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Conseils aux touristes de la Ville Rose (et du département)

Toulouse a ses petites spécificités...

Expressions, habitudes du quotidien, mode de vie, gastronomie… Voici les choses que l'on voit ou entend à Toulouse et (quasiment) nulle part ailleurs, boudu!

Quelle image se fait-on de Toulouse lorsque l’on ne connait que très peu la ville? On pense à la Ville rose (mais on ne sait pas pourquoi), au Capitole, à Claude Nougaro, au rugby, au cassoulet, (un peu) au TéFéCé…

Et après? Ça donne quoi lorsque l’on y met les pieds? Lorsqu’on s’y installe pour de bon?

Petit tour d’horizon des choses que l’on voit ou entend à Toulouse et (quasiment) nulle part ailleurs.

#1. Chocolatine, poche, ratchou…?!

Méfiance à l’heure du petit-déjeuner… Tout le monde le sait, absolument tout le monde. Mais un mauvais réflexe est tellement vite arrivé…

Alors, lorsque l’on rentre dans une boulangerie et que l’on demande un pain au chocolat ou pire, un petit pain au chocolat, la catastrophe n’est pas jamais bien loin.

"Quoi? Vous voulez quoi?!"

"Un pain au ch… Euh, une chocolatine! " et l’ambiance redevient cordiale… Mais c’était moins une.

A deux doigts de déclencher un conflit interrégional… pour un pain au chocolat.

Mieux vaut faire tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d’aller faire des courses également. Tout est une histoire de réflexe, encore une fois. Une plaquette de beurre, du dentifrice et trois patates, ça rentre dans un sac? A Toulouse, non. Par contre, ça rentre dans une poche. Deuxième conflit interrégional évité!

Et lorsque le soir on vous demande de payer la première tournée et que vous n’avez plus un rond, on vous balance que vous êtes un ratchou! Et là, c’est le pompon… Bref, toujours réfléchir avant de l’ouvrir, boudu!

#2. Une histoire de politesse

Prendre le bus à Toulouse, c’est un peu comme affronter le boss final de la politesse. Celui qui te prend par surprise, mais qui te laisse quand même plusieurs choix. On monte dans le bus, le trajet avance, les arrêts passent et la fin du voyage approche (trop?) rapidement.

Le bouton rouge est activé, le moment de descendre n’est plus très loin. Le stress monte, une goutte de sueur apparait sur le front… Le moment fatidique est là.

Un passager descend: "Au revoir, merci!",

un second lui emboîte le pas: "Au revoir, merci!", puis un groupe d’amis, en chœur: "Au revoir, merciii!".

Une politesse remarquable et "suspecte" lorsqu’elle est étrangère à l’oreille. Que doit-on faire? Ne rien dire et prendre le risque de passer pour "un gars de la capitale" ou s’adapter et se faire trahir par son absence d’accent? Dans le doute, on murmure un discret "merci, bonne journée", mais c’est loin d’être convaincant. Passable, on fera mieux au prochain trajet.

Actu Toulouse

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