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  • Gluten

    Sont aussi concernées les personnes souffrant d'allergie au blé, et surtout celles qui ont une sensibilité au gluten. La sensibilité au gluten est un trouble identifié récemment. Contrairement à la maladie céliaque, elle ne résulte pas d’une auto-immunité mais d’un processus inflammatoire déclenché par le gluten ou d’autres composés des céréales. Elle se manifeste par des symptômes intestinaux (douleurs, diarrhée…) et extra-intestinaux très variés (fatigue, maux de tête, douleurs articulaires et musculaires, brouillard mental, problèmes de peau, dépression, anxiété, anémie…).

    Ces symptômes disparaissent lorsqu’on arrête de manger des aliments à gluten et réapparaissent lorsqu'on réintroduit le gluten. Il n'y a pas de test diagnostique pour la sensibilité au gluten. Le seul moyen de savoir si on est sensible consiste à éliminer quelque temps le gluten de son alimentation et voir si sa santé est améliorée.

    On estime que 5 à 10% des personnes ont une sensibilité au gluten ou aux aliments à gluten. Et ce n’est pas tout : une bonne partie des personnes souffrant de côlon irritable, soit 15% de la population, pourraient aussi bénéficier d’un régime sans gluten selon des études récentes.

    Enfin, une grande partie des personnes souffrant de maladies auto-immunes autres que la maladie céliaque (thyroïdite de Hashimoto, polyarthrite rhumatoïde, sclérose en plaques) et de maladies proches (comme le psoriasis), soit 10 à 15% de la population pourraient bénéficier d’une éviction du gluten (et des produits laitiers) selon les principes du régime du Dr Jean Seignalet. On comprend donc que pour une bonne partie de la population, peut-être 20 ou 30%, le sans gluten n’est pas une « mode » mais un moyen de recouvrer la santé.

    Certes, cela signifie aussi que la majeure partie de la population peut consommer des céréales à gluten sans éprouver de symptômes (même si on a montré récemment que le gluten favorise la porosité intestinale chez tout le monde).

    Que faire si on ne peut pas manger de gluten ?

    Manger sans gluten comporte un piège. L'industrie agroalimentaire commercialise en magasins diététiques et maintenant en supermarchés de nombreux produits adaptés. Ces aliments sont confectionnés le plus souvent avec de la farine de riz ou de maïs en lieu et place du blé: spaghetti à la farine de maïs, galettes de riz soufflé, baguette de pain à base d’amidon de maïs, crackers de riz…

    Parfois on trouve également de la fécule de pomme de terre. Ces alternatives sont-elles toutes bonnes pour la santé et la ligne? "La réponse est non car tous ces ingrédients ont des index glycémiques élevés : ils peuvent conduire à la prise de poids, voire au diabète parce qu’ils bousculent les mécanismes de régulation du sucre sanguin", explique Christine Calvet, auteure de À table sans gluten et sans lait !, un livre de recettes à index glycémique bas.

    Les études montrent que les aliments industriels sans gluten sont riches en graisses, pauvres en protéines, ont des teneurs en fibres très variables, et surtout sont très riches en glucides. Ces glucides sont représentés par de l’amidon digéré très rapidement. En plus, les graisses sont souvent déséquilibrées en faveur des acides gras polyinsaturés oméga-6, qui sont pro-inflammatoires.

    En plus d'une charge glycémique élevée, beaucoup de ces aliments sont bourrés de sucre ou de sirop d'agave. On trouve aussi toute une panoplie d’additifs appétissants comme les phosphates. Plusieurs de ces produits peuvent conduire au surpoids, via une résistance à l’insuline et à la leptine, d’autant que du fait de l’absence de gluten dans l’intestin, ce dernier assimile mieux glucides, graisses, protéines et leur énergie.

    La solution? Cuisiner chez soi avec des ingrédients qui n'élèvent pas exagérément la glycémie, comme le riz, les farines de légumes secs, le soja, l’amarante, le quinoa, les oléagineux.

  • GRAVE DANGER: ZIKA

    Sur mon autre blog

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2016/01/29/grave-danger-zika-5751827.html

  • ATTENTION: à lire absolument!

    les scientifiques du Technion d'Israël et en Allemagne ont découvert des preuves que certains aliments transformés endommagent l'intestin et affaiblissent sa résistance à des bactéries, aux toxines et à d'autres éléments hostiles.

    Les chercheurs ont découvert un lien entre les aliments transformés et les maladies auto-immunes. 

    Dans l'agitation du monde d'aujourd'hui, sur les aliments transformés, ce facteur de commodité peut entraîner un prix plus grand que précédemment connu, dit une équipe internationale de chercheurs.

    Dans les résultats publiés récemment, des chercheurs israéliens et allemands ont présenté des preuves que les aliments transformés affaiblissent la résistance de l'intestin aux bactéries, toxines et à d'autres éléments nutritionnels, qui à son tour augmente la probabilité de développer des maladies auto-immunes.

    Les maladies auto-immunes sont dues à une hyperactivité du système immunitaire à l'encontre de substances ou de tissus qui sont normalement présents dans l'organisme. Parmi ces maladies peuvent être cités la sclérose en plaques, le diabète de type 1 , jadis appelé " diabète juvénile " ou " diabète insulino-dépendant ", le lupus, les thyroïdites auto-immunes, la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite ankylosante, le syndrome de Goujerot-Sjögren, la maladie de Crohn, etc..

    Professeur Aaron Lerner, de la Faculté de médecine de Technion

    L'étude a été dirigée par le professeur Aaron Lerner, de la Faculté de médecine de Technion et Carmel Medical Center à Haïfa et le Dr Torsten Matthias de l'Institut Aesku-Kipp (Allemagne).

    L'équipe de recherche a examiné les effets des aliments transformés sur les intestins, et sur le développement de maladies auto-immunes; conditions dans lesquelles il y a des dommages de ses propres tissus. Plus de 100 de ces maladies ont été identifiés, y compris le diabète de type 1, la maladie cœliaque, le lupus, la sclérose en plaques, l'hépatite auto-immune et la maladie de Crohn.

    Au cours des dernières décennies, il y a eu une diminution de l'incidence des maladies infectieuses, mais en même temps il y a eu une augmentation de l'incidence des maladies allergiques, le cancer et les maladies auto-immunes“ a déclaré le professeur Lerner.

    Dans leur étude, les chercheurs se sont concentrés sur l'augmentation vertigineuse de l'utilisation des additifs alimentaires industriels visant à améliorer des qualités telles que le goût, l'odeur, la texture et la durée de conservation, et il a été découvert une connexion circonstancielle significative entre l'utilisation accrue d'aliments transformés et l'augmentation de l'incidence des maladies auto-immunes.

    De nombreuses maladies auto-immunes résultent de dommages sur la muqueuse intestinale. Lorsqu'elle fonctionne normalement, elle serre de barrière contre les bactéries, des toxines, des allergènes et des agents cancérigènes, et protège le système immunitaire. Ces dommages, aussi connu comme le leaky gutraquo, entraîne le développement de maladies auto-immunes.

    Les chercheurs ont découvert qu'au moins sept additifs alimentaires communs affaiblissent les intestins:  glucose (sucres), sodium (sel), solvants graisseuses (émulsifiants), des acides organiques, gluten, la transglutaminase microbienne (une enzyme spéciale qui sert de protéine alimentaire-colle et des particules nanométriques.

    "Le contrôle et l'exécution des organismes tels que la FDA supervisent rigoureusement l'industrie pharmaceutique, mais le marché de l'additif alimentaire reste sans surveillance“ a déclaré le professeur Lerner; “Nous espérons que cette étude et des études similaires vont accroître la sensibilisation sur les dangers inhérents à des additifs alimentaires industriels, et sensibiliser à la nécessité d'un contrôle sur eux.

    Les chercheurs conseillent aussi aux patients atteints de maladies auto-immunes, et ceux qui ont des antécédents familiaux de ces maladies, d’éviter les aliments transformés lorsque cela est possible.

    Que sont les aliments transformés? 

    Les aliments transformés sont des aliments qui ont été compromis par l’ajout d’hormones, additifs, conservateurs, de matériel génétique artificiel ou d’autres traitements chimiques ou thermiques qui altèrent ou détruisent les enzymes naturels sains, acides gras, vitamines et minéraux.

    Ce sont des aliments qui ont été transformés:

    -chauffés (traitement des aliments en conserve et séchés

    -usinés (la farine blanche)

    -traités sous pression (le lait)

    -irradiés (herbes, épices, tisanes)

    -contenant des additifs alimentaires (les nouilles, les produits laitiers, les sauces de cuisson).

    Les aliments transformés sont faciles à reconnaître, ils sont presque toujours dans un emballage. L’objectif principal des aliments transformés est de prolonger la durée de vie des aliments ainsi que de pouvoir vendre de plus grandes quantités.

     

     

  • Les hommes et la viande

    La viande est un des piliers du "repas gastronomique à la française" classé au patrimoine immatériel culturel de l’humanité par l’IUnesco.

    La viande y tient une place qui joue le rôle de pierre angulaire de la culture française. Elle inspire l’esprit artistique de chacun dès qu’il s’agit de se faire plaisir, à soi, comme à ceux que l’on aime et que l’on reçoit à sa table.

    Qu’ils soient chefs étoilés, cuisiniers du dimanche, mères et pères de famille pressés, adolescents en croissance, seniors et enfants … pour tous, la viande est toujours le rendez-vous attendu dans un repas: les recettes traditionnelles de nos régions et d’ailleurs, ou les plus récentes innovations culinaires sont toujours un moment de pur bonheur! Oublier la viande, c'est un non sens complet…

    Depuis la préhistoire, l’Homme mange de la viande

    Omnivore, il consomme des produits d’origine à la fois animale et végétale, ce qui permet de satisfaire ses besoins nutritionnels mais aussi élargit le champ des ressources consommables, ce qui lui assure une plus grande sécurité alimentaire, plus d’adaptabilité et d’autonomie.

    La viande présente de nombreux intérêts… au cours des différentes étapes d’évolution de l’Homme, la consommation de viande a contribué au développement du cerveau de l’homme en lui apportant protéines et énergie et a nécessité la mise en place de stratégie de chasse, de découpe de l’animal, de partage de la viande.

    Toutes ces activités ont favorisé "l’émergence de l’Homme sociétal et renforcé la cohésion du groupe". Avant d’être consommé, l’animal est découpé, préparé et accommodé selon des rites propres à chaque communauté. Sa consommation donne souvent lieu à des repas collectifs: "la viande est une force de cohésion grâce à laquelle se soudent les communautés“.

    C’est pourquoi, manger de la viande n’est pas seulement un acte physiologique mais avant tout un acte socioculturel qui détermine et identifie les sociétés humaines". C'est pour cela que je n'arrive pas à comprendre ceux qui sont végétariens. Cela n'est pas bon d'en manger tous les jours et à tous les repas, on le sait bien. Mais, s'en priver totalement, cela me dépasse! Mais, qu'en plus, ils viennent vous interdire le foie gras, alors là, me voilà vent debout contre la bêtise crasse de ces crétins arrogants; au féminin pluriel: les crétines arrogantes!

     

     

      

  • Une histoire fantastique à Toulouse

    LA DAME EN BLANC

    HISTOIRE FANTASTIQUE PAR JOSYANE JOYCE ©

     

     Une nuit orageuse d'été dans la nuit toulousaine

     La soirée entre amis est terminée, il est temps de rentrer chez soi. Jean-Pierre et Maryse raccompagnent Danièle et ses deux filles à leur voiture. Il n'est pas loin de minuit et la chaleur de la nuit est accablante. Au loin, on entend l'orage venir; des roulements de tambour puissants dérangent le calme de la nuit chaude et poisseuse.

    Dans l'épaisseur de la nuit d'été, un petit vent lourd et grave commence à ronfler dans les cimes des arbres qui entourent la propriété des amis hôtes de la soirée. Tout le monde a passé une bonne soirée, Danièle à été comblée de cadeaux pour son anniversaire, toute la petite troupe est heureuse de ce grand moment de partage et de convivialité… l'heure a tourné sans que personne ne s'aperçoive de la fuite du temps et, pourtant, maintenant, il est l'heure de regagner la petite résidence des Pierremartin.

    Maryse embrasse chaleureusement Danièle a son habitude et lui dit: “rentre bien, fille, avant que l'orage n'éclate! et surtout soit bien prudente!".

    Danièle rit et redit en rendant deux bises sonores sur les joues roses et un peu ridées de sa meilleure amie: “merci pour cette bonne soirée, comme d'habitude tu nous as gâtées“!

    “Mais non, mais non, nous sommes toujours très heureux de vous avoir à souper“! Elle frotte les bras de haut en bas, de son amie en signe de réconfort. C'est son geste habituel, celui que Danièle aime et n'oubliera jamais…. Le geste de l'amitié éternelle, la douceur chaude des relations entre deux amies qui se comprennent si bien.

     La suite est ici:

     

     

  • Dangers des boîtes à pizza, brique lait, boîtes à céréales ect.....

    Attention aux papiers et cartons recouverts d'un film.

    Les composés éthyl alkyls perfluorés sont utilisés dans des substances entrant en contact avec les aliments qui agissent comme antiadhésifs de l’huile et de l’eau pour le papier et le carton, qui entrent en contact avec les aliments aqueux et gras. La FDA a dit que de nouvelles données sont disponibles qui montrent que la toxicité de substances structurellement similaires à ces composés démontre qu’il n’y a plus de certitude raisonnable d’innocuité quant à l’utilisation de ces substances entrant en contact avec les aliments. Donc, les boîtes à pizza aux USA sont interdites de ce composé.

    Erik Olson, directeur du programme de santé du National Resources Defense Council (NRDC), a salué l’action de la FDA citant son pouvoir de rendre plus sûres les boîtes à pizza.

    “L’interdiction de la FDA est une première étape importante – mais juste une première étape – concernant l’amélioration de la sécurité de notre approvisionnement alimentaire.

    Ou retrouve-t-on ces substances chimiques?

    Les substances chimiques transmises aux nourrissons par l'allaitement

    Des substances toxiques largement utilisées dans l’industrie (les composés alkyls perfluorés) se transmettraient de la mère à l’enfant au cours de l’allaitement, d’après une étude menée conjointement par le Danemark et les Etats-Unis. La présence de ces produits chimiques dans le sang des enfants augmente avec la durée de l’allaitement.

    Allaitement - Alkyls perfluorés

    Selon cette étude, le taux de substances chimiques retrouvées dans le corps des enfants augmente de 20 à 30 % par mois d'allaitement.

    De nombreuses substances peuvent se transmettre de la mère à l’enfant au cours de l’allaitement. Ce débat a déjà été soulevé à plusieurs reprises. Des chercheurs danois et américains se sont penchés sur une classe très particulière de produits chimiques: les alkyls perfluorés. Pour cela, ils ont suivi 81 enfants nés sur les Îles Féroé entre 1997 et 2000 et ont recherché la présence de cinq types d’alkyls perfluorés dans leur sang (à 11 mois, 18 mois et 5 ans).

    Des taux de substances chimiques qui augmentent avec la durée de l'allaitement

    Leurs résultats, publiés dans la revue Environmental Science & Technology le 20 août 2015, révèlent une augmentation de 20 à 30 % de quatre des produits chimiques testés dans le corps des enfants, pour chaque mois où ceux-ci ont été allaités. L’augmentation était moins marquée chez les enfants nourris partiellement au lait maternel.

    Toutefois, les taux de ces substances dans l’organisme des enfants commençaient à baisser dès qu’ils n’étaient plus allaités. C’est la première étude qui révèle l’étendue de la contamination aux alkyls perfluorés via le lait maternel et l’accumulation de ces substances dans le corps avec le temps.

    Les alkyls perfluorés présents dans l'eau destinée à la consommation

    Les alkyls perfluorés sont utilisés dans la fabrication de produits protecteurs contre l'eau, la graisse et les tâches (pour les textiles par exemple), ou encore dans des mousses anti-incendie, des peintures, des emballages alimentaires… Ils se retrouvent fréquemment dans l'eau destinée à la consommation, en raison de contaminations près de sites industriels2. Ils s’accumulent petit à petit dans l’organisme et peuvent se retrouver dans le corps longtemps après l’exposition.

    Ces substances peuvent "être responsables de l’apparition de cancers et perturber les fonctions immunitaires", rappelle la Harvard Chan School of Public Health, qui a participé à l'étude. Pas question pour autant de "décourager l’allaitement", tempèrent les scientifiques, qui appellent à plus de contrôles pour empêcher les contaminations par ces substances.

    Sources:

    1.Breastfeeding as an Exposure Pathway for Perfluorinated Alkylates, Ulla B. Mogensen, Philippe Grandjean, Flemming Nielsen, Pal Weihe, and Esben Budtz-Jørgensen, Environmental Science & Technology, August 20, 2015 (abstract en ligne)

    1. Campagne nationale d'occurrence des composés alkyls perfluorés dans les eaux destinées à la consommation humaine, Anses, mais 2011 (rapport en ligne)

    Il faut se rendre à l'évidence: les produits chimiques sont partout autour de nous, à des doses nuisibles et de plus en plus fortes. Le plus inquiétant est d'ailleurs que beaucoup ne se dégradent quasiment pas et s'accumulent dans nos organismes et notre environnement... Et les enfants sont généralement plus contaminés que leurs parents, les mères en transmettant une partie durant la grossesse!

    Les méfaits des produits chimiques

    Lors de la présence de PCB dans l'organisme, la première question posée concerne souvent la consommation de poisson. Certains de ceux pêchés en mer Baltique en 2005 ne respectaient pas la teneur maximale en dioxines autorisée par l'Union.

    Lors d'autres tests réalisées par WWF sur des familles de différents pays de l'Union, des produits ont été retrouvés sur trois générations consécutives:

    OCP (pesticides organochlorés) tels que le DDT, le chlordane et le lindane, pourtant théoriquement interdits depuis longtemps.

    PCB (polychlorobiphényles) utilisés dans les appareils électriques jusqu'en 1985.

    Retardateurs de flamme bromés (PBDE, HBCD, TBBP-A) des meubles, tapis, matériaux d'isolation, télévision...

    PFC (composés perfluorés) des poêles anti-adhésives et traitement anti-taches.

    BPA (bisphénol-A) présent dans les boîtes de conserve, les bouteilles et même certaines tétines de biberon.

    Phtalates des jouets, encres d'impression, produits pharmaceutiques et cosmétiques.

    Muscs synthétiques servant pour les désodorisants, parfums d'ambiance, etc.

    Or des études ont démontré la relation entre la présence de ces produits dans l'organisme et le développement de certaines pathologies (asthme, allergies, cancers, perturbations hormonales, troubles neurologiques...).

    Du reste, cette contamination touche toute la chaîne du vivant... et l'espèce humaine est placée à la tête de celle-ci! On a retrouvé des concentrations anormalement élevées de PCB même chez les Inuits et les ours polaires.

    Comment les reconnaître ?

    C'est pourquoi REACH a lancé un programme systématique d'évaluation des produits présents sur le marché. Celui-ci sera réalisé par un laboratoire créé pour l'occasion à Helsinki (Finlande).

    Par ailleurs, un nouveau système d'étiquetage des produits chimiques a été adopté au niveau européen. S'adressant tout particulièrement aux personnels des secteurs concernés, il précise, par des pictogrammes, si les substances sont:

    explosives,

    comburantes (forte réaction au contact d'autres substances),

    inflammables, et à quel degré,

    nocives par inhalation, ingestion, contact cutané...,

    corrosives,

    irritantes,

    cancérogènes ou mutagènes,

    nuisibles à la reproduction,

    dangereuses pour l'environnement.

    Sur l'étiquette, des précisions sont aussi apportées sur la nature des risques encourus. Ce sont les "phrases R", numérotées de 1 (" Explosif à l'état sec") à 68 ("Possibilité d'effets irréversibles"). Ces phrases R peuvent se combiner entre elles et sont accompagnées de conseils de prudence, les "phrases S" de 1: "Conserver sous clé", à 64 0 "En cas d'ingestion, rincer la bouche avec de l'eau (seulement si la personne est consciente)"!

     

     

  • Faites des barres ou des croquants multicéréales

    Dès les premières années des seventies, je me suis intéressée à la nutrition car je faisais un peu de sport tous les jours; je me sentais un peu coupable de fumer. (quand j'ai arrêté de fumer en 1991, je fumais trois paquets par jour de brunes!). Et puis, j'ai passé toute ma vie à lutter contre les kilos. Le fait d'avoir été bourrée de cortisone durant plus de 5 ans n'a pas arrangé mon poids sur la balance. Mais, j'ai réussi à perdre 10 kg en 2015 et j'espère en perdre autant cette année.

    Dès que ma fille a pu petit-déjeuner seule, je lui donnais des flocons d'avoine au lait. En ce temps-là, on n'en trouvait que rarement. Il y en avait cependant, au Leclerc qui se trouve désormais à St Orens; avant, il était un très petit magasin et se trouvait route de Revel. J'ai trouvé mon bonheur dans un rayon de déjeuner et, juste à côté se trouvait des pétales de maïs. Au fils du temps, le rayon s'est augmenté de tout un tas de céréales du petit-déjeuner, bourrées de sucre et trucs bizaroïdes qui entravent vos cellules et vous donnent des rides!

    La seule nouveauté qui trouve grâce à mes yeux, le weetabix…et les deux céréales présentations indiquées plus haut. Le reste, c'est du sucre total, déguisé en bonnes céréales. Pour ma fille, je faisais déjà des petits tas de céréales en genre de gâteau… ce que l'on trouve sur le paquet appelé: rose des sables. Les noix de coco, je les ai retirées en faisant mes petits gâteaux craquants car ma fille déteste la noix de coco. Mais, je l'indique pour vous.

    Ingrédients pour 36 portions

    800 g de flocons d'avoine, 100 g de flocons de noix de coco non sucrés, 180 g de noisettes écalées, hachées grossièrement, 65 ml d'huile de colza, 120 g de miel

    un peu de beurre ou d'huile en spray pour graisser la plaque

    Préchauffez votre four à 190°C. Huilez ou beurrez légèrement une grande plaque à biscuits (environ 30 x 38 cm).

    Mélangez les ingrédients secs dans un grand bol. Versez l'huile, le miel dans un petit bol et chauffez au four un peu le tout au bain-marie. Versez sur le mélange d'ingrédients secs et bien mélangez le tout. Étalez sur la plaque.

    Cuire au centre du four de 30 à 40 min jusqu'à ce que bien doré et croustillant, en prenant soin de brasser toutes les 10 min pour empêcher le mélange de brûler, et assurer une dorure uniforme.

    Défaire à la fourchette toute agglutination, et laisser tiédir: ce tas de céréales vous pouvez le dénommer “granola“ deviendra plus croquant en refroidissant. Laissez refroidir complètement avant de transférer dans un contenant hermétique en verre.

    On peut conserver le granola plusieurs semaines au réfrigérateur, jusqu'à 3 mois au congélateur.

    Vous pouvez mettre des amandes, des pignons.. bref, toutes les graines que vous aimez ou que vous avez.