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  • Hé, ho, les Français, un peu de mesure!!!!

    N'importe quoi!

    On mange les crêpes comme on les aime! J'ai une recette de gâteau de crêpes qui date de 1973 trouvée dans une fiche recette d'un magazine de mode français bien connu depuis plus de 100 ans…. je sais pas pensé un seul instant que c'était une hérésie!...

    Après tout, les goinfres ne roulent-il pas 3 à 4 crêpes ensemble?

    Les manger en gâteau à couper, pffffit, ils font comme ils veulent, les britiches... rien ne vous empêche d'en faire autant et, s'il le faut, certains Français le font déjà... ils n'en sont pas pour autant de mauvais Français!

    Et si le plus important était que les britiches se mettent encore plus à aimer nos spécialités!

    Hein?

    Et les Français, ils n'aiment pas les pizzas? le couscous? le chili-con-carne?

    Qu'importe le flacon, pourvu qu'on aie l'ivresse...

    J'ai bien mis sur ce blog une recette de cassoulet halal. Tout le monde a le droit de manger des haricots......

     

    Une tragédie culinaire a éclaté à la veille de Mardi Gras sur fond de différentes visions sur la façon de manger des crêpes entre les Français et les Britanniques. Des Français ont été choqués par la manière britannique de les manger et se sont chargés de leur apprendre à respecter ce qu'ils ont dans leurs assiettes.

    "Barbares!" s'écrient des internautes français à la vue d'une telle friandise, qualifiée de crime international par le BuzzFeed France. Les crêpes sur la photo sont placées l'une sur l'autre et sont découpées en morceaux triangulaires, comme si c'était un vrai gâteau.

    Massacre culinaire — voilà comment la photo a été baptisée.

     

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    De plus, le soi-disant gâteau est entouré de pots de confiture, de miel et de Nutella, ce qui rappelle clairement de quel plat il s'agit, que ce n'est en rien un gâteau, maintiennent des Français indignés.

     

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    ​Pourtant, il y a certainement des gens qui n'y trouvent aucun problème et qui s'interrogent sur le fait de savoir comment cette petite chose a pu attiser tout un débat.

    Bon, d'accord, accordons-nous sur le fait qu'on peut en manger comme on veut. Mais n'êtes-vous pas curieux de savoir comment faut-il manger des crêpes, selon les Français, disons… respectueusement? En les repliant, expliquent-ils.

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     http://fr.sputniknews.com/insolite/20160210/1021646713/crepes-france-bretagne.html#ixzz3zqCsTrEC

  • Dangers des pesticides

    Maladie de parkinson, cancers, autisme… les insecticides, herbicides, fongicides nuisent à notre santé de multiples manières.

    La France est le premier utilisateur de pesticides de l’Union Européenne (herbicides, insecticides et fongicides) et le quatrième dans le monde. Les pesticides sont présents dans les fruits et légumes que l’on mange mais on les retrouve aussi dans l’air que l’on respire, l'eau que l'on boit, sans compter ceux qu'on utilise au jardin ou dans la maison: les pesticides sont partout !

    Ils augmentent le risque de maladie de Parkinson

    Une étude parue récemment dans la revue Neurology rapporte un lien entre l’heptachlor - un pesticide qui avait été retrouvé dans des bouteilles de lait et des produits laitiers dans les années 1980- et le développement de la maladie de Parkinson chez des hommes ayant consommé ces produits contaminés 30 ans auparavant.

    Jadis utilisé dans les maisons pour tuer les termites et dans les cultures de maïs, la production et la vente d’heptachlor sont désormais interdites.

    Plusieurs études ont déjà suggéré que les composés organochlorés et autres pesticides jouent un rôle dans le développement de la maladie de Parkinson. Des études post-mortem ont d’ailleurs trouvé des niveaux de composés organochlorés dans les tissus du cerveau -et plus particulièrement dans la substance noire- de personnes souffrant de la maladie de Parkinson.

    "De plus, plusieurs études d'observation ont rapporté une association entre la consommation de produits laitiers et le risque de développer la maladie de Parkinson. Or, le lait peut contenir certains polluants comme des pesticides organochlorés tels que l’heptachlor " expliquent les auteurs de l’étude.

    Les chercheurs ont suivi 449 hommes pendant plus de 30 ans jusqu’à leur décès. Ils ont recueilli des informations sur leur consommation de lait de 1965 à 1968 et ont réalisé des autopsies sur 116 hommes après leur décès.

    Les chercheurs ont remarqué que la consommation de lait était associée à la perte de neurones au niveau de la substance noire, signe avant-coureur de la maladie de Parkinson. En effet, ceux qui buvaient le plus de lait présentaient la perte de neurones au niveau de la substance noire la plus importante. Cette association est essentiellement observée chez les participants non-fumeurs.

    L'heptachlor rejoint la liste des pesticides accusés de favoriser Parkinson, comme le manèbe, le bénomyl, la roténone (autrefois autorisée en bio), le 2,4D. La perméthrine, un insecticide vaporisé sur les vêtements est aujourd'hui sur la sellette.

    Ils favorisent la démence

    Les agriculteurs exposés aux pesticides sur une longue période ont plus de risques de démence. C’est ce que révèle une étude menée par des chercheurs bordelais.

    Afin d’évaluer l’impact de l’exposition aux pesticides sur les capacités intellectuelles, les auteurs ont suivi 614 viticulteurs âgés de 40 à 60 ans et exerçant leur métier depuis au moins 20 ans. Chaque participant a passé une série de neuf tests mesurant notamment la mémoire, l’expression orale ou encore le temps de réaction.

    Durant les six ans d’étude, 20 % des viticulteurs n’ont jamais été exposés aux pesticides, plus de 50% ont été directement exposés et les autres ont été indirectement exposés. Les travailleurs exposés aux pesticides réalisent de moins bonnes performances aux tests que les autres. Par ailleurs, les plus exposés aux pesticides ont plus de risques de que ceux qui ne sont pas exposés.

    Pour les auteurs, " la légère déficience que nous avons observée soulève la question des risques potentiellement plus élevés de traumatisme dans cette population et de l'évolution possible vers les maladies neurodégénératives comme la maladie d'Alzheimer. "

    Ils affectent le développement de l’enfant

    Selon des chercheurs de l’Ecole de Santé Publique de l’Université de Colombia, le chlorpyriphos, un insecticide utilisé en agriculture, est associé à des retards physiques et mentaux chez les jeunes enfants exposés.

    Les auteurs ont recruté 266 enfants vivant à New York dans des quartiers précaires où le chlorpyriphos était fréquemment employé avant l’interdiction de son utilisation domestique en 2001. Ils ont évalué l’effet de l’exposition à ce pesticide sur les enfants.

    Le développement psychomoteur comme le développement mental sont retardés chez les enfants ayant eu une exposition élevée au pesticides.

    D’après Virginia Rauh, co-directrice du Centre de Santé Environnementale des Enfants de Colombia, " le chlorpyriphos ainsi que d’autres insecticides organophosphorés sont encore couramment utilisés à des fins agricoles. Nous espérons que les résultats de cette étude, qui démontrent à nouveau la neurotoxicité du chlorpyriphos, feront prendre conscience aux professionnels de la santé publique et aux autorités des dangers potentiels d'une exposition à cette substance pour les femmes enceintes et les jeunes enfants ".

    Ils sont à l’origine de cancers

    Des chercheurs ont établi un lien de cause à effet entre l’exposition aux pesticides et certains cancers de sang. Les agriculteurs développent ces types de cancer en plus grand nombre que les autres professionnels. Les chercheurs ont suivi pendant 5 ans 144 agriculteurs exposés aux pesticides. Ils ont tenu compte du fait que les facteurs de risque ne sont pas les mêmes pour tous les agriculteurs. Tout dépend du type de pesticide employé, de la taille des exploitations, du mode d’épandage et des doses utilisées.

    Les agriculteurs présentent plus fréquemment une altération chromosomique connue pour être une première étape vers la cancérisation de cellules lymphocytaires. Cette mutation génétique entraîne la sur-expression d’un gène responsable de la synthèse d’une protéine inhibant la mort cellulaire. D’où une survie de cellules normalement vouées à mourir.

    Dans la population générale, cette anomalie est présente dans moins d’une cellule sur un million. " Les agriculteurs exposés aux pesticides développent dans leur génome 100 à 1000 fois plus de cellules anormales, qui peuvent ensuite éventuellement se transformer en lymphome folliculaire ", constate Bertrand Nadel, auteur de l’étude.

    De plus, des résultats publiés dans la revue Pediatrics suggèrent que les enfants exposés à des insecticides à la maison auraient un risque accru de développer une leucémie ou un lymphome. Cette conclusion provient de l’analyse de 16 études publiées en une décennie.

    Leucémie et lymphome –deux formes de cancer du sang- sont les cancers les plus fréquemment rencontrés chez l’enfant. " Il y a une préoccupation croissante concernant le lien entre une exposition chronique et de faible niveau aux pesticides pendant l’enfance et le risque de cancers développés par l’enfant " explique l’article.

    L’équipe de chercheurs a regroupé les résultats de 16 études internationales réalisées entre 1993 et 2013. Toutes les études comparaient un groupe d’enfants atteints de cancer à un groupe d’enfants en bonne santé et estimaient l’exposition aux pesticides grâce à un questionnaire posé aux parents.

    Les résultats montrent que les enfants exposés à des insecticides à l’intérieur de leur maison avaient un risque accru de développer un cancer du sang. Il existe également une association plus faible entre l’exposition aux herbicides (désherbants) et le risque de leucémie.

    Globalement, les enfants qui avaient été exposés à des insecticides à l’intérieur de la maison étaient 43% et 47% plus susceptibles de développer respectivement un lymphome ou une leucémie que les enfants qui n’avaient pas été exposés. Les chercheurs n’ont pas trouvé d’association entre les insecticides utilisés en extérieur et le risque de cancers. Par contre, les enfants exposés à des désherbants avaient 26% de risque en plus de développer une leucémie.

    Un lien avec l’autisme

    Une étude parue dans la revue Environmental Health Perspectives montre que le risque d’avoir un enfant autiste est plus élevé chez les femmes enceintes vivant près d’espaces traités avec des pesticides: champs, terrains de golf...

    Les chercheurs de l’université de Californie ont étudié les données de l’étude CHARGE (Childhood Autism Risks from Genetics and Environment) comprenant 970 enfants âgés de 2 à 5 ans. 486 avaient un diagnostic confirmé d’autisme ou de TSA (troubles du spectre d el’autisme), 168 un autre retard de développement cognitif (affectant la communication, les relations sociales…) et 316 un développement normal. Les mères ont fait la liste des adresses où elles avaient vécu avant et pendant leur grossesse. Les chercheurs ont comparé ces adresses à la base de données californienne des applications de pesticides.

    La plupart des femmes de l’étude n’avaient pas vécu près de zones d’application de pesticides pendant leur grossesse, mais environ un tiers avaient habité à moins de 1,5 km d’un lieu où étaient répandus des produits chimiques. La proximité avec des organophosphates pendant la grossesse était associée à une augmentation de 60 % du risque de TSA ; c’était encore plus élevé pour le 3ème trimestre de grossesse (risque doublé), et le second trimestre avec des applications de chlorpyriphos (risque triplé). Les enfants des mères qui vivaient près d’applications d’insecticides pyréthrinoïdes juste avant la conception ou pendant le 3e trimestre avaient un risque augmenté de TSA et de retard de développement: les risques augmentaient entre 70 % et 130 %.

    Mais ce n’est pas tout: les pesticides favorisent aussi le risque cardiovasculaire, les colopathies, la résistance aux antibiotiques, nuiraient à l’intelligence des enfants, provoqueraient des troubles de l’attention…

    Pour les éviter autant que possible, optez si vous le pouvez pour le bio. Les fruits et légumes bio contiennent plus d’antioxydants et moins de toxiques. Veillez aussi à ne pas utiliser de pesticides chez soi: jardin, maison.

    Sources

    Abbott RD,. Midlife milk consumption and substantia nigra neuron density at death. Neurology. 2015 Dec 9. pii: 10.1212/WNL.0000000000002254. [Epub ahead of print].

    Isabelle Baldi, Anne Gruber, Virginie Rondeau, Pierre Lebailly, Patrick Brochard, Colette Fabrigoule ; Neurobehavioral effects of long-term exposure to pesticides: results from the 4-year follow-up of the PHYTONER Study. Occup Environ Med oem.2009.047811Published Online First: 22 November 2010 doi:10.1136/oem.2009.047811

    Lovasi GS, Quinn JW, Rauh VA, Perera FP, Andrews HF, Garfinkel R, Hoepner L, Whyatt R, Rundle A ; Chlorpyrifos Exposure and Urban Residential Environment Characteristics as Determinants of Early Childhood Neurodevelopment. Am J Public Health. 2010 Mar 18.

    Agopian J, Navarro JM, Gac AC, Lecluse Y, Briand M, Grenot P, Gauduchon P, Ruminy P, Lebailly P, Nadel B, Roulland S. Agricultural pesticide exposure and the molecular connection to lymphomagenesis. J Exp Med. 2009 Jul 6;206(7):1473-83. Epub 2009 Jun 8.

    Chen M. Residential Exposure to Pesticide During Childhood and Childhood Cancers: A Meta-Analysis. Pediatrics. 2015 Sep 14. pii: peds.2015-0006. [Epub ahead of print]

    Shelton JF, Geraghty EM, Tancredi DJ, Delwiche LD, Schmidt RJ, Ritz B, Hansen RL, Hertz-Picciotto I.Neurodevelopmental Disorders and Prenatal Residential Proximity to Agricultural Pesticides: The CHARGE Study. Environ Health Perspect. 2014 Jun 23

    Diana Teixeira, Diogo Pestana, Cristina Santos, Luísa Correia-Sá, Cláudia Marques, Sónia Norberto, Manuela Meireles, Ana Faria, Ricardo Silva, Gil Faria, Carla Sá, Paula Freitas, António Taveira-Gomes, Valentina Domingues, Cristina Delerue-Matos, Conceição Calhau, Rosário Monteiro. Inflammatory and Cardiometabolic Risk on Obesity: Role of Environmental Xenoestrogens. The Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, 2015; jc.2014-4136 DOI:10.1210/jc.2014-4136

     

  • Salsifis à la crème

    J'adore ce plat!

    Pour 4 personnes: 1 kg de salsifis, 35 cl de crème fraîche, 1 citron, du persil haché, sel, poivre. 1 œuf

    Nettoyez les salsifis sous l'eau du robinet avec une brosse dure et pelez-les bien. Coupez-les en tronçons de 4 à 5 centimètres et plongez-les immédiatement dans de l'eau vinaigrée afin d'éviter qu'ils ne noircissent.

    Faites bouillir 1,5 litres d'eau dans une marmite et plongez-y les salsifis que vous laisserez cuire à gros bouillons 25 mn.

    Egouttez et réservez l'eau de cuisson. Pelez les zestes et mettre de côté.

    Faites la sauce en récupérant une grosse louche de l'eau de cuisson, portez à ébullition et versez le jus du citron. Laissez réduire. Sortez la casserole du feu.

    Fouettez l'œuf et rajoutez-le à la casserole de sauce en tournant très vite pour que les œufs ne deviennent pas grumeleux et remettre sur la cuisinière à feu doux tout en fouettant toujours. Laissez réduire, salez, poivrez.

    Versez sur les salsifis et saupoudrez de persil haché au moment de servir. Pour ceux qui aiment, rajoutez de la coriandre en poudre ou une pointe de muscade.

    Si vous voulez une sauce plus épaisse, vous pouvez rajouter un peu de fécule de maïs ou pomme de terre.

    Ce plat se sert pour accompagner les viandes, poissons; il peut servir à remplir les crêpes de sarrasin et autres pains plats.

    C'est un plat très riche en vitamine E: la vitamine de la longévité.

     

  • Crème de chou-fleur de la marine

    1 chou-fleur, 25 cl de lait écrémé, 8 crevettes roses cuites et décortiquées, quelques amandes effilées, 1 oignon jaune, un peu de cerfeuil, un peu de graisse de canard, une goutte de piment d'Espelette, sel et poivre. Et de l'ail, mais c'est facultatif.

    Coupez l'oignon en gros cubes et faites le bronzer dans un peu de graisse de canard; taillez le chou-fleur en fleurette et rajoutez avec les oignons, faites sauter, salez, poivrez et ajoutez le lait. Laissez cuire 25 mn.

    Passez tout au mixer et vous obtenez une texture crémeuse.

    Faites griller les amandes, mettez-les de côté, faites griller ensuite les crevettes durant 8 à 10 mn et ajoutez le piment, l'ail écrasé… Laissez cuire encore un peu.

    Versez votre crème de chou-fleur dans une soupière, décorez avec les crevettes, ajoutez les amandes, le cerfeuil.
    Servez avec du pain tintché.

  • Lait végétal maison: amande, noisettes, riz, etc...

    Parfois, en cas de mauvaise digestion, de ballonnements et autres graves problèmes intestinaux, il faut soulager son système digestif... ou prendre ces médicaments.

    Les inhibiteurs de pompe à protons (IPP) sont des médicaments du reflux gastro-œsophagien ou RGO (oméprazole, ésoméprazole, lansoprazole, etc...). On les prescrit aussi dans les ulcères, les œsophagites érosives. Ils diminuent la sécrétion acide de l’estomac. On les utilise aussi protéger les muqueuses digestives de l’agressivité des anti-inflammatoires oraux (anti-inflammatoires non stéroïdiens, aspirine, stéroïdes). Pris au long cours, ces médicaments qui figurent parmi les plus prescrits et les plus profitables pour l’industrie comportent des risques. Or 70% des patients à qui ils sont prescrits ne devraient pas en prendre, alors qu’il existe des alternatives naturelles.
    Ils perturbent la flore intestinale et favorisent des infections
    Une étude récente trouve des altérations de la flore intestinale chez les utilisateurs d’IPP, avec des populations accrues de lactobacilles et streptocoques, et d’autres familles retrouvées d’habitude dans les cavités orales et nasales et dans la peau. En temps normal, pensent les chercheurs, l’acidité de l’estomac empêche ces communautés de bactéries de se propager plus bas dans le tube digestif, mais les IPP lèvent cette barrière naturelle.
    Ces altérations pourraient expliquer pourquoi la prise d’IPP augmente le risque d’infections du tube digestif par la bactérie Clostridium difficile, qui tire parti d’une augmentation de la population de streptocoques. Ces bactéries clostridium difficile sont dangereuses, difficiles à traiter, à l’origine de diarrhées infectieuses. Elles sont souvent multi-résistantes aux antibiotiques, et sont fréquemment retrouvées dans les infections contractées à l’hôpital.
    On a aussi observé une augmentation du risque de pneumonie à streptocoques chez les patients qui prennent ces médicaments.
    Ils sont liés à un risque cardiovasculaire accru
    Des chercheurs californiens, dans un article paru dans PLOS One, ont analysé les données portant sur 2,9 millions de personnes. Ils ont constaté que les patients souffrant de reflux gastro-œsophagien qui avaient pris des IPP avaient une augmentation de 16 % de leur risque d’infarctus du myocarde. Le risque de mortalité cardiovasculaire était même multiplié par deux. Les chercheurs pensent que les IPP agissent sur la production de monoxyde d’azote (NO), qui joue un rôle important dans la santé vasculaire.
    Ils augmentent les déficits en vitamine B12
    Les inhibiteurs de pompe à protons (IPP) et les antihistaminiques H2 augmentent de manière significative le risque de déficit en vitamine B12 à long terme.
    La vitamine B12, ou cobalamine, se trouve dans les produits animaux : viandes, poissons, œufs, fromages... Un déficit en vitamine B12 peut augmenter le risque de démence, de troubles nerveux, ou d’anémie. Comme les acides de l’estomac favorisent l’absorption de cette vitamine, le fait de supprimer ces acides pourrait conduire à une défit en vitamine B12.
    Le risque apparaîtrait avec deux ans de prise et augmente avec la dose : plus d’1,5 cachet par jour c’est un risque accru de 95 %, contre 63 % pour moins de 0,75 cachet par jour.
    Ils entraînent de la fatigue
    Vous prenez des IPP depuis plus de 2 ou 3 mois et vous êtes fatigué(e) ? Il y a des chances que ce soit dû aux médicaments. C’est aussi le cas avec les antihistaminiques (prescrits dans les allergies) surtout de première génération, des antidépresseurs comme le Prozac, des anxiolytiques, des corticostéroïdes, des antihypertenseurs, des diurétiques, des statines (traitement du cholestérol élevé), et certains antibiotiques (Bactrim).

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    Pour fabriquer son lait d'oléagineux maison, rien de plus simple. Il existe différentes méthodes, certaines simples et rapides, d'autres un peu plus longues...Et chacun peut y trouver son compte.

    A réaliser a base de purée d'oléagineux ou de poudre de lait d'oléagineux qu'on trouve dans tous les magasins bio. Ils se conservent très longtemps sous cette forme, on peut donc faire du lait quand on veut.

    La poudre est à mélanger tout simplement avec de l'eau, même froide.

    La purée se dilue (environ 1 c.à.s. pour un grand verre) dans de l'eau tiède.

    Bien entendu, il existe encore plus simple: acheter directement une brick de lait au magasin bio, mais quand on compare les prix, c'est vite vu.

    Faites également attention au contenu de ces brick, certains supermarchés se mettent a vendre des laits qui ne sont pas purs, mais coupés de conservateurs et de sucres.

    Autres méthodes plus compliquées:

    Il faut faire pré-tremper ses oléagineux brisés dans l'eau la veille, avec de l'eau de source (en bouteille) puis les mixer le lendemain avec de l'eau et les passer au tamis.

    Bien sûr, si votre santé le permet, vous pouvez rallonger avec de la crème fraîche liquide ou épaissir avec de la lécithine de soja que vous trouverez sur mon site

    www.biotine-sep.com

     

     

     

  • RECETTE DE VERRINE - dessert

    Vous pouvez utiliser d'autres cerises (j'ai un cerisier dans mon jardin et il "donne" très peu car il n'a que trois ans..... et comme j'aime les griottes, j'en achète en pot de verre... mais, attention, non seulement c'est très sucré mais, de plus, il faut vérifier qu'il n'y aie pas de colorant rouge); rincez bien les cerises si vous les prenez en pots.

    400 g de griottes en pot de verre ou surgelées, 2 petits gâteaux, genre cakes au chocolat

    Crème fraiche liquide pour chantilly; 150 g de chocolat noir 70%, 15 cl de sirop de sucre de canne, 6 cuil. a soupe d'Armagnac, de Cognac, de kirsch, de rhum….. 50 g de sucre en poudre

    Dans une casserole, faites compoter les griottes (gardez-en 8 pour le décor) avec le sucre en poudre à feu moyen pendant environ 20 min. Quelques minutes avant la fin de la cuisson, ajoutez 3 cuillères à soupe de votre eau de vie préférée et laissez refroidir.

    Découpez les cakes au chocolat en 4 grandes bandes chacun puis à l’aide d’un emporte-pièce rond d’environ 5 cm de diamètre, découpez 2 cercles par bande.

    Dans une casserole, faites fondre 100 g de chocolat noir et râpez le reste en copeaux à l’aide d’un économe. (il faut qu'il soit bien froid); faites une chantilly épaisse et sucrez-là au sucre glace. Si vous n'avez pas de batteur mais un simple fouet à main, montez votre chantilly avec une portion de mascarpone.

    Si vous n'avez pas de fouet, prenez deux fourchettes de modèle différent et tenez-les l'une sur l'autre.

    Si vous n'avez pas de crème liquide, faites-en avec du lait en boîte non sucré (à condition d'avoir une boîte).

    Si vous n'avez ni l'un ni l'autre de ces ingrédients, boudu! dommage! Mettez plus de griottes.

    Des tas de trucs et astuces? www.tradi-cuisine.com

    Dans un bol, mélangez le sirop de sucre de canne avec 3 cuillères à soupe de votre eau de vie et imbibez les ronds de cake au chocolat.

    Puis, étalez la compotée de griottes en couche régulière sur les 4 cercles de cake, ajoutez la chantilly par-dessus et terminez par un cercle de cake. Nappez de chocolat fondu, déposez un toupet de chantilly surmonté d’une griotte et parsemez de copeaux de chocolat.

    Mettre à rafraîchir et sortir une demi-heure avant de consommer.