Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Croquettes de brie

    Pour 4

    1 brie; 3 à 4 cuillère soupe de farine, 2 œufs, 100 g de chapelure

    1 c. à soupe de paprika, sel, poivre

    Huile de friture goût neutre (huile de pépins de raisin, par exemple)

    Coupez le brie en huit morceaux.

    Dans un premier bol, mélangez la farine, le paprika, le sel et le poivre. Dans un autre bol, battre les œufs en omelette. Versez la chapelure dans un troisième bol.

    Roulez les morceaux de brie dans la farine, dans les œufs puis dans la chapelure. Réalisez une deuxième panure pour avoir des croquettes bien croustillantes.

    Plongez les croquettes dans un bain d'huile de friture à 180°C jusqu'à ce qu'elles soient dorées.

    Les déposer sur du papier absorbant pour retirer l'excédent d'huile et servir aussitôt.

  • PHILIPPINE, 19 ans

    Elle était scout et guide de France, "toujours partante et disponible s’il y avait besoin de faire quoi que ce soit ou pour motiver les autres" ; issue d’une famille de 6 enfants, Philippine était une brillante étudiante à l’Université Paris-Dauphine.

    Vendredi de la semaine dernière, après son déjeuner au restaurant universitaire, et comme elle aimait souvent le faire, elle choisit de rentrer à son appartement d’étudiante à pied via un détour-promenade par le proche Bois de Boulogne; elle devait ensuite rejoindre ses parents pour dîner et passer le week-end en banlieue parisienne. Ils ne la verront jamais arriver.

    ILS NE LA VERRONT PLUS JAMAIS.

    Philippine a croisé le chemin d’un homme qui n’aurait jamais dû être là.

    Jamais sans les défaillances idéologiques d’État: marocain sous OQTF (obligation de quitter le territoire français), non exécutée comme 94% d’entre elles, et tout juste libéré de prison pour un viol dans les mêmes circonstances, dont il n’a purgé que 5 ans sur 7, car libéré par anticipation par la justice française.

     On aimerait se dire que cette tragédie est isolée, plus encore qu’elle est la dernière, et celle de trop. Mais elle est comme tant d’autres soi-disant " faits divers ", comme Lola, 12 ans, il y a deux ans (tuée par une personne algérienne sous OQTF), comme Thomas 16 ans, comme Matisse 16 ans, et tant d’autres.

    Ce nouveau drame est la conséquence directe de maladies idéologiques qui détruisent notre peuple, qui tuent ou laisse tuer ses enfants.

    Face à ces drames, nous savons pourquoi nous défendons les valeurs patriotes, celles d’un ordre juste et de bon sens, qui sait aimer et protéger ses enfants, son propre peuple.

    Soutenons en pensée le désarroi de cette famille brutalement endeuillée, et si digne.

    Des rassemblements d’hommage à Philippine sont prévus en divers lieux de France, et notamment :

    ce samedi 28 sept.:

    • Aix-en-Provence, 10h, Nouveau Palais de Justice ;
    • Vienne, 10h, place Charles de Gaulle,
    • Bordeaux, 15h, place de la Bourse ;

    ce dimanche 29 sept. :

    • Lille, 15h, place Rihour,
    • Paris, 15h, place Denfert,
    • Nice, 15h, place Garibaldi,

    ce lundi 30 sept. :

    • Angers, 18h30, place du Ralliement.

    … et peut-être dans votre ville?

     

    Repose en paix Philippine.

     

    Puisse l’électrochoc de ta mort servir à corriger ceux qui en ont besoin parmi les vivants.

  • Vous avez besoin juste un peu de caramel?

    Un peu d'eau et du sucre en poudre

    Faites fondre le sucre et quand il commence à être roux, ajoutez une ou deux cuillères à soupe d'eau. Continuez à tourner en faisant chauffer.

    Si vous voulez patienter avec l'utilisation, une toute petite goutte de vinaigre l'empêchera de durcir trop vite.

    Laissez prendre dans une cuillère à soupe pour que vos enfants lèchent: bonbon gratuit!

     

    CARAMEL AU BEURRE

    Pour un gâteau de 4 personnes environ ou à garder pour d'autres utilisations: parfumer du lait chaud, des yaourts natures, sur une tartine pour les grosses gourmandes…

    160 g de sucre en poudre, 80 g de beurre

    200 g de crème liquide entière 35% MG

    Dans une casserole, faites fondre la moitié du sucre à feu doux. Une fois fondu, ajoutez l'autre moitié et laissez caraméliser doucement.

    Incorporez le beurre demi-sel bien froid coupé en morceaux et remuer à l'aide d'une cuillère (toujours à feu doux pour que ça ne brûle pas).

    Versez la crème liquide entière chaude en une fois et remuez vivement pendant 5 minutes pour que le caramel épaississe.

    Débarrassez dans un pot en verre stérilisé. Conservez au frais

  • Soupe aux champignons parfumée

    Pour aller plus vite, vous pouvez utiliser un bocal ou boîte de champignons

    Pour 4 personnes

    250g de champignons; 1 échalote ou 1 oignon jaune,

    50cl de bouillon de légumes; 12g de beurre

    50cl de crème fraîche; 1 cuillère à café de noix de muscade

    1 cuillère à café de curry, 1 bouquet d'aneth -facultatif

    Faites revenir l'échalote ou l'oignon coupés en cubes et les champignons dans une casserole, puis couvrez de bouillon.

    Pour ceux qui le désirent, passez au robot plongeant mais garder quelques brins de champi pour la déco.

    Additionnez les condiments et terminez avec la crème fraîche. Parsemez d'aneth.

    A consommer avec ou sans croûtons sautés à l'huile

    Pour épaissir, vous pouvez ajouter une cuillre à soupe de farine dans le bouillon et laisser mijoter quelques minutes pour que cela épaississe.

  • Manquera-t-on de bière demain à cause du changement climatique?

    Une étude menée en Alsace montre que le changement climatique aura des effets significatifs sur le secteur brassicole. Dans cette région, les récoltes de malt et de houblon seront affectées, de même que les conditions de production industrielle. Dans le même temps, les goûts des consommateurs sont en train de changer.

    Les amateurs de bière n’auront pas manqué de remarquer la profonde mutation que connaît le secteur brassicole depuis quelques années. Elle se manifeste principalement par ce qui a été nommé la "craft beer revolution", autrement dit la multiplication des micro-brasseries artisanales.

    Il en a découlé une diversification des styles de bières, produites tant par ces nouvelles micro-brasseries que par des groupes multinationaux qui s’en inspirent, pour le plus grand plaisir des palais à la recherche de nouvelles saveurs. Un élément pourrait néanmoins venir perturber cette évolution : le changement climatique.

    Une étude que nous avons menée en 2020 en Alsace met en effet en évidence diverses conséquences que le changement climatique peut avoir sur le secteur brassicole.

    Selon le niveau de la filière concernée, on peut distinguer trois types d’effets :

        les impacts agricoles portant sur l’approvisionnement en matières premières,

        les impacts industriels dédiés aux processus de brassage

        et les impacts indirects résultant de la modification des attentes des consommateurs.

    LE MALT ET LE HOUBLON MENACES

    D’après mes entretiens, les plus forts effets du changement climatique sont à redouter dès l’amont de la filière :

    " Les plus gros risques pour la bière, c’est sur l’agriculture ", m’a ainsi assuré un brasseur.

    Ces risques portent à la fois sur la quantité et sur la qualité de l’approvisionnement en malt (produit principalement à partir d’orge) et en houblon, les principales matières premières qui composent la bière après l’eau.

    Ce sont notamment les périodes de sécheresse qui inquiètent. Les rendements de l’orge et du houblon pourraient être significativement réduits par une baisse des précipitations estivales, justement annoncées par les projections climatiques dans la région.

    gros plan branche de houblon

    Cônes de houblon. Stanzilla -- Own work/Wikimedia, CC BY-NC-SA

    Sur l’aspect qualitatif, c’est davantage le houblon qui concentre les préoccupations. Alors qu’il est utilisé en grande partie pour donner son amertume à la bière, les fortes températures, appelées à être de plus en plus courantes, entraînent une baisse de la concentration des acides alpha, molécules responsables de cette amertume.

    gros plan sur un tas de grains de malt

    Pour se prémunir d’un approvisionnement déficient en quantité ou qualité, certains brasseurs envisagent – voire testent déjà – plusieurs mesures. Une première réponse est de changer de fournisseurs, afin de faire venir les matières premières de régions moins affectées, comme le Royaume-Uni. Une stratégie qui ne suffira pas à long terme, si les brasseurs du monde entier se tournent vers le voisin britannique pour s’approvisionner.

    plan serré sur une fleur

    L’autre piste évoquée consiste à optimiser les processus de production, voire modifier les recettes, afin de limiter la quantité de matières premières nécessaires. Ce qui aboutirait à des bières moins fortes – qui dit moins de sucres apportés par le malt pour la fermentation dit moins d’alcool produit – ou moins houblonnées. Un brasseur va même jusqu’à expérimenter des bières sans houblon, qu’il remplace par de l’achillée mille-feuille ou du lierre terrestre pour aromatiser.

    Les impacts industriels

    Si les conséquences du changement climatique sur la production de bière en elle-même semblent moins prononcées que sur l’amont agricole, elles ne sont pas négligeables.

    L’eau, premier ingrédient de la bière puisqu’elle en compose 90 à 95 % de la masse des ingrédients, est la principale problématique en la matière. Une brasserie efficiente consommera ainsi entre 4 et 7 litres d’eau pour produire 1 litre de bière : face à l’intensification des sécheresses, de nombreux brasseurs craignent de se voir imposer des restrictions d’eau qui les forceraient à arrêter ou réduire leur activité pendant l’été. Des mesures d’économies sont alors entreprises, la plus répandue étant de récupérer l’eau de refroidissement.

    Une autre difficulté peut provenir des fortes chaleurs : les cuves de fermentation doivent être maintenues à une température relativement constante et fraîche (4-13 °C pour la fermentation basse et 16-24 °C pour la fermentation haute).

    Sur ce point, la popularité des bières de fermentation haute dans le monde de la brasserie artisanale (bières souvent plus fortes en alcool et en goût, IPA par exemple) pourrait rendre ces dernières moins vulnérables aux fortes chaleurs que les grandes brasseries les plus industrialisées, qui ont fondé leur croissance sur le développement de bières de fermentation basse, qui nécessite plus d’énergie en cas de fortes chaleurs : c’est le cas des lagers, bières généralement moins fortes et visant essentiellement le rafraîchissement:

    "Le refroidissement est une question, parce que sur les consommations électriques, ça pèse environ un tiers de la consommation électrique" constate un brasseur.

    Si aucun des brasseurs rencontrés n’avait rencontré ce cas extrême lors de nos échanges, des températures trop élevées peuvent également aller jusqu’à rendre impossible un refroidissement suffisant. Le choix peut alors être fait de mettre en pause la production pendant les mois les plus chauds, mais ce sont surtout des mesures structurelles qui sont mises en avant pour réduire les besoins en froid et donc la consommation énergétique (isolation notamment).

    Une stratégie peut aussi être de sécuriser l’accès à une électricité propre et peu chère car autoproduite, en installant des panneaux photovoltaïques sur le toit de la brasserie par exemple.

    DES CONSOMMATEURS PLUS EXIGEANTS

    Enfin, au-delà de ces impacts directs, le changement climatique engendre d’autres effets indirects sur le secteur brassicole. Il s’agit de s’adapter aux évolutions que ces perturbations entraînent au niveau de la consommation.

    Si la bière est généralement considérée comme une boisson rafraîchissante, l’alcool qu’elle contient est peu recherché en période de canicule et les bars moins fréquentés. Ce comportement concorde d’ailleurs avec les recommandations publiques. Selon certains brasseurs interrogés, le développement de bières sans alcool vise ainsi explicitement à s’adapter à cette évolution de la demande lors des fortes chaleurs.

    verre qui est en train d’être rempli de bière

    La consommation d’alcool a tendance à diminuer en période de fortes chaleurs.

    Surtout, la médiatisation du changement climatique a fait naître de nouvelles attentes de durabilité, opportunités pour se déployer sur de nouveaux marchés (circuits courts, agriculture biologique, consigne pour réemploi des bouteilles) et se démarquer de ses concurrents en communiquant sur ses actions en faveur de l’environnement.

    Le changement climatique vient complexifier les évolutions déjà très rapides que connaît le secteur brassicole depuis la fin du XIXᵉ siècle. Certaines de ses conséquences peuvent en effet accentuer ces évolutions, tandis que d’autres vont s’y opposer – les bières fortement alcoolisées et houblonnées type IPA sont questionnées par les enjeux d’approvisionnement et de teneur en alcool, mais demandent dans le même temps un moindre refroidissement, donc moins d’énergie.

    En bref, la nécessité d’une adaptation au changement climatique semble surtout renforcer la diversification des stratégies et des types de bières, tant du fait des brasseries artisanales qu’industrielles, en contribuant à enrichir le paysage brassicole.

    Auteur: Gaël Bohnert - Doctorant en géographie et ingénieur en systèmes agricoles et agro-alimentaires durables au sud, Université de Haute-Alsace (UHA)

    The Conversation - CC BY ND

  • Soupe au pain et au fromage

    Il est revenu le temps des soupes!

    Pour 2 personnes

    2 oignons; 20 g de beurre ou graisse de canard;

    50 cl de bouillon; 10 g de farine

    1 pincée de thym, Sel, poivre

    2 tranches de pain; 2 poignées de fromage râpé

    Épluchez et couper les oignons en cubes puis les faire caraméliser dans la matière grasse. Assaisonnez de sel, poivre et de thym. Saupoudrez de farine et mélanges quelques minutes.

    Versez le bouillon et portez à ébullition. Une fois que le bouillon a atteint sa première ébullition, baissez le feu et laissez mijoter 25 minutes afin que la soupe épaississe.

    Faites griller les tranches de pain.

    Versez la soupe dans des bols allant au four et ajoutez la tranche de pain. Recouvrir d'une poignée de fromage râpé et enfourner quelques minutes à 200°C pour que la soupe gratine. Consommez très chaud.

  • Estouffade traditionnelle

    Peut s'utiliser pour cuire une langue de bœuf (la faire blanchir dix minutes et retirer la peau)

    Pour 4

    4 tranches de bœuf (macreuse) 1 l vin blanc sec et/ou du bouillon de viande ou de l'eau si nécessaire

    huile d'olive, beurre, 4 carottes, 1 oignon, 300 g tomates,

    1 kg pommes de terre, bouquet garni, sel et poivre.

    Les tranches de bœuf sont mises à rissoler dans une poêle puis placées en cocotte avec carottes et oignon.

    Dès que l'oignon est doré s'ajoutent le vin blanc, les tomates en cubes, le bouquet garni ainsi que sel et poivre. Puis les pommes de terre sont déposées sur la viande et l'ensemble est mis à mijoter environ 1 heure en cocotte minute ou deux heures en cocotte normale, feu moyen à doux à surveiller.

    L'accompagnement de base, pommes de terre et carottes, peut être enrichi de saucisse, couenne, poitrine de porc,  haricots blanc, blanc de poireau, navet, gousse d'ail et cèpes.