouttez les fèves, et les plonger dans un bain d'eau glacée ce qui conservera leur belle couleur et leur croquant.

    Faire revenir les dés de cansalade (lardons) dans très peu d'huile et dans une marmite à fond épais. Quand ils sont blonds, ajoutez les fèves et le thym. Laissez cuire 5 min à feu moyens. Oui, pour une fois, il faut que la cansalade ne soit pas trop brune afin que les lardons ne fassent pas trop contraste. Vous pouvez bien sûr, vouloir le contraire et les laisser devenir bruns.

    Ajouter les Carrés Frais émiettés à la fourchette et le vin blanc, puis laissez cuire à feu moyen environ 5 min, en remuant pour faire une sauce onctueuse. Salez et poivrez à votre convenance. Rajoutez un verre de bouillon si trop épais et ajoutez le jaune d'œuf battu hors du feu, puis bien mélanger. Servir aussitôt car se mange chaud.

    Idée: vous pouvez préparer ainsi une fondue de poireaux.

    Vous pouvez également saupoudrer de cacahouètes concassées (sans sel bien sûr) pour encore plus de croquant;

     

  • Foie gras: quand c'est moins cher, ça vient d'ailleurs!

    Le prix du foie gras augmentera de "40 centimes d'euros maximum par tranche" de 40 grammes par rapport au prix de 2015, a indiqué jeudi le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog). Le prix final dépendra des enseignes de distribution.

    Cette hausse de prix est "structurelle", a souligné le Cifog.

    "C'est le prix de la qualité sanitaire" car au-delà de l'épizootie et du vide sanitaire qui l'a suivi, estimé à 500 millions d'euros, "les mesures de biosécurité imposent des investissements dans les exploitations agricoles, comme la construction de nouveaux bâtiments", a déclaré le président du Cifog, Christophe Barrailh lors d'une conférence de presse.

    Une garantie de qualité

    "Cette filière est en train de repartir dans des conditions sanitaires complètement repensées, renouvelées, et on aura à la fin de l'année un foie gras d'excellente qualité. Aujourd'hui, le foie gras français correspond aux toutes nouvelles normes en matière de biosécurité. Il sera un peu plus cher, mais c'est une garantie de qualité", a déclaré le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll.

    Mais la France ne retrouvera pas dès 2017, son niveau de production de 2015, qui était alors de 19,2 tonnes.

    Idem sur la balance commerciale. Après un excédent de 56,3 millions d'euros en 2015 sur l'ensemble de la filière, les exportations françaises ont déjà chuté de 7,8 millions d'euros au premier semestre 2016 en raison de la crise sanitaire.

    Dans le même temps, les importations venant de Hongrie et de Bulgarie ont augmenté de 10,9 millions d'euros, selon les professionnels.

    "Aujourd'hui, les professionnels français se mobilisent donc massivement pour que les pays ayant fermé leurs frontières au foie gras français, notamment en Asie, les rouvrent dès que possible", assure le Cifog.

    Un vide sanitaire de 5 semaines

    Pour endiguer l'épizootie de grippe aviaire déclarée en novembre 2015, un vide sanitaire de cinq semaines avait été imposé au printemps dans les élevages de 18 départements du sud-ouest de la France.

    L'élevage de canetons n'a pu reprendre qu'à la mi-mai après une complète désinfection des élevages et la mise en place de nouvelles mesures de biosécurité.

    L'ensemble de la filière attend maintenant le feu vert de l'Office international des épizooties (OIE), indispensable pour les exportations hors Union Européenne.

    *Épizootie : une maladie qui frappe, dans une région plus ou moins vaste, une espèce animale ou un groupe d'espèces dans son ensemble

     

  • En fauteuil roulant, une Toulousaine défile à la Fashion Week de Milan

    Paraplégique depuis ses 8 ans, Imene Boudj vient de défiler à la Fashion Week de Milan. Un conte de fée mais aussi une volonté de faire changer le regard sur le handicap.

    La Toulousaine Imene Boudj, sur le podium de la Fashion Week de Milan, le 3 octobre dernier (Photo DR)

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    “Je me suis retrouvée là par hasard, je m’y attendais pas…“. Dans la voix de Imene Boudj, c’est encore l’étonnement qui domine. Cette jeune Toulousaine, handicapée depuis l’âge de 8 ans après un accident de voiture, a défilé le 3 octobre sur le podium de la prestigieuse Fashion Week de Milan, en Italie.

    D’un shooting photo au podium de Milan

    Un conte de fées qui ne doit finalement pas tant que ça au hasard. Car le parcours de cette mère de famille est finalement plus lié à sa détermination qu’à un simple concours de circonstances.

    “Cette histoire a commencé il y a 4 ans. Ma sœur est mannequin et m’a proposée de me lancer devant un photographe. Je me suis offert un shooting photo dont le résultat m’a convaincue. J’ai alors créé un book sur Internet et tout s’est enchaîné… explique la jeune femme.”

    Dans le même temps, Imene Boudj candidate à des défilés de personnes handicapées pour faire le modèle. Le premier de ces événements la conduit à se rapprocher de l’association Fashion Handy, organisatrice régulière de défilé de mode de personnes à mobilité réduite.

    Puis c’est la consécration, lorsque l’association italienne Vertical, qui soutient la recherche sur la moelle épinière, la contacte via les réseaux sociaux pour lui proposer de défiler à Milan. Fondée par l’Italien Fabrizio Bartoccioni, lui-même tétraplégique, cette association a également pour but de faire changer le regard des valides sur les handicapés.

    Ainsi la boucle est bouclée. Si Imene Boudj vit un conte de fées à l’instar d’une personne valide dans cette situation, défiler est également un moyen de faire évoluer le regard des valides sur le handicap. Un regard que la jeune femme affronte quotidiennement comme lorsqu’elle gare sa voiture sur une place handicapée:

    “Je me fais régulièrement insulter lorsque je me gare. Les gens qui me voient au volant n’imagine pas un seul instant que je peux être paraplégique et me prenne pour une valide. Comme si toutes les femmes handicapées se devaient d’être moches“!

    Montrer que dans un fauteuil, on peut être “jolie, désirable et fière de son image“, c’est l’un des objectifs de la Toulousaine. Et pour le moment, cela fonctionne: “Je reçois de nombreux messages de soutien de gens qui retrouvent la pêche en voyant mon image sur un podium. C’est très motivant“.

    À tel point qu’Imene songe désormais à se professionnaliser dans le mannequinat et d’en faire son métier.

     

  • La viande de bœuf va augmenter: explications

    La viande de bœuf va augmenter: explications

    L’effet bœuf de Le Foll: sauver la filière bovine grâce au halal des migrants!

    La vache, quel le Foll celui là! Il va nous faire bouffer de la vache enragée…

    Vous allez payer plus cher votre steak de bœuf pour nourrir gratuitement en halal des migrants.

    Voici comment: Trois ministres européens ont décidé d’utiliser l’humanitaire pour désengorger le marché de la viande et du lait et ainsi de faire remonter les cours pour sauver l’agriculture. L’idée est de fournir gratuitement en viande les pays d’accueil de migrants ainsi que les pays d’origine du départ de ces migrants(*). Bravo, l’idée est généreuse, elle séduit même.

    Oui mais si vous nourrissez des rats, faudra s’attendre à une infestation de rats, c’est un véritable appel d’air à l’immigration qui risque d’être mis en place par un allemand Schmidt, un polonais Jurgiel et … un français, puisqu’il faut toujours un socialiste français dans une immense connerie monumentale, le bien nommé Le Foll.

    Tout le monde sait que la filière bovine connait des difficultés, les éleveurs ne vendent pas assez cher lait et bestiaux pour avoir un revenu correct. Pour beaucoup ce revenu est de moitié le salaire minimum ceci pour 50-60 heures / semaine et avec un maximum 10 jours de vacances. Intermédiaires entre la grande distribution et le producteur, des grandes sociétés comme Lactalis achètent à vil prix pour vendre chèrement.

    Elles ont le quasi monopôle de la production des produits laitiers (lait, fromages et crèmes fraîches ou sucrées). En final vous avez le distributeur qui se fait une marge plus que correcte mesurable au nombre de Mercedes garées sur les places réservées de la direction d’un simple magasin de bourg. Le producteur de base vend pratiquement à perte et roule, lui, en Clio d’occasion.

    Revenons au principe humanitaire de notre cher ministre qui porte le nom d’une maladie bovine. On sait que nos amis migrants, 100% clandestins et 100% remboursés par la Sécu consomment de la viande certifiée halal sinon la réaction est brutale: Il vous jette le plat (gratuit) à la figure. En plus il faut que ce soit au goût de leur terroir, c’est à dire plutôt bien épicé sinon là aussi le bénévole prend le plat dans la gueule (Il faut être profondément idiot pour aider ces primitifs).

    Donc et par conséquent tous les excédents de la filière bovine devront passer par un abattoir rituel. Il y a là un premier problème. Et même un double problème. Comment des ministres de l’Agriculture osent proposer une solution qui n’est pas légale. L’abattage rituel, c’est à dire sans étourdissement, est interdit sauf dérogation. Le fait de réaliser une filière étatique qui donne doit à une absence de dérogation pour être le régime général est une déculottée devant l’envahisseur musulman.

    L’autre problème est le financement de l’Etat à cet abattage rituel. En principe l’état ne finance pas le culte, sauf pour deux régions depuis le concordat, les curés ou les rabbins ne sont pas salariés de l’état. Au travers des abattoirs rituels le client final va payer pour constituer le salaire d’un vérificateur musulman. Il y a donc financement d’un culte au travers d’une décision d’un ministre. Déjà, et j’en ai parlé sur ce site, que nous avons un système de notation de viande sous forme d’étoiles sans savoir de quel morceau il s’agit, nous aurons désormais systématiquement du bœuf halal ce à quoi je ne peux me résoudre.

    Parce que je suis têtu et irréductible et inventif aussi, gourmand également, j’ai repris des recettes comme de la blanquette de veau et j’ai remplacé le veau par des morceaux de rôti de porc. Impeccable. Idem pour le bœuf bourguignon mais je suggère plutôt du sanglier à la place du porc. Il est dommage de devoir modifier nos recettes ancestrales pour se battre contre un ennemi de l’intérieur.

    Non pas Bœuf bourguignon mais sanglier bourguignon.

    Alors Monsieur Le Foll, rangez vos idées du même nom au placard et mettez-vous y même, jetez la clef dans un caniveau, là où cette idée idiote n’aurait jamais dû sortir et arrêtez de vendre la France clef en main à l’envahisseur musulman.

    Philippe Legrand

     

    http://ripostelaique.com/leffet-boeuf-de-le-foll-sauver-la-filiere-bovine-grace-au-halal-des-migrants.html